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Le blog pause pipi
11 mars 2013

Les réponses de Corinne...

1 - Avez-vous déjà fait pipi en extérieur (en dehors des toilettes) ?

Evidemment !

2 - Si vous avez répondu oui à la question 1 : à quel endroit précisément avez-vous fait pipi ?

Dans l'herbe.

3 - Dans quelles circonstances avez-vous fait pipi dehors ?

Je mourrais d'envie de faire un gros pipi alors je me suis allongée par terre, sur le ventre, j'ai enlevé ma culotte et j'ai fais pipi. C'est si romantique.

4 - Arrive t-il que vous soyez obligée de vous retenir de faire pipi ? Si oui, pourquoi ?

Oui car quand l'envie me prend je ne me contrôle presque pas ! Alors à chaque fois le doigt dans la petite zezette ! Mais ce n'est pas désagréable alors sans problème.

5 - Vous souvenez-vous de la fois où vous avez eu le plus envie de votre vie ? (Où cela se passait et ce que vous avez fait).

Oui c'était à un supermarché en vacances. Je faisais mes courses et au final je n'ai pas pu me retenir alors j'ai trouvé un coin ou personne ne me voyait et j'ai fais un long pipi. Je fus confuse après car ça faisait une grosse flaque :( !

6 - Avez-vous déjà surpris quelqu'un en train de faire pipi dans la rue ou ailleurs ? Quelle a été sa réaction ?

Oui, ma copine. On étaient ensemble en voiture et elle mourait d'envie de faire pipi. J'étais sur l'autoroute alors je ne pouvais pas m'arrêter. Au final, elle s'est déshabillée, elle a enlevé sa culotte, s'est mise accroupie sur les sièges arrière de ma voiture et a fait pipi sur ma banquette de voiture ! En faisant elle criait de joie. Elle venait d'enlever son pantalon et sa culotte donc je voyais effectivement sa zezette ! ! ! J'étais enervée de ce qu'elle faisait là...

7 - Quel est l'endroit le plus insolite où vous ayez fait pipi ?

Dans ma main, sur mon canapé.

8 - Quand vous êtes dans des toilettes publiques, comment évitez-vous de vous "salir" ou d'effleurer la cuvette ?

Personnellement, je m'asseois sur la cuvette.

9 - Le matin, êtes-vous plutôt :

 

- pipi goutte à goutte ;

- pipi copieux et sonore ;

- fontaine intarissable ;

- pipi saccadé et dru ?

Je suis plutot fontaine... 

10 - Est-il arrivé que vous ayez l'impression que vous ne pourriez en finir tellement vous aviez envie ?

Oui, c'était sur mon propre canapé. J'étais avec mon mari à la maison. Il était partis aux toilettes faire ses besoins pendant assez longtemps et je n'en pouvait plus de me retenir. Alors je me suis déshabillée, assise sur le canapé comme aux toilettes et j'ai fais pipi, c'est tout !

11 - En cas de grosse envie :

- vous ne dépassez guère trente secondes non stop ;

- vous atteignez facilement la minute ;

- vous dépassez facilement la minute ;

- vous pouvez atteindre les deux minutes aisément.

Je ne dépasse guère trente secondes ! !

12 - Avez-vous déjà entendu une femme faire pipi très longuement ? Si oui, qui était-ce et à quelle occasion ?

Ma copine, dans ma voiture qui faisait pipi sur le siège arrière comme une folle !

13 - Pour vous, faire pipi c'est :

 

- un geste naturel spontané donc irrefléchi ;

- un moment de plaisir où l'on se soulage ;

- l'occasion de réfléchir à tout et n'importe quoi ;

- un moment où vous vous "lachez" ?

Je n'aime pas faire pipi :( ! !

 

14 - Avez-vous déjà été surprise en train de faire pipi ? Quelle a été votre réaction ?

Oui j'étais dehors, je faisais pipi sous quelques arbres dans un parc et une femme a vu ma zezette ouverte en train de faire pipi. J'ai eue la honte de ma vie.

15 - Cela vous gêne t-il que l'on puisse vous entendre faire pipi ? Dans l'affirmative, quelle(s) précaution(s) prenez-vous afin d'éviter cela ?

Non ça ne me dérange pas.

16 - Avez-vous déjà vu une amie, un ami ou votre conjoint faire pipi ? Si oui, trouvez-vous cela "naturel" ou "choquant" ?

J'ai vu une dame dans des toilettes turques où il n'y avait pas de porte. Je trouvais ça naturel évidemment et elle n'avait pas l'air choquée de me voir. Oui, elle écartait bien sa petite zézette pour faire un petit pipi et plein de gens faisaient la queue donc l'observait ! Mais dans ce pays je me souviens que c'étais normal et tout le monde faisait ça. Alors je l'ai fait sans problème.

17 - Avez-vous déjà fait pipi devant quelqu'un ?

Oui, avec mon gynécologue. Il m'avait dit d'écarter les jambes pour m'osculter et de faire pipi dans la bassine devant lui pour qu'il puisse voir si tout allait bien ! !

18 - Connaissez-vous des "trucs", des "endroits" pour faire pipi à l'abri des regards quand une envie vous prend ?

Oui, j'ai toujours un sac plastique sur moi. Si l'envie me prend, je mets le sac plastique dans ma culotte et je me vide. Puis j'enlève le sac plastique à l'abri des regards.

19 - Avez-vous déjà ressenti une "jouissance" en faisant pipi après vous être très longtemps retenue ?

Oui.

20 - Si oui, avez-vous déja fait expres de vous retenir pour ensuite avoir du plaisir en faisant pipi ? Dans quelles circonstances ?

Oui je me fais des petites photos de moi ou en webcam pour ceux qui veulent etc...

21 - A partir du moment où vous avez envie de faire pipi, combien de temps pouvez-vous vous retenir ?

Pas longtemps.

22 - Avez-vous déjà involontairement fait pipi dans votre culotte ?

Oui, je rigolais au bureau et tout est sorti ! !

23 - Portez-vous plutôt des bas ou des collants ?

Bas.

24 - Quel âge avez-vous ?

J'ai 59 ans.

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22 février 2013

Le récit de Yasmina...

J'avais quinze ans et je devais aller à mon travail car j'étais au CFA et je m'étais réveillée en retard. J'ai vite avalé un café et me suis habillée sans aller faire mon pipi matinal. Sur le chemin je commence à avoir envie, je decide de ne pas y préter attention. J'arrive dans les locaux de la police où j'étais au telephone pour envoyer des collègues sur des interventions. Vers dix heures, à la pause, je bois un café et j'oublie d'aller aux toilettes. Vers onze heures, je sentais que je n'en pouvais plus, je m'aidais en me serrant le minou mais ça voulait sortir. A la pause de midi, je rentre chez moi, mais sur le chemin des gouttes tombaient. J'ai donc cherché les toilettes les plus proches mais il n'y en avait pas. Je me suis accroupie derrière un buisson et j'ai commencé à me libérer mais au bout de quelques secondes une personne arrive. Je me rhabille à toute vitesse. En arrivant chez moi, en cherchant mes clefs sur le palier, tout est sorti à toute vitesse. J'ai même joui.

