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Le blog pause pipi
13 août 2007

Encore une anecdote de Femme mûre. Merci...

J'étais en voiture avec mon chéri et ma fille aînée sur une autoroute allemande, plus exactement sur le ring de Berlin. Il était aux environs de 17 h et on était en route depuis 13 h. Mon chéri était au volant et moi et ma fille étions côte à côte sur la banquette arrière. On se reposait... Ma fille dit alors : "Papa, je ne sais pas pour toi et maman, mais moi il faudra que je songe à une petite vidange de vessie... J'ajoute "C'est aussi vrai pour moi..." Mon chéri dit je vais aussi faire la même chose, je pensais m'arrêter au prochain parking. Mais voilà qu'on est ralenti et puis à l'arrêt... et les trois bandes de circulation également... Zut, pas de chance dis-je, j'espère que ça va pas durer trop dit ma fille... On avance un peu, on stoppe, et puis encore un peu... Il y avait des travaux alors de trois bandes la route était réduite à une seule, ce qui expliquait l'embouteillage... Ma fille dit " C'est que ça commence vraiment à presser pour moi..." Je lui dit "Ne t'en fais pas, pour maman aussi ça devient urgent..."On avait croisé nos jambes, on les décroisait pour les recroiser dans l'autre sens, puis ma fille commence à mettre sa main à son minou... "Ca va tout de même ?" demande mon chéri ? "Oui, mais je ne sais pas pour combien de temps..." lui dis-je. On était sur une seule file qui roulait doucement maintenant, alors pas question de sortir et vite aller faire sur le bas côté... "Aïe, aïe !" dit ma fille, "Je crois que je vais faire dans l'auto si ca continue..." Mon chéri dit : "Prenez le plaid et mettez le sur la banquette au cas où..." Pour tenir le coup, j'avais mis ma main sur le minou de ma fille et réciproquement. On serrait très fort nos lèvres du vagin pour bien maintenir fermer notre petit trou à pipi tellement on sentait une immense pression dans notre vessie !

Enfin les travaux sont fini, mais comme dans ces cas une demi-heure peut paraître un siècle ! Mon chéri voit un dégagement sur la droite, il s'y engage aussitôt, c'était plutôt une aire de service qu'un parking. Il y avait juste un petit bâtiment de service et aucune autre voiture arrêtée... A peine la voiture stoppée, on ouvrait à deux nos portières et on se pécipitaient dehors... On a toutes les deux courru vers ce bâtiment, je crois qu'on battait un record olympique du sprint... et dans ces cas, on fait des choses incroyables. Sur le côté du bâtiment, pour l'anecdote, on était à deux en bas porte-jaretelles et tanga... Voyez le beau petit spectacle ! A peine passées à l'arrière, on n'a pas pris le temps de baisser nos tangas ni de s'accroupir, on a simplement écarté nos jambes, un peu fléchi nos genoux et mis le fond de nos tangas sur le côté pour lâcher un de ces déluges de pipi...On aurait dit un torrent de montagne en crue, ça sifflait un "pssssitttt" très fort, et, en arrivant sur le sol, nos jets de pipi éclaboussaient de tous les côtés, y compris sur nos souliers et chevilles... Mais quel plaisir d'enfin se soulager avec de fameux soupirs de bonheur de sentir son bas ventre se dégonfler comme un ballon.... Je ne saurai pas dire le temps durant lequel on a fait pipi, mais on pensait ne jamais en finir... On finissait nos derniers jets - on avait tellement tenu qu'on poussait pour bien se vider ! - quand on a entendu des pas rapides se rapprocher... Je dis à ma fille "Pas de panique, on finit tout à fond..." A peine avais-je prononcé ces quelques mots, qu'une jeune femme allemande en jupe aussi, arrivait en quatrième vitesse. Dans son empressement elle ne nous a pas vue de suite, elle avait ses vêtement en ordre, elle a relevé sa jupe derrière elle, elle avait un collant et un string. Elle a tout baissé d'un coup en lancant un petit juron, et a commencé à se relâcher, et c'est alors qu'elle nous a vue... Elle a rougit, baissé les yeux, j'ai vu dans son visage qu'elle essayait d'arrêter de faire pipi, mais, pas moyen pour elle, l'envie était trop forte... Un beau jet de pipi bien blanc sortait devant elle en sifflant... On a dit quelques mots, elle a pissé moins longtemps que nous, mais elle, une fois fini et relevée, elle a regardé entre ses jambes et a enlévé collant et string qu'elle a jeté derrière un arbuste. Car le juron, c'était parce qu'elle commencait à pisser dans ses vêtements... Elle a pris un kleenex pour essuyer ses jambes... Nous avons regagné notre voiture, et elle a rejoint la sienne juste après. Elle était seule et est partie immédiatement. En passant près de notre voiture, elle nous a fait un petit signe avec un petit sourire...

