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Le blog pause pipi
29 juillet 2008

La reconnaissance

kso20

Cette position permettra un comportement opportuniste et érogène de la part des deux partenaires.

Le complice sera assis sur le lit,  jambes bien allongées et le dos appuyé sur la tête ou le pied de ce lit. Son corps sera ainsi sensiblement en angle droit.

L’ondine viendra s’installer au-dessus de lui, genoux pliés et levés, elle s’assoira sur les jambes de son partenaire, les bras autour de son cou. Les deux sexes se trouveront ainsi très proches. La fille s’avancera, et s’aidant d’une main, se fera pénétrer par son complice.

Il est évident que dans cette situation, seule, l’ondine pourra être active et tiendra à elle seule la conduite du plaisir. Elle devra donc veiller à ce qu’il soit partagé.

Par ses lents va-et-vient, elle fera monter chez l’un et l’autre le souhait de l’extase, ralentissant ou accélérant ses mouvements, faisant nettement sentir au garçon que c’est elle qui décide.

Quand elle sentira l’orgasme arriver chez elle et son complice, elle se libérera complètement pour leur grand plaisir à tous les deux, en ouvrant en grand la vanne de sa petite source dorée, s’inondant ainsi l’un et l’autre. Soit en libérant un peu d’espace entre elle et lui, soit en collant son sexe sur le ventre de son partenaire et en le gardant en elle.

Cette inondation  pendant l’orgasme pourra être interprétée comme une attitude de reconnaissance du plaisir reçu par elle, ou comme l’atteinte du Saint Graal des ondinistes lors de leurs séjours au septième ciel.

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29 juillet 2008

La reconnaissance

kso20

Cette position permettra un comportement opportuniste et érogène de la part des deux partenaires.

Le complice sera assis sur le lit,  jambes bien allongées et le dos appuyé sur la tête ou le pied de ce lit. Son corps sera ainsi sensiblement en angle droit.

L’ondine viendra s’installer au-dessus de lui, genoux pliés et levés, elle s’assoira sur les jambes de son partenaire, les bras autour de son cou. Les deux sexes se trouveront ainsi très proches. La fille s’avancera, et s’aidant d’une main, se fera pénétrer par son complice.

Il est évident que dans cette situation, seule, l’ondine pourra être active et tiendra à elle seule la conduite du plaisir. Elle devra donc veiller à ce qu’il soit partagé.

Par ses lents va-et-vient, elle fera monter chez l’un et l’autre le souhait de l’extase, ralentissant ou accélérant ses mouvements, faisant nettement sentir au garçon que c’est elle qui décide.

Quand elle sentira l’orgasme arriver chez elle et son complice, elle se libérera complètement pour leur grand plaisir à tous les deux, en ouvrant en grand la vanne de sa petite source dorée, s’inondant ainsi l’un et l’autre. Soit en libérant un peu d’espace entre elle et lui, soit en collant son sexe sur le ventre de son partenaire et en le gardant en elle.

Cette inondation  pendant l’orgasme pourra être interprétée comme une attitude de reconnaissance du plaisir reçu par elle, ou comme l’atteinte du Saint Graal des ondinistes lors de leurs séjours au septième ciel.

26 juillet 2008

Pipi sourire...

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26 juillet 2008

Un nouvel envoi de Martine...

Sur la route des vacances

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23 juillet 2008

Duo pipi...

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22 juillet 2008

La source parfumée

kso19

Cette position permettra de se livrer à un véritable petit jeu.

Pour cela, la fille s’allongera confortablement  sur le lit, les épaules bien calées sur des oreillers, mais les jambes écartées et pendantes à l’extérieur.

Le complice se tiendra à genoux devant elle, le visage près de la source.

Le jeu consistera pour elle à contenir le plus longtemps possible une grosse envie de se soulager pendant que le garçon caressera sa fente et son petit bouton avec diverses fleurs odoriférantes et fraîchement cueillies.

Ces caresses feront sans aucun doute tressauter le sexe de la demoiselle qui aura de plus en plus de mal à se retenir.

Vraisemblablement, selon les fleurs utilisées pour la caresse, on obtiendra des résultats différents dus sans doute au parfum et à la texture de celles-ci.

Ce sera un vrai combat entre celui qui commentera à voix basse ses actions et caressera avec la fleur dans le but de faire craquer sa compagne et elle, qui s’efforcera de contenir sa source. Soit elle réussira à se contrôler en partie et à ne libérer que de petits jets de temps à autre, ou alors elle ne pourra pas éviter de s’ouvrir en grand pour se soulager d’un coup.

Il est donc nécessaire que le complice se tienne prêt pour cette éventualité.

21 juillet 2008

Une nouvelle anecdote d'Aurélie...