4 avril 2013

"Les réponses de Karine"

 

1 - Sur votre lieu de travail, pouvez-vous prendre des pauses pipi quand vous le désirez ? Sinon, combien de temps devez-vous travailler entre deux pauses pipi ?

Oui je peux prendre des pauses lorsque je le souhaite et généralement je dois faire un petit pipi toutes les 2 ou 3 heures...

2 - Quand vous souhaitez prendre une pause pipi, devez-vous demander la permission ou en référer à un supérieur hiérarchique ? Si c'est le cas, osez-vous le demander ou le dire facilement ?

Je n' ai aucun problème à ce sujet, puisque la ''Patronne '' c'est Moi...

3 - La fréquence à laquelle vous pouvez prendre des pauses pipi vous satisfait-elle ? Auriez vous besoin de prendre des pauses pipi plus souvent ? 

Parfaitement... voir ci-dessus.

4 - La propreté et l'hygiène des toilettes de votre lieu de travail vous satisfait-elle ?

Oui, forcément aussi...

5 - Avez vous en permanence des toilettes à votre proximité sur votre lieu de travail ?

Oui juste à côté de mon bureau (enfin en face pour être précise...).

6 - Si vous avez répondu non à la question 5, quelles sont vos solutions lorsque vous avez un besoin pressant ?

7 - Utilisez-vous les toilettes de votre lieu de travail, ou bien préférez-vous vous retenir pour ne pas avoir à les fréquenter ?

J' utilise bien sur mes toilettes sur mon lieu de travail.

8 - Vous est-il déjà arrivé d'avoir une envie très pressante et de ne pas pouvoir prendre de pause ? Comment avez-vous alors fait ?

Encore une fois je fais ce que je veux chez Moi...

9 - Vous est-il déjà arrivé d'uriner dans votre culotte à votre travail ?

Oui... et avec grand plaisir, car j' aime ça, mais bien sur toujours discrètement et surtout de façon à ce que personne ne puisse s' en apercevoir...

10 - Avez vous déjà surpris une collègue, supérieure ou employée dans l'une des situations décrites dans les questions 8 et 9 ? Quelle fut alors votre réaction ?

Oui, une fois cela est arrivé à une de mes employées, mais je n'ais pas osé lui demander si elle aimait aussi cela...

11 - Avez vous déjà uriné dans un lieu qui n'est pas prévu à cet effet sur votre lieu de travail ?

Oui, parfois le soir en partant (je pars toujours la dernière) sur le parking...

12 - Combien de temps pouvez-vous vous retenir au maximum entre deux pauses pipi ?

Rarement plus de 3 ou 4 heures, mais ceci dit, j' ai jamais chronométré.

13 - Avez-vous déjà été gênée dans votre travail à cause d'une envie pressante (problème de concentration, difficultés à marcher...) ?

Oui forcément, comme Toutes je pense...

14 - Quel âge avez-vous ?

Ben... bientôt à la retraire... sniff...

15 - Dans quel domaine travaillez-vous ? (facultatif)

Chuuut ! ! secret... discrétion...
4 avril 2013

"Les réponses de Sylvie"

 

1 - Sur votre lieu de travail, pouvez-vous prendre des pauses pipi quand vous le désirez ? Sinon, combien de temps devez-vous travailler entre deux pauses pipi ?

Autant que je le souhaite !

2 - Quand vous souhaitez prendre une pause pipi, devez-vous demander la permission ou en référer à un supérieur hiérarchique ? Si c'est le cas, osez-vous le demander ou le dire facilement ?

Je n'ai pas ce souci, le supérieur hiérarchique c'est moi !

3 - La fréquence à laquelle vous pouvez prendre des pauses pipi vous satisfait-elle ? Auriez vous besoin de prendre des pauses pipi plus souvent ? 

N'exagérons rien, il faut bien que je justifie mon salaire.

4 - La propreté et l'hygiène des toilettes de votre lieu de travail vous satisfait-elle ?

Je vous rappelle qu'en Suisse "toilettes propres" est classé pléonasme, et chez vous c'est au contraire rangé dans contresens.

5 - Avez vous en permanence des toilettes à votre proximité sur votre lieu de travail ?

Des dizaines et partout !

6 - Si vous avez répondu non à la question 5, quelles sont vos solutions lorsque vous avez un besoin pressant ?

7 - Utilisez-vous les toilettes de votre lieu de travail, ou bien préférez-vous vous retenir pour ne pas avoir à les fréquenter ?

Je les utilise bien entendu.

8 - Vous est-il déjà arrivé d'avoir une envie très pressante et de ne pas pouvoir prendre de pause ? Comment avez-vous alors fait ?

Pipi dans l'herbe en promenade avec les enfants  !

9 - Vous est-il déjà arrivé d'uriner dans votre culotte à votre travail ?

Pas encore mais en vieillissant, pourquoi pas imaginer !

10 - Avez vous déjà surpris une collègue, supérieure ou employée dans l'une des situations décrites dans les questions 8 et 9 ? Quelle fut alors votre réaction ?

Bien entendu, et bien je les ai imitées, à plusieurs filles on se soutient messieurs.

11 - Avez vous déjà uriné dans un lieu qui n'est pas prévu à cet effet sur votre lieu de travail ?

Dans les toilettes des enfants et très souvent.

12 - Combien de temps pouvez-vous vous retenir au maximum entre deux pauses pipi ?

Plus de six heures sans dégâts.

13 - Avez-vous déjà été gênée dans votre travail à cause d'une envie pressante (problème de concentration, difficultés à marcher...) ?

Jamais encore.

14 - Quel âge avez-vous ?

Le même que lors du dernier questionnaire.

15 - Dans quel domaine travaillez-vous ? (facultatif)

Je suis directrice d'une école maternelle. Mais je suis aussi consultante en entreprise et psychologue, ce qui me fait constater que l'auteur de ces questions est un homme, se surnommant Fanie pour se cacher, ayant un grave conflit avec son obsession récurrente visible de fait par l'emploi répété du mot « retenir » ! Malheureusement j'y perçois un refoulement de sa propre souffrance dirigé vers la retenue impossible des autres, dont les femmes ! Sa propre libération de ses frustrations n'aura lieu et ne pourra être qu'en avouant à une personne de confiance sa peur d'aimer et surtout de recevoir de l'amour...
 
Sylvie, toujours apte à vous écouter et lire dans une rubrique dédiée aux troubles comportementaux, ou simple avis de conseillère.

9 avril 2013

"Une anecdote de Jidé"

D’où peut venir cette passion pour le pipi féminin, il me paraît très difficile de répondre à la question, mais il me paraît par contre facile de déterminer comment cela s’est manifesté pour la première fois et cela je m’en souviens très bien.

Je devais avoir 9 à 10 ans et par un bel après midi d’été, ma tante, sans enfant, m’amène au cinéma, à cette époque, il y avait des balcons dans toutes les salles de cinéma et nous étions pratiquement seuls à ce niveau, peut être deux ou trois personnes, qui étaient installées assez loin de nous, il faut dire que l’été avait bien commencé et il y avait plus de monde sur les plages qu’au cinéma.