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11 août 2007

Une nouvelle anecdote de Femme mûre. Merci...

Voilà, lorsque j'étais encore étudiante, pour me faire un peu d'argent avec mon chéri (qui est maintenant mon mari, mais on était déjà ensemble), je travaillais pendant les vacances et congés .Nous étions au mois d'août et comme je parle plusieurs langues, j'avais trouvé un job à l'accueil d'un call center d'une société financière. Mes horaires de travail étaient les suivants : 8 h 30 à 12 h 30 et 13 h 30 à 18 h. On devait être deux, mais, pendant les vacances, j'étais parfois seule.. Une fois, aux alentours de 16 h, je ne sais pas si j'avais bu un peu trop, mais j'ai eu envie de faire pipi... et je devais attendre 18 h pour pouvoir quitter ma chaise... J'ai commencé à serrer mes jambes, puis à gesticuler sur ma chaise, croiser mes jambes, mettre ma main sous ma jupe et appuyer sur le fond de ma culotte pour tenir. Je regardais sans cesse l'horloge et les minutes me paraissait des heures... Vers 17 h 15, j'avais mal au ventre tellement je me retenais et je sentais la catastrophe qui allait très vite arriver... Je réfléchissais à la façon dont je pourrais enfin me soulager, quand, soudain, j'ai eu une idée... J'étais en jupe (une mini jupe, l'action se situe au milieu des années 70), pas de collant ni de bas, juste ma petite culotte. Assise dans un petit coin derrière une espèce de guichet où les gens ne voyaient pas mes jambes ni ce que je faisais. Personne à mes côtés, et une poubelle type sceau non ajouré ! Sauvée ! La poubelle me servirait de toilettes de secours... Je l'ai vidée sur le sol, je me suis un peu levée de ma chaise juste pour relever le derrière de ma mini jupe et avoir mes fesses directement sur la chaise, j'ai mis la poubelle discrètement entre mes jambes, tout cela en poussant presque toujours avec une main le fond de ma culotte, pincant mes lèvres pour retenir. Je me suis avancée le derrière le plus possible sur le bord de la chaise, j'ai écarté ma culotte avec une main et je l'ai maintenue dans cette position, et, enfin, j'ai pu me lâcher ! Quelle délivrance ! On aurait dit un geyser ! Je faisais de mon mieux pour faire dans la poubelle, mais, vue la pression, j'ai aussi fait un peu à côté... Quand j'ai enfin eu fini, - j'ai crû ne jamais arrêter tellement j'étais pleine, - j'ai remis ma culotte en place et ai attendu les 18 h pour essuyer le sol et aller vider la poubelle... aux toilettes ! Je suis sure que j'ai pissé plus d'un litre ! Il s'agit là d'un des gros pipi de ma vie. J'en ai eu plusieurs et, parfois, dans ma culotte...

10 août 2007

Trois anecdotes de Femme mûre. Merci...

Voici une anecdote me concernant ainsi que ma fille aînée : nous faisions du shopping, et en fin d'après-midi, dans un magasin, avions envie de faire pipi. Cela allait crescendo avec le temps qui passait...

Comme souvent, pas de toilettes pour les clientes ! On sort avec nos achats, on ne voit pas de signalisation indiquant des toilettes. Nous descendons vers le parking souterrain où se trouvait la voiture. La situation devenait critique pour toutes les deux. Ma fille avait sa main entre ses jambes dans les escaliers, moi également pour tenir le petit trou à pipi fermé (comme des petites filles !) Lorsque dans le parking, les contractions de ma vessie m'annonce que j'allais rapidement perdre le contrôle de la situation... Je dis à ma fille : "Suis moi ici entre ces deux voitures près du mur..." On dépose nos sacs par terre, un dernier regard autour : personne en vue. On ouvre notre pantalon, le baisse à nos genoux avec notre petite culotte, accroupies, le tout en deux ou trois secondes tellement ça pressait. Alors, un gros jet de pipi sort avec un beau sifflement et frappe le sol avec violence en éclaboussant nos souliers ! Quelle délivrance enfin ! L'accident évité de justesse ! Après plus de 30 secondes d'un pipi intense, on a enfin fini. On regarde à travers les fenêtres des voitures, toujours personne. On se relève, on essuie nos minous avec un kleenex, remontons nos vêtements, nettoyons nos chaussures, reprenons nos sacs. Et là, en levant les yeux au plafond, ma fille dit : "Maman, là, regarde !" Nous partons allors rapidement et je remarque que nous venions de faire pipi sous une caméra de surveillance ! Je ne sais pas si le gardien s'est rincé l'oeil, mais nous avons regagné rapidement notre véhicule et quitté les lieux !

