Femme mûre et PPH ont mis en place un système d'écriture appelé "cadavre exquis" et dont voici la définition.
"Jeu qui consiste à faire composer une phrase, ou un dessin, par plusieurs personnes sans qu'aucune d'elles puisse tenir compte de la collaboration ou des collaborations précédentes".
L'exemple devenu classique, qui a donné son nom au jeu, tient dans la première phrase obtenue de cette manière : "Le cadavre - exquis - boira - le vin - nouveau".
Voici la première partie d'un texte, débuté par Femme mûre.
C'était le mauvais gamin, le petit vagabond, le"bad boy"comme nous disons, et bien sûr, il faisait encore une fois l'école buissonière cet après-midi...
En vadrouille dans la campagne automnale, il voit une femme bien mise en vélo faire halte, regarder autour d'elle, et entrer dans les buissons qui entourent la petite chapelle... Il se hâte d'aller vers cet endroit, et entre à son tour furtivement dans les frondaisons... Il trouve d'abord le vélo, puis entend des petits soupirs doublés d' un petit sifflement mélodieux... Il aperçoit alors la dame cachée derrière une haie, accroupie, jupe autour de sa taille, panty et culotte immaculée à ses genoux, occupée à effectuer une immense vidange.
Un jet puissant bien clair sortait en force entre ses jambes écartées et une véritable cascade tombait sur le sol, et à la vue du petit lac déjà formé, son besoin de se soulager devait être immense.... La voyant, il commence à rire bruyamment et à la mépriser... Surprise, la dame sursaute un peu, essaie d'endiguer son torrent de pipi, mais son besoin était tel qu'elle fut incapable d'arrêter et obligée de finir sa vidange sous ses yeux moqueurs... Elle lui a bien demandé de détourner ses yeux, mais rien n'y fit... Tout honteuse, elle se relève, lui offrant le spectacle d'un minou parfaitement coiffé et remonte vite sa culotte de dentelle blanche et ses pantys... Rabaissant ensuite sa jupe et défroissant le tissu...
Elle quitte vite l'endroit du délit sous ses rires et sarcasmes de mauvais garçon....
C'est alors qu'une chose extraordinaire se produisit : Ondine, la bonne fée qui protège les dames devant se soulager dans la nature, apparut subitement, sortie de nulle part, et dans une immense luminosité l'éblouissant, lui dit sur un ton sévère : "Mauvais garnement, tu vas arrêter de taquiner ainsi les dames ? Tu ne t'es déjà pas assez moqué de tes petites camarades contraintes de devoir faire à leur culotte sur leur chaise quand un méchant professeur les empêche de sortir de classe pour assouvir un besoin urgent ? Tu vas voir ce qu'est la vie d'une fille et tu m'en diras des nouvelles !"
Ce discours le fait non seulement rire, mais il nargue Ondine en lui disant : "Essaie toujours, espèce de sorcière ! "C'est alors que l'effleurant de sa baguette magique, en un éclair, le sale gamin se trouva changé en fille.... La fée Ondine disparut aussitôt; et se frottant les yeux, se pinçant pour voir s'il ne faisait pas un mauvais rêve, il réalise qu'il a été transformé en une fille et habillé en fille.... Relevant sa jupe, il voit dessous une jolie petite culotte à fleurs, et la baissant, plus de petit oiseau qui faisait sa fierté en pouvant uriner très loin devant lui et la risée de ses copines dans leur échec à ce "sport", mais une jolie petite touffe de poils naissante et une simple fente avec un petit trou à pipi....
Tout penaud, il (elle bien malgré elle !) doit se résoudre à sortir des buissons et reprendre le chemin du village pour une nouvelle expérience de vie...
Deuxième partie, rédigée par PPH
Tout en courant il pensait : "Mais je ne vais pas pouvoir rentrer chez moi sous cet aspect !"
Et puis quel aspect avait-il, avait-elle, déjà une certaine confusion s'exprimait dans ses phrases, déjà apaisées.
Il lui tardait de se voir dans un miroir et l'occasion allait se présenter puisque la première maison du village vers lequel il se dirigeait en était pourvue, normal pour un marchand de vêtements.
- "Oh , je suis mignonne en plus" fut sa première impression face à son double. L'apercevant derrière son comptoir au travers de la vitre, la commerçante sortit et lui demanda :
- "Bonjour, que veux-tu ma petite ?"
