31 mars 2012
"Libre service mixte" par Martine...
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30 mars 2012
"Un GPS spécial pipi pour STRASBOURG..." par Thierry...
"Insolite : un Strasbourgeois publie sur le Net les ruelles « où uriner avec un minimum d'intimité »
A se faire dessus de rire ? Pas sûr. Florian Rivière propose depuis lundi de télécharger, via le site maps.google.fr, « Rue Pipi, une cartographie des ruelles du centre-ville strasbourgeois propices à uriner avec un minimum d'intimité de jour comme de nuit ». La liste, qui est amenée à évoluer, propose déjà vingt artères, dont l'impasse de la Bière et la rue du Savon. « Elles sont toutes connues pour ça, explique Florian. J'ai fait le tour à vélo pour les vérifier et en repérer d'autres. » Signée Institut géographique pirate, un organisme de son invention, la carte est d'abord une démarche artistique. « C'est un acte de piraterie de l'espace urbain et de détournement d'un objet, une carte, à une fin insolite, précise celui qui anime par ailleurs Démocratie créative, un collectif de promotion du street art. En outre, s'il ne s'agit pas d'encourager les gens à faire pipi dans la rue, même si chacun d'entre nous l'a déjà fait, c'est une façon de parler d'un vrai phénomène urbain. »
Un besoin pressant de solutions
Plus qu'un phénomène, « un énorme problème. Tous les matins, j'appelle les services de la CUS pour qu'ils viennent nettoyer », témoigne Isabelle, la gérante du salon Coiff1rst, rue Frédéric-Piton, à côté de la place Kléber. « Les gens ne connaissent pas tous le nom de ma rue, alors ils disent que c'est celle qui sent la pisse. L'été, avec la chaleur, c'est dur, déplore-t-elle. Il nous est arrivé d'arroser ceux que l'on a vu uriner. Je ne sais plus quoi faire. »
Le problème, estime Florian Rivière, résulte « d'un manque de toilettes publiques, notamment la nuit. Il faut en ouvrir 24 h/24. » Pour Olivier Bitz, l'adjoint au maire (PS) à la sécurité, le souci est plus lié à une question d'attitude que d'infrastructures. « Ce phénomène, qui touche toutes les grandes villes, nous le condamnons. Il est d'ailleurs sanctionné, depuis un arrêté municipal de 1869, par une amende de catégorie 1, soit 35 €. La police dresse quelques verbalisations chaque année, mais il est difficile de prendre les gens sur le fait. C'est à eux de prendre leurs précautions avant de quitter un endroit. »
Estimant que la carte « Rue pipi » est un « encouragement » à la pratique, Olivier Bitz va prendre des mesures pour faire cesser sa diffusion sur le Web."
Source : http://www.20minutes.fr/article/862572/cartographie-rues-pipi
30 mars 2012
"Une de mes plus grande honte à l'école" par Florence...
