Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le blog pause pipi
29 février 2008

Promenade initiatique (suite 1), un récit imaginé par Martine à partir d'un dessin de PPH...

zz2328  zz2328m3  zz2328m4  zz2328m5

Dix jours, je crois, que mon rêve m’avait entraînée dans ce parc paradisiaque. Je souhaitais vivement refaire un tel rêve dans ce décor de douceur, d’oiseaux, de quiétude, et où j’avais pris tant de plaisir à offrir un pipi à mon compagnon en présence de nos nouveaux amis.

J’y repensais chaque soir en me mettant au lit.

Cette nuit là, subitement, je sursautais en m’éveillant brutalement. J’avais encore fait un rêve semblable. J’en revenais.

Les yeux ouverts, je vis que la chambre était encore dans le noir, juste un peu d’éclairage de la pleine lune. Le radio réveil indiquait un peu plus de minuit. Oui… C’est l’heure du sommeil aléatoire propice aux songes.

Nous étions, Jean-Michel et moi, seuls dans une grande allée du parc. Même douceur, même calme. Nous marchions lentement main dans la main ;

- "Tiens…" dis-je. "Nos amis ne sont pas là ce soir ?"

A peine avais-je fini ma remarque, que les deux couples apparurent en face de nous ?

- "Bonsoir… Vous nous avez appelés ?" … "Nous voici. Nous sommes contents de vous retrouver pour faire une petite promenade au clair de lune."

Nos trois couples marchaient lentement, comme si nous flottions au-dessus de l’allée. La lune amie nous souriait. Nous ne parlions pas ou très peu. Il y avait parfois un petit rire enfantin qui rompait le silence..

- "Et si nous allions dans la petite clairière"… suggéra Angélique… "Tu la connais Martine ?"

"Non… Je ne la connaissais pas." Nous quittons l’allée et nous engageons sous les arbres pour arriver dans un espace couvert de mousse et inondé par la lumière lunaire.

- "Ouah ! …" murmura Angélique en s’allongeant sur le sol.

Tout le monde s’installa près d’elle. Pas besoin de se parler pour se comprendre. On aurait pu croire que nous conversions par la pensée.

Depuis combien de temps étions-nous là ? Impossible à dire. Le temps n’existait pas. Personne ne rompait le silence et la quiétude.

Ce fut Angélique qui la première, se tournant sur le ventre et accrochant  ses bras autour du cou de son ami lui demanda :

- "Dis… Tu sais de quoi j’ai envie ? … Ce qui me ferait plaisir ?"

- "J’ai reçu ta pensée…" répondit-il.

Et d’une main, la serrant contre lui, de l’autre il glissa doucement sa petite culotte sur ses jambes. Elle se trouva le ventre nu touchant presque la mousse, ses longs cheveux descendant entre ses épaules,  pendant que la main remontait et lui caressait doucement les reins. Elle poussa un long soupir d’aise.

Je n’en croyais pas mes yeux. Un tel relâchement était-il possible ? Nous en avons eu la preuve quand leurs deux visages se frottant l’un contre l’autre nous avons entendu le chuintement doux des nymphes d’Angélique livrant le passage au flux de sa source. Quand cela s’arrêta, tous, sommes restés silencieux, oreilles reconnaissantes.

Puis ce fut Rose qui accroupie près de nous, son ami la tenant par les épaules, nous livra la vue de ses petites fesses avant de laisser couler doucement un petit jet désordonné mais sifflotant à souhait.

- "Oh ! … Je ne l’ai pas bien réussi… "dit Rose en s’excusant… "Je le referai tout à l’heure."

Bien qu’un peu gênée, je ne pouvais pas en rester là.

J’avais un fantasme que je souhaitais réaliser depuis longtemps.  Le plus dur allait être de faire participer Jean-Michel.

Je descendis ma culotte moi aussi et je lui suggérai de me tenir soulevée par les cuisses libérant et ouvrant ainsi le bas de mon ventre. Bien que je le savais plus gêné que moi, il acquiesça néanmoins.

Les quatre autres me regardaient. J’avais du mal à me lâcher. Je perdis quelques gouttes… puis encore quelques gouttes… puis un courant généreux partit devant moi. Vu mon attitude, c’était plus discordant que chantant, mais cela était quand même agréable aux oreilles de mon auditoire qui souriait.

Puis, par habitude, Jean-Michel sortit un kleenex  de sa poche et me le tendit, sachant que je ne manquais jamais d’essuyer les dernières gouttes égarées. Ce qui fit rire les autres aux éclats. Les filles s’écrièrent :

- "Mais Martine… Ici ça n’est pas la peine…".