Une autre anecdote, plus ancienne. Mes deux filles étaient petites et nous étions dans un magasin de vêtements quand elles me disent : "Maman, pipi !" Et, biensûr, pas de toilettes ! A croire que les architectes pensent qu'on ne pisse jamais nous les femmes ! Je demande à la caisse s'il est possible pour mes enfants de faire pipi, mais on me dit que non. Pas contente du tout, je pars et en passant devant les cabines d'essayage. La solution me vient à l'esprit. Je dis à mes filles : " Venez avec moi prendre des vêtements. J'en prends dans mes bras, en donne à la plus âgée aussi. En passant près d'une vendeuse, je dis : "Allez les enfants, venez essayer avec maman. On rentre alors ensemble dans une cabine. Je ferme la porte, dis à mes filles tout bas : "Pas de bruit, enlevez votre petite culotte et relevez vos petites robes, vous allez pouvoir faire pipi !" Je place des polos pliés entre leurs jambes, et leur dit de les tenir contre leur entrejambe, mets par terre un autre vêtement par prudence entre leurs pieds. Et lance : "Allez-y, faites pipi à votre aise mais le plus doucement possible..." Comme elles étaient heureuses d'enfin se soulager... Quand elles ont eu fini, je leur ai bien essuyé jambes et minous, remis leur petite culotte. Quant, tout à coup, je commence moi aussi à voir envie de faire pipi. Je leur ai dit : "Attendez, c'est le tour de maman maintenant !" Il restait des vêtements secs. J'ai remonté ma jupe, baissé ma petite culotte et me suis assise sur le bord de la chaise. J'ai mis un vêtement plié sur mon minou, et me suis mise à faire pipi... Nous rions toutes trois, mais pas trop fort pour ne pas se faire remarquer... Quand j'ai eu fini, je me suis reculottée, et puis j'ai entrouvert la porte. Personne. Nous sommes alors vite sorties de la cabine en laissant les vêtements souillés en place. Nous sommes passé devant la caisse, et j'ai dit, l'air de rien : "Venez les enfants, maman va trouver un petit endroit pour que vous puissiez faire pipi..." Une fois à l'extérieur, j'ai fait semblant de chercher un endroit calme. Je me suis dirigé vers les poubelles, et ai constaté que le gardien regardait dans notre direction. Il nous épiait sans doute. Nous sommes allé sur la place comme pour faire, et somme sorties un instant après... Il se dirigeait vers nous, mais, pas de chance pour ce voyeur, nous avions déjà fait pipi dans le magasin...

Enfin, voici une troisième et dernière anecdote, qui remonte à ma petite enfance. C'était l'hiver, j'étais à l'église avec ma grand-mère. Il faisait froid, et pendant la cérémonie, je fus prise d'une envie de pipi ! J'ai d'abord serré les jambes et ai dit tout bas à l'oreille de ma grand-mère : Mamie, je dois vraiment faire pipi, et ça presse !" Elle m'a répondu : "L'office est presque fini, on va bientôt sortir, encore une minute, pas plus, je te le jure !" Et c'était vrai, nous sommes sorties les premières. Une fois dehors, ma grand-mère m'a rapidement accompagnée derrière l'église. Elle m'a alors dit de faire rapidement entre le mur et le grillage. J'ai donc vite relevé mon manteau, ma jupe, baissé mes collants de laine et ma petite culotte et me suis vite accroupie. A ce moment là, on entend des bruits de pas sur le gravier... Je me retourne et voit ma grand-mère, debout, son sac à ses pieds, ses mains relevant un peu son manteau et sa robe, et entre ses jambes, un gros jet de pipi jaunâtre qui coulait et frappait les graviers...Mamie aussi faisait pipi ! Et comme il faisait froid, nos pipi fumaient au contact du sol... Les bruits de pas, étaient ceux d'une mère, de son petit garçon et de sa petite fille arrivant en courrant. Tout le monde se connaissait. Le petit garçon avait déja ouvert sa brayette, il sortait son petit zizi et à peine sorti, celui-ci a commencé à faire pipi alors qu'il faisait encore un mètre ou deux vers le grillage ! La petite fille courrait, elle avait déja son manteau et sa robe relevée autour de sa taille, et, à peine tournée vers le coin du mur, baissait collant et petite culotte, s'accroupissait au milieu de la petite allée et commencait à faire pipi... Sa maman la suivait, relevant aussi ses vêtements. Lorsqu'elle nous aperçoit, elle s'arrête un instant, hésite un peu, devient toute rouge, serre ses pieds, et puis dit : "Au point où on en est toutes...", elle met ensuite son sac par terre à côté d'elle, relève ses habits autour de sa taille, montrant ses bas, sa gaine porte-jaretelles - nous étions en 1960 ! - ses cuisses, écarte sa culotte et se met à faire pipi puissamment en écartant ses pieds et fléchissant à moitié ses jambes... Son vif jet de pipi jaillit d'une énorme touffe de poils très noirs en décrivant un arc de cercle, et finissant sa course sur les graviers. Cela m'impressionne encore quand j'y pense. De même que toutes nos flaques de pipi fumant par terre à cause du froid ! Je ne sais plus qui avait fini en premier, mais je me souviens que la femme a dit à ma grand-mère : "Ca a été pour toi ? Tu es arrivée à temps ?" "Moi pas, ça coulait déjà un peu à peine la porte franchie." Et je l'ai alors vue retirer sa culotte et la mettre dans son sac ! En partant, Mamie m'a dit : "Tu vois, les grandes personnes aussi font parfois pipi dans leur culotte !".