C'est une mésaventure qui m'est arrivée voici plus de vingt-cinq ans mais je m'en souviendrai toute ma vie je crois ! D'abord c'est une des fois où j'ai eu la plus forte envie de pisser je crois, et ensuite parce que à dix-huit ans, j'ai vraiment eu honte ! Heureusement un mois après je quittais cette école ! J'étais donc en dernière année de mes études secondaires. J'étais dans une option secrétariat et on avait encore à l'époque des cours de dactylo. On avait pour professeur une femme en fin de carrière, elle approchait la soixantaine, pas vraiment méchante ni embêtante, mais elle ne supportait pas qu'on entre une fois le cours débuté, et on ne pouvait quitter la salle. Mais si on avait deux heures en suivant, elle nous donnait toujours cinq minutes de pause entre et on pouvait sortir... Je fêtais mes dix-huit ans ce jour et sur l'heure de pause de midi, j'étais sortie en ville manger ma tartine. Des copains et copines m'avaient bien entendu payé un verre... et j'ai d'abord fait la bêtise de boire trois bières... ensuite je n'avais pas vu le temps passer, et quand j'ai regardé ma montre, j'ai vite détallé avec une copine et un garçon et on a fait une course folle jusqu'à l'école sans aller aux toilettes... On est arrivé pile poil à l'heure, les élèves rentraient déjà dans la salle, vite empoigner nos affaires et j'entends encore la professeur dire : "et la dernière ferme la porte mesdemoiselles !" Et étant bonne dernière, je ferme la porte. Je me mets à ma place, la prof nous donne le travail, et tout le monde se met au travail dans un crépitement continu de machine à écrire... Au début, tout va bien, mais après dix-quinze minutes, je commence à avoir envie de pisser... je me concentre sur mon travail pour ne pas y penser, mais l'envie revient très vite ! Encore une demi-heure avant de pouvoir sortir, ça commencait à devenir dur... je serrais mes jambes, les croisais, mettait un pied sur l'autre, bref toutes les techniques de la fille qui a envie et doit se retenir à tout prix... Je sentais mon ventre comme gonflé, se durcir, j'avais de plus en plus envie... je regardais ma copine de sortie, et je constatait qu'elle dansait doucement sur sa chaise, croisait ses jambes, les décroisaient, bref, elle était dans une situtation identique à moi... je commencais à avoir du mal à me concentrer sur mon travail tellement je devais faire... ma copine par moment tapait à un doigt et mettait sa main entre ses jambes pour serrer son minou pour aider à se retenir elle aussi... encore dix minutes à tenir... j'avais un jean, j'avais l'impression que mon ventre était gonflé, alors pour avoir moins mal, je déserre ma ceinture et ouvre l'agrafe... ça va un peu mieux sur le coup, mais au bout d'une minute ou deux, c'est la même chose ! Comme j'avais envie de faire pipi, et tout de suite ! J'étais prête à tout pour pouvoir sortir de la salle ! Ma copine avait maintenant mis carrément sa main sous sa jupe pour pouvoir mieux pincer son sexe et fermer au mieux son trou... quand au garçon, il sautillait sur sa chaise lui aussi... on était à trois dans la même situation... Il restait cinq petites minutes je crois quand je vois le garçon regarder dans son sac et sortir une petite boîte de plastique genre Tupperware. Tiens que veux-t-il ? Puis je le vois ouvrir sa boîte, la mettre discrètement sous son entrejambe, baisser sa tirette, gliser sa main dans l'ouverture, non c'est pas vrai je dis en moi même ! et oui, il sort son sexe, et immédiatement un petit fond de liquide très clair remplit sa boîte ! Sentant qu'il n'en pouvait plus, il faisait pipi discrètement dans une boîte pour ne pas faire à sa culotte... et le niveau montait, montait... c'est pas vrai, et moi qui ne peut en faire autant... je sentais que ça voulait sortir à toute fin, je sentais que ça commencait comme à descnedre dans la tuyauterie, mais je parvenais je ne sais comment à stopper la descente, mais en voyant son visage comme s'éclairer de joie pendant qu'il se soulageait, ça a été trop fort, un peitit jet est sorti... j'ai pincé mon ninou, serré mes jambes le plus fort que je pouvais, ouf j'ai pu arrêter net de pisser dans ma culotte ! Mais je sentais le fond de mon slip humide, et l'entrejambe de mon jeans aussi moite... Heureusement rien sur ma chaise ! Les