Ce fut leur rire qui sans doutes m’éveilla.

J’étais sur le dos, les yeux tournés vers le plafond, songeuse de ce qui m’était encore arrivé. C’est ce rire gentiment moqueur de mes nouvelles amies qui avait provoqué la fin du rêve.

Rien de mieux à une heure pareille que de se rendormir. Me bougeant un peu dans le lit, je sentis quelque chose d’insolite entre mes jambes. Je glissais une main qui récupéra…. un kleenex.

Impossible qu’il se trouvât là. La veille en me couchant, il n’y était pas dans le lit et encore moins entre mes jambes, j’en suis sûre. Et je n’étais pas sortie du lit depuis. Je le posai  sur la table de nuit, espérant que le soleil m’éclairerait plus que la lune à ce propos.

Réfléchir empêche de dormir. J’avais encore six bonnes heures de sommeil devant moi. Jean-Michel dormait à poings fermés. Je recalais la couette sur mes épaules et je me rendormis remettant au lendemain la résolution  du mystère de la présence de ce kleenex où je ne l’avais pas mis.

Publicité
Publicité
24 février 2008

Pipi sur une voiture...

pipi_voiture_2

20 février 2008

Fin de la souffrance et début de la délivrance pour une jeune femme après une soirée !

09_b

19 février 2008

N'hésitez pas à poster des commentaires :-)

Chères lectrices, chers lecteurs,

Vous avez envie de donner votre avis sur ce blog ? :-)

N'hésitez surtout pas, postez donc des commentaires. Ils sont là pour ça ! :-)

Dites nous ce que vous en pensez, exprimez-vous librement ! :-)

Mesdemoiselles, Mesdames, un questionnaire est à votre disposition ici :-)

19 février 2008

Promenade initiatique, un récit imaginé par Martine à partir d'un dessin de PPH...

zz1928  zz1628mod2  zz1628mod  zz2028d  zz2028d2  zz1928

Je m’en souviens bien. C’était un dimanche après-midi. Le printemps s’achevait et l’été montrait le bout de son nez. Bref… Un dimanche après-midi où l’on n’a pas envie de rester à la maison, mais plutôt d’aller goûter les tièdes rayons du soleil en respirant l’odeur de la végétation qui s’épanouit.

Et donc, Jean-Michel et moi sommes pris de l’idée d’aller faire notre première ballade de la saison dans les remparts, à quinze minutes de voiture.

Nous n’étions pas les seuls, apparemment, à avoir eu cette idée et les allées étaient déjà fréquentées par des couples qui, comme nous, voulaient apprécier les prémices de l’été. Il flottait une ambiance de calme, de paix. Tout le monde semblait heureux.

- "Comme c’est étrange… remarqua Jean-Michel… il n’y a que des couples… Que des couples de jeunes… Comme nous… Tu ne trouves pas cela bizarre ?"

- "C’est vrai… Je l’avais remarqué aussi. Et tu remarques comme ils ont l’air heureux ? C’est le beau temps sans doutes qui les rend ainsi contents et épanouis."

Bien que nous marchions lentement, nos pas nous rapprochaient de plus en plus de ce groupe formé par deux couples qui bavardaient et parfois riaient aux éclats, montrant leur bonheur d’être ensemble en ce lieu.

Nous n’osions pas accélérer nos pas pour passer devant eux et nous étions gênés de les suivre d’aussi près. Nous profitions de leurs rires.

Ils remarquèrent bientôt notre présence gênée derrière eux.

L’une des filles se retourna et s’adressant  à moi me dit :

- "Vous aussi êtes venus apprécier cet enchantement ? Un vrai décor de rêve n’est-ce pas ? Pas un bruit. Que des chants d’oiseaux et le bruissement des premières feuilles. Le vent est si léger qu’on le sent à peine et qu’on ne l’entend pas. On s’attend à ce qu’il se passe quelque chose. Je ne sais pas. L’apparition d’une fée par exemple."

Les deux hommes semblaient très heureux de promener leur belle en la tenant par la main. Nous aussi. Pris par cet enchantement, nos mains se trouvèrent et se joignirent.

Nous marchions ensemble maintenant, en échangeant parfois quelques mots à voix basse comme si nous craignions de casser le charme. Il y avait juste parfois le petit rire cristallin d’une des filles que ses amis appelaient Angélique. Quel beau prénom et comme elle le portait bien. L’autre fille, à ma question, nous apprit qu’elle s’appelait Rose.