27 juillet 2007

Poésie descriptive par PPH. Merci...

Les plus beaux pipis d'une fille sont ceux que je nommerais : les loupés... 

Lorsque je dirigeais les yeux en direction de la distance qui séparait ses deux chevilles, les adorables petites lèvres boudaient, avachies et flasques, elles refusèrent de s'entrouvrir correctement, de ce fait le flot ne parvint pas à resplendir précisément, il longeait les fesses et se retenait à elles désespérément ! 

De rutilantes sinuosités brillantes mouillaient complètement le derrière accroupi de la belle qui saccadait son envie en de multitudes  coulées verticales : devant, en arrière, sur la gauche, partout  elles se concentraient juste en dessous,  décrivant un miroir ovale, il multipliait sa beauté par deux. 

Placé sur le côté, j'ai ôsé aider cette désespérante démonstration en écartant ses babines du bas, aussitôt, un délicieux jet large et pincé postillonna par devant en une seule fois, ainsi libéré ; je replaçais doucement ma main droite sur son ventre que je pressais légèrement... 

Poussée par une pluie sussurante oblique, une exubérante mare ambrée s'étendait, pétillante à souhait, louvoyant en explorant les brins d'herbe qui n'avaient pas vu mieux depuis la rosée du matin. 

Quoi que vous puissiez en penser, l'émotion la plus forte que je recevais venait de son sourire avec les yeux, dont la luminosité respirait de joie... 

J'ai plié des mouchoirs de papier en accordéon, afin que ce simple origami se métamorphose en éventail... 

A l'aide de la partie évasée j'ai effleuté ses fesses gouttelées, en manoeuvrant de manière concentrique, plusieurs de ces buvards furent employés. 

Les frissons obtenus sur cette admirable peau finement duvetée, facilitaient l'absorption, je tremblais d'émotion, j'avais presque envie de pleurer... 

Puis, blottis l'un contre l'autre, au pied de notre arbre préféré  nous nous sommes endormis en  joignant nos mains. Une douce brise d'été vint nous border de ses effluves fleuries... 

Voyez-vous, mesdames qui aurez l'occasion de lire une fois ces lignes, point de salacité dans ce souvenir, l'ondinisme gentil m'a toujours enchanté, vous êtes toutes très belles dans ces moments là, délicieusement et enfin totalement féminines. 

27 juillet 2007

Poésie descriptive par PPH. Merci...

Les plus beaux pipis d'une fille sont ceux que je nommerais : les loupés...

Lorsque je dirigeais les yeux en direction de la distance qui séparait ses deux chevilles, les adorables petites lèvres boudaient, avachies et flasques, elles refusèrent de s'entrouvrir correctement, de ce fait le flot ne parvint pas à resplendir précisément, il longeait les fesses et se retenait à elles désespérément !

De rutilantes sinuosités brillantes mouillaient complètement le derrière accroupi de la belle qui saccadait son envie en de multitudes  coulées verticales : devant, en arrière, sur la gauche, partout  elles se concentraient juste en dessous,  décrivant un miroir ovale, il multipliait sa beauté par deux.

Placé sur le côté, j'ai ôsé aider cette désespérante démonstration en écartant ses babines du bas, aussitôt, un délicieux jet large et pincé postillonna par devant en une seule fois, ainsi libéré ; je replaçais doucement ma main droite sur son ventre que je pressais légèrement...

