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Le blog pause pipi
10 mars 2012

"Un nouveau récit d'Elisa"...

Voici une petite anecdote sur une de mes bêtises...

Pour le 29 février, mon chéri décide d'aller acheter un Astro. Nous ne sommes pas très jeu de grattage mais bon, pour l'occasion, nous tentons notre chance, pour 2€, ce n'est pas encore grand chose.
Il me l'annonce donc le soir en rentrant. Je le gratte et découvre que j'ai gagné le gain 2 : 20€ ! Toute heureuse, je lui dis que je vais le porter le lendemain matin chez le marchand de journaux.

Le matin, je prends le ticket et le mets dans la poche de mon blouson. Je pars, puis en chemin, une petite envie d'uriner me prend. Je n'étais pas très en avance ce matin et j'avais oublié de prendre mes précautions. J'arrive sur le parking de la grande surface où se trouve le marchand de journaux. Étant habituée à faire mes courses dans ces magasins, je connais quelques coins discrets pour se soulager. Je me dirige vers un petit buisson, mon endroit préféré. C'est un endroit calme, où personne ne passe et qui accueille beaucoup de mes pipi. Je vérifie qu'il n'y est personne dans les environs, je baisse mon pantalon ainsi que ma culotte et je m'accoupis. Je portais donc un pantalon, mon blouson et des ballerines à talons compensés. Je commence à me soulager, je pensais que je n'avais pas trop envie mais vu ce qui se déversait sur la terre sèche, ce n'était pas le cas ! ! ! C'était de l'urine assez jaune. Oui, maintenant je me souviens, je n'avais même pas pris le temps de me soulager en me levant, le matin, je ne ressens pas souvent le besoin de faire pipi.
Au bout d'une bonne minute, je termine mon pipi du matin. C'était un bon gros pipi, malgré que j'avais bien écarté les jambes, la flaque s'étendait sous mes ballerines. Je sors un mouchoir de ma poche et m'essuie le minou. Je me relève, me rhabille et vais jeter le mouchoir dans la petite poubelle près du buisson.
Je me rends vers le marchand de journaux. Une fois près de la caisse, je cherche mon ticket mais je ne le retrouve pas... Immédiatement je pense que je l'ai jeté avec le mouchoir. Je retourne à la poubelle, je vois mon mouchoir mais pas mon ticket. Puis je me dis qu'il est peut être tombé de ma poche quand j'ai sorti mon mouchoir. Je retourne aussitôt vers mon petit buisson. Oui, j'avais bien raison, il était bien tombé pas terre... mais en plein au milieu de ma flaque d'urine...
Je n'ai pas osé le ramasser et je suis partie. Le soir, je me suis bien faite réprimandée !

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13 décembre 2011

"Historiquement vrai" par Daniel...

Dangereux de se retenir, alors libérez vous Mesdames :
 
Historiquement vrai :
 
Tycho Brahe, éminent astronome du 16è siècle et assistant de Kepler le papa de l'astronomie moderne, est vraiment mort connement.
Remettons tout dans son contexte. Ce jour de 1601, alors que notre Tycho Brahe était dans le carrosse de l'empereur Rodolphe II de Habsbourg, il lui arrive un truc de taré : il a une sacrée envie de pisser. Peut-être avait-il trop bu de bière, enfin l'histoire ne le dit pas.
Toujours est-il que demander à un empereur d'arrêter son impérial véhicule pour aller se soulager, ça se fait pas trop. Alors en bon gentilhomme un peu con, il se retient et serre les dents et l'urêtre. Si ca se trouve l'empereur, mâle avant tout, aurait très bien compris la situation, en aurait rigolé un bon coup et l'aurait fait aller pisser si notre astronome lui avait demandé, enfin je le connais pas personnellement le Rodolphe alors je dis ça je sais pas. De toute façon, la question ne se pose pas puisque Tycho n'a pas eu les couilles d'en parler.

Bref, sa vessie prend de l'ampleur, et arrive à saturation. Et bien tu me crois, tu me crois pas mais jusqu'au bout il garde le contrôle et crève d'une rétention d'urine.
Bon l'histoire ne dit pas si une fois mort il s'est lâché sur l'empereur ou non mais putain quelle mort conne quand même... Alors pissez n'importe où avec qui vous voulez mais pissez.

