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Le blog pause pipi
29 novembre 2007

Deux pipis aux toilettes "rustiques" par Martine (vécus début août 2007) - Illustration de PPH

Arrivés depuis deux heures au Crotoy par le petit train touristique de la Somme, nous avions visité la ville et avant de faire des photos du port, but de notre voyage, comme il était prés de treize heures, la recherche d’un petit resto sympa s’imposait. Beaucoup de touristes avaient eu cette idée avant nous et tous affichaient complet. Il restait juste quelques places en terrasse, bruyantes et poussiéreuses, qui n’étaient guère accueillantes.

En râlant et regrettant de nous y être pris si tard, nous arrivâmes devant chez  « N…. » à  l’apparence  d’un petit café-brasserie, sans terrasse. Un coup d’œil à l’intérieur nous apprit avec satisfaction que sur les quatre tables de l’établissement, une restait libre. Sans demander son avis à Jean-Michel, je le pris par le bras en disant :

"Allez…. On y va…" et nous entrons.

Dans une forte odeur de friture une serveuse s’avança et à notre demande nous installa à la quatrième table libre. Une carte des plus simples et des plus réduites arriva entre nos mains. Nous n’étions pas dans un "Trois étoiles" et comme pendant les vacances le régime diététique est franchement oublié, nous avons opté chacun pour "Une moule du chef à la crème" avec des frites... Evidemment. Accompagnée d’un petit pichet de vin blanc sec et surtout d’une grande bouteille d’eau. Dix minutes d’attente et le menu arriva.

Pas mauvaises les moules à la crème. Cuites à point les frites.

Débarrassant nos couverts, on nous offrit un dessert. Au point où nous en sommes du régime, pourquoi pas ? Puis, nous avons demandé une petite pause avant le café, histoire d’oublier les moules et de parler du programme de l’après-midi photos avant de reprendre le petit train.

Le vin blanc sec, plus la bouteille d’eau que nous avions quasiment vidée à deux, il n’était pas question de repartir en ville sans passer par les toilettes, et après avoir reçu notre chèque, la serveuse nous indiqua :

"Le couloir à gauche… au fond… porte de gauche."

Nous lui avons confié nos deux sacs avant de prendre cet itinéraire.

Au fond du couloir, deux portes. A droite, marquée "Entrée interdite - Service" et à gauche "Toilettes-Hommes-Dames". L’indication était claire et sans équivoque.

Nous nous attendions à trouver derrière cette porte, comme d’habitude, une direction "Hommes" et une direction "Dames".

Notre surprise fut grande, suivie d’une période où nous avions peine à retenir notre rire.

Nous venions de pénétrer dans une petite pièce d’environ trois mètres sur trois, avec en face de nous un lavabo et un rouleau de serviettes, et à notre droite des toilettes à la turque avec l’antique réservoir d’eau et sa chaîne. A côté, le mur était aménagé avec deux urinoirs en tôle avec évacuation par une gouttière en plastique, vraisemblablement de construction artisanale.

Il flottait dans l’air de cette pièce un mélange indéfinissable de savon à la lavande montant sans doutes du sol, et de désinfectant provenant sans doutes des urinoirs.

Du regard, je cherchai s’il n’y avait pas une porte "Dames". Mais non. C’était à prendre ou à laisser. C’était mixte ou... on repart avec son pipi. Plutôt amusé par la situation, Jean-Michel m’offrit :

"Bon... je te laisse la première... je reviendrai après.

Mais ma décision était déjà prise.

"Ben non hein ! Il y a de la place pour deux et ce ne sera pas la première fois que l’on fera ensemble."

Je vérifiai la fermeture du verrou, mon choix était fait.

"Bon… les toilettes à la turque, accroupie, penchée en avant, ou par ma jambe c’est bonjour mes chaussures. A moins que je vise bien le trou. Mais aujourd’hui en mini jupe, c’est culotte serrée, et par la jambe ce sera n’importe quoi. Bon… alors j’y vais comme toi.

Il était donc installé en face d’un des deux urinoirs lorsque que j’arrivais. Habituellement, de me voir me poster prés de lui, bloque ses possibilités. Mais là il avait commencé sans moi et ça avait l’air de marcher malgré ma présence rapprochée.