C'est alors qu'il/elle reconnu le vélo, appuyé sur le mur, dont la propriétaire venait de subir, il y a encore quelques minutes, ses moqueries les plus déplacées. Elle sortait du magasin en remerciant une vendeuse.
- "Bonjour mon petit, tu es très jolie ainsi vétue !"
- "Heuuu, bonjour Madame, merci !"
Surpris du compliment, il/elle eut une vive émotion inattendue et sans prévenir, une chaude sensation naquit au fond de sa petite culotte à fleurs...
La suite, par Femme mûre
Son entrejambe devenait toute chaude, elle sentait une sensation de douce moiteur au niveau de son petit minou, une sensation de douceur et de bien-être indescriptible qu'elle n'avait jamais connue, elle ne comprenait pas ce qu'il arrivait, elle ne réalisait pas encore qu'elle faisait doucement pipi à sa culotte, elle était comme dans un rêve, le fond de sa petite culotte à fleurs était maintenant saturé et une goutte perlait et commencait sa descente le long de sa cuisse gauche, quand, soudain, la voix de la commerçante la réveilla brusquement de ses pensées...
Partie 4 : PPH
"Oh ! regardez, elle fait pipi entre ses jambes !"
La commerçante s'adressait à la rue remplie de personnes circulant sur le trottoir qui finirent par faire un attroupement.
Après les premières gouttes, c'est un filet plus garni qui longea le long des deux cuisses cette fois, puis la cadence augmentait, une étincelante mare naissait au milieu des deux souliers et ondulait au gré des irrégularités du bitume.
Personne ne se moquait, au contraire, une certaine bienveillance émergeait des passants, hommes et femmes confondus, elle remarqua même des enfants qui ne riaient pas, des garçons, en plus...
Ne sachant que faire, prise entre l'envie de pleurer et fascinée par cette sensation étrange, elle baissa sa culotte inondée et fut surprise de s'accroupir, comme si ce mouvement gracieux fut inné !
Soudain tout disparut ! Il se retrouva en garçon, tout seul, à l'endroit où il avait surpris la femme au moment où elle descendait de son vélo...
La fée Ondine réapparut et lui dit : "Maintenant c'est ta seconde chance..."
Partie 5 : Femme mûre
et dans un bruit de grand vent, Ondine disparut aussitôt...
Notre petit se demandait ce qui lui arrivait... Après un bon moment, tout se remit en place dans son esprit... Il pensa alors à son comportement peu élogieux vis-à-vis des femmes, d'abord cette charmante dame qu'il a invectivée alors qu'elle soulageait un besoin bien naturel, ensuite la petite Emilie, sa voisine de classe si gentille, mais son souffre douleur parce qu'elle a du mal à tenir son pipi, sa grande soeur qui a été la risée de tout le monde quand on a su qu'elle avait fait pipi à sa culotte le jour de sa communion en sortant de l'église, et même sa maman qui a été "sermonée" quand son papa a appris la scène dont son fils avait été témoin en ville :
Partie 6 : PPH
Mais ses évasions en pensée furent aussitôt perturbées par son petit retour dans le temps, toujours caché dans un buisson il vit arriver à nouveau la femme dont il s'était moqué tout à l'heure !
Il ne savait que faire, se cacher, courir le plus loin possible, il fallait qu'il prenne une décision puisque la femme s'approchait de lui, sans le remarquer, posait son vélo contre un arbre, portait ses mains sous sa jupe et...
Partie 7 : Femme mûre
la relevait prestement, s'accroupir et l'apercevant alors lui dire : tu ne voudrais pas m'aider ? J'ai tellement besoin de faire pipi... C'est alors que , se souvenant d'Ondine, il murmura doucement : je ne sais pas comment madame, je ne sais comment fait une femme pour faire pipi !
Mon pauvre, lui répondit la dame, regarde bien, je vais te montrer ce que ta maman aurait dû t'enseigner ! Tu vois, j'ai relevé ma jupe autour de ma taille, mon vêtement de dessous s'appelle un panty, ce sont des bas avec une sorte de culotte au sommet, et sous mon panty je porte une petite culotte, je vais les baisser ensemble à mes genoux...