Nous marchions de concert depuis un bon moment. Nous nous sentions tellement bien que l’on avait l’impression de flotter dans l’air, d’être dans un autre monde. Nous étions pris d’une étrange sensation.

L’allée que nous suivions tous les six serpentais  au travers arbres et bosquets. Depuis combien de temps marchions nous ensemble ? Nous nous rapprochions de la sortie sans doutes quand l’un des deux hommes suggéra :

- "Savez-vous les filles ce qui serait bien pour terminer cette ballade ? Regardez là, ce beau tapis de mousse et ces premières petites fleurs. Vous devriez offrir un beau pipi à cette nature."

- "Oh oui !" s’écria Angélique.

- "Oui… Ce serait bien ! … enchérit Rose… Ce serait bien vraiment."

Prise par leur enthousiasme, avec elles, j’avais déjà commencé à lever ma jupe quand Jean-Michel m’arrêta :

- "Martine… Tu ne peux pas faire cela devant elles… Devant eux… Viens nous partons. Laissons-les entre eux !"

Je dus le retenir par la main pour qu’il puisse aussi assister à cette offrande à Dame Nature… Toutes les trois, culotte descendue et accroupies face à face, nous tenions la main de nos compagnons pour les unir à ce que nous faisions. Trois paires de petites fesses blanches éclairaient notre groupe.

Les deux filles plus hardies que moi commencèrent leur pipi. Je les suivis bientôt et ce fut alors un superbe concert de chuintements variés pour trois paires de nymphes en ambiance printanière. On n’entendit plus rien d’autre. Même les oiseaux s’étaient tus pour écouter ces rivales. Nous étions heureuses toutes les trois. Nos hommes souriaient de plaisir à ce spectacle et à ce bruissement de nos petites sources. Les dernières gouttes tombaient.

Nous nous relevâmes pour échanger nos six sourires épanouis. C’était l’apothéose de notre promenade sans aucun doute, et sur ces sourires nous nous sommes fixé rendez-vous pour le dimanche suivant. Nous souhaitions vivement renouveler cette ballade de notre trio et redonner un concert si érotique.

Nous étions de retour près de notre voiture quand soudain un bruit étrange me fit sursauter. Ca faisait : Bip… Bip… Bip… Instinctivement je sortis  un bras de la couette et je collais une grande claque au radio-réveil.

Je retrouvais rapidement mes esprits en allumant la lampe de chevet.

J’avais rêvé, certes… Mais quel rêve !… Jean-Michel va rire si je lui raconte ce rêve. Moi… si réservée… Et pourtant je suis sûre que j’étais bien là-bas… Ailleurs… Et que tout s’est passé comme je l’ai vécu. Merci ma bonne fée.

Je finis de retrouver la dure réalité des choses assise sur les toilettes dans un horrible bruit de chute d’eau tombant dans la cuvette.

Publicité
Publicité
19 février 2008

Pipi dans une voiture...

pipi_voiture

18 février 2008

Une nouvelle oeuvre de PPH...

zz1828  zz1828  zz1828  zz1828  zz1828

- Il leur était agréable de se laisser doucement faire, chacune leur tour, après une attente pas toujours gérable, elles libéraient calmement une envie généreuse d'autant plus facilement expulsée qu'elles se sentaient vraiment admirées.

Les chuintements produits sous l'effet des jets se mélangeaient pour s'unir sous la forme d'une symphonie cristalline à peine accompagnée de très légers soupirs de satisfaction.

Ils facilitaient grandement la venue dynamique du liquide ambré, toutes différentes, toutes originales, mais si belles ainsi accompagnées, nos Ondines choyées offraient confiantes la plastique irréprochable de leur fente suspendue en l'air, cet instant si précieux et fragile rendant leurs serviteurs gourmands de tendresse si émus...

L'aisance procurée par cette participation bénévole élevait cette nécessité physiologique au rang de petit bonheur qu'elles aimaient renouveler le plus souvent possible, la délicate attention d'une assistance enthousiaste leur procurait un moment l'impression que le mot indécence pouvait être à jamais rayé du dictionnaire...

17 février 2008

Pause pipi - clope...

pipi_clope

16 février 2008

Une nouvelle contribution de PPH...

zz1228_002

14 février 2008

Vitesse... et précipitation, par Martine

J'étais heureuse de terminer ma journée de travail et de rentrer tôt d'autant plus que les journées d'hiver sont courtes car la nuit tombe vite.