A l’entracte, ma tante manifeste l’envie de faire pipi, nous nous levons et je l’accompagne, elle entre aux toilettes et en ressort presque aussitôt, "c’est trop sale" dit-elle "j’en ai eu mal au cœur". Sur ce fait nous regagnons la salle et au lieu de s’installer à nos places précédentes, ma tante choisie de s’asseoir plusieurs rangs au dessus, loin de l’entrée et loin des quelques personnes présentes, sans trop comprendre, je suis sans poser de question.

La séance reprend et avec elle l’obscurité propice à la bonne vision du film, peu après ma tante se penche vers moi et dit : fais le guet il faut absolument que je fasse pipi, préviens moi si quelqu’un vient... Je ne saisis pas très bien sur l’instant, mais je ne tarde pas à comprendre ; ma tante se lève, gagne la rangée immédiatement au dessus de celle où nous sommes installés et au niveau de la place immédiatement au dessus de la mienne, elle disparaît derrière le dossier de mon propre fauteuil, je commence alors à comprendre ce qu’elle va faire et j’en ai la confirmation lorsque j’entend le bruit de la vidange de sa vessie juste derrière mois, à hauteur de ma tête, seule l’épaisseur du dossier nous sépare, j’ai presque l’impression qu’elle me fait pipi dessus, le bruit s’intensifie de plus en plus, je n’entend plus que lui, toute mon attention se fixe sur cette musique que je commence à trouver superbe, puis le bruit de fontaine décroit et finit par se taire, j’entend clairement le froissement du papier avec lequel elle s’essuie. J’ai les mâchoires crispées, le cœur qui bat plus vite et plus fort, j’ai terriblement envie de regarder, lorsque soudain j’entend sa voix : "j’ai fini, dis moi si je peux me relever" ; consciencieusement j’inspecte les environs, personne autour de nous, je ne peux m’empêcher de me lever et de regarder par dessus le fauteuil, elle est accroupie, en train de gesticuler, sans doute pour remonter sa culotte, "il n’y a personne", dis je, "tu es sûr regarde à nouveau dit elle", je regarde soigneusement, "personne" puis-je confirmer, "tu peux te lever" et aussitôt, elle jaillie d’entre les fauteuils et elle vient s’asseoir à mes cotés, "ouf, dis donc j’ai cru que j’allais me faire pipi dessus". Elle regarda la fin du film comme si rien n’était, pour ma part, je ne suivais plus du tout l’histoire, pensant sans arrêt à ce qui venait de se passer, et je n’avais désormais plus qu’une seule idée en tête, voir comment cela était. Sitôt la lumière revenue, je me lève et regarde : une large auréole rouge foncée orne la moquette, un papier froissé jonche le sol, ma tante elle aussi jeta un regard sur ce qu’elle avait fait, elle ne pu s’empêcher de rigoler, elle me saisi par la main et nous sortîmes comme si rien n’avait eu lieu, laissant derrière nous cette sublime auréole de pipi dont j’ai toujours l’image dans la tête.

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10 avril 2013

"Ma rubrique à moi, l'avis d'une psy !" par Sylvie...

Bonjour à tous et à toutes,

vous m'avez lue et parfois vue, floutée, certes, mais je dois aussi protéger ma vie privée !

Oui je me nomme vraiment Sylvie et j'exerce trois professions, dont une à temps plein.

Étant régulièrement consultante psy en entreprise, en psychologie comportementale, je voulais depuis un temps lointain intervenir dans une rubrique dédiée aux pipis féminins ! 

Mon intérêt est double, personnel, afin d'enrichir mes connaissances et collectif car je pense pouvoir de temps à autre venir en aide à des personnes liées à un souci inhérent à notre sujet de prédilection :

Le pipi des filles !

Ce sujet me plaît déjà personnellement puisqu'en rapport avec mon enfance et mon vécu, mais en parcourant ce blog il y a deux années déjà, j'ai pu constater que je n'étais pas la seule. J'ai lu la lettre de Jidé et là encore je retrouve ce souvenir catalyseur qui génère cet appétit pour les minous qui se libèrent :

Après avoir lu et relu, imprimé, commenté et beaucoup travaillé avec tout ce qui a été déjà rédigé par vous sur ce blog, je constate que beaucoup d'honnêteté s'y perçoit, mais également une sorte de détresse ou incompréhension, et malgré une croyance fortement ancrée, j'ai trouvé les femmes moins libérées que les hommes sur ce sujet ! 

Je corresponds avec plusieurs personnes plus ou moins régulièrement et j'ai été vraiment touchée, parcourant quelques désespérances rédigées d'hommes qui voulaient si simplement voir leur femme ou compagne faire pipi juste pour eux ! 

Les refus ou rejets ou gênes sont légion, là nous touchons à la culture étrange des lois humaines ayant presque transformé le sexe en bible intégriste, où telle chose est permise et telle autre dédaignée... 

Je voudrais revenir sur les belles histoires qui chez les hommes ont motivé ce plaisir de voir des filles uriner !

Ce sont des merveilleux souvenirs, pour la plupart remontant à l'enfance, là où les barrières de l'interdit des adultes n'ont pas encore fait trop de ravages. 

Mais le fait qu'ils soient aujourd'hui peu partagés en couple, ou alors avec beaucoup de réserve, vient du fait qu'il n'y a plus eu ensuite un dialogue franc et dénué de honte ou trouble.

Là encore dans les écrits que j'ai reçus (en privé) « maman » est toujours là et revient :

Elle projette souvent maladroitement ses peurs enfouies angoisses et dépits personnels à sa fille, à ses enfants en général, le « c'est mal » s’installe tel une programmation solide dans la tête de l'enfant et celle-ci va durant sa vie d'adulte ressortir inconsciemment dès que le sujet sera abordé ! 

Mais il y a des exceptions :

 J'ai retrouvé les écrits d'une femme qui a aujourd'hui plus de cinquante ans et qui a gardé un appétit enthousiaste pour les jeux de pipi !

Dans sa toute petite enfance elle s'est fait surprendre accroupie par son petit voisin un jour où la porte de sa maison était close, ses parents pas encore rentrés du travail !

Afin de ne pas se faire dessus c'est entre deux rangées de salades qu'elle s'est soulagée !

Lorsqu'elle s'est aperçue que son voisin la regardait, son premier réflexe a été de se relever et de se reculotter, sans penser que le pipi n'était pas terminé ! Et c'est debout reculottée qu'elle l'a terminé ! Celui-ci traversant sa culotte et tombant entre ses souliers vernis !

Alors, interrompons l'histoire et projetons-nous vingt ans plus tard :

Qu'avons-nous en face de nous :

Une adulte hyper complexée et craintive, qui se cache encore chez elle pour faire pipi tout en faisant couler le robinet dans un lavabo rempli d'eau afin qu'il couvre le bruit de ses lèvres générant un si joli bruit pourtant ? 

Curieusement non !

Le petit voisin ne s'est pas moqué d'elle, il n'a pas eu l'idée de s’amuser à ses dépens ou de la ridiculiser, l'humilier, mais de l'aider !