Debout prés de lui avec une culotte bien ajustée, je n’avais plus qu’à la descendre sur mes cuisses, à écarter un peu mes pieds et à pousser un peu pour envoyer le jet en face de moi. Comme il y avait quand même dans cette situation le risque de mouiller un peu la culotte avec des gouttes égarées, je pris quelques feuilles au rouleau sur le mur prés de moi, je les pliai pour les coincer entre mes jambes sur la culotte. Mon Jean-Michel terminait quand je commençais. Il restait prés de moi, le petit voyeur, en se reboutonnant. Cela me perturbait un peu certes, mais je m’en sortais bien, habituée à cette situation entre nous, mêlant le chant de ma petite source au bruit moins musical de mon jet sur la tôle en face de moi.

Mon pipi terminé, j’attendis deux secondes la chute des dernières gouttes sur le papier en regardant mon partenaire de toilettes.

Il prit mon regard pour une invitation, et s’emparant du papier, accroupi devant moi, il s‘empressa d’essorer avec soins et attention ma petite chatte qui en fut tout intimidée. Vu son insistance je l’arrêtai :

"Bon… Arrête... Ca n’est pas l’endroit. Tu as de la chance, sinon je te faisais ta fête.

Je remontais ma culotte, le papier arriva dans les toilettes et après un petit passage au lavabo ce fut retour dans la salle.

Stupéfaction de la serveuse qui nous avait vus entrer et sortir à deux des toilettes. Sa bouche ouverte marquait la surprise et son regard sa désapprobation.

Après avoir récupéré nos sacs, nous lançons en sortant :

"Au revoir messieurs dames…"

Seuls, les deniers clients répondirent. Nous avions choqué le service.

Et pourtant, nous n’étions sans doutes pas les premiers à être surpris par ces toilettes d’un autre âge. Pour nous, c’était quasiment une invitation.

Je me demande ce que faisaient d’autres couples dans ce cas. Et deux copines alors ? L’un devant ressortir après la surprise et attendre l’autre ou alors profiter comme nous des  places disponibles.

Il ne faut pas faire de telles tentations à une délurée comme moi. 

Il y eut un autre pipi à la gare avant de reprendre le train, mais là, c’était chacun pour soi ou… le scandale.

En tout cas, ce pipi rustique, en se le remémorant au retour, nous a valu une soirée agitée.            

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29 novembre 2007

Une contribution d'une lectrice du blog...

Pipi assise sur les toilettes...

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Petit besoin pressant au cours d'une promenade...

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Un classique pour les femmes, en chemin : pipi entre les portières ouvertes d'une auto...

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Pipi en "hight squatting" dans la forêt...

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24 novembre 2007

Etre polyglotte et un peu de hardiesse peut parfois être utile, par Femme mûre...

