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Le blog pause pipi
31 décembre 2010

Sortie de réveillon, par Martine...

Sortie_de_r_veillon

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31 décembre 2010

Salut et meilleurs voeux les voyeurs, par Martine...

Salut_et_meilleurs_voeux_les_voyeurs

30 décembre 2010

Une belle vidange dans la rivière, par Martine...

Une_belle_vidange_dans_la_rivi_re

30 décembre 2010

Un grand classique dans les bois, par Martine...

Un_grand_classique_dans_les_bois

29 décembre 2010

Pratique le string, par Martine...

Pratique_le_string

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29 décembre 2010

Un beau pipi en argentique, par Martine...

Un_beau_pipi_en_argentique

29 décembre 2010

Des pipis qui font du bien, par Thierry...

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1__4_  1__5_

28 décembre 2010

Relaxe et... rien à cacher, par Martine...

Relaxe_et

28 décembre 2010

Pas possible avec une voiture à deux portes, par Martine...

Pas_possible_avec_une_voiture___deux_portes

28 décembre 2010

Une anecdote de LL...

Pour cette première contribution (un peu longue), j'aimerais vous raconter un authentique souvenir d'enfance. Je ne pense pas que ce souvenir soit à l'origine de mon goût pour les pipis féminins (vous verrez que ce goût existait déjà), mais c'est la première fois que celui-ci se manifestait chez moi aussi clairement. Les images de ces instants sont restées gravées dans ma mémoire et me reviennent quand j’y repense comme si c’était hier.

En fait, c’était à la fin des années 70. J'étais à l'école primaire et je devais avoir 10 ou 11 ans. Ma mère enseignait dans l'école où j'étais, et après que les autres élèves soient partis, je jouais dans la cour de récréation avec d'autres enfants d'enseignantes pendant que nos mères s'acquittaient de quelques tâches avant de quitter l'école.

Ce soir là, j'étais donc avec le fils d'une autre enseignante et la fille d'une autre. Tous deux avaient un an de moins que moi. La fille, que j'appellerai B... était un peu plus grande que moi (j'étais petit pour mon âge). Elle était jolie, brune et frisée, avec des yeux bleus, une peau pâle et des tâches de rousseur. Elle portait un short très court et serrant, en un genre de tissu éponge fin et bleu ciel. Avec le garçon, nous nous moquions d’elle en disant qu’elle était en slip.

« C’est pas vrai ! C’est pas un slip, c’est un short !

-        Ben si c’est un short, t’as une culotte en-dessous.

-        Je vous dis que c’est un short.

-        Si tu veux prouver un short, montre nous ta culotte.

-        Non, je vous la montrerai pas.

-        Tu veux pas nous la montrer parce que t’en as pas. C’est pas un short que tu as c’est une culotte.

-        Non c’est pas vrai. »

A ce moment-là, l’autre garçon a été appelé par sa mère pour rentrer chez lui. Avant le dîner, mes parents avaient été invités à boire l’apéritif chez les parents de B… Je lui dis :

« Ce soir, tu me montreras ton slip ?

-        D’accord, mais seulement si tu me montres le tien.

-        D’accord. »

Quand nous nous sommes retrouvés chez ses parents, pendant que ceux-ci prenaient l’apéro à l’intérieur, B… et moi sommes allés jouer dans le jardin. C’était une grand terrain tapissé de pelouse avec de nombreux arbres et des haies. Tout au bout du terrain, nous étions d’atteinte des yeux et des oreilles de nos parents.

Nous avons alors instauré un petit jeu basé sur un système donnant-donnant, ou chacun accordait une faveur à l’autre avant que l’autre lui accorde la même faveur à son tour. Comme j’étais le plus vieux, je décidai que c’est moi exécuterais nos défis en premier. Je pensais en moi-même que cela me permettrait de refuser de faire quelque chose contre mon gré, simplement, si je ne faisais pas quelque chose, elle serait également dispensé de le faire. En revanche, si je m’exécutais, cela l’obligerait par une sorte d’obligation morale à le faire à son tour. Inutile de préciser que j’attendais le début du jeu avec impatience.

« Bon, je vais te montrer mon slip, et après tu me montreras ta culotte.