Tu vois, je n'ai pas de petit oiseau comme un homme, comme toi, juste un joli duvet, on dit "les poils pubiens", mais plus intimement on dit le "minou" d'une dame, et regarde, sous mon minou, il y a une fente avec un petit trou, c'est notre trou à pipi, c'est lui qui nous permet de faire pipi... Je vais m'accroupir et écarter mes jambes pour que tu puisses bien observer, et, joignant le geste à la parole, elle se mit en position puis
Partie 8 : PPH
après une courte attente un trait légèrement oblique prit sa source au bas du ventre de la belle accroupie, il lui semblait que ce jet sifflant avait du mal à trouver une direction stable, parfois même, il se divisait en deux, et ces deux jets ne tombaient pas ensemble, au point que de disparates gouttelettes non apprivoisées arrosaient tantôt le sol, tantôt les cuisses, comme s' il fut impossible de le rendre docile !
Il se surprit à se retrouver à genoux, tremblant d'émotion, car, tout compte fait, il venait de s' apercevoir, que la manoeuvre demandait technique et habileté, et que le hasard jouait un rôle important quant au devenir de l'envie expulsée avec autant de grâce que de maladresse !
Une immense marée sinueuse et étincelante s'avançait vers lui, et les interminables jets lui rappelaient les magnifiques jeux d'eau qu'il avait admiré en visitant la place royale, bredouillant il lui parut salvateur de faire un commentaire :
"Madame, je crois que je n'ai jamais rien vu d'aussi beau, je me sens tout bête face à vous !"
Pour le rassurer elle lui dit :
Partie 9 : Femme mûre
Mais non, tu n'es pas idiot petit homme ! Ta maman ne t'a pas appris les choses de la vie ?
- "Non Madame, je n'ai plus de maman... et ma belle-mère ne m'aime pas beaucoup..."
- "Oh pardon", répond la dame en remettant ses vêtements en place...
"Alors tu sais, maintenant, et je vais encore te dire quelque chose qu'un homme galant doit savoir : Il faut toujours aider une dame devant assouvir un besoin naturel quand elle n'a pas de toilette à sa disposition... tu as vu, c'est parfois difficile de s'accroupir et de bien "viser" en même temps... alors quand un homme peut nous aider en nous faisant comme un petit siège avec ses mains, on apprécie encore plus... Tu te mets derrière la dame, tu lui relèves sa jupe ou lui baisse son pantalon, puis tu lui descends sa petite culotte et ensuite pendant qu'elle fléchit ses jambes, tu la soutiens avec tes mains grandes ouvertes sous ses cuisses et lui dis de commencer son pipi... Tu peux aussi faire avec ton corps un écran qui protège la dame des yeux de personnes malveillantes..."
Partie 10 : PPH
La femme reprit son vélo, et après avoir posé délicatement sa main dans les cheveux du garçon en signe d' au revoir, elle grimpa sur sa bicyclette et s'éloigna lentement !
Beaucoup de choses trottaient dans sa tête, il avait le désir de changer, d'en finir avec son côté gamin rebelle, il regarda une dernière fois cette gigantesque flaque que la terre aspirait goulûment...
Mais une question cruciale se posait : il n'osait pas se l'avouer, mais il commençait à regretter le temps où il était une fille, à bien réfléchir, était-ce vraiment une punition ?
- "Ho ho ! Madame la fée, je voudrais vous parler... S'il vous plait !"
(Il y avait bien longtemps qu'il n'avait pas dit s'il vous plait !)
Froufff ! Elle se manifesta aussitôt !
Elle coupa court à sa demande à venir et lui dit :
- "Je sais ce que tu voudrais redevenir un moment, mais il y a une condition et quand-même un risque :"
Partie 11 : Femme mûre
Tout d'abord si tu veux devenir fille, tu dois absolument une fois la transformation réalisée te consacrer durant ta vie à défendre la cause des femmes dans la vie de tous les jours en ce qui concerne un besoin naturel pour elle aussi, faire pipi, qui doit être un droit comme la liberté de pensée, et également veiller à l'éducation des hommes pour qu'ils respectent ce point de vue et ne rabaissent pas les femmes dans ces moments là ni ne les méprisent ou les raillent car tu deviendras légèrement énurétique et le risque c'est qu'au début ça aille bien, mais que par la suite, tu te sentes parfois un peu le moral dans les talons et que tu regrettes dans certaines circonstances ne plus pouvoir faire pipi si facilement comme quand tu étais du sexe opposé et sentir à ce moment un sentiment d'infériorité... Voilà, c'est à toi de vraiment décider, mais si tu le veux, je te ferai changer en femme comme tu le désires, mais avant, tu subiras encore une épreuve au moment que je jugerai oppportun et alors tu verras ce qui se passera quand tu ne t'y attendras pas du tout... Et la bonne fée ondine disparut de ses yeux en l'arrosant généreusement d'un joli pipi accompagné d'un chuintement des plus mélodieux qui le plongea dans l'extase un certain temps...