Il l'a emmenée chez lui, je précise que ces deux enfants avaient leurs parents absents, et l'a aidée à se laver ! Elle s'est laissé faire et pour lui c'était la toute première fois qu'il voyait une fille dans son intimité !

Elle m'a raconté, avec beaucoup de pudeur et de tendresse qu'il s'y était vraiment bien pris et qu'elle a beaucoup apprécié cette délicatesse qui venait de quelqu’un d'autre que de sa maman ! 

Elle a gardé de cette aventure poétique, un si joli souvenir qu'elle se souvenait des dizaines d'années plus tard encore des jeux qu'elle se permettait avec ce petit voisin !

La glace était rompue et ces enfants l'ont fait par eux-mêmes sans convention établie !

La suite de l'histoire m'a beaucoup plu également, elle allait le chercher souvent pour lui offrir des pipis !

Une sorte de récréation doucement érotique, un vrai échange sain entre enfants, sans intervention de substituts numériques si indispensables à la jeunesse actuelle malheureusement !

Elle avait compris qu'elle pouvait lui faire plaisir gratuitement et qu'à eux deux il était possible de s’offrir ces petits cadeaux mutuellement :

Il n'est plus beau plaisir que de partager ! 

Merci à Martine à qui j'ai osé emprunter sans lui demander le très intéressant mot « cadeau » !

Il résume parfaitement et objectivement et a un sens profond si on veut bien y réfléchir, on le choisit on le donne on le partage, quoi de plus plaisant que le plaisir d'offrir et celui de recevoir ? Quelle plus belle définition de l'amour ? 

Sylvie,

qui attend vos témoignages, interrogations, suggestions et qui restera ouverte à toute question (en privé ou ouverte sur ce blog) dès l'instant bien sûr où une franchise et ouverture et saine se sera établie entre vous et moi !

J'ai préparé une adresse dédiée au privé si vous souhaitiez vous adresser à la plus petite psychologue de Suisse !

Tarifs gratuits bien entendu, puisque de mon côté j'ai la même passion que vous pour le pipi des filles, mais côté filles !

13 avril 2013

"Un récit d'Agnès"

Un soir très tard j'ai regardé par la fenêtre attirée par le bruit du portail et j'ai vu Sylvie et son mari rentrer main dans la main, d'une réception mémorable où elle avait porté pour la première fois de sa vie une magnifique robe longue de soirée et des souliers à hauts talons.

Souliers qui avaient nécessité des heures d'entraînement à la marche, j'avais été son professeur !

Elle s'est arrêtée et son mari en a fait le tour, il a baissé sa culotte de dessous sa longue robe et d'un seul coup bien ajusté l'a soulevée par le creux des genoux, comme je le fais avec ma fille qui avait quatre années à l'époque !

Trop loin pour voir les détails j'ai compris qu'elle faisait pipi dans l'herbe du jardin !

J'ai appelé mon mari et dans un premier temps nous avons été émus par cette scène singulière !

J'ai été également été excitée par cette vision inattendue et j'ai demandé à mon mari de me prendre là tout de suite dans cette position !

On a commencé à faire l'amour à la fenêtre puis nous avons terminé au lit, ce fut délicieux et passionné à la fois !

Nous avons lui et moi reparlé de cette scène improbable et j'ai eu envie d'essayer !

Oui vous allez dire qu'à vingt-quatre années à l'époque ce jeu aurait pu sembler puéril !

Mon mari et moi sommes partis exprès nous promener seuls loin de la ville en pleine nature et nous avons tenté la chose !

Je n'ai pas le poids aussi léger que Sylvie, mais je suis assez fine et mon mari ne manque pas de muscles !

Le pauvre était tout embarrassé !

Je me suis laissée faire totalement :

La sensation est exquise !

Il suffit d'avoir confiance et d'oublier qu'on pourrait nous lâcher et se faire assez mal en tombant.

La première chose que j'ai ressentie est un rafraîchissement immédiat des fesses lorsque la culotte est baissée, je suppose que seule en s'accroupissant, on n'y prête guère attention, mais lorsqu'on vous le fait on reste plus réceptive et plus sensible !

La seconde est le confort inouï !

Mais qu'est-ce qu'on est bien ainsi les jambes en l'air le dos bien calé, quel confort !

Et puis les jambes relevées appuient naturellement sur la vessie et le pipi s'en va sans prévenir !

Je l'ai entendu avant de le sentir passer !

Il semblait  s'écouler nulle part !

Impossible de se mouiller, pas besoin de pousser !

C'est super doux et si pratique, enfin pour moi, car l'équilibre semble au début assez problématique à prolonger !

Dès que j'ai eu fini, mon mari m'a reposée doucement, essuyée, et la culotte a été remise en place, j'ai pu voir après coup ma jolie flaque sinueuse au sol !

Nous pratiquons depuis très souvent ainsi et la technique s'est parfaite !
(À la maison aussi sur les toilettes ou dans la douche.)

Alors c'est excitant bien sûr, mais en bonus il y a beaucoup de tendresse et de savoir-faire, un partage d'une fonction intime à deux, une façon particulière de savoir comment une femme fonctionne, dans ces moments-là aussi !

22 juin 2013

"Souvenir de mon adolescence" par Sylvie...

Nous étions en balade en groupe de filles d'un âge voisin : environ 13/14 ans

Je devais mesurer à peine un mètre quarante et mes copines au moins une à deux têtes de plus !

Sans rien exprimer je regardais avec une certaine envie leurs courbes évoluer, bien sûr j'avais remarqué qu'elles se développaient de filles en femmes, une sorte d'entre-deux très joli à regarder !

Moi je paraissais être une petite sœur du groupe !

Il y avait deux mamans avec le groupe.

 

J'avais une vision bivalente :

En fait dans ma tête je savais vraiment et je dis ça avec une vraie modestie, que j'étais plus évoluée en pensée, en faculté de déduction, en culture générale, mais j'aimais beaucoup jouer à la petite fille afin qu'on ne me délaisse pas et qu'on me tripote  !

Je désirais vraiment très fort regarder les seins de mes copines, mais seuls les vestiaires permettaient une vision fugace, juste le temps de changer un vêtement et la poitrine dévêtue disparaissait déjà !

 

Il y avait une couverture sur laquelle un panier plein de victuailles allait nous offrir un goûter ensemble.

 

Dès qu'un groupe de filles est réuni, il y en a toujours une qui va dire :

J'ai envie de faire pipi !

Et on peut être quasi sûre que des « moi aussi » vont suivre, ça c'est vraiment un truc de fille !

Alors ans trop se cacher, mais un peu quand même chaque fille portait ses mains sous la jupe et marchait comme ça une durée assez longue, le temps de trouver un lieu idéal, je présume !

Je voyais les enchaînements de mouvements debout accroupis debout, un temps de pause d'une minute entre les deux supposait qu'elles avaient fait leur envie !

 

Et comme toutes les filles, elles revenaient en se reculottant et parfois j'apercevais un bout de fente pendant une seconde voire deux les jours de chance !

 

Et puis tout le monde se réunissait enfin pour le goûter !

 

Heureusement il y avait toujours une bonne âme pour dire haut et fort :

Elle a peut-être envie aussi !