Ma fille cadette et une copine avaient dernièrement fait un stage de fin d'études. Comme dans pareil cas, on prend un petit verre et on ne voit pas l'heure passer ! Constatant l'heure tardive, elles courrent vite à la gare, mais le train venait de partir depuis quelques minutes... et en dehors des heures de pointe, il faut patienter parfois une heure avant un nouveau train... La partie administrative de la gare étant fermée à cette heure, les voilà contraintes d'attendre sur le quai dans le froid... et avec quelques jus de fruits dans le corps conjugés à la froidure ambiante, vous devinez bien ce qui arriva assez vite, l'envie d'un sacré pipi, d'autant qu'elle n'avaient pas eu l'occasion de faire vidange suite à leur départ précipité... et les toilettes de la gare innaccessibles à cette heure ! "Je ne vais pas savoir tenir jusqu'à l'arrivée du train" dit sa copine, "Je sens que je vais vite faire à ma culotte avec ce froid...". "Moi aussi j'ai bien envie tu sais, attends on va aller chercher un petit endroit discret où faire pipi..." Elles prennent le passage souterrain et se rendent vers les bâtiments, les longent et se dirigent vers les annexes en bout de quai. Au bout des bâtiments, une petite encoignure non éclairée avec des grosses poubelles. L'endroit parfait pour un petit (gros !) pipi vite fait bien fait ! Aussi pressées l'une que l'autre, elles décident de faire ensemble et non pas l'une qui monte la garde pendant que l'autre se soulage, d'autant qu'à cette heure tardive sans âme qui vive... Elles baissent donc leur pantalon, leur collant et leur petite culotte à mi-mollet et s'accroupissent derrière les poubelles et commencent un joli concerto d'une mélodie sifflante en déversant deux torrents de pipi sur le sol pavé... "Je pisse comme une vache" dit sa copine, "Et j'en mets plein sur mes souliers et mon bas de pantalon tellement mon jet frappe le sol avec puissance...". "T'inquiètes, je fais de même" dit ma fille ! "Mais parle pas si haut" dit ma fille à sa copine... Pour bien se finir, elles poussent bien et biensûr, elles émettent quelques pets assez bruyants qui retentissent dans le calme... La copine éclate de rire très fort... Ma fille se relevait et allait remonter ses vêtements, sa copine lachait encore quelques gouttes quand elles entendent : "Et bien mesdemoiselles, ne vous gênez surtout pas ! Vous savez que c'est répréhensible ce que vous faites ? Vous êtes en poisition indécente, vous souillez un lieu public volontairement ! D'autant que vous n'êtes plus des petites filles, à votre âge une femme doit être capable de se retenir !" C'était un vigile qui sortait d'on ne sait où ! Ma fille se reculotte en un instant, sa copine se relève en un éclair et remonte prestamment ses vêtements aussi, dans sa hâte elle laisse s'échapper ses dernières gouttes dans sa petite culotte et son collant sans s'en rendre compte. Le vigile poursuit en disant : "Vous devez être verbalisées, ce n'est pas tolérable !" Heureusement ma fille réagit très vite, donnant un coup de coude sec à sa copine, elle interpelle vivement le vigile en anglais (anglophone d'origine nous n'éprouvons aucune difficulté dans cette langue) et l'invective en lui disant qu'il est un petit salaud de se rincer l'oeil de la sorte et qu'il n'a aucun droit de verbaliser, qu'il n'est pas un policier assermenté (ce qui est vrai, sachez le mesdames !) et se met à crier en anglais : "Au secours, à l'aide, appelez la police, on veut nous violer..." Et elle prend sa copine par le bras et s'enfuie vers la gare... Deux hommes arrivent à ce moment et ne perdant pas son sang froid, ma fille leur dit, toujours en anglais, "Aidez-nous, ce monsieur veut nous agresser..." Les deux hommes regardent vers le vigile, l'un d'eux sort son GSM et le vigile n'a pas moisi sur place, il a disparu aussi vite qu'il était apparu... Il n'a certainement pas tenu à être confronté à la police pour tenter d'expliquer la situation, d'autant que les deux filles n'avaient pas remis leur chemise dans leur pantalon en tentant de se rhabiller en vitesse, mais cela étant les deux témoins ne connaissaient pas le début de l'histoire... Elles ont attendu le train avec les deux hommes, ma fille disant de temps à autre un petit mot en français à sa copine qui était toute blanche de peur (elle ne parle presque pas de langue étrangère). Les deux hommes lui disaient toujours, n'ayez plus peur, on est arrivés à temps. Vous voulez déposer une plainte à la police ? On va vous y accompagner si vous voulez ! "Non merci" a t-elle juste dit très bas en essayant de prendre un accent étranger ! Voilà, vous voyez les filles, on parvient parfois avec un peu de chance et de sang froid à se tirer de situations pour le moins embarassantes...

22 novembre 2007

Un Pipi Express Régional, récit inspiré d'un fait réel et romancé par Martine...

Tous mes clients étaient exaspérés par cette grève de la S.N.C.F. Personnellement mes déplacements se font en voiture, heureusement.

Il était dix sept heures trente environ. Je m’apprêtais à quitter le parking de la station service où j’avais fait le plein, près de la gare de L….. quand je fus abordée par deux jeunes filles emmitouflées dans de grosses écharpes. C’est presque d’un air suppliant que l’une d’elle demanda :

"S’il vous plait Madame, vous ne passez pas vers D….. ? Nous aurons peut-être un T.E.R. ce soir, mais impossible de savoir à quelle heure."

J’hésitais. Puis, prise de compassion pour ces deux filles de 23 ou 25 ans, j’acceptais de les prendre et les fis s’installer dans ma voiture. Elles n’avaient chacune qu’un petit sac pour tout bagages.

Elles étaient d’un abord plutôt sympathique et la conversation s’installa facilement.

L’une, Murielle, était stagiaire dans une pharmacie, l’autre, Antoinette, était prof aux beaux Arts de L…..Les langues se déliaient et ma voiture fut bientôt remplie de questions-réponses de chacune d’entre-nous. La confiance entre ces filles et moi s’était installée.

Il y avait environ une heure de route en roulant prudemment pour arriver à D…..où elle se rendaient, quand Murielle, la plus bavarde annonça :

"D’habitude on fait notre pipi dans le T.E.R., mais aujourd’hui avec ces problèmes on a pas pu. Bon….on tiendra bien encore une demi-heure. Pas toi Antoinette ?"

"J’ai fait à l’école avant de partir, mais la station debout et le froid accélèrent les envies, mais ça va."