-        D’accord, vas-y le premier. »

Je baissais mon short pour lui montrer mon slip. C’étais un simple slip de coton blanc avec une poche devant, comme je pense pas mal de garçon de mon âge en portaient à l’époque. Cela sembla amuser B… qui apparemment découvrait le slip à poche.

Je me rhabillai et elle baissa à son tour ce qui s’avérait bien être un short. Elle portait en dessous une culotte blanche un peu bouffante, mais serrée par des élastiques à la taille et aux jambes, avec des petits motifs bleus en forme de fleur. J’avais déjà vu par hasard ma grande sœur en culotte, mais la vision de cette fille qui se montait ainsi volontairement à moi me procurait une sensation très différente et très agréable. B… semblait elle aussi troublée, et elle proposa alors que nous montrions nos derrières respectifs.

Je lui montrai donc mes fesses qu’elle examina attentivement, puis elle me montra les siennes qui étaient très jolies, toutes rondes et un peu creusées sur les côtés (elle était très mince, presque maigre) B… me dit alors :

« Je reviens, j’ai envie de faire pipi.

-        Non attends, on continue un peu. Si tu attends, je te montre mon zizi »

B… ne put résister à ma proposition

« D’’accord, mais vite alors, j’ai fort envie »

Je me retrouvai donc debout avec mon short et mon slip, et elle accroupie devant moi, regardant mes modestes attributs avec une curiosité amusée. Après quoi, je lui demandai de respecter le contrat ce qu’elle fit. Je contemplai le spectacle avec émotion car c’est la première fois que je voyais une telle chose d’aussi près et aussi longtemps. Je savais que les filles avaient une fente à la place du sexe, mais j’étais étonné de découvrir cette légère protubérance qui ornait le bas de son pubis.

« Et si je te laisse toucher mon zizi, je pourrai toucher ta pépette ? »(c’était le terme consacré chez les enfants pour le sexe féminin)

B… acquiesça.

Je me déshabille de nouveau et voila ma complice qui prend ma petite chose entre ses doigts, la soulève, touche mes petites noisettes, reprend mon zizi et tire peu dessus.

« Eh doucement, tu vas me faire mal ! Bon à moi maintenant »

B… s’exécute et je touche du bout des doigts son petit sexe. Là encore, je suis surpris par le contact à la fois ferme et moelleux de son petit mont. Apparemment, le contact de mes doigts n’arrange pas son envie et elle ne reste pas une seconde les jambes immobiles.

Il me vint une idée en tête. Je commençais moi aussi à avoir envie de faire pipi. Depuis tout petit, il m’arrivait assez souvent, pour une raison que j’ignore, de laisser échapper par inadvertance un tout petit jet de pipi dans la journée et je me retrouvais alors avec une petite tâche humide sur le devant de mon slip, que ma mère me reprochait régulièrement.

« Maintenant je vais faire un jet de pipi dans mon slip, après tu devras faire pareil.

-        Mais on va pas faire pipi dans notre culotte, on est trop grand, et puis nos parents vont nous disputer.

-        Mais non regarde, juste un petit jet, juste pour faire un tout petit rond de pipi dans ta culotte, je parie que t’es pas cap.

-        Si je suis cap, mais fais-le d’abord »

Je baisse mon short et m’assieds dans la pelouse devant elle, les jambes écartées. Je relâche un peu la pression, et dès que je sens que ça va sortir, je me retiens brusquement. La contraction a pour effet d’expulser un peu de pipi qui était « dans les tuyaux » et je vois une petite tâche de pipi apparaître en une fraction de seconde sur le devant de mon slip.

B… est réticente, mais une promesse est une promesse. Alors, elle enlève son short et s’assied à son tour en culotte devant moi, les jambes écartées, les pieds joints et les genoux relevés. Les coudes appuyés sur ses genoux, elle tend sa culotte vers le haut pour que celle-ci soit collée à sa fente et que même une toute petite giclée laisse une tâche visible (condition nécessaire pour que le défi soit relevé). Malgré tout, je pense qu’elle redoute la catastrophe car au début, elle n’arrive pas à aller à l’encontre du réflexe naturel qui la fait se retenir. Puis, sous mes encouragements, une tâche apparaît. Mais sa culotte étant plus fine que mon slip, la tâche apparaît plus brusquement et s’étant moins que sur mon slip. En revanche, deux ou trois gouttes la transperce et ruissellent rapidement jusqu’au sol, laissant même une légère traînée sur sa culotte jusqu’à ses fesses.

