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Le blog pause pipi
31 mars 2022

"Une nouvelle anecdote de Lucie..."

Ca s'est passé un jour de travail, je croyais avoir bien préparé mon coup. J'allais passé toute la journée en réunion. Ma boite est remplie d'hommes (seulement deux ou trois autres femmes avec moi). Lors des réunions, il ne faut pas déconner, boulot boulot boulot ! ! Dress code strict. Je portais un blazer noir, une jupe crayon noire et des collants noirs aussi et un chemisier blanc. En partant de chez moi, j'avais fait pipi, mis un protège-slip, sans prendre ma bouteille d'eau pour mettre toute les chances de mon côté. Le matin le plan se déroule sans accroc, je n'ai pas eu envie d'aller au toilette. Seulement bu un café. Le midi je mange en ville avec une copine, je ne bois rien. Je compte sur l'eau dans la nourriture elle-même pour m'hydrater. Je reprends le travail et les réunions. Pendant une heure tout se passe bien, encore trois heures trente à tirer. Puis d'un coup c'est le drame, ma vessie se réveille. Je me redresse sur ma chaise et serre les jambes, l'air attentif, attentive pour les autres et aussi sur mon envie de pisser pour ne rien laisser paraître. Dix minutes plus tard, l'envie part, je me calme. Puis elle revient, et s'en va, s'en revient s'en va. A croire qu'elle s'amuse avec moi pendant un bon moment. J'étais dans un coin de table avec un siège de libre avec mon collègue à gauche et personne à droite. J'avais enlevé mes talons pour trépigner des jambes silencieusement. Encore une heure quarante-cinq de réunion.
Le client de ma boite nous rejoint, on se lève tous, un jet s'en va, et pas un petit, le protège-slip fait son job. Mais peu de temps après, j'en lâche un autre, puis encore un autre. Ca n'aide pas grand chose, maintenant je suis humide, je suis gênée, et il y a toujours ma vessie qui presse. Miracle, on demande une pause, le chef nous accorde cinq minutes. Tandis que tous les hommes s'affaissent dans leur chaise, je me lève et me dirige vers les toilettes aussi rapidement que possible. Je relève ma jupe et baisse mon collant et mon string pour faire un pipi court mais puissant. J'écarte les jambes et me penche en avant tant c'est agréable de se laisser aller. Pour remplacer mon protège-slip je mets du papier toilette entre le string et ma vulve, je suis au sec mais c'est pas très confortable. Le papier toilette dépasse. Je termine ma journée légère. Je ne crois pas avoir été repérée.

Je vous disais au début de ma présence sur ce blog que je tenais relativement bien, et bien maintenant je crois que ce n'est plus le cas, il m'arrive de plus en plus de mouiller mes sous vêtements.

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30 mars 2022

"Pipi filtré" par Martine...

Pipi filtré

30 mars 2022

"Les belles chaussettes" par Daniel...

Les belles chaussettes

30 mars 2022

"Claire fontaine" par Daniel...

Claire fontaine

29 mars 2022

"Journée porte ouverte" par Martine...

Journée porte ouverte

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28 mars 2022

"Averse" par Martine...

Averse

28 mars 2022

"Aide d'un doigt" par Daniel...

Aide d'un doigt

28 mars 2022

"Halte tramway" par Daniel...

Halte tramway

27 mars 2022

"Pipi : resssource naturelle" par Martine et Jean-Michel (Déjà publié le 11 février 2013 et le 17 janvier 2017)

La plaquette publicitaire que notre agence avait réalisée à propos de la création du Centre socioculturel avait beaucoup plu et portait déjà ses fruits. Aussi Monsieur l'adjoint à la culture avait invité quelques personnes, dont Martine et moi, à un petit buffet froid pour remercier ceux et celles qui avaient collaboré à la bonne réalisation du centre.

Le centre se trouvait à environ dix minutes de voiture.

- Oui mais c'est suffisant pour prendre froid... affirma Martine

Aussi elle ressortit la tenue qu'elle portait le jour de notre reportage. Le long manteau noir, la casquette en laine étaient censés la protéger de la bronchite. Les chaussures à talon et le petit sac à dos complétaient l'habillement.