 

Autant le groupe de filles s'était éparpillé pour faire pipi, autant là un cercle se formait autour de ma petite personne :

 

Une des deux mamans s'approchait et se proposait de me faire faire pipi !

Je répète que j'avais le même âge que mes copines !

 

En moins de temps qu'il faut pour l'écrire, je me retrouvais déculottée les jambes en l'air portée comme une enfant !

Tout le monde me regardait en souriant et je percevais dans les yeux des mes spectatrices une émotion tendre, c'est difficile à développer, mais j'ai gardé encore aujourd'hui à presque trente cette joie de me faire assister ainsi par mon mari ou toute personne volontaire !

Les regards dirigés sur mon ventre étaient remplis de compassion et quelques compliments suivaient !

Je faisais pipi devant tout le monde en me laissant faire, mais ce que je ressentais m'apportait une immense délectation :

J'avais conscience de jouer au bébé, la prise en charge et l'attention de toutes mes copines me satisfaisaient !

 

Faire pipi les jambes en l'air est toujours surprenant, le fait d'avoir les jambes remontées qui pressent la vessie facilite l’expulsion et le contrôle reste limité !

En fait on se vide d'un coup, avec un débit supérieur à celui qu'on aurait obtenu accroupie toute seule dans son coin !

 

Par contre, je suis certaine que mes copines ne ressentaient pas autant de joie que moi à cet instant, cette double lecture de la situation me ravissait !

26 août 2013

"Les réponses de Grâce"...

1- Mesdames, lors d'une envie pressante, vous cherchez à tout prix :


A - des toilettes publiques ;

B - un café ;

C - un endroit discret pour se soulager ;

D - vous vous laissez aller un peu dans votre culotte le temps de trouver l'une des trois propositions précédentes ?

Des toilettes publiques.

  2 - Avez-vous déjà été victime d'un accident, c'est-à-dire de ne pouvoir vous retenir en cas d'envie pressante ? Si oui comment cela est-il arrivé, dans quelles circonstances ?

Oui ! J'étais coincée dans un embouteillage depuis 2 heures avec mon oncle et ma tante qui me ramenaient chez moi et j'ai fini par uriner sur le siège de leur voiture.


3 - Si vous avez répondu "oui" à la question 2, précisez si ce genre de mésaventures vous arrive régulièrement, ou du moins le nombre de fois.

Assez régulièrement oui.


4 - Avez-vous déjà volontairement uriné dans votre culotte ? Si oui pour quelles raisons ?

Oui, se référer à la question précédente entres autres sinon au ciné, en cours...


5 - A la plage :


A - "Comme tout le monde" vous faites dans l'eau ;

B - vous cherchez à tout prix des toilettes publiques ;

C - vous cherchez un coin discret, derrière un rocher ?

"Comme tout le monde" vous faites dans l'eau.


6 - Si l'eau est trop froide et que la plage est pleine de monde :


A - vous vous retenez quitte à risquer l'accident ;

B - ni vu ni connu, discrètement sur le sable, sans bouger, vous vous laissez aller sans même retirer votre maillot ?

Vous vous retenez quitte à risquer l'accident.


7 - Avez-vous déjà été victime de petits accidents ? (Fou rire, éternuement...)

Oui.


8 - Si oui, cela vous arrive-t-il souvent ? Racontez la dernière en date.

Cela m'arrive souvent. La dernière date d'une soirée chez des amis où l'alcool aidant j'ai laissé échappé un jet en rigolant à une anecdote.


9 - Avez-vous déjà tenté, en cas de grosse envie, de relacher un peu la pression quitte à mouiller un peu votre pantalon, en attendant de pouvoir vous soulager entièrement ?

Oui mais je dois avouer que je n'y arrive pas réellement car une fois les vannes ouvertes impossible de m'arrêter.


10 - Si oui, dans quelle circonstances, pratiquez-vous souvent cette technique ?

J'ai essayé de pratiquer cette technique une seule fois dans la voiture de mon oncle et ça a été un échec.


11 - Quel âge avez-vous ?

21 ans.


12 - Quel est votre prénom ?

Grâce.

4 septembre 2013

"Trois anecdotes vraiment vécues" par Martine...

La première se passe à la gare de Brest dans la seconde quinzaine du mois d'août. Je devais y faire des photos qu'un ami m'avait demandées. Il devait être environ 11 h 30. 
En sortant de la gare il était trop tôt pour nous installer au petit resto que nous avions repéré. Mais il était l'heure où un pipi serait le bienvenu. Dans une gare la chose est toujours prévue et Jean-Michel et moi du regard nous cherchons le lieu où l'un et l'autre pourrions nous épancher. Juste en sortant des quais avant la porte du hall nous pouvions lire: "WC " Avec la précision sur deux entrées "Hommes" et "Dames".
A sa sortie mon compagnon fut surpris de me trouver déjà à l'attendre.
- "Eh beh... tu as fait vite"... dit-il
- "Non... je t'attendais. Passe moi 20 centimes" dis-je d'un air grognon. "Moi... je dois payer"
La pièce introduite dans la serrure de la porte je puis enfin abaisser sa poignée et faire ce que j'avais à faire
- "Tu te rends compte... les mecs c'est gratuit et les filles il faut mettre 20 centimes dans la fente. Encore une injustice"
Ne perdant pas une occasion de me charrier il  me dit:
" De quelle fente parles-tu ?"
Je n'avais pas l'humeur à rire et sa question lui valu un bon coup sur l'épaule et des yeux remplis d'éclairs d'orage.
Il y avait plein de monde sur les quais. Dommage. Mais c'est dans de telles circonstances si je ne souffrais pas d'un manque d'audace et peut-être d'excessive pudeur que j'aurais dû m'installer près de Jean-Michel et économiser 20 centimes 
Brestois... brestoises... il vous est facile de vérifier.  Et si l'une d'entre vous a déjà osé qu'elle me jette la pierre.
 
Ma seconde anecdote se termine tout autrement. Encore une fois tout un chacun pourra vérifier mes dires.
Je voulais aussi faire des photos à la gare de Villedieu les poêles. Il y avait quelques clichés intéressants entre autres les rames qui roulent à droite, tournant ainsi le dos à la signalisation. 
Mes photos faites, bien visible, un édicule alléchant frappa mon regard. Sans ambiguïté on pouvait lire "W-C" avec deux flèches "Hommes" d'un côté "Dames" de l'autre. Je ne manque jamais une telle occasion surtout en temps de canicule où est grande ma consommation de Contrex. 
Sur les portes je pu lire un avis sans doutes écrit avec Word: "Par mesure d'hygiène, prendre la clef à l'employé de la gare"  Là aussi tout le monde peux vérifier.
Je m'imagine au guichet répondant à l'employé qui me demande:
- " Un billet pour où madame, "  et moi lui répondant: " Une première classe aller-retour pour les toilettes s'il vous plait"
Sans compter que l'employé n'est sans doute pas toujours à son guichet.
Alors là... j'ai craqué. Le quai était désert. Ces toilettes étaient tout au bout du quai. Pas de voyageurs en attente. Un coup d'œil circulaire me permit de voir que j'avais tout mon temps pour me rendre derrière le petit abri dont l'entrée m'était refusé sauf condition. En arrivant je constatais presque avec plaisir que je n'étais pas la première à me rendre là. D'ailleurs quelques Kleenex chiffonnés attestaient de passages avant le mien. En jupe et petit slip, pas de difficultés vestimentaires.  J'ai arrosé copieusement le mur avec un double plaisir : celui de soulager mon envie et celui de commettre une infraction que l'on me tentait presque de faire. J'estime mon excuse suffisante et toutes celles qui ont eu la même idée sont aussi excusées au nom de la bêtise.
 