A cette vision, je sens une grande chaleur m’envahir, sous le coup de la culpabilité de ce que bnous sommes en train de faire et de l’excitation de cette situation que je n’aurais pu imaginer quelques heures plus tôt.

« Maintenant j’ai vraiment trop envie, il faut vraiment que j’y aille.

-        Moi aussi j’ai envie, on n’a qu’à faire ici.

-        Ah non ! Moi je vais aux cabinets !

-        Non attends. On va faire comme si tu était ma maman. Moi je serais un petit garçon et je te dis que j’ai envie et tu me fais faire pipi, et après, on fera le contraire.

-        Non, je veux aller aux cabinets.

-        Si tu ne veux pas, je raconte ce qu’on a fait à ta mère et je dis que c’est toi qui a eu l’idée.

Sans imaginer que jamais je n’oserais faire une pareille chose, B… cède à mon chantage.

Je lui explique alors comment les mamans font avec les petits garçons. Elle se met derrière moi et prend mon zizi dans la poche de mon slip (nous n’avions pas remis nos shorts) Je lui dit d’aller doucement pour ne pas me faire mal. Bien sûr c’est une première pour elle et ce n’est pas facile de tirer suffisamment pour bien dégager la chose tout en la décalottant et sans la serrer pour que le pipi puisse sortir. Quand je sens qu’elle n’arrivera pas à mieux faire et que je suis quand même sur de ne pas faire dans mon slip, je me relâche. La soulagement du relâchement, le bruit du jet dans la pelouse et le contact de ces mains qui me tiennent ma procure une sensation extraordinaire et je sens une fois de plus une grande chaleur me monter à la tête. Une fois fini, je lui explique qu’il faut la secouer pour faire tomber les dernières gouttes avant de la ranger.

De son côté, B… ne tient plus en place. De me voir pisser ainsi a du aviver son envie. L’imp ériosité de son envie semble avoir balayé ses appréhensions. Apparemment, ce qui compte désormais pour elle, c’est de pouvoir se soulager au plus vite. Elle m’explique que sa maman la prenait par derrière avec les mains sous ses genoux et la tenait en l’air pendant qu’elle faisait pipi. Mais comme je suis trop petit, cela semble irréalisable.

« Eh ben t’as qu’à baisser ma culotte et moi je m’accroupis.

-        Ah non, c’est pas juste, toi tu m’as tenu le zizi pendant que je faisais pipi

-        Alors on fait comme à la mer en maillote de bain.

-        Ah bon ? tu fais comment ?

-        Eh ben tu écarte ma culotte et tu la tiens pendant que je fais pipi

Elle se met debout et écarte les jambes en pliant légèrement les genoux. Moi, je me mets devant elle mais un peu de côté, car je n’ai aucune idée de quel côté cela va partir (en fait je crois alors que son jet va partir loin en avant comme celui d’un garçon) Je glisse un doigt dans sa jambe de culotte et l’écarte sur le côté.

« Mais non, écarte plus bas sinon je vais faire pipi dedans »

Je m’exécute et je vois alors son jet jaillir avec ravissement. Ce qui me surprend le plus est que ça ne parte pas plus vers l’avant mais sous elle, et surtout ce bruit, ce sifflement caractéristique que je n’oublierai jamais. Je regarde et j’écoute pendant un temps qui me semble interminable, mais qui en réalité ne doit représenter que quelques secondes car le jet continuait à couler sans perte de régime.

Il me vient alors une idée dont je me demande encore comment elle a germé dans mon esprit. Alors qu’elle ne s’y attend pas, je relâche sa culotte qui reprend sa place initiale. J’entends alors un petit cri de protestation et de surprise sous forme d’une brusque inspiration, mais je ne vois pas la tête qu’elle fait car je regarde sa culotte. Sous l’emprise de soon envie longuement réfrénée et de la surprise, elle ne peut s’arrêter immédiatement (à vrai dire, j’ignore si elle a réussi à se retenir ou si elle a arrêté parce qu’elle avait fini) Toujours est-il qu’elle a fait pipi encore quelques secondes après que j’ai lâché sa culotte. J’ai donc pu voir celle-ci se tremper rapidement et un filet de pipi couler entre ses jambes, ainsi qu’une coulée à l’intérieur d’une de ses cuisses. Je pensai immédiatement que sa culotte un peu bouffante avait du retenir un poche de pipi à l’intérieur (ce qui se confirma par la suite) car le filet de pipi, puis de grosses gouttes très rapprochées ont continué à couler après que le chuintement du jet sortant de la fente se soit arrêté. J’étais littéralement fasciné par le spectacle et en même temps me sentais coupable du sale tour que je venais de jouer à ma compagne de jeu.

