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Le blog pause pipi
30 avril 2008

Une contribution de Martine...

"- Chut... écoutez"

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27 avril 2008

Une anecdote de François...

J’avais embauché, pour m’aider au magasin pendant les vacances d’été, une jeune étudiante d’une vingtaine d’années... Ce matin-là – trois semaines environ après son arrivée – nous étions tous les deux en réserve, accroupis de part et d’autre d’un carton de livres que nous nous dépêchions de déballer avant l’affluence… Tout au fond un grand album cartonné sur la couverture duquel s’étalait la caricature – très réussie, il faut bien l’avouer – d’un homme politique du moment. Elle a été prise d’un irrépressible fou rire qui s’est presque aussitôt figé et mué en rictus de panique. Elle a murmuré… "Oh non, non, c’est pas vrai !"… D’une voix presque inaudible. Immobile, comme tétanisée, le regard fixe, elle s’est mordu les lèvres… Et, brusquement, j’ai réalisé ce qui était en train de se passer… Elle pissait ! … Elle se pissait dessus… Sur le pantalon blanc cassé une large tache humide s’étendait, prenait ses aises, se ramifiait. Ca dégouttait même généreusement à travers, se répandait par terre en petites rigoles hésitantes. J’ai précipitamment repoussé le carton de livres… Quand ça s’est enfin arrêté elle s’est redressée, cramoisie, et, sans oser me regarder en face :

- "Excusez-moi , je suis désolée… Vraiment désolée… Pardon…"

- "Ca t’arrive souvent ?…"

- "Oh non, non !… C’est à cause du bouquin, là… Quand je me suis mise à rigoler…"

La sonnette de la porte du magasin a retenti…

- "Un client… J’y vais…"

- "S’il vous plaît, vous me direz quand la voie sera libre ?… Et vous pouvez appeler ma sœur aussi ?… Qu’elle m’apporte des vêtements…" 

Il s’agissait d’un simple local commercial sans appartement attenant. Pour se rendre depuis la réserve jusqu’aux toilettes où se trouvait un lavabo il lui fallait traverser le magasin sur toute sa longueur. Et donc à l’évidence attendre, dans l’état où elle était, qu’il ne s’y trouve plus de clients. Seulement, comme par un fait exprès, comme s’ils s’étaient donné le mot, ils se succédaient, ce matin-là, sans interruption. Dans la réserve, où je devais me rendre de temps à autre pour aller chercher un livre commandé ou réassortir des " manquants", elle avait fini par se résoudre à quitter ses vêtements poisseux et glacés : elle avait accroché sa petite culotte blanche à la poignée de la fenêtre et étendu sa robe sur une table qu’elle avait débarrassée de ce qui l’encombrait. Quant à elle, elle s’était réfugiée à l’abri d’un rempart de cartons vides qu’elle avait amoncelés les uns sur les autres… De derrière lesquels elle m’a interrogé…

- "Et ma sœur ?… Elle arrive pas ?"

- "Impossible de la joindre… Ca répond jamais…"

C’est sur le coup de onze heures, au moment où j’avais le plus de monde, que Madame Morin – une cliente difficile – est venue réclamer sa commande…

- "Tu les as mis où les Barbara Cartland reliés ?… C’est toi qui les a déballés…"

Elle a passé la tête sur le côté de son échafaudage. Son bras s’est tendu…

- "A votre droite… Plus haut… Encore plus haut… Au-dessus…"

- "Vite !… Mais vite !…"

Le magasin est plein à craquer. Un mouvement "élancé" pour me les indiquer avec plus de précision et… sa pyramide de cartons s’est effondrée. Un petit cri effarouché. Elle a esquissé un geste – vite abandonné – pour ramener les deux mains en coquille sur son bas-ventre et est partie d’une nouvelle et gigantesque crise de fou rire…

- "Méfie-toi !… Si ça recommence !…"

- "Si ça recommence, cette fois, je risque pas de me faire dessus…"

J’ai ri avec elle, moi aussi, de bon cœur sans oublier de laisser longuement – et le plus discrètement possible - traîner un œil sur ce qui s’offrait délicieusement à ma vue…

- "Bon, mais c’est pas tout ça !… Elle attend ses livres la mère Morin…"

Sans s’arrêter de rire, elle s’est approchée, hissée sur la pointe des pieds, les a descendus, me les a tendus. Je l’ai abandonnée à regret.

En toute fin de matinée sa sœur, que j’avais enfin réussi à joindre, est venue la chercher avec des vêtements propres. Quant à ce qui s’était passé ce jour-là ce fut entre nous, pendant tout le reste de la saison touristique, un sujet d’inépuisables plaisanteries.       

27 avril 2008

La réponse de Phil89...