J'étais en train de faire le grand ménage dans ma maison et ça faisait déjà un moment que j'avais envie de faire pipi... et tout d'un coup j'ai eu envie de faire quelque chose que je fais de temps en temps : je suis allée chercher une protection contre l'incontinence que j'ai mise dans ma culotte sous mon pantalon... et j'ai repris mon ménage sans m'autoriser à aller aux toilettes. Plus le temps passait, plus j'avais de petits "accidents" (vu comme je le cherchais, je ne sais pas si on peut encore parler d'accident ;-)) surtout lorsque je me mettais accroupie ou que je faisais couler de l'eau... J'adore cette sensation de chaleur humide... et j'aime par dessus tout sentir la protection se gonfler entre mes cuisses ! !
Au bout d'un moment, je n'en pouvais vraiment plus... je suis restée debout, les jambes serrées, j'ai penché la tête en arrière en fermant les yeux... et je me suis laissée aller. Mon pipi était tellement abondant que ça a débordé et mon pantalon était mouillé entre les jambes jusqu'en dessous des genoux et ça me coulait sur les pieds.
Ensuite je me suis déshabillée, j'ai essuyé le carrelage et j'ai pris une douche.

21 juillet 2008

Une anecdote de Marion...

Cela s'est passé au collège, je devais avoir 13 ou 14 ans. Je sortais de la cantine et déjà j'avais envie, mais on était en retard en cours, donc pas moyen de passer aux toilettes. Les deux heures de cours qui ont suivi m'ont parues très très longues, j'avais de plus en plus envie, j'ai cru que ça ne finirait jamais... Quand enfin la sonnerie a sonné je me suis précipitée aux toilettes et là horreur : les toilettes étaient fermées à cause des batailles d'eau. J'ai été chez les garçons : fermé aussi, évidemment. Alors avec une amie nous avons été voir les surveillants pour leur demander d'ouvrir, mais ils ne voulaient rien entendre et nous ont envoyé promener, à croire qu'ils n'ont jamais eu d'envie pressante ! Ma copine m'a alors conseillé d'aller à l'infirmerie, nous nous sommes donc précipitées à l'autre bout du collège, mais pour moi ça devenait vraiment difficile de marcher vite, surtout que je devais mettre ma main dans mon entrejambe pour ne pas tout lacher... Et quand nous sommes arrivées, c'était vraiment mon jour de chance : infirmerie fermée également... Là, je ne savais vraiment plus quoi faire... Mon amie m'a conseillé de retourner voir les surveillants et leur dire que j'étais vraiment pressée, j'ai refusé parce que je pensais qu'ils s'en ficheraient, et de toute façon je me sentais incapable d'avancer, je sentais des petites goutes qui commençaient à couler... Alors j'ai demandé à ma copine de se retourner, j'ai vite baissé mon pantalon et ma culotte et j'ai fait pipi par terre dans ce couloir... Je sais que ce n'est pas très propre mais je n'avais vraiment pas le choix, c'était ça ou dans la culotte ! Et je me sentais tellement mieux après ! Heureusement que personne n'est arrivé à ce moment là...

20 juillet 2008

Une photo prise par Krys en voyage à Londres...

Pipi debout avec un P-Mate au petit matin de retour d'une nuit bien arrosée !

london_pee

20 juillet 2008

Les réponses de Marion...

1 - Quel était l'état des toilettes de vos écoles :

- propre ;

- acceptable ;

- limite ;

- sale ;

- repoussant ? Propre ou acceptable.

2 - Utilisiez-vous les toilettes scolaires ? Oui, pas le choix.

3 - Lorsque vous aviez une envie pressante, tentiez-vous de vous soulager ou bien de vous retenir au maximum ? De me soulager, je peux pas me retenir très longtemps.

4 - Vos copines vous parlaient-elles parfois des toilettes ? Vous confiaient-elles leurs envies de faire pipi ? Oui, on se disait "J'ai envie de faire pipi".

5 - Si elles vous confiaient leurs envies, allaient-elles aux toilettes ou bien préfèraient-elles se retenir ? Elles allaient aux toilettes, sauf si elles n'avaient pas le temps.

6 - En cas d'envie très urgente mais en présence de toilettes peu accueillantes, que faisiez-vous :

- vous vous reteniez coûte que coûte ;

- vous utilisiez les toilettes des professeurs ;

- vous trouviez une alternative pour vous soulager (jardin, allée, sceau, ...). Précisez ;

- vous attendiez la sortie pour faire à l'extérieur (café, magasin, parc public, gare, ruelle, ...) ? J'utilisais quand même ces toilettes, sans m'asseoir dessus.

7 - Vos copines trouvaient-elles également des toilettes "de secours" ? Si oui, avez-vous parfois assisté à la scène ?  Non.

8 - Avez-vous déjà fait dans votre culotte à l'école ? Si oui, où ? (classe, couloir, devant la porte des toilettes, dans les toilettes en commencant à vous déculotter, ...). Ca m'est arrivé plusieurs fois, en cours, ou en attendant aux toilettes car ils étaient tous occupés...

9 - Cette mésaventure est-elle aussi arrivée à vos copines ? Si oui, racontez. J'étais pas là mais une copine m'a raconté avoir fait sur elle après être tombée de la poutre en gym...

10 - Avez-vous également des souvenirs concernant vous ou vos copines lors de voyages scolaires, visites, séances de cinéma ou de théâtre, ... ? Je me souviens par exemple avoir du faire dans un espèce de hall dans un musée parce que je trouvais pas les wc...

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