« Tu l’as fait exprès ! Tu fais exprès !

-        C’est pas vrai, C’est mon doigt qui a  glissé !

-        C’est même pas vrai, tu l’a fait exprès ! Je vais le dire à ma mère ! »

Elle pleurait à chaudes larmes, pensant sans doute au dilemme qui se posait à elle : avouer à sa mère et devant mes parents qu’elle avait fait pipi dans sa culotte à son âge, ce qui était honteux, ou avouer les circonstances de cet accident ce qui l’était pratiquement plus. Je commençais à redescendre sur terre et me rendis compte de la situation. J’espérais qu’elle allait opter pour la première solution, celle qui ne me mettait pas en cause.

«  Tu n’as qu’à remettre ton short et en rentrant tu vas directement dans ta chambre mettre une autre culotte, et celle là tu la cache le temps qu’elle sèche »

Toujours en sanglotant et disant qu’elle ne me causait plus, et sous le coup de ce qui venait de se passer, elle écouta malgré tout mon conseil, ramassa son short et l’enfila. Malheureusement, quand elle remonta, celui-ci pressa sa culotte trempée et le pipi qui était resté dedans fit une grosse tâche humide sur le fond de son short, ce qu’elle ne vit pas. Moi, je n’osai rien lui dire, espérant que les parents ne verrait rien avant que je sois rentré chez moi.

Nous arrivons donc dans la maison, tous deux la tête basse et traversons le séjour où sont nos parents en direction de la chambre de B… lorsque nous entendons nos parents derrière nous.

« Ah, voila les enfants, on va pouvoir y aller.

-        Vous avez le temps, vous savez … B…, B... viens voir un peu ici. C’est pas que tu as fait pipi quand même ? »

C’est la mère de B… qui parlait ici sur le ton de la plaisanterie. Elle s’approche de nous et glisse sa main sur le devant entre le short et la culotte de B… Son visage change alors d’expression et  stupéfaction on peut y lire la stupéfaction. B… se remets à sangloter, confirmant les soupçons de sa mère qui sent ses doigts et baisse le short et la culotte de sa fille pour y découvrir les dégâts.

« Alors ça c’est le bouquet ! A ton âge tu peux pas te retenir ou aller aux toilettes ! C’est tes copines qui rigoleraient bien si elles savaient ça ! Et L… (c’est moi) et ses parents, qu’est-ce qu’ils vont penser ? Que tu fais encore dans ta culotte à ton âge ? De toutes façons, ils peuvent le penser puisque c’est le cas ! »

B… pleurait de plus belle et moi je n’en menait pas large et n’arrivait plus à parler entre deux sanglots de honte :

« On jouait … et … et … on était en train de jouer … et … »

Je me lançai alors :

« On jouait à cache-cache et je lui ai fait peur, c’est pour ça » tentai-je d’une voix blâfarde.

« Bon viens avec moi te changer, mais c’est honteux à ton âge de ne pas savoir se retenir. Et quand on a des invités. J’espère que tu as honte au moins ! »

En fait, je pense que c’est autant la mère qui avait honte que sa fille si bien élévée puisse connaître un tel accident devant ses invités.

Les affaires en son restées là ce jour-là, et B… et moi n’avons plus parlé de cet épisode durant les semaines et les mois qui suivirent. Puis nous nous sommes perdus de vue.

Nous nous sommes revus quelques années plus tard lors d’un mariage alors que nous avions 18 ans. Nous n’en n’avons pas reparlé, mais à un moment, me rendant aux toilettes, alors que très fortuitement elle s’y rendait aussi, avant d’entrer du côté des femmes, sans que je lui demande rien, elle m’indiqua le font du couloir en disant : « Les hommes, c’est là-bas » avec un sourire que j’interprétai comme moqueur, mais j’imagine sans doute trop.

En tout cas ce souvenir est toujours très présent en mois et je souviens précisément de nombreux détails de ces instants que j’ai vécu intensément.

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