Je connais cet itinéraire de retour, je le prends au moins une fois par semaine soit seule ou accompagné par Jean-Michel mon compagnon et collègue de travail. Sans me presser, en voiture il me faut régulièrement quarante cinq minutes.

Le client que j'avais visité ce jour-là était une grosse société et mes interlocuteurs tous des hommes. Au travers des cloisons vitrées des bureaux, je n'ai jamais aperçu une silouhette féminine au cours de mes visites. J'ai souvent l'occasion d'avoir a faire à des femmes en affaires, ou au moins d'être recue dans un bureau où travaillent des femmes. Dans ce cas, je trouve toujours une interlocutrice pour m'indiquer avant de partir où sont les toilettes. Même chez certains clients que je visite régulièrement, je connais bien les lieux et je m'y rends facilement avant de reprendre la route.

Mais ce soir, dans ce bureau rempli d'hommes, sans la trace d'une femme, je ne me sentais pas  l'audace de demander l'information. Même si je l'avais fait, je n'aurais pas pu utiliser les urinoirs qui habituellement pourtant ne me font pas peur. Il me restait les toilettes et la crainte que ma demande attire tous les hommes en mal de sensations pour m'accompagner auditivement.

Aussi, mon envie du moment étant supportable, je décidais de reprendre la route sans faire une vidange de sécurité. Aprés tout, quarante-cinq minutes c'est vite passé.

Nous n'étions pas encore à l'heure de pointe et cette départementale n'est jamais trés fréquentée. Ca roule bien.

Le fait d'avoir marché jusqu'au parking m'avait quand même, contrairement à mes prévisions, valu un rappel à l'ordre venant de ma vessie. Je ne me souvenais plus depuis combien je ne l'avais pas vidée. Près de trois heures, c'est beaucoup pour elle... pauvre vessie d'une pisseuse comme moi.

A mi-chemin en traversant la forêt de F...... il y a un immense rond-point justifié par une route empruntée par des tracteurs forestiers qui traverse la départementale. Il y a une dizaine de jours, je m'étais arrêtée avec mon compagnon, et nous avons pû, protégés de la vue par quelques stères de bois stockés sur le bord du chemin, faire confortablement une vidange. L'idée me vint, qu'aujourd'hui, en contournant ce rond point, je pourrai retrouver ces tas de bois et que je pourrai à nouveau, vite fait, faire un pipi dont le besoin s'imposait de plus en plus. Je n'aurai  pas mon ange gardien, mais habituée à faire vite, même en jean par la braguette, tout devrait bien se passer.

Quelques minutes plus tard, j'arrivais à ce rond-point et au lieu d'aller tout droit, je le contournais pour m'arrêter à l'entrée du chemin que j'avais déjà fréquenté.

Grosse déception : les tas de bois n'étaient plus là. J'avais toujours la ressource de prendre ce chemin à pieds, mais ce serait immanquablement la meilleure façon d'attirer les curieux vue la voiture arrêtée. Et jusqu'où devrais-je aller pour y être à l'abri ?

D'autre part m'engager dans ce chemin peu large avec la voiture m'obligeait à y faire demi-tour et cela sera-t-il possible ?

Bon... Plus que vingt minutes pour arriver au but. L'envie devenait de plus en plus forte... mais vingt minutes... Ca ira. Je contournais le rond-point et repris ma route.

Evidemment, en ville, je dus me faire deux feux rouges et le troisième, de plus en plus préoccupée par ma vessie, je crois l'avoir passé à l'orange. Heureusement qu'il n'y avait pas de flics, avec l'arrêt pour le procès verbal, je n'aurais pas tenue, et inutile je pense de lui expliquer pourquoi j'étais pressée. Tout le monde a déjà constaté, que plus on s'approche du moment où l'on pourra enfin se libérer, plus l'envie devient de plus en plus forte. Je le vérifiai à nouveau. Voilà l'immeuble. La rue à droite. Zut... il faut que je coupe la file de l'autre sens pour entrer dans le parking, et tout le monde se fout de mon clignotant. De plus ils ont tous l'air de se promener sans se soucier que j'ai une urgence. Ah ! Ca y est... je descends la rampe... je mets ma carte et la barrière se lève. Je prends l'allée et tout au bout à gauche il y a notre place. Là, il ne me reste qu'à remonter l'autre rampe à pieds, entrer, appeler l'ascenseur en souhaitant qu'il soit libre, arriver à la porte de l'appartement, l'ouvrir et foncer aux toilettes.