29 novembre 2011

"Une nouvelle anecdote, par Elisa"...

Voici une nouvelle petite anecdote, suivie d'une question :

Ce week-end, je suis allée, avec des amies, à la piscine (couverte, je vous rassure).
Je me mets en maillot (deux pièces), je commence à prendre la douche obligatoire avant de rentrer dans l'eau et à ce moment me vient une petite envie d'uriner. On est sous la douche pas de problème, j'urine tout en la prenant.
Nous rentrons dans l'eau et environ 5-10 minutes plus tard, j'ai de nouveau besoin de soulager ma vessie. Je me dis que je ne vais pas sortir juste pour cela, alors je me mets à uriner dans l'eau (en regardant quand même derrière moi, on ne sait jamais). Et puis, encore 5-10 minutes plus tard, même chose, encore envie ! ! ! Pareil dans l'eau, et puis comme cela toutes les 10 minutes ! ! !
Au bout de 3 ou 4 soulagements dans l'eau, je commence à me demander ce que je dois faire, car quoi que l'on en pense, l'urine a beau être stérile, ce n'est pas pour cela que c'est propre ! ! !
Je fais part de mon petit souci à une de mes amies qui me répond :

- "Ce n'est pas grave, je fais ça tout le temps, moi aussi j'ai souvent envie et je fais dans l'eau, ni vue ni connue ! Tiens, justement, là j'ai une petite envie ! (quelques secondes plus tard) et voilà, maintenant c'est fini !
Et puis ne pense pas aux autres, ils font pareil, peut être moins souvent mais ils le font quand même !"

Alors toutes les 10 minutes et pendant tout le reste de l'après-midi, je vidais ma vessie ainsi ! ! !

Est-ce que cela vous arrive aussi ?

Si oui, aussi souvent ?

21 novembre 2011

"Une anecdote d'Elisa"...

Voilà une petite anecdote en rapport avec ma méthode pour le pipi sous la table de pique-nique.

En partant en vacances cet été, il commençait à se faire 13 h alors nous décidons de nous arrêter pour pique-niquer.
Nous trouvons une table libre et nous nous installons. Nous mangeons tranquillement et vient enfin le fameux moment du pipi ! Mon chéri va se soulager dans les pissotières.
Tandis que moi j'effectue ma fameuse technique. Je soulève ma jupe, je me mets sur le bord du banc, je décale ma culotte et je m'apprête à uriner, mais rien ne se passa comme prévu...
Je commence à uriner avec énormément de puissance sur les feuilles mortes, ce qui produit du bruit et fit retourner un monsieur à la table voisine... Je diminue la pression, mais cette fois-ci je la diminue trop car je commence à uriner sur le banc !
Enfin j'arrive à trouver la bonne puissance, pas trop forte pour ne pas faire trop de bruit et assez forte pour ne pas uriner sur le banc.
Et puis, quelques secondes plus tard, il y eu un grand coup de vent ! Et manque de chance, j'étais face à lui ! L'urine revint vers moi, arrosa mes chaussures ainsi que mes mollets... Je ne pouvais plus m'arrêter, j'avais trop envie, il fallait que ça sorte !
Et comble de mal chance, le terrain était en pente et l'urine ruisselait sous le banc, derrière moi... Tant pis, cela pourrait être de l'eau alors je continuais d'uriner comme si de rien n'était.
Une fois finie, c'était un vrai carnage autour de moi, voici le résumé de la situation :

- j'avais mes chaussures, mes pieds (je portais les chaussures ci-dessous) ainsi que mes mollets trempés d'urine
- le devant du banc était aussi trempé d'urine
- sous la table, les feuilles étaient recouvertes d'urine
- et enfin, de sous la table, partait une petite rivière d'urine d'environ 2 mètres de long

Je ne sais pas si quelqu'un s'est aperçu de ce que je faisais mais personne ne me fit de remarque...

Voici la photo de mes chaussures :

 

Chaussure

 

Tout cela pour dire que mes pieds étaient bien mouillés et mes chaussures aussi car le dessus en synthétique avait absorbé de l'urine...

15 novembre 2011

Une autre anecdote de Cy51...