Je pensais en moi-même : Où en sont-elles ? Si elles sont comme moi, elle doivent être bien malheureuses. Ah, les pauvres…dans une demi-heure…plus le parcours à pieds qu’elles feront sans doutes pour rentrer chez elles si je ne les dépose pas à leur porte…..C’est le fond de culotte qui va faire éponge. Et les sièges imprégnés ? ...

La voiture était devenue subitement silencieuse. Je les imaginais contractées pour retenir au mieux leur envie. Je connaissais bien ce problème, à part que moi j’étais sans doutes plus à l’aise qu’elles pour le résoudre. Il y a bien mon entonnoir et la bouteille en plastique vide dans le coffre, mais puis-je leur offrir ce moyen de se soulager à deux nanas que je  ne connaissais pas ?

Le fait de leur remarque, je pensais que moi aussi, cela faisait un bon moment que je n’avais pas vidangé. J’allais le faire à la station service quand elles m’ont abordée, et ce souhait m’a échappé. Pour moi, en y pensant, une demi-heure, plus la ville à l’heure de pointe, plus le parking, cela pouvait finir en un pipi catastrophe dans le parking, derrière la voiture.

Je me remémorais l’itinéraire rapidement, et la solution évidente me vint rapidement à l’esprit.

"Pas d’inquiétude les filles…" annonçais-je triomphalement. "Je connais bien cet itinéraire, je vais vous arranger cela et j’en profiterai moi aussi. Serrez les jambes encore cinq minutes et je vous assure qu’il n’y aura plus de problème."

Je m’étais souvenu qu’un jour, en catastrophe, j’avais du m’arrêter sur un chemin semi-circulaire  qui permettait aux tracteurs agricoles de faire demi-tour sur la route. Ce chemin était masqué de la route par un épais fourré charitable. Nous y étions presque, et au bout de quelques minutes je m’y engageai., et nous descendons toutes les trois de voiture.

"Bon… C’est pas un palace, mais c’est tranquille. Je m’y suis déjà arrêtée. Allez… Nous sommes entre filles, chacune pour soi."

D’abord un peu gênées, elles regardèrent autour d’elles si vraiment le coin était sûr. Visiblement elles hésitaient, attendant sans doutes que j’ouvre la session. Plus à l’aise qu’elles c’est ce que je fis, et comme d’habitude en jupes dans la nature, debout, je tirais le fond du slip et du collant ouvert, et je montrais l’exemple en envoyant un beau jet devant moi.

Antoinette des Beaux-Arts était en jean-collant-culotte. Après quelques hésitations, mais sans doutes poussée par une grosse envie, elle baissa tout cela sur les cuisses, se pencha en avant et fléchissant un peu les jambes, c’est derrière que son jet arrosa l’herbe.

Murielle, la plus bavarde, n’était pas la plus hardie, mais elle finit par s’y mettre. Ne voulant pas rester en reste, elle se décida à écarter fortement les jambes, plus que nécessaire à mon avis, à lever sa jupe en mettant une main devant et l’autre derrière pour écarter la culotte. Penchée un peu, ça tombait entre ses pieds écartés.

Nos trois techniques nous valurent trois chuintements différents dignes d’un trio de musique classique.

Comme je suis toujours équipée, j’ai distribué des kleenex, et après le concert, les instruments furent séchés puis,  comme il ne faisait vraiment pas chaud, rapidement rangés.

Une fois retrouvée la douceur de la voiture, je m’inquiétais :

"Alors ?…..Pas trop mouillées les culottes ? Vous devez vous sentir mieux maintenant."

Les langues se délièrent à nouveau :

"Vous avez eu une bonne idée Madame….Ca aurait été juste sans doutes. On voit que vous connaissez bien le pays et en plus, vous… vous êtes vraiment à l’aise pour une femme."

"C’est à dire que je voyage beaucoup et je n’ai pas toujours de toilettes trois étoiles à ma disposition. Alors c’est la meilleure façon pour aller vite.  Vous n’avez pas eu le T.E.R. mais vous avez eu un P.E.R. ... un pipi express régional."

Si vous lisez ce blog les filles... vous vous reconnaîtrez.

22 novembre 2007

Pipi cachée...

015

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21 novembre 2007

Pipi souriant...

014

18 novembre 2007

Une nouvelle contribution de Sandrine...

Sandrine

18 novembre 2007

Pipi assisté au bureau - version 2, avec la collaboration de Martine pour le texte...

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16 novembre 2007

Pipi urgent au bureau, par PPH avec la participation complice de Martine...

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12 novembre 2007

Une contribution de Sandrine...

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