Poussée par une pluie sussurante oblique, une exubérante mare ambrée s'étendait, pétillante à souhait, louvoyant en explorant les brins d'herbe qui n'avaient pas vu mieux depuis la rosée du matin.

Quoi que vous puissiez en penser, l'émotion la plus forte que je recevais venait de son sourire avec les yeux, dont la luminosité respirait de joie...

J'ai plié des mouchoirs de papier en accordéon, afin que ce simple origami se métamorphose en éventail...

A l'aide de la partie évasée j'ai effleuté ses fesses gouttelées, en manoeuvrant de manière concentrique, plusieurs de ces buvards furent employés.

Les frissons obtenus sur cette admirable peau finement duvetée, facilitaient l'absorption, je tremblais d'émotion, j'avais presque envie de pleurer...

Puis, blottis l'un contre l'autre, au pied de notre arbre préféré  nous nous sommes endormis en  joignant nos mains. Une douce brise d'été vint nous border de ses effluves fleuries...

Voyez-vous, mesdames qui aurez l'occasion de lire une fois ces lignes, point de salacité dans ce souvenir, l'ondinisme gentil m'a toujours enchanté, vous êtes toutes très belles dans ces moments là, délicieusement et enfin totalement féminines.

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26 juillet 2007

Une anecdote de PPH. Merci...

Avec mon ancienne compagne, j'avais pris l'habitude de la laver, après un lent déshabillage, le bain déjà servi, je la caressais à l'aide du gant de toilette savonné, les gestes doux et tendres étaient appréciés. Un jour, dans la baignoire, elle s'excusa de ne pas pouvoir retenir un pipi urgent, et j'ai embrayé, si j'ose dire, en lui démontrant que l'acte était merveilleux !
D'abord génée, surprise, je lui posais la main sur le ventre et elle a beaucoup aimé ce geste.
On en a discuté toute la soirée et même tard dans le lit, tout en faisant l'amour...
Elle m'avoua qu'elle avait toujours craint de faire pipi au moment d'un orgasme !
Alors les jours qui suivirent, j'apportais toujours au pied du lit des récipients que je lui faisais remplir dès qu'elle le souhaitais.
Là, c'est un jeu qui s'instaurait : le côté positions différentes revenait tout comme je le pratiquais enfant avec ma petite voisine...
Du pipi esthétique on parvenait au pipi érotique, ce qui me donnait une "forme" inaltérable, parfois il y avait des "loupés", un petit jet de travers qui mouillait les draps, jusqu'au jour où au cours d'un orgasme, elle s'est vidée au lit, sur moi !
Bien qu'ayant également joui à ce moment, mon sexe est redevenu rigide, aussitôt, en-elle !
Je crois que c'était le plus bel orgasme de ma vie, long et pas saccadé du tout, interminable, très doux, à ce moment nous nous tenions mutuellement les mains, quelque chose se passait dans les mains aussi, aussi étrange que cela puisse paraître...

21 juillet 2007

Une anecdote dans un centre de formation...

L'action se situe dans les toilettes d'un centre de formation. Je me trouve dans un des compartiments, côté hommes. Soudain, j'entends deux filles qui entrent en disant quelque chose comme "On va chez les types". Elles choisissent les compartiments situés de part et d'autre de celui que j'occupe. Je les entends alors simultanément faire couler leur pipi dans l'eau de la cuvette. Elles quittent ensuite leur compartiment et je fais de même juste après. Alors que nous utilisons tous trois les lavabos, l'une d'entre elles, gênée de se trouver là, présente ses excuses et me dit "Y'a trop de monde chez les filles". Je lui réponds que leur présence ne me dérange pas.

21 juillet 2007

Anecdotes...

 

Anecdote

 

Une anecdote au travail...

Récemment, sur mon lieu de travail. J'étais tout près du lieu où se trouve la clé des toilettes du personnel. Lorsqu'une collègue, très jolie fille, au moment de se saisir de la clé, fit une légère grimace et plia ses jambes d'une manière semblant traduire une envie pressante. A ma question de savoir ce qu'il se passait, elle répondit "Je me suis trop retenue". Elle se dirigea ensuite vers la porte des toilettes qui se trouvait juste à deux pas, et, une fois la porte ouverte, inspira bruyamment puis ferma précipitamment celle-ci et le verrou. Je devinais alors que d'abord urgente, l'envie était devenue impérieuse. Je ne l'entendit pas faire pipi, mais, lorsqu'elle quitta les toilettes, elle s'exclama après un long soupir de soulagement : "J'étais à fond hein, j'ai cru que je m'arrêtais plus !".

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