- Comment me trouves-tu ?
- Superbe pour un vernissage. Mais les chaussures... sur la neige verglacée... il faudra faire attention à la façon dont tu marcheras.
- Boof... il y aura vraiment peu à marcher de la voiture au centre.

Je dus conduire avec beaucoup d'attention car la neige tassée sur la chaussée était vraiment glissante.

Il y avait déjà quelques voitures sur le parking. Elles devaient sans doutes appartenir à des personnes invitées car elles étaient toutes groupées au plus prés de l'entrée du centre.

Accueil chaleureux obligatoire évidemment. On serre des mains. On s'embrasse, se congratule. On est heureux que... "vous ayez pu venir malgré ce froid... cette fois c'est vraiment l'hiver, n'est-ce pas ?... "

Puis on arrive à la phase des discours. Brève, heureusement, mais chacun est heureux de s'entendre cité pour avoir participé au succès. Martine et moi prenons avec d'autres, notre part du gâteau pour la plaquette... "rédaction stricte mais complète... photos flatteuses... ".Martine me glisse alors dans l'oreille :

- Merci... Et encore, je n'ai pas pu photographier les toilettes fermées.

Puis, il fallut en groupe refaire le tour du centre. L'odeur de peinture était moins forte que lors de notre premier passage. On revit les salles de réunion, la salle des assemblées générales, le vestiaire et les toilettes... "répondant aux dernières normes d'hygiène"... Les enduits étant secs, cette fois les portes s'ouvraient et chacun pu admirer les toilettes de ces "dames".

Puis, on passa coté "messieurs". Là aussi on fut invité à applaudir "le soucis d'hygiène et le côté pratique des stalles avec arrosage automatique". Je ne pus m'empêcher de dire à voix basse à Martine :

- Tiens... tu devrais leur faire une démonstration comme celle que tu m'as faite l'autre jour, histoire de faire voir que même les dames peuvent utiliser ces urinoirs et que l'arrosage automatique fonctionne bien pour elles aussi.

Je reçus un coup de coude bien appuyé sur le bras.

- Tu vas te taire... oui ? On pourrait t'entendre. Si tu continues, je ne ferai plus jamais pipi en ta présence.
- Menteuse. Ca te manquerait à toi aussi.

Elle me répondit par un regard et un sourire plein de malice.



Monsieur l'adjoint à la culture, pendant sa présentation des toilettes dernier cri était loin de s'imaginer que Martine avait été la première à essayer ces urinoirs à arrosage automatique.

Pendant qu'il parlait, je la revoyais dans son grand manteau noir, la casquette de laine, la "queue de cheval" entre les épaules, élégante, qui se tenait debout devant la stalle, un pan de son manteau protégeant le bas de son ventre de mes regards, pour épancher son envie urgente de pipi innocent. Comme j'étais malgré tout assez prés, j'eus droit quand même à la petite musique des petites lèvres au passage du jet.

Peut-être parce qu'il était innocent, urgent, sans arrière-pensée, ce pipi était terriblement érotique. J'ai toujours souhaité photographier de tels moments, mais Martine s'y oppose farouchement, craignant les fuites au labo, et même que notre album confidentiel tombe dans de mauvaises mains. Même masquée, il ne faut pas y penser, elle craint d'être reconnue quand même. Quant à des photos pour Vassilia2... !

Une jeune femme sur une des photos parues pour illustrer un de nos récits lui ressemble terriblement. Elle m'a fait jurer de ne pas dire laquelle. Promesse tenue.



Monsieur l'adjoint en avait terminé avec la visite. Il nous invita à nous rendre au buffet servi dans l'entrée.

Martine me laissa pour se joindre à une amie journaliste qui était de service pour la circonstance, et pendant qu'elles se dirigeaient vers la table, j'en profitais, le calme revenu, pour essayer moi aussi les urinoirs, qui après tout, mis à part l'arrosage automatique étaient tout ce qu'il y a de plus classique.

Je retrouvais tout le groupe papotant un verre dans une main et un toast ou un petit gâteau dans l'autre. Une hôtesse, voyant que j'avais les mains vides se précipita vers moi. Je pris sur le plateau un petit gâteau et une coupe de Champagne en pensant :

- Est-ce que Martine à pris aussi du Champagne ? Est-ce qu'elle tient sa promesse de ne plus en boire ?