C'est sans doute psychologique

Vous avez certainement du vous rendre compte que souvent l'envie devient très pressante, voir immédiate au moment même où on arrive devant sa porte ou à l'intérieur de chez soi, alors que quelques secondes auparavant, on n'y pensait guère... Peut être aussi est ce du à un changement de température, ou à un réflexe qui fait que l'on se dit que l'on va pouvoir se soulager ! ! ! Mais si ce genre de choses arrivent plus aux femmes, les hommes le connaissent aussi !

27 avril 2008

La réponse de Ulysse54...

Itou

Je confirme, c'est pareil pour les mecs...

Moi, je peux me retenir longtemps, mais lorsque j'approche d'un lieu de dépôt connu, ma vessie se manifeste grave, mon cervau a cafté, lol ! ! ! !

27 avril 2008

La réponse de Georges...

Mais bien sûr, c'est la même chose pour tout le monde (y compris les hommes).

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27 avril 2008

La réponse de Martine...

Moi aussi

Bonjour Vanessa,
Bonne question. Tu n'es pas la seule. C'est bien dans la tête que ça se passe. Je te donne des exemples vécus. Excuse moi pour le choix de ces exemples. Une amie qui avait trés mal déjeuné sentait son estomac se retourner. Ne pouvant sortir de table sans se faire remarquer, elle a du attendre la fin du café qu'elle a bu quand même avant de pouvoir se rendre aux toilettes, et c'est seulement là qu'elle a rejeté son repas la porte des toilettes juste fermée.
Un épileptique éthylique aura un comportement normal jusqu'au moment ou... on lui verse son verre.
Et nous aussi, je crois que notre cerveau tiens la vanne fermée jusqu'au moment où... on peut craquer.
Il m'est arrivé de rentrer à l'appartement avec une seule envie urgente : juste le temps de faire les dix mètres qui ne mènent aux toilettes. En entrant j'entend le téléphone qui sonne. Qu'est-ce que je fais ? C'est peut-être urgent. Un choix vite fait. Je répond quitte à abréger la conversation. Et ça marche jusqu'au moment suivant où arrivant au-dessus des toilettes je ne réussi pas à baisser ma culotte assez vite. J'ai bien des exemples vécus encore, en voiture, en public etc... Pour moi c'est bien dans la tête que çà se passe.
On en reparle si tu veux.

27 avril 2008

La réponse d'Emma...

Pour moi c'est pareil

Lorsque l'envie se fait sentir et que je m'approche des toilettes l'envie est de plus en plus pressante. C'est à partir du moment où je me met à chercher des toilettes que l'envie s'accélère, à tel point qu'il m'arrive de ne plus me contrôler au moment où je baisse ma culotte et que je la mouille.

Maintenant lorsque je m'absente pour un bon moment j'anticipe et je ne mets plus de culotte.

Lorsque je me lave les mains aussi, l'envie de pipi arrive très vite.

27 avril 2008

La réponse de Emma...

Pour moi c'est pareil

Lorsque l'envie se fait sentir et que je m'approche des toilettes l'envie est de plus en plus pressante. C'est à partir du moment où je me met à chercher les toilettes que l'envie s'accélère, à tel point qu'il m'arrive de ne plus me contrôler au moment où je baisse ma culotte et que je la mouille.
Maintenant lorsque je m'absente pour un bon moment j'anticipe et je ne mets plus de culotte.
Lorsque je me lave les mains aussi, l'envie de pipi arrive très vite.

27 avril 2008

Une question de Vanessa...

Une question de Vanessa

Quand j'ai très envie de faire pipi, plus je m'approche des toilettes ou d'un petit coin improvisé, plus mon envie augmente, jusqu'à devenir irrésistible - un peu comme si mon cerveau donnait des signaux de relâchement à ma vessie pour lui dire que c'est bientôt le moment. Le pire qui puisse m'arriver, c'est que les toilettes soient occupées, fermées, hors service ou je ne sais quoi d'autre mais inutilisables - là je deviens complètement folle et je peux faire n'importe quoi pour me soulager même devant quelqu'un (j'ai déjà parlé de deux petits incidents :) Pourtant je suis sûre que si je ne m'attendais pas à trouver de toilettes, je pourrais me retenir encore quelques minutes sans trop de difficulté.

Mariana nous a raconté que c'est en voyant la porte des toilettes qu'elle a commencé à faire pipi dans sa culotte. Moi aussi, ça m'est arrivé de lâcher quelques gouttes juste au dernier moment.
Je me demande donc si on se retient avec le ventre ou avec la tête :) ou un peu des deux ?

Ça m'intéresserait beaucoup de savoir ce que d'autres lecteurs du blog en pensent - est-ce que l'envie devient de plus en plus pressante à mesure qu'on se rapproche des toilettes ?
Mathématiquement, y aurait-il un théorème qui dirait que l'envie est inversement proportionnelle à la distance jusqu'aux toilettes ? ? ?

26 avril 2008

Une contribution de Martine...

Séance d'ondinisme

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