Et c'est après un assez long moment qu'il revint les pieds sur terre lorsqu'il entendit une voiture s'approcher, ralentir, s'arrêter, les portières s'ouvrir et vit en descendre...
Partie 12 : PPH
...Mais, oui, c'était bien elle, la fée Ondine mais habillée en "civil", comme tout le monde, et non plus avec sa grande robe lumineuse de l'autre monde...
- "Ha, c'est vous, j' ai failli ne pas vous reconnaître !"
- "Alors, petit homme surpris ?" Dit-elle en souriant, un de ces sourire comme seules les fées savent produire, une alliance du charme, de la gentillesse, et de la féminité !
- "Dites-moi Madame, vous ne seriez pas plus petite que tout à l'heure ?"
- "Hé-hé ! Lança-t-elle, je vois que tu es observateur, je me suis allégée, exprès afin que tu puisses m'aider à faire une envie très pressante, je veux voir comment tu vas te débrouiller, et si tu t'y prends bien, j'accéderai à ta requête !"
-"Venez , je vais vous choisir un petit endroit qui convienne mieux que ce bord de route agité !"
Il lui prit délicatement la main et la dirigea en direction d'une petite clairière tapissée d'une herbe tendre haute de vingt centimètres, il fit adroitement glisser sa petite culotte jusqu'à ses pieds, puis la souleva d'un coup habile, comme on fait avec les petites filles, là il s'arrangea pour que son délicat minou tout blond pose sur les brins d'herbe et il la banlança ainsi d'un mouvement lent d'avant en arrière...
Partie 13 : Femme mûre
Délicatement bercée au ras de l'herbe, elle commenca par émettre un petit filet de pipi, mais sous les caresses de brindilles d'herbes délicieusement humidifiées par sa petite source, son petit bourgeon d'amour vint à éclore lentement et le petit filet se transforma bientôt en torrent en crue, émettant à la sortie de ses parois rocheuses abruptes un grand bruit caractéristique d'une femme occupée à se vider en force... Ce doux bruit mélodieux, mêlé à la tendre brise qui agitait les frondaisons environnantes fut bientôt couvert par des soupirs de plus en plus prononcés : en effet sous l'effet de l'immense satisfaction de pouvoir faire pipi et de la douce caresse de l'herbe sur une de ses parties les plus délicates de son anatomie, la femme plongeait de plus en plus dans un état second, elle tentait bien au début de se contrôler, mais les sensations étaient si bonnes et voluptueuses que tout à coup, ne se maîtrisant plus, elle déchira le calme champêtre d'un grand cri et agrippa vigoureusement les chevilles de son chevalier servant...
Partie 14 : PPH
Puis il sortit d'entre ses jambes une substance translucide, nacrée, sous la forme d'une coulure généreuse, alors, imaginez un orgasme de fée en comparaison avec celui d'une femme !
Sous elle, des fleurs multicolores toutes plus splendides les unes que les autres se mirent à pousser promptement, un parterre parfumé envahit les lieux, une brise agitée saisit la flore toute entière et les nuages s'écartèrent afin de laisser passer les rayons lumineux qui éclairèrent l'endroit afin d'exhausser cette scène rare et subtile et fixer un temps une des plus belles images de partage des sens que la nature ait connue !
- "Ton examen est réussi avec mention excellent !" lui dit la fée, maintenant relevée. Le jeune garçon avait en poche un mouchoir tout neuf qu'il utilisa avec grande précaution afin d'essuyer une douce fissure épuisée de bonheur...