tissus avaient suffit à absorber ! La sonnette retentit enfin, j'étais debout la première, et la prof n'avait pas fini de dire on prend cinq minutes les enfants que j'ouvrais déjà la porte ! J'ai cavalé comme une folle à travers les couloirs pour arriver première aux toilettes et en avoir une de libre... Ma copine me suivait, et toutes les deux on courrait avec notre main à l'entrejambe, en murmurant "ouuuuiiiiieeee... ooouuuiiiiiieeeee... ça preeeesssssseeeeee... viiiiiite..." J'étais presque arrivée, que je sens que ça commence un peu à couler dans mes vêtements... Je n'avais pas su tenir jusqu'au bout ! Enfin on y arrive, les deux toilettes étaient heureusement libres, on s'est engouffrées chacune dans une, on n'a même pas pris le temps de bien fermer la porte, je tentais de baisser mon pantalon et mon slip d'une main tout en gardant l'autre sur mon sexe pour faire le moins possible pipi, enfin j'y arrive, et je me laisse tomber sur le siège et je peux enfin laisser couler à mon aise ! Mon calvaire est enfin terminé ! Je réalise seulement à ce moment que je n'ai pas fermé complètement la porte et la verrouille... J'entends que ma copine fait aussi la même chose... j'entendais que ça sifflait bruyamment tellement elle avait de la pression... moi mon jet tombait avec un bruit énorme dans l'eau de la cuvette... Je devais tellement faire que je m'étais assise sur la planche, chose que je ne faisais jamais auparavant ! Ca va Florence me demande t-elle ? Tu parles, jamais eu autant envie de pisser qu'aujourd'hui je lui répond ! J'ai pensé faire en classe elle me répond ! Je ne pensais palus y arriver... Moi aussi je lui dit tout en continuant à pisser de plus belle ! J'en suis même arrivé à ma faire un peu dessus ! Tu parles d'un anniversaire ! Crains rien, je suis ausi toute mouillée elle me dit... Tout à une fin, et je constate la situation : mon protège-slip était saturé, bon pour la poubelle... le fond de ma culotte mouillé, j'ai éssuyé tout ce que j'ai pu avec du papier... mon entrejambe de pantalon mouillé, et un petit filet humide d'une dizaine de centimètres à l'intérieur des jambes à l'entrecuisse du pantalon. Ma toison toute trempée, mes poils avec des gouttes qui perlaient - dans les années quatre vingt, on ne s'épilaient pas encore beaucoup le sexe les filles ! - J'ai utilisé pas mal de papier, et j'entendais ma copine qui déroulait le rouleau aussi à tout va ! Enfin on sort, miraculeusement personne devant les portes, pas trop de témoins, c'était déjà ça ! Moi ça ne se voyait pas beaucoup, il fallait le savoir que j'avais pissé à ma culotte, mais ma copine, malheureusement ce n'était pas le cas ! Elle avait bien une jupe, mais sentant l'accident commencer dans la course vers la toilette, elle avait aussi vite mis sa main à son sexe, mais malheureusement elle avait collé sa jupe contre son sexe, et comme son pipi avait transpercé son slip, c'est le tissu de sa jupe qui avait continué à absorber... Elle avait une jupe genre jupe volante en coton gris clair, alors ça se voyait bien une rondelle humide devant au niveau du sexe, surtout de la taille d'un ballon de foot... On est retournées à deux en classe pas du tout fières, elle me collait au cul et on s'est vite assise à notre place toute rouge de honte... Miraculeusement personne n'a rien dit, n'ayant rien remarqué ! A la fin du cours, mon pantalon était presque sec et la jupe de ma copine quasi sèche aussi, on ne voyait plus rien pour quelqu'un qui ne savait pas... Encore un détail : ma copine m'a dit dehors de la toilette qu'elle avait retiré sa culotte tellement elle était trempée et qu'elle avait essuyé sa toison et son entrejambe avec la taille qui était encore sèche, puis avait jeté son slip à la poubelle.
Voilà une de mes pires situations vécues dans ma vie. Si vous avez aimé, faites le savoir pour peut-être vous en raconter l'une ou l'autre encore.
Voilà une de mes pires situations vécues dans ma vie. Si vous avez aimé, faites le savoir pour peut-être vous en raconter l'une ou l'autre encore.
Quand au garçon, j'ai su après les cours que sa boîte ne lui avait pas suffit, mais qu'il n'avait rien fait à sa culotte. Il a été vider sa boîte à l'intercours et a fini son pipi à la toilette...
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