Un autre souvenir me revient, des années collège celui là. J'étais dans un collège assez rural, près d'une forêt avec sentiers pédestres, parcours de santé, et tout ce genre de trucs. En cinquième, au printemps, on avait une discipline d'EPS qui était la course d'orientation. Aussi étrange que ça puisse paraître, on nous laissait marcher seuls, sans surveillance (en tout cas, je n'en ai pas vu, en trois ans de course d'orientation), sur le chemin qui contournait le collège. On devait évidemment s'orienter pour trouver des balises numérotées, mais je n'ai pas connu quelqu'un qui l'ait jamais fait dans nos classes. Les beaux jours aidant, tout le monde profitait du sport pour s'asseoir dans l'herbe, sur les tables de pique-nique... Bref tout le monde y allait de sa petite heure d'école buissonnière. Après le sport, nous avions SVT (biologie) avec un professeur particulièrement cynique. Il adorait par dessus tout humilier ses élèves. A telle personne il faisait jeter sa casquette par la fenêtre. A telle autre il demandait si la personne savait lire... Pour l'anecdote, moi, c'était mon acné, j'avais la manie de faire saigner par "toc" si on veut, mes boutons. Je me prenais remarque sur remarque. Mais surtout, il était intransigeant : une fois entré dans sa classe, personne n'en sortait sauf cas de force majeure. Pas de petit pipi, pas de pause pour souffler, à peine une récréation. Donc, un jour ou on faisait "course d'orientation", j'étais assis dans une aire de pique-nique sur le chemin où l'on devait chercher les balises. J'ai entendu des voix venant de la table d’à côté (elles étaient séparées par des buissons assez hauts, genre sapin). C'étaient trois camarades, que j'ai côtoyé longtemps jusqu'au bac, E. G. et C. Elles parlaient de l'heure, il allait bientôt être l'heure de retourner voir le prof de sport pour donner des nombres au hasard et se préparer a aller en cours avec le fameux prof de SVT... Une phrase attira mon attention, G. se mit a parler de son envie pressante, et les deux autres ajoutèrent qu'elles devaient faire aussi, mais C. dit qu'elle n'y arrivait jamais dehors et se proposa pour surveiller l'entrée de l'espèce d'aire de pique-nique dans laquelle elles étaient. J'approchai discrètement du buisson pour espérer voir un peu. Le buisson n'était pas très épais à cet endroit, et fort heureusement, elles me tournaient le dos. E. et G. urinèrent quasiment une minute, la flaque descendait vers mon coté. J'étais aux anges, j'adorais le bruit que ça faisait, et je voyais un peu de leurs postérieurs (ce qui me suffisait amplement). Puis, pour une raison dont je n'ai plus le souvenir, je crois qu'un tracteur passait sur le chemin, elles remontèrent leurs vêtements et partirent vite sur le chemin. J'ai attendu quelques minutes, et je suis rentré en cours.

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15 novembre 2011

Une anecdote de Cy51...

Ma première expérience, et c'est sans doute celle qui m'a donné le goût pour le pipi de ces dames, c'était à l'école primaire. Je devais avoir sept ou huit ans, pas plus. Les garçons, dont je faisais partie (je fais toujours partie !), jouaient avec des cartes à collectionner, type Panini. Certaines filles jouaient avec nous, mais elles étaient rares. Deux d'entre elles plus particulièrement, jouaient de manière régulière. Le soir d'une réunion des parents avec l’instituteur, les élèves qui n'avaient pas de souci particulier étaient autorisés à jouer dans l'école en attendant la fin de la réunion. J'étais le seul à être encore là je crois, avec l'une de ces deux filles. On a donc naturellement joué aux cartes, et j'ai "gagné" toutes ces cartes. Elle voulait que je lui rende, j'ai refusé parce que j'avais gagné. Elle a même été déranger sa mère dans la réunion, mais rien n'y fit. Alors, elle est revenue vers moi et m'a convaincu je ne sais pas comment, tant j'étais candide (d'autres diront innocent), de venir avec elle aux toilettes. Elle m'a proposé de me montrer son sexe (je ne me souviens plus du nom d'enfant qu'on employait alors) contre la moitié de mes cartes. J'ai accepté, et elle a baissé sa culotte et levé sa jupe en me montrant son sexe. Elle m'a proposé de lui donner encore des cartes pour la regarder faire pipi et toucher son sexe. J'ai obtempéré et donné ce qui me restait, et je l'ai regardée faire pipi dans l'espèce de grand lavabo dans lequel on se lavait les mains. Elle a ri et est partie, et se secouant les fesses et en remontant sa culotte.