Mon troisième aveu est d'un tout autre ordre. Je suis allergique à la bêtise je n'ai pu résister.
Un samedi fin août, vers midi sur une aire de repos de l'autoroute vers Évreux. Un monde fou au bar, à la machine à café, à la restauration et... aux toilettes. Évidemment côté "Hommes" huit urinoirs pas tous occupés et trois cabines libres. Côté "Dames" cinq cabines toutes occupées et... une file d'attente d'une douzaine de femmes jusque dans le hall. Le temps que je pousse un : 
-"Oh... lala ! ! ! ..."
Et comme cela m'est déjà arrivé j'attrape mon Jean-Michel par la manche et je lui dit :
- "Attends moi un peu" 
Il me connaît et il a immédiatement deviné ce que je voulais faire. Je m'adresse aux trois dernière femmes de la file et je leur dit d'un air assuré :
- "Regardez... il n'y a personne de l'autre côté. Mon mari vient avec moi, venez aussi. Le regard des trois femmes alla de l'une à l'autre. L'une annonça :
- "C'est vrai... je vous suis. Après tout c'est fermé"
Je montrais l'exemple en entrant la première. Il y eu évidemment des regards masculins surpris, sans plus. Lorsque je sortis les autres cabines étaient occupées et... quelques filles attendaient à la porte.
Petite anecdote. Un monsieur après avoir lu "Dames" se dirigea vers l'autre salle. Voyant des femmes à la porte il s'excusa, revint sur ses pas et se demanda s'il rêvait ou pas. Enfin se fiant à l'indication marquée au-dessus de la porte il remonta la petite file d'attente des dames chez les hommes en "s'excusant"à nouveau.
Tout en buvant mon café je pus voir qu'une bonne douzaine de femmes avaient suivi mon exemple. Puis tout rentra dans l'ordre, dommage c'était bien parti. J'attendais que quelqu'un râle, je serais intervenu sans aucun doute. Mais non.
Alors les filles... à l'heure de pointe à la cafétéria des aires de repos des autoroutes... allez-y et dites que c'est Martine qui permet.
29 septembre 2013

"Les réponses de Karine..."

1 - Quel est l'endroit où vous adorez uriner ?

J' aime bien uriner dans des endroits insolites et non prévus pour cela...

2 - Pourquoi ?

Par jeux...

3 - Quel est l'endroit où vous détestez uriner ?

Dans les toilettes publiques en général...

4 - Pourquoi ?

Souvent trop sales.

5 - Avez-vous des petites habitudes avant d'uriner ?

En général, j'aime laisser couler quelques gouttes ou quelques jets dans mes lingeries avant de tout ''descendre''.

6 - Après ?

J'essuie ma petite culotte, voire mon collant...

7 - Comme on peut le voir sur de nombreux sites de voyeurisme, certaines personnes cachent des caméras à des endroits stratégiques où les femmes de soulagent (WC turques, derrière des murs...). Cela vous fait-il peur ?

Non, je m'en moque...

8 - Pourquoi ?

9 - Lorsque vous urinez dehors, faites vous autre chose en même temps (pause maquillage, téléphone) ?

Non et si je fais dehors, là je laisse couler à travers mes dessous, je ne vais pas me mettre nue devant tout le monde ! ! !

10 - Cela vous a-t-il déjà joué des tours ?

Non, du moins je ne pense pas car je suis hyper vigilante.

11 - Vous êtes vous déjà servi de votre urine pour vous débarrasser d'un déchet (mégot, prospectus...) ?

Non ! ! ! Question bizarre quand même ! ! !

12 - Préférez vous uriner dans des toilettes ou dans la nature (jardin, bois...) ?

Dans la nature, déjà dit...

14 - Quel âge avez-vous ?

La soixantaine...

19 janvier 2014

"Position pour faire pipi hors des toilettes..."

La position classique adoptée par une fille pour faire pipi dans ses toilettes est assise sur la cuvette. Mais lorsqu’il s’agit de faire à l’extérieur, chacune a sa position. Lors d’un pipi entre copines, vous est-il arrivé d’adopter la position d’une copine parce qu’elle vous semblait plus pratique ? A l’inverse, avez-vous converti des copines à votre technique personnelle ? Si oui, était-ce en voyant l’autre faire ou également parce que l’une d’entre vous a vanté les mérites de sa position ?
28 avril 2014

Les réponses de Gilles...

1 - A l'extérieur, dans quelle position faites-vous pipi ? Pour quelle(s) raison(s) choisissez-vous cette position ?

A l'extérieur je fais en général pipi debout mais il m'arrive de m'accroupir si je suis sûr d'être seul.

2 - Essayez-vous de vous cacher ? Si oui, comment ?

Oui je m'arrange pour être isolé, en bordure d'un bois ou contre un arbre ou dans un champ.

3 - Après avoir fait pipi, utilisez-vous du papier toilettes ?

Après avoir fait pipi j'utilise toujours un papier toilette ou un mouchoir en papier, j'ai horreur de la goutte qui coule dans le slip.

4 - Cela vous dérange t-il de faire pipi en présence d'autres personnes (femmes ou hommes) ?

Je peux faire pipi en présence d'une femme mais pas d'un homme.

5 - Est-il arrivé qu'une femme vous regarde faire pipi ?

Oui, régulièrement, seuls dans un champ ou dans un bois, nous nous regardons mutuellement.

25 janvier 2015

"Tu paries que je le fais là ?" par Martine...

J'ai eu la mauvaise idée lors de la parution d'une photo le jeudi 22 janvier de dire que j'avais vécu une scène comme celle là et qu'elle m'avais permis de boire le Champagne. Aussitôt les curieux de sensations fortes se sont précipités dans le créneau pour me dire : "Alors... Raconte".

Soit. Mais ils vont sans doutes être déçus.
 
Cela se passait il y a environ une douzaine d'années. J'assistais en région parisienne à un stage de formation "psychologie de vente" avec quelques autres femmes dont la plupart étaient débutantes dans le commerce ou la publicité.
 
J'étais déjà parisienne depuis un an je crois, et j'avais tout de suite sympathisé, pour ce stage,  avec trois de mes collègues tout à fait perdues pour lesquelles j'étais un peu une bouée de sauvetage.
 
Nous avions une heure trente de pause pour déjeuner le midi. Dès le premier des trois jours que devait duré cette formation je pris l'initiative du déjeuner.
Je connaissais un petit "self" pas très loin de la boite où nous travaillions  et dont la spécialité était les assiettes de crudités. Juste ce qu'il nous fallait.
Toutes les quatre étant plus ou moins, non pas au régime, mais à surveiller les kilos que nous ne voulions pas prendre.
 