Du regard, je la trouvais en discussion avec un petit groupe de connaissances. Elle tenait un verre assez grand, donc pas de Champagne, sans doutes un jus d'orange. Certes, si le jus d'orange est moins diurétique que le Champagne, il a pour lui le volume, le résultat sur la vessie de Martine est quasiment le même.

Les conversations allaient bon train, les uns vous présentant aux autres. Monsieur l'adjoint allait de l'un à l'autre.



Le temps passait vite et les plus pressés commençaient à s'excuser de devoir partir. Voilà prés d'une heure trente que nous étions là. Je cherchai Martine du regard, quand d'un geste convenu depuis longtemps entre nous, elle remonta la manche gauche de son manteau découvrant sa montre, ce qui signifiait :... "On y va" ?. Je répondis par le même geste. Je serrai quelques mains avant le départ, Martine embrassa quelques joues avant que l'on se retrouve sur les marches du centre, direction le parking et la voiture.

- Ouah !... Il fait encore plus froid que tout à l'heure... dit-elle en remontant son col. Et ce petit brouillard qui tombe pourrait bien faire encore plus de verglas. T'as intérêt à faire attention sur la route.

- Promis. Je te ramène sans problème jusqu'au garage. Fais attention toi aussi avec tes talons hauts.



Presque toutes les voitures étaient encore là, garées en épis, côte à côte le long d'une haie. Martine marchait à petits pas prudents craignant la glissade. J'étais en avant et je fouillais ma poche. J'y trouvais la clef de la voiture sans difficultés. Par contre, elle ne voulait pas pénétrer dans la serrure sans doutes givrée par le froid humide qui régnait. J'essayais de souffler sur la clef sans résultat. J'essayais de souffler sur la serrure sans effet. Seule cette serrure pouvait ouvrir les portes.

Martine vint me rejoindre de mon côté. Elle suggéra :

- Et si on allait demander un briquet à gaz à quelqu'un ?
- On va avoir l'air bête et c'est dangereux.
- Peut-être, mais rentrer à pieds ça ne m'enchante guère ! On va appeler un taxi, ou on demande à quelqu'un de nous reconduire et on revient demain.
- C'est vraiment pas la joie. T'as vu "Les bronzés font du ski" ? En pissant sur la serrure on la réchauffe et sa remarche.
- Ouais... pourquoi pas ? Vas-y. Pour un homme c'est facile.

J'ouvris ma braguette et fis une tentative. Comme j'avais déjà fait pendant la visite, je n'avais pas grand chose pour réchauffer la serrure. Je refis un essai d'ouverture sans succès.

- Ah, parce que tu as fait au centre. Moi, avec mon jus de fruit, je peux tenir jusqu'à l'appartement.
- Et si tu essayais, toi, de pisser sur la serrure ? C'est dans tes possibilités.
- Tu ne préfères pas que j'aille chercher un briquet ? Parce que, dis donc, avec le manteau, la jupe, le pantalon, les collants, le slip, ton idée ça tient du numéro de cirque !
- Tu peux déjà enlever le pantalon, ça faciliterait les choses.
- Oui, c'est vrai, en collant sous le manteau je pourrais faire assez vite sans trop installer. Bon allez, pas de briquet, un pipi.

Elle ouvrit le manteau, déboutonna la ceinture du pantalon, ouvrit la fermeture Eclair, et le pantalon descendit sur ses jambes. D'une main, elle se cramponnait à moi, et enlevant une chaussure, puis l'autre, elle s'en débarrassa et me le confia.

- Tiens... Rends-toi utile... Bouh... Ca fait plus froid tout de suite.

Avant de se lancer dans l'arrosage de la serrure, elle examina bien les lieux.

- Les voitures qui passent sur l'avenue ne peuvent pas deviner ce que je fais. Côté de la haie, personne dans le jardin public à cette heure et par ce temps. Le seul risque est que quelqu'un vienne sur le parking. Mais les conversations vont durer sans doutes encore longtemps. Si quelqu'un sortait, les autres voitures me protégeraient un moment, de toute façon ce que je serai en train de faire, si on est pas tout prés, on ne pourra pas voir. Et çà va aller vite dès le top de départ. Tu vas tenir mon manteau entr'ouvert et je vais m'approcher le plus possible de la voiture.

