Encore une anecdote de Femme mûre. Merci...
J'étais en voiture avec mon chéri et ma fille aînée sur une autoroute allemande, plus exactement sur le ring de Berlin. Il était aux environs de 17 h et on était en route depuis 13 h. Mon chéri était au volant et moi et ma fille étions côte à côte sur la banquette arrière. On se reposait... Ma fille dit alors : "Papa, je ne sais pas pour toi et maman, mais moi il faudra que je songe à une petite vidange de vessie... J'ajoute "C'est aussi vrai pour moi..." Mon chéri dit je vais aussi faire la même chose, je pensais m'arrêter au prochain parking. Mais voilà qu'on est ralenti et puis à l'arrêt... et les trois bandes de circulation également... Zut, pas de chance dis-je, j'espère que ça va pas durer trop dit ma fille... On avance un peu, on stoppe, et puis encore un peu... Il y avait des travaux alors de trois bandes la route était réduite à une seule, ce qui expliquait l'embouteillage... Ma fille dit " C'est que ça commence vraiment à presser pour moi..." Je lui dit "Ne t'en fais pas, pour maman aussi ça devient urgent..."On avait croisé nos jambes, on les décroisait pour les recroiser dans l'autre sens, puis ma fille commence à mettre sa main à son minou... "Ca va tout de même ?" demande mon chéri ? "Oui, mais je ne sais pas pour combien de temps..." lui dis-je. On était sur une seule file qui roulait doucement maintenant, alors pas question de sortir et vite aller faire sur le bas côté... "Aïe, aïe !" dit ma fille, "Je crois que je vais faire dans l'auto si ca continue..." Mon chéri dit : "Prenez le plaid et mettez le sur la banquette au cas où..." Pour tenir le coup, j'avais mis ma main sur le minou de ma fille et réciproquement. On serrait très fort nos lèvres du vagin pour bien maintenir fermer notre petit trou à pipi tellement on sentait une immense pression dans notre vessie !
Enfin les travaux sont fini, mais comme dans ces cas une demi-heure peut paraître un siècle ! Mon chéri voit un dégagement sur la droite, il s'y engage aussitôt, c'était plutôt une aire de service qu'un parking. Il y avait juste un petit bâtiment de service et aucune autre voiture arrêtée... A peine la voiture stoppée, on ouvrait à deux nos portières et on se pécipitaient dehors... On a toutes les deux courru vers ce bâtiment, je crois qu'on battait un record olympique du sprint... et dans ces cas, on fait des choses incroyables. Sur le côté du bâtiment, pour l'anecdote, on était à deux en bas porte-jaretelles et tanga... Voyez le beau petit spectacle ! A peine passées à l'arrière, on n'a pas pris le temps de baisser nos tangas ni de s'accroupir, on a simplement écarté nos jambes, un peu fléchi nos genoux et mis le fond de nos tangas sur le côté pour lâcher un de ces déluges de pipi...On aurait dit un torrent de montagne en crue, ça sifflait un "pssssitttt" très fort, et, en arrivant sur le sol, nos jets de pipi éclaboussaient de tous les côtés, y compris sur nos souliers et chevilles... Mais quel plaisir d'enfin se soulager avec de fameux soupirs de bonheur de sentir son bas ventre se dégonfler comme un ballon.... Je ne saurai pas dire le temps durant lequel on a fait pipi, mais on pensait ne jamais en finir... On finissait nos derniers jets - on avait tellement tenu qu'on poussait pour bien se vider ! - quand on a entendu des pas rapides se rapprocher... Je dis à ma fille "Pas de panique, on finit tout à fond..." A peine avais-je prononcé ces quelques mots, qu'une jeune femme allemande en jupe aussi, arrivait en quatrième vitesse. Dans son empressement elle ne nous a pas vue de suite, elle avait ses vêtement en ordre, elle a relevé sa jupe derrière elle, elle avait un collant et un string. Elle a tout baissé d'un coup en lancant un petit juron, et a commencé à se relâcher, et c'est alors qu'elle nous a vue... Elle a rougit, baissé les yeux, j'ai vu dans son visage qu'elle essayait d'arrêter de faire pipi, mais, pas moyen pour elle, l'envie était trop forte... Un beau jet de pipi bien blanc sortait devant elle en sifflant... On a dit quelques mots, elle a pissé moins longtemps que nous, mais elle, une fois fini et relevée, elle a regardé entre ses jambes et a enlévé collant et string qu'elle a jeté derrière un arbuste. Car le juron, c'était parce qu'elle commencait à pisser dans ses vêtements... Elle a pris un kleenex pour essuyer ses jambes... Nous avons regagné notre voiture, et elle a rejoint la sienne juste après. Elle était seule et est partie immédiatement. En passant près de notre voiture, elle nous a fait un petit signe avec un petit sourire...