Les heures d'attention que nous avions passées face à un instructeur peu pédagogue et particulièrement soporifique faisaient que pour nous cette pause ressemblait à la libération d'élèves de collèges au moment de la récréation.
 
Tout en mangeant nous parlions de tout mais surtout pas cours ou boulot. Nous n'en étions pas au fou-rire mais presque. Le déjeuner arrosé d'une carafe d'eau se termina par le luxe d'une tasse de thé pour chacune.
 
Il nous restait une bonne demi-heure avant la reprise du cours. Nous avions le temps d'une petite balade avant de retrouver la salle. Mais avant tout un passage aux toilettes s'imposait et était même conseillé vu le temps que nous allions avoir à passer sur nos chaises. Je crois me souvenir que nous avions trois heures a écouter et à prendre des notes avant la sortie. Évidemment il y avait une petite pause "machine à café "prévue. Mais malgré tout... Sait-on jamais ?
Ce fut R... la boute-entrain, qui lança l'idée à mon oreille. Elle me glissa :
"Les toilettes ?  C'est par là ?"
 
Je confirmais et elle prit la tête de notre groupe comme quelqu'un qui sait où il va. Elle atteignit la première la porte marquée "Toilettes". Elle donnait sur un petit couloir avec deux autres portes. La première s'ouvrant sur les toilettes "Hommes" et la seconde sur les toilettes "Dames". Évidemment elle se précipita sur la première donnant chez les hommes entraînant mes deux autres collègues avec elle. 
La salle pouvait tromper car en plus des urinoirs masculins il y avait deux cabines fermées.
Dans un grand rire je leur fit remarquer l'erreur et je leur demandais si vraiment elles souhaitaient utiliser les urinoirs masculins.
"Moi non... , se défendit R... Mais toi si tu veux."
 
La situation était vraiment hilarante. Mes trois collègues ne connaissaient évidemment pas mes capacités. En quelques secondes j'examinais la situation. Il ne restait que peu de monde dans la salle ; peu de chance que quelqu'un arriva au mauvais moment. Et si un homme arrivait nous étions en force avec quatre filles. De plus il ne fallait pas un temps extrêmement long pour m'exécuter. C'est alors que je prononçais cette phrase :
"Tu paries que je le fais là ?".
 
"Chiche"... annonça R... "Si tu oses demain je vous offre le Champagne à toutes les trois."
 
J'étais en jupe. L'idéal pour cela. Je me présentais donc devant une cuvette, jupe levée. Ma culotte était un peu serrée, je dus la descendre légèrement  Je reconnais que vu les circonstance j'ai crû que j'allais "caler" et j'eus un petit temps au démarrage. Mais bientôt au bruit de la chute dans la cuvette et au petit chuintement triomphant, il n'y avait aucun doute sur la réussite de mon défi.
 
Les filles pouffaient de rire. En remontant ma culotte je lançais : 
- "Allez ! ... A qui le tour maintenant ?" 
 
Aucune ne voulut relever le défi et toutes les trois choisirent les toilettes voisines  pendant que je les attendais dans le couloir.
Soulagée R... annonça : 
- "Bon... D'accord... Demain c'est Champagne."
C'est ainsi que le lendemain à midi elle demanda après avoir pris son plateau si on pouvait avoir une demi bouteille de Champagne. Elle ajouta :
- "C'est mon anniversaire."
 
Le patron d'abord interloqué la regarda et répondit :
- "Ah bon ? Euh... oui !"
Cela devait lui poser un petit problème en apparence.
Il précisa :
- "Je vous l'apporte à votre table."
Ce qu'il fit sur un plateau avec quatre flûtes.
 
Voilà donc éclairci la légende de cette photo qui effectivement me rappelle un bon souvenir.
14 février 2015

"Une anecdote de Florence..."

J'ai assisté dernièrement à une soirée projection-débat d'un cycle de conférence comme j'en ai l'habitude depuis pas mal de temps. La séance débute par une courte présentation suivie de la projection, ensuite une petite entracte puis le débat avec le conférencier sur un thème en rapport avec le film. Le début de la soirée est dix-neuf heures trente et la sortie aux alentours de vingt-trois heures. Je rencontre quasi toujours quelques mêmes personnes avec qui j'ai lié des liens d'amitiés au cours des années et nous prenons une consommation ensemble à l'entracte. Cette foi-ci, je me suis laissée tenter par une bière, qui a sur moi un bon effet diurétique (tout comme le champagne ou le mousseux !). Le débat terminé, je me rhabille, salue mes amies et sort rechercher ma voiture sans passer à la toilette car je n'en ressentait vraiment pas l'envie à ce moment. J'avais garé ma voiture sur un petit parking tranquille à côté d'une église située à sept ou huit minutes à pied de la salle comme j'en ai l'habitude. Je ne sais pas si c'est le choc de la différence de température avec l'extérieur, mais au bout de trois ou quatre minutes de marche, je ressens une bonne envie de faire pipi, et ça ne passe pas mais ça va en empirant... L'endroit où je me trouvais à ce moment n'étant pas très propice à se soulager, je me dis je vais vite à ma voiture et je ferai pipi sur le parking à côté de mon  auto avant de rentrer chez moi. Je presse donc le pas et je vois l'église en vue. Presque sauvée je me dis, plus que quelques instants à tenir, et je vais pouvoir me soulager... Comme c'est l'hiver, je portais un pantalon, mais sans collant en dessous, simplement ma petite culotte. En arrivant à l'église, je vois sur le côté un urinoir ancien, comme c'était souvent le cas au siècle dernier... On avait pensé aux hommes à cette époque, à croire que les femmes n'assistaient jamais aux cérémonies... Ayant toujours un P-Mate dans mon sac, je dis, c'est le soir, il fait sombre, uniquement deux places à cet urinoir, je vais faire pipi dedans à la place de m'accroupir derrière ma voiture les fesses à la froidure ! Je rentre donc, je me place à la place juste à l'entrée, le type de vieil urinoir classique, deux places contre le mur de l'église dans un recoin de maçonnerie, mais couvert au dessus, une rigole en bas avec une séparation d'un bon mètre de haut entre les deux places par un muret de pierre et le même muret à l'extérieur, on peut donc voir à l'extérieur tout en faisant pipi. Je me place donc face au mur comme vous messieurs, je prends mon accessoire dans mon sac, ouvre mon manteau, la tirette de mon pantalon, ouvre ma ceinture, déboutonne le pantalon, le baisse de quelques centimètre pour placer facilement l'accessoire sous mon minou, écarte le fond de ma petite culotte, place le P-Mate et me relaxe et lâche mes grandes eaux dans un sentiment de soulagement immense ! Je me vidais bien à mon aise, je sentais que ça se dégonflait bien dans mon bas-ventre quand je vois des lueurs de phares qui balayent la rue... Pas grave, je suis bien et d'une auto passant enr ue, on ne verra pas qui je suis, je tourne donc mon visage vers la place libre à ma gauche et je finis ma vidange bien à mon aise. J'avais entendu que la voiture roulait lentement et il me semblait qu'elle s'était arrêtée et qu'une portière avait claqué, mais je n'avais pas regardé côté rue, j'avais fini mon pipi, retiré mon P-Mate, remis le fond de ma petite culotte en place, remonté mon pantalon que quelques centimètres et reboutonné le bouton et refermé ma ceinture quand je me risque à regarder vers la rue la tête penchée vers le sol, et je constate que la voiture qui venait de s'arrêter était une voiture de police et qu'un agent en patrouille venait au même endroit que moi pour y faire la même chose ! Heureusement, je n'ai pas paniqué, il est entré à ce moment, est passé derrière moi, je refermais à ce moment ma tirette comme si j'étais un homme (bien oui, des hommes ont aussi des cheveux longs certains !) et je suis sortie de suite de l'urinoir en ne le regardant pas évidemment. Mon P-Mate en carton, je l'avais jeté dès mon pipi fini dans la rigole. Et je suis partie vers ma voiture garée toute proche assez rapidement mais en restant la plus naturelle possible !
Rien, aucune réaction, j'ai attendu un moment portière ouverte, j'ai entendu une portière se refermer, une voiture redémarrer, je suis alors partie de mon emplacement de parking et ai constaté que la voiture de police avait aussi quitté les lieux. J'en étais toute tremblante et une fois arrivée chez moi, j'ai raconté mon aventure à mon compagnon, encore toute émotionnée, mais on en a bien rit et bien reparlé une fois au lit... Comme quoi quand on reste la plus naturelle possible, on ne risque pas grand chose ! Et je me demande encore si ce policier a remarqué ou soupçonné dans la pénombre des lieux que j'étais une femme car il n'a pas aperçu beaucoup mon visage dans le détail, ça j'en suis certaine ! Voilà, chères lectrices du blog, vous pouvez voir l'utilité d'avoir toujours avec soi un accessoire pour faire pipi debout et que garder son calme et sa sérénité peut vous être bien bénéfique dans ces moments là ! La preuve par ma petite aventure vécue !
20 février 2015