Je me suis fait punir pour avoir perdu mes cartes quand ma mère a remarqué que je n'en avais plus. Je n'ai jamais osé dire comment je les avais perdues. Ma "camarade de jeu" elle s'en est souvenue longtemps. De mon coté, même maintenant, j'ai du mal à ne pas sourire en la croisant (avant, je rougissais, tête basse).

14 novembre 2011

"Allez-y Mesdames" par Martine...

 (Anecdote déjà publiée le 10 septembre 2008)

On en parle beaucoup et on s’en plaint. Mais... on ne fait rien pour que cela change.

Mais si… Moi Martine, j’y ai fait quelque chose. Oh... pas un exploit ! Mais quand même un petit quelque chose dont je suis fière.

L’évènement s’est passé le samedi 30 août 2008, vers 13 h 30, à la station service de Vémars-est, sur l’autoroute A1, au nord de Paris, en direction de Lille-Bruxelles.

Nous étions en jour et heure de pointe évidemment. Nous avions avec difficultés trouvé une place de parking et nous terminions, Jean-Michel et moi, nos sandwiches jambon-salade.

L’enchaînement logique des évènements voulait qu’ensuite ce soit un pipi à la station service et un café soit au comptoir soit à la machine à pièces.

Nous faufilant au travers des voitures en stationnement et en évitant celles qui cherchaient où s’arrêter, nous arrivons à la station. Depuis qu’il est interdit de fumer dans ces endroits, l’odeur y est plus supportable. Pour les toilettes ? Pas la peine de chercher les panneaux indicateurs. Une longue file d’attente de femmes en indique toujours la direction.

- Tu vois... dis-je à Jean-Michel... c’est comme d’hab. Un monde fou chez les femmes et personne chez les mecs. Quel est l’architecte sensé qui changera cela un jour ?

J’estime à environ vingt ou vingt-cinq nanas celles qui attendaient devant la porte sans compter les autres déjà dans la salle.

Côté "Hommes", la porte s’ouvrait de temps à autre pour une entrée ou une sortie.

Ras le bol. Cette fois j’étais décidée à me bouger. Je demandais à Jean-Michel, mon garde du corps habituel, de regarder si les cabines étaient complètement fermées. Il regarda et m’assura qu’elles l’étaient. Mais il y avait une dame de service qui passait la serpillière et qui éventuellement pouvait refouler les intruses.

- Bon, j’y vais… Je m’y risque… dis-je à Jean-Michel. Je t’accompagne.

Et à deux en entrant nous nous trouvons devant cette dame de couleur. Mieux valait l’aborder avant toute chose.

- Excusez-moi Madame, mais il y a un tel monde côté "Femmes". Mon mari m’accompagne… Ca ne fait rien si je fais mon pipi par ici ?

Avec un fort accent martiniquais elle me rassura :

- Mais non Mahame… C’est idicule d’attendre dans le couloi quand il y a de la place pa ici. Vous ne isquez rien. J’y suis bien toute la jounée moi ! Et je ne me suis jamais fait violer. Mahie-Théhèse monte la garde…. dit-elle en brandissant son balai. Du moment que vous n’allez pas là-bas au fond chez les hommes, pas de poblèmes.

La salle comprenait cinq cabines fermées et derrière un mur au fond se tenaient les urinoirs masculins, ce mur évitait d’apercevoir inopinément un zizi de sortie.

Aucune des cinq cabines n’était occupée. J’avais donc même le choix.

Je pris mon temps pour me soulager. J’appréciai même particulièrement ce pipi en zone interdite. Je songeais en même temps à la tête des mecs qui m’avaient vue entrer et qui allaient me voir sortir. Un petit coup de kleenex soigneux, puis on remonte le slip et le jean et… on sort. Je comptais malgré tout sur la présence de Jean-Michel de l’autre côté de la porte. Je le vis qui revenait de la zone "urinoirs".
J’avais trois paires d’yeux sur moi, mais je m’en moquais. Il y avait sans doutes un fantasme dans chaque tête à ce moment là.

Nous avons pris le temps de nous laver les mains avant de sortir. Marie-Thérèse tout en promenant sa serpillière de droite à gauche renchérit :

- Mahame… dites à vos copines de veni pa ici. C’est idicule vaiment d’attendre. Dites leu que c’est moi qui le dit. Pas de poblèmes.

