"Une nouvelle anecdote de Lucie..."
Ca s'est passé un jour de travail, je croyais avoir bien préparé mon coup. J'allais passé toute la journée en réunion. Ma boite est remplie d'hommes (seulement deux ou trois autres femmes avec moi). Lors des réunions, il ne faut pas déconner, boulot boulot boulot ! ! Dress code strict. Je portais un blazer noir, une jupe crayon noire et des collants noirs aussi et un chemisier blanc. En partant de chez moi, j'avais fait pipi, mis un protège-slip, sans prendre ma bouteille d'eau pour mettre toute les chances de mon côté. Le matin le plan se déroule sans accroc, je n'ai pas eu envie d'aller au toilette. Seulement bu un café. Le midi je mange en ville avec une copine, je ne bois rien. Je compte sur l'eau dans la nourriture elle-même pour m'hydrater. Je reprends le travail et les réunions. Pendant une heure tout se passe bien, encore trois heures trente à tirer. Puis d'un coup c'est le drame, ma vessie se réveille. Je me redresse sur ma chaise et serre les jambes, l'air attentif, attentive pour les autres et aussi sur mon envie de pisser pour ne rien laisser paraître. Dix minutes plus tard, l'envie part, je me calme. Puis elle revient, et s'en va, s'en revient s'en va. A croire qu'elle s'amuse avec moi pendant un bon moment. J'étais dans un coin de table avec un siège de libre avec mon collègue à gauche et personne à droite. J'avais enlevé mes talons pour trépigner des jambes silencieusement. Encore une heure quarante-cinq de réunion.
Le client de ma boite nous rejoint, on se lève tous, un jet s'en va, et pas un petit, le protège-slip fait son job. Mais peu de temps après, j'en lâche un autre, puis encore un autre. Ca n'aide pas grand chose, maintenant je suis humide, je suis gênée, et il y a toujours ma vessie qui presse. Miracle, on demande une pause, le chef nous accorde cinq minutes. Tandis que tous les hommes s'affaissent dans leur chaise, je me lève et me dirige vers les toilettes aussi rapidement que possible. Je relève ma jupe et baisse mon collant et mon string pour faire un pipi court mais puissant. J'écarte les jambes et me penche en avant tant c'est agréable de se laisser aller. Pour remplacer mon protège-slip je mets du papier toilette entre le string et ma vulve, je suis au sec mais c'est pas très confortable. Le papier toilette dépasse. Je termine ma journée légère. Je ne crois pas avoir été repérée.
Je vous disais au début de ma présence sur ce blog que je tenais relativement bien, et bien maintenant je crois que ce n'est plus le cas, il m'arrive de plus en plus de mouiller mes sous vêtements.