Bon... La voiture est garée. Mais mon envie tiendra t-elle si je n'ai pas l'ascenseur immédiatement ? Je ne saurais pas remonter à pieds trois étages avec une envie pareille.

Par facilité, à une heure creuse, il m'est arrivé de faire dans ce parking. La voiture est garée dans un coin formé par la cabine de la machinerie de l'ascenseur et le mur du parking. Derrière la voiture, je suis cachée sur trois côtés. Ce soir, la place près de la notre n'est pas encore occupée et je peux être vue de ce côté. Bon... Je fais une prière pour qu'aucune autre voiture n'arrive.

Je tire la poignée du coffre, je donnerai l'impression que j'y prends quelquechose. Jean plus culotte ça va aller. Heureusement j'ai des bas, pas de collant si non... Je me souviens que j'ai mon "Freelax" quelquepart au tableau de bord, mais à chercher je vais encore perdre du temps avant de mettre la main dessus. J'abandonne l'espoir "Freelax" et je cours plus vite que je ne vais derrière la voiture, je termine l'ouverture du coffre au moment ou une autre voiture sort tous phares allumés. Rien d'autre en vue. Vite... face au mur de l'ascenseur. Je dégraffe la ceinture, j'ouvre la braguette, je la tire vers le bas et de l'autre main j'écarte la jambe de la culotte, et le jet salvateur va s'écraser sur le mur pendant que je vois des phares entrer à l'autre bout de l'allée. Bon... Il s'arête. Mais il va remonter l'allée à pieds. Il faut que je finisse vite.

Et c'est à ce moment que la main gauche qui tirait sur le jean tendu glisse et lache prise et que ma braguette se remet en place. Couper le jet ? ... Oui... Bien sûr. Mais la seconde prise pour fermer la vanne avec difficulté a suffit à tout tremper le devant du jean. Ou je me contente de cette demi-vidange, ou j'ouvre à nouveau la braguette trempée pour continuer, ou je descends tout pour finir accroupie ? Allons... personne en vue ? Je baisse tout et penchée en avant, j'envoie le reste de ma vidange derrière moi sur le mur pendant que le chauffeur de la voiture qui s'était arrêtée remonte l'allée en sifflotant. Il arrive à ma hauteur quand je me relève. Il ne parait pas surpris de me voir occupée à ranger mon coffre. Du moins, bien que j'ai mon jean sur les cuisses c'est l'impression que je donne. Il me gratifie même d'un : "Bonsoir Madame..." auquel je réponds dans un sourire semblant décontracté : "Bonsoir Monsieur" en pensant : "Pourvu qu'il n'est pas l'idée de me faire la conversation ou de m'attendre pour rentrer dans l'immeuble". Mais  non, il y a un bon Dieu pour les pisseuses, il passe son chemin en continuant à siffloter.

L'éclairage du parking est faible mais suffisant pour que je constate que tout le devant du jean est trempé et je sens que la culotte en a pris un coup aussi. Quand je pense que j'avais tout le temps de tout baisser et même de trouver mon "Freelax"...

Pourvu que je ne rencontre personne dans le couloir ou l'ascenseur ! C'est l'heure où tout le monde rentre. Coffre fermé et voiture verrouillée, c'est fourre-tout à l'épaule et mon attaché-case devant moi que je suis arrivée à l'ascenseur.

Heureusement, je n'ai rencontré personne de connaissance, personne dans le couloir et personne dans l'ascenseur. Direct du rez-de-chaussée au troisième.

Ce fut vite une douche.

Lorsque Jean-Michel est rentré et que je lui ai raconté tout celà il a bien ri :

- "Bon... OK je comprends qu'avec tous les hommes tu aies été génée pour demander les toilettes. Mais dans la forêt, si tu étais moins trouillarde, je suis sûr que tu avais le temps de pisser au moins dix fois, je te connais tu es une rapide. Et  toi qui fait tant de pub pour "Freelax", tu ne me feras pas croire que tu n'avais pas cinq secondes de plus pour ouvrir la boite à gants et le trouver. Et même baissée derrière la voiture coffre ouvert tu passais inaperçue. Mais voilà... un pipi urgent... si tu n'as pas ton garde du corps tu confonds vitesse et précipitation."

desp10067

Publicité
Publicité
1 2 > >>
Le blog pause pipi
  • Bienvenue sur ce blog dédié au pipi des filles ;-) N'hésitez pas à m'envoyer vos contributions : photos, anecdotes, ou bien encore à participer aux différentes rubriques (questionnaires, etc...).
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Catégories principales
Archives
Newsletter
Publicité