En sortant je transmis le message. Mon exemple et l’invitation durent être convaincants car aussitôt trois ou quatre femmes quittèrent leur file d’attente pour entrer chez les "Hommes".

La machine à café se trouvait en bout de file. Le gobelet de café à la main, je continuais à expliquer et à inviter mes consoeurs de misère à changer de porte. Plusieurs le firent pendant que j’étais là et ce fût des entrées et sorties incessantes de femmes chez les hommes. J'avais même droit à un sourire reconnaissant à chaque sortie.

Petite anecdote comme pour "La caméra invisible" : un homme qui paraissait pressé entra précipitamment et, se trouvant devant un groupe de femmes ressortit tout aussi vite en disant : "Oh…. excusez-moi". Puis, pris d’un doute il regarda la silhouette sur la porte, hésita, puis rentra à nouveau.

Je le vis ressortir peu après avec un sourire, presque un rire, il tint même la porte à une dame qui sortait elle aussi.

Je n’ai pas l’audace de Krys et de Hella. Mais dans de telles circonstances, il se pourrait qu’un jour je finisse par aller carrément vers les urinoirs masculins. Il m’arrive déjà de les fréquenter. Ils ne me font pas reculer quand je n’ai pas de témoin en dehors de mon "garde du corps" évidemment.

Sans être féministe outrancière et encore moins "chienne de garde" je m’élève à nouveau contre cette anomalie que l’on rencontre partout, et j’invite toutes les femmes à montrer leur frustration de cette manière.

S’il y a eu des acteurs ou actrices à cette scène qui liraient ce récit, qu’ils ou qu’elles se manifestent et donnent leur avis.

Allez… Bravo et merci Marie-Thérèse.

(Dessin paru hier, envoyé par Daniel)

File d'attente aux toilettes dames

2 octobre 2011

"Pipi et pas que..." par Elisa...

Cette anecdote s'est produite il y quelques années, je ne sais plus trop quand c'était mais je sais que nous revenions de vacances avec mon chéri et que c'était en été.
Nous étions sur une petite nationale - nous ne pouvions pas nous payer l'autoroute, on était assez jeune - j'avais envie d'uriner depuis un petit moment et comme si ça ne suffisait pas je commençais à avoir envie de caca... Au bout d'un moment je sentais que je n'en pouvais plus malgré ma position fétiche (ma fameuse position qui consiste à mettre mes pieds sur le tableau de bord pour mieux me retenir) et que quelques gouttes commençaient à mouiller ma culotte.
Mon chéri gara la voiture sur une petite aire de repos avec juste une poubelle et deux tables de pique-nique vraiement en mauvais état. Il n'y avait personne, mais il y avait quand même un peu de passage sur la route. Donc pour éviter que l'on me voit de la route, je vais alors me cacher derrière l'une des deux tables. Je devais être bien loin d'être la première à me soulager ici car il y avait une quinzaine de Kleenex sous et à coté de la table. Mais je m'apercus vite que ça ne serait pas pratique d'uriner là car la terre dégageait une odeur horrible d'urine et en plus, portant des talons aiguilles je m'enfonçait dans la terre pleine de pisse. Je me dirige vers l'autre table mais elle était aussi bien lotit en urine que la première. Puis je m'aperçois qu'il y en a une autre un peu plus loin, cachée derrière un petite bute. Si elle avait été épargnée cela aurait été parfait.
Je vais donc vers cette table et pour mon plus grand désespoir, il y avait autant d'urine à côté que près des autres...
Je ne suis pas trop fière de ce que je fis mais bon... Vu qu'un arbre et aussi la bute cachaient la table vraiment assez haut, je décide de monter sur la table, c'était la solution la plus simple... Je m'accroupie, baisse ma culotte et vide ma vessie sur la table de pique-nique. Mais comme je l'ai dis plus tôt, j'avais aussi besoin de déféquer, et comme je me laissais aller au miximum, en poussant un peu, pour faire sortir les dernières goutes d'urine, je fis aussi sortir une grosse crotte...
Quand j'eus fini, comme vous pouvez l'imaginer, j'étais hyper gênée. Et surtout je me demandais ce que je devais faire... Voici les problèmes :

 

- est ce que je laisse la flaque d'urine ainsi que la crotte sur la table ?
- comment vais je m'essuyer (car je n'avais pas mouchoir) ?