- "Garde ce précieux mouchoir après l'avoir replié quatre fois, quand tu désireras te transformer en fille, il te suffira de le serrer fermement de la main droite et de prononcer cette formule :
Partie 15 : Femme mûre
"Petit oiseau qui gazouille si délicatement devient gentil petit minou qui aime les tendres calins" et tu deviendras une jolie fille ! Mais attention, si tu ne respectes pas nos règles déontologiques féériques, ton chatiment sera terrible et à perpétuité ! Tu ne peux prononcer ces mots magiques dans un but de sale voyeurisme ni d'esprit sado-masochiste ! Uniquement pour aider des femmes en difficultés dans ces moments là ! Et Ondine disparut aussitôt emportée dans les nuées par une douce brise....
Bien des semaines passèrent sans que notre garnement n'ait l'occasion de réaliser son rêve féérique. Mais un jour, en se promenant en ville, il surprit à la sortie d'un magasin une mère qui disait à sa fille : "Maintenant nous rentrons à la maison" et sa fille de dire : "Maman, comme je dois faire pipi ! Je ne tiendrai pas jusque la maison" Et puis réalisant que le public pouvait entendre ses paroles elle chuchota à l'oreille de maman (mais grâce à Ondine il put tout entendre) "Maman, où je pourrais aller me cacher pour faire pipi ? J'ai tellement mal au ventre !". Sa mère reprit sèchement : "Tu n'y penses pas ma fille ! Tu n'es plus un bébé ! Une grande fille comme toi est capable de se retenir ! D'ailleurs, moi aussi j'ai une vessie prête à exploser, et je tiens ! Viens dans la voiture et je t'autorise à mettre tes mains entre tes jambes pour pincer ton trou à pipi dans l'auto, mais pas avant, ne te montres pas en spectacle !" Dépitée et les yeux pleins de larmes, la fille, serrant ses jambes très fort, dut se résoudre à suivre sa mère vers la voiture... Prenant son mouchoir en main et pronancant la formule magique, notre petit bonhomme devint sur le champ une jolie jeune femme et se trouva de suite à côté de la voiture de cette femme et de sa fille qui trépignait sur place pendant que sa mère ouvrait les portières... Prenant la parole, cette jolie personne dit à la mère :
Partie 16 : PPH
"Dites, sans vouloir vous obliger, pourquoi faire souffrir inutilement votre petit ventre, tout ça pour des conventions dépassées et un manque total de compréhension de votre corps ?"
Tout d'abord contrariée, la femme répondit : "Puisque vous êtes plus maligne que nous, que proposez-vous ?"
Là il/elle il ne s'y retrouvait plus, (même l'auteur a du mal ), embraya à la volée,
- "Allez vous soulager, je m'occupe de votre petite !"
La petite acquiesca aussitôt par un hochement vigoureux de sa tête et, pendant que sa mère s'éloigna, elle fut tendrement prise par la main et dirigée vers un petit arbre, une nouvelle impression gagna notre gamin transformé, il éprouva soudain une grande tendresse maternelle pour cette fillette et le trouble qu'il craignait ne vint pas, pris dans l'élan, il retrouva une gestuelle millénaire, celle qui consiste à décharger de toute contrainte d'équilibre les jeunes corps féminins encore maladroits, et de positionner à la perfection une adorable fissure afin qu'elle puisse sans retenue ni difficulté évacuer dans le confort une douce et chaude cascade dorée !
La maman, vit cette scène du derrière de la portière où elle observait cette procédure impeccable, elle en fut si impressionnée qu'un moment elle s'arrosa les chevilles,elle se dépêcha de finir, se releva et avec un sourire rayonnant de bonheur dit à la jeune fille :
Partie 17 : Femme mûre
La maman, ayant assisté à la scène tout en se soulageant elle aussi (et au plus profond d'elle même elle car était heureuse de ne plus avoir ce fardeau dans son bas ventre !) dit à notre demoiselle qui revenait à la voiture avec sa fille (elle aussi beaucoup plus légère après une fameuse vidange) :"Ma chère fille, comme j'ai admiré votre technique appliquée à mon enfant... J'ai vu tout l'art de faire profiter une dame en ces moments là... Croyez moi bien que je remercie le ciel de vous avoir mis sur mon chemin à ce moment, car je vais vous l'avouer, moi aussi je me sens mieux à présent, et j'ai pris du plaisir à aussi enfin faire pipi ! Vous savez, je ne suis pas si cruelle que cela, mais avant de vous rencontrer, j'avais vraiment peur de faire pipi dehors depuis deux petites mésaventures, car les hommes ne sont en général pas tendres avec les femmes dans ces moments-là ! Ils ne pensent qu'à leur petit confort ! Adolescente en revenant d'une soirée avec deux copines, je n'en pouvais plus, tout comme elles, on avait alors décidé de nous soulager dans un petit parc chacune à son tour... Pas de chance pour moi, j'ai fait pipi en dernier lieu, et en pleine action, une patrouille m'a surprise... Et en plus l'agent connaissait mon père... Mes deux copines avaient bien sûr disparues en un éclair, alors je me retrouvais seule, pantalon autour des chevilles, accroupie derrière un banc, avec une immense mare de pipi entre mes jambes (leur deux pipi et le mien, vous jugez de l'étendue des dégats !) Inutile de vous raconter le sermon, et le lendemain à mon réveil, un autre sermon du paternel prévenu par son ami...