Ce qu'elle fit. Le parking était peu éclairé, et il restait juste assez de place avec la voiture de notre voisin. Le pantalon sur le bras, je tenais le manteau un peu ouvert comme je le lui avais vu faire pour se cacher de mes regards. Je la vis remonter sa jupe qui heureusement était courte, et la coincer dans la ceinture, puis, elle descendit ensemble collants et slip. Passant une main entre ses fesses elle les tira bien en arrière. La main restée libre devait servir à écarter les lèvres. Elle s'approcha encore un peu plus.

- Toujours personne en vue ? Heureusement que j'ai la bonne taille, c'est tout juste... Ahouille !
- Qu'est-ce qui t'arrive ?
- Devine ? J'ai touché la serrure... tu sais avec quoi ?... Mon petit clito !... Tu sais que sur le métal froid la peau peut restée collée ? Bon, on y va. Je regarde la serrure, toi tu regardes la porte du centre socio-cult'.

Une vraie envie, plus le désir d'en finir firent qu'un jet sortit tout de suite pendant une seconde et s'interrompit.

- En plus, je te le fais par petits coups, ça sera plus efficace, et je peux rectifier le tir.

Au bout de quelques petits jets, le ruissellement atteignit le sol. Encore trois ou quatre et je vis de la lumière sortir par la porte du centre.

- Envoie le reste... dis-je à Martine.

Elle lâcha les vannes et arrosa encore deux ou trois secondes avec un bruit sourd sur la portière.

- C'est tout ce que je peux faire, j'ai tout vidé le jus d'orange... dit-elle en regardant vers la lumière de la porte.

Un petit groupe discutait en bas de l'escalier avant de se séparer.

- Je n'ai pas de kleenex... et toi ?
- Moi non plus... rien... Tu veux mes doigts ?
- Chiche... Mais calme alors... sans caresses... tu partages avec mon slip.

Je passais ma main à plat entre ses cuisses entr'ouvertes et remontais sur sa fente un peu humide. Elle était presque entièrement épilée, il restait peu de gouttes.

- Merci... maintenant je range. Le slip fera le reste. En collants et en jupe sous le manteau je suis présentable. Elle remonta le slip, puis les collants et redescendit la jupe en regardant le groupe qui continuait à discuter sans se douter de l'attention dont il était l'objet à vingt mètres de nous.

Pendant qu'elle se rhabillait, je fis une nouvelle tentative. La serrure avait encore quelques réticences. La clef pénétra enfin, en insistant un peu elle tourna et on entendit le "clic" libérateur.

- Heureusement que j'étais là... dit-elle en se précipitant à l'intérieur de la voiture et en envoyant le pantalon sur le siège arrière... Mais je t'assure que je suis glacée. Tu te rends compte si mon clito était resté collé par le givre ?
- Il y avait peu de risques. Il est au moins à trente sept degrés. C'est peut-être ce contact qui a été efficace... dis-je en riant.
- Trente sept degrés ?... Plus maintenant je t'assure ! Je le sens "traumatisé" par ce qu'il a vécu. Tu devras le réchauffer longtemps tout à l'heure !
- D'accord, je le réchaufferai tant qu'il le voudra pour le remercier de nous avoir tiré d'embarras malgré la pénibilité du travail qu'on lui a demandé.

Pendant que je sortais de l'épi, notre voisin de parking arriva et nous fit "au revoir" d'un grand signe de la main. Il fit un écart pour éviter de marcher dans une flaque qu'il prit sans doutes pour de l'eau et qui allait faire une petite plaque de verglas dans une heure.



Dix minutes plus tard, les vingt degrés de l'appartement nous furent bien agréables, surtout à Martine, dont une partie sensible de son anatomie avait particulièrement souffert de la gelée. Par jeu, elle ne manqua pas de me rappeler ma promesse faite à la sortie du parking. Mais çà n'était pas nécessaire.

Source : http://wp.vassilia.net/histoires/pipi-ressource-naturelle-par-martine-et-jean-michel

26 mars 2022

"Site touristique ?" par Martine...

Site touristique ?

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