Pour la première question, je décide de tout laisser tel quel... C'est pas cool pour les gens qui veulent manger ici après, mais je ne pouvais pas faire autrement. Et pour la deuxième, ma culotte étant déjà souillée d'urine, je décide de la retirer et de m'essuyer les fesses avec...
Donc une fois essuyée, il y avait un autre problème : que faire de ma culotte ?
Mon petit copain n'en voulait pas dans la voiture pour ne pas salir donc je fus obligée de la jeter à côté de la table avec les Kleenex...
Je portais une jupe donc il n'y avait pas trop de problème. Mais je m'aperçut que ça allait poser problème dans la voiture car si je posais mes pieds sur le tableau de bord, les voitures que nous doublerions verraient mon minou. Donc quand on passait sur une portion de route à deux voies, je retirais mes pieds du tableau de bord.

28 septembre 2011

Encore une anecdote d'Elisa...

Cette après-midi, ne travaillant pas, nous nous retrouvâmes entre amies que je me permets de nommer afin que l'anecdote soit plus compréhensible : Amélie (ma collègue avec qui je fais tous mes déplacements chez les clients) et Oriane (une amie d'enfance) que nous devions accompagner à un rendez-vous médical, puis ensuite faire les boutiques.
Je les avais invitées pour manger à midi et avant de partir nous n'eûmes pas le temps d'aller aux toilettes car nous étions déjà en retard... Nous prîmes la voiture d'Amélie et nous rendîmes au rendez-vous. Pendant que nous attendions Oriane dans la salle d'attente, une envie assez pressante prit Amélie ainsi que moi même. Il n'y avait pas de toilettes donc nous nous sommes retenues, en nous disant que dans le centre commercial il y aurait des toilettes.
La fin du rendez-vous arriva et nous partîmes en direction du centre commercial mais ce que nous n'avions pas penser, c'est qu'il y avait des travaux sur la nationale... Pour faire le trajet que nous faisons d'habitude en 15 minutes, cela faisait déjà 30 minutes que nous étions dans les embouteillages et nous étions à peine à mi-parcourt. Étant assise à la place passager, je pus donc faire ma fameuse technique pour me retenir, celle qui consiste à mettre ses pieds sur le tableau de bord pour pouvoir croiser et décroiser les jambes à volonté (l'envie était tellement pressante, que je ne pris même pas la peine de retirer mes ballerines). Je portais un petit short assez court ainsi que des ballerines. Amélie, elle, portait une mini-jupe avec des ballerines aussi. Quand à Oriane, elle portait un panta-court avec des escarpins d'environ 10 cm. Je n'en pouvais plus, je sentais des goutes qui commençaient à mouiller la culotte, lorsqu' Amélie nous dit qu'elle connaissait un petit coin assez pratique pour uriner tranquillement et assez proche de la nationale (elle emprunte tous les jours cette route pour aller au bureau et vu qu'elle a, comme moi, une petite vessie, elle fait souvent des arrêts pipi sur la nationale). Par chance, ce petit coin était très proche d'où nous nous trouvions. C'est enfaite une petite aire de pique-nique avec deux ou trois table. D'un côté, il y avait la route et de l'autre, une bute d'environ 3 mètres avec derrière une toute petite route donnant sur des champs. Oriane gara la voiture derrière la bute, sur la petite route. J'ouvre alors ma portière, retire vite mes pieds du tableau de bord et descend de la voiture. Oriane et Amélie en sortirent aussi vite, puis pour ne pas être vu par une personne se promenant, nous nous regroupâmes derrière un arbre. Pour rigoler, je lance l'idée de faire pipi dans une seule et même flaque pour voir l'ampleur de nos envies. Je baisse vite mon short et ma culotte et commence à uriner dans la terre humide. Puis Amélie me rejoind et commença à uriner dans la flaque que je venais de commencer à remplir. Puis ce fut au tour d'Oriane. Nous nous urinions les unes sur les pieds des autres, c'était trop marrant ! ! !

La flaque était énorme. On reprit la route et passâmes la fin de l'après-midi sans soucis...
28 septembre 2011

Une nouvelle anecdote d'Elisa...