Il lui avait même dit qu'il me faisait une grâce de m'épargner une amende pour cette fois pour dépôt de saleté sur la voie publique ! Ma mère également me reprocha d' être à mon âge insortable si je ne pouvais me retenir quand je devais faire pipi, et que j'étais pire qu'une petite fille de cinq ans !
Quelques années après, enceinte de mon enfant, j'ai été prise d'une terrible envie bloquée dans un embouteillage... N'y tenant vraiment plus, je suis sortie de voiture et j'ai vite été me soulager sur l'à côté de la route, mais incapable de m'accroupir complètement vu mon état, je me suis positionnée buste courbé vers le sol et arrière train bien en arrière, et jupe relevée à ma taille et petite culotte à mes genoux, j'ai émis durant une minute je crois les chutes du Niagara !
Pas très bien cachée, des amis de mon mari m'ont reconnue, et quelques jours après, un soir à la maison, j'ai eu droit à une fameuse scène !
Et il a même été raconté mon "exploit" lors d'une visite chez le gynéco pour encore plus m'humilier ! Alors vous comprenez mon attitude dans ces moments... les hommes peuvent être très cruels envers nous en ces circonstances... Mais dites-moi, où avez-vous appris cette technique particulière ? Et serait-ce beaucoup vous demander que de me l'enseigner ?
Partie 18 : PPH
- "Si je vous le disais, je pense que vous ne me croiriez pas !", (comment expliquer que deux heures auparavant elle était encore un garçon !) Et que son expérience se limitait en tout et pour tout à un gros pipi dans la rue et un essai provoqué par une fée : inracontable !
- "Je pense que c'est une histoire d'éducation des garçons, s'ils pouvaient vivre, ne serait-ce qu'une fois, les impressions générées par nos envies fréquentes, la moquerie cesserait aussitôt !"
La femme fut étonnée de ce raisonnement si réfléchi, surtout de la part d'une fille aussi jeune !
- "Et puis, en plus je dois secrêtement admettre que nous sommes également très jolies dans les rares positions qui nous permettent de nous "vidanger" plus ou moins confortablement, d'ailleurs, si on y réfléchit bien, on pourrait en inventer des tonnes !" Avoua la femme !
Cette intime et naturelle conversation, entre filles, si on peut dire, continuait de longues et passionnantes minutes, pendant lesquelles elles imaginèrent une quantité impressionnante de positions pour faire pipi, à faire pâlir de jalousie les auteurs du Kama Sutra !
Elles s'entendaient tellement bien sur le sujet pour des personnes qui ne se s'étaient jamais rencontrées auparavant, que l'envie irrésistible de mettre en pratique leur discussion fut proposée d'un accord commun :
La dame ainsi décomplexée après des années de frustration, proposa :
- "Si j'osais... Et puis j'ose ! Retrouvons nous ce soir à huit heures chez moi, je possède une très grande maison et un grand jardin, on pourra essayer quelques unes des idées que nous avons évoquées tantôt !"
Elle ajouta : "Mon mari est absent une semaine, nous serons tranquilles entre filles !"
Il y eut des petits rires complices, puis sur un papier elle griffonna un croquis expliquant clairement son adresse et le donna à notre jeune fille !
Elles se saluèrent avec un "A tout à l'heure !" avant de se séparer momentanément...