Étant obligée pour mon travail d'être souvent en voiture et sur la route, je suis obligée de faire des arrêts pipi fréquents... C'est ce qui m'arriva cet après-midi. Je revenais d'un rendez-vous avec un client quand me prit une envie très pressante. Ce client habitait à au moins 1 h 30 - 2 h de mon bureau.
J'étais à peine partie de chez ce client (30 minutes). J'étais sur l'autoroute quand cette envie me pris, avec une collègue dans la voiture et je me retenais déjà depuis quelques temps. Je fis part de mon envie à ma collègue qui me demanda si je ne pouvais pas me retenir plus longtemps. Je me retins donc encore un bon quart d'heure mais là je n'en pouvais plus et en plus ma collègue aussi commençait à avoir envie. La prochaine aire d'autoroute était assez loin donc nous décidâmes de sortir à la prochaine sortie. Par chance je ne conduisais pas et il faisait chaud dans la voiture donc, pour me retenir le temps que l'on arrive à la sortie, je retirai mais chaussures (je portais des talons compensés et une mini-jupe) et mis mes pieds sur le tableau de bord - c'est une collègue assez proche, nous travaillons souvent ensemble et elle est habituée à ce que je mette mes pieds sur le tableau de bord quand il fait chaud (c'est la voiture de l'entreprise donc ce n'est pas trop grave). Et quand c'est moi qui conduit elle le fait aussi assez souvent ;-) - ainsi dans cette position je pouvais me croiser et me décroiser les jambes à volonté (personnellement de croiser les jambes assise, ça me fait mal, surtout quand j'ai envie d'uriner). Une fois sorties de l'autoroute, nous nous retrouvâmes dans les champs. Elle gara la voiture sur l'accotement, je retire vite mes pieds du tableau de bord, je ne prends même pas le temps de remettre mes chaussures ouvre la portière, pose mes pieds sur les marche-pieds - c'est un véhicule style quatre-quatre - et soulève ma jupe. Je déplace vite ma culotte car je n'en pouvais plus et quelques gouttes commençaient à couler dedans. Et là sans que je le maitrise un énorme jet sort de mon minou et arrose le fossé. Après avoir fini, je m'essuie avec un mouchoir que je fourre dans la boite à gants. Quelle soulagement, puis la collègue me dit :

- Dis donc t'avais vraiment envie ! ! !
- Oh oui, ça soulage.
- Moi aussi faut que je fasse, attends moi...

Elle portait des talons aiguilles et une mini-jupe aussi. Elle adopte la même technique que moi, en échangeant nos places, sinon elle urinait en plein milieu de la route. Elle souleva sa jupe et urina comme une enragée dans le fossé. Quand elle eut presque fini, que le jet faiblissait, sans faire attention, elle finit son envie sur ses talons aiguilles ainsi que sur le marche-pied.
Elle prit un mouchoir, s'essuya et le fourra aussi dans la boite à gants. Elle s'excusa d'avoir uriné sur le marche-pied et me demanda si je pouvais prendre le volant car ses pieds glissaient dans ses escarpins à cause de l'urine. Je remis mes talons compensés et pris le volant. Elle s'asseya sur le siège passager, retira ses talons aiguilles, prit un des mouchoirs qui étaient dans la boite à gants, pris l'une de ses chaussures, essuya l'intérieur et jeta le Kleenex par la vitre. Elle prit l'autre Kleenex dans la boite à gants, essuya son autre chaussure et le jeta aussi par la vitre. Puis elle posa ses pieds pleins d'urine sur le tableau de bord. Je lui dis :

- Pourrais-tu retirer tes pieds du tableau de bord stp ?

- Pourquoi, tu ne me dis rien d'habitude et moi non plus quand tu le fais je ne dis rien ! ! !

- Ce n'est pas le problème, mais tes pieds sont pleins d'urine... Et comme je mets aussi mes pieds sur le tableau de bord...

- Ah ok, j'ai compris désolé. Ça ne te dérange pas si je les mets sur le rétro ? ? ?
- Non, pas de problème ! ! ! En plus avec la vitesse ça va te les sécher ! ! !
- Ouais, me répondit elle en riant.

Elle ouvrit la vitre et les posa sur le rétro. Nous rentrâmes au bureau, elle remit ses talons quelques minutes avant d'arriver (ça ne fait pas très classe d'arriver les pieds sur le rétro au bureau, surtout avec une voiture de fonction).

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