"Les réponses de Winnie"

1 - Avez-vous déjà fait pipi en extérieur (en dehors des toilettes) ?

Oui souvent.

2 - Si vous avez répondu oui à la question 1 : à quel endroit précisément avez-vous fait pipi ?

Trop d'endroits pour en citer.

3 - Dans quelles circonstances avez-vous fait pipi dehors ?

Toute la journée dehors, ou après une soirée, etc.

4 - Arrive t-il que vous soyez obligée de vous retenir de faire pipi ? Si oui, pourquoi ?

En cours pas possible de faire autrement.

5 - Vous souvenez-vous de la fois où vous avez eu le plus envie de votre vie ? (Où cela se passait et ce que vous avez fait).

Non.

6 - Avez-vous déjà surpris quelqu'un en train de faire pipi dans la rue ou ailleurs ? Quelle a été sa réaction ?

Non plus.

7 - Quel est l'endroit le plus insolite où vous ayez fait pipi ?

Dans la cour de mon immeuble.

8 - Quand vous êtes dans des toilettes publiques, comment évitez-vous de vous "salir" ou d'effleurer la cuvette ?

Je m'accroupie juste un peu.

9 - Le matin, êtes-vous plutôt :

 

- pipi goutte à goutte ;

- pipi copieux et sonore ;

- fontaine intarissable ;

- pipi saccadé et dru ?

Pipi copieux et sonore.

 

10 - Est-il arrivé que vous ayez l'impression que vous ne pourriez en finir tellement vous aviez envie ?

Oui.

11 - En cas de grosse envie :

- vous ne dépassez guère trente secondes non stop ;

- vous atteignez facilement la minute ;

- vous dépassez facilement la minute ;

- vous pouvez atteindre les deux minutes aisément.

Vous ne dépassez guère trente secondes non stop.

 

12 - Avez-vous déjà entendu une femme faire pipi très longuement ? Si oui, qui était-ce et à quelle occasion ?

Très longtemps je ne sais plus, mais une fois chez mes parents j’ai entendu une jeune femme faire pipi plutôt longtemps.

13 - Pour vous, faire pipi c'est :

 

- un geste naturel spontané donc irrefléchi ;

- un moment de plaisir où l'on se soulage ;

- l'occasion de réfléchir à tout et n'importe quoi ;

- un moment où vous vous "lachez" ?

Un geste naturel spontané donc irrefléchi et un moment de plaisir où l'on se soulage.

 

14 - Avez-vous déjà été surprise en train de faire pipi ? Quelle a été votre réaction ?

Non.

15 - Cela vous gêne t-il que l'on puisse vous entendre faire pipi ? Dans l'affirmative, quelle(s) précaution(s) prenez-vous afin d'éviter cela ?

Non pas vraiment.

16 - Avez-vous déjà vu une amie, un ami ou votre conjoint faire pipi ? Si oui, trouvez-vous cela "naturel" ou "choquant" ?

Naturel.

17 - Avez-vous déjà fait pipi devant quelqu'un ?

Non.

18 - Connaissez-vous des "trucs", des "endroits" pour faire pipi à l'abri des regards quand une envie vous prend ?

Non pas vraiment.

19 - Avez-vous déjà ressenti une "jouissance" en faisant pipi après vous être très longtemps retenue ?

Oui.

20 - Si oui, avez-vous déja fait expres de vous retenir pour ensuite avoir du plaisir en faisant pipi ? Dans quelles circonstances ?

Oui.

21 - A partir du moment où vous avez envie de faire pipi, combien de temps pouvez-vous vous retenir ?

Trois quart d'heure.

22 - Avez-vous déjà involontairement fait pipi dans votre culotte ?

Non.

23 - Portez-vous plutôt des bas ou des collants ?

Les deux.

24 - Quel âge avez-vous ?

22 ans.

17 décembre 2016

"Vu sur une aire de repos" par Florence...

J’étais dernièrement arrêtée sur une aire de repos d’une autoroute dans l’est de la France à une station-service pour y faire un arrêt pipi très demandé par ma vessie. Après une bonne vidange, je ma dirigeais vers les lavabos et je vois arriver une dame bien habillée, très chic, la cinquantaine, sortant des toilettes avec quelque chose en main. Elle se met au lavabo à côté de moi et rince le textile, qui était une petite culotte blanche en dentelle fine… Elle m’avoua n’avoir pu gagner à temps la toilette et avoir commencé à piser dans sa culotte en courant à la toilette, et avoir tout lâché une fois la porte fermée et en train de relever sa jupe… Ses collants ont fini à la poubelle, elle a rincé sa petite culotte et l’a séchée au sèche-main… Elle se trouvait un peu honteuse… Elle m’avoua avoir pensé tout faire sur son siège dans le bus à plusieurs reprises lors des cinq dernières minutes… Je l’ai laissée finir de sécher sa petite culotte et suis sortie.
14 avril 2017

"D'une oreille innocente mais indiscrète" par Martine...

Alors que j'étais en stage de formation dans la région parisienne, (ça n'était donc pas hier), j'avais près d'une heure d'attente de mon train pour rentrer sur Paris. Chaque soir j'en profitais pour boire un thé dans un petit bar sympa pas loin de la gare, et tenu par une petite vieille tout aussi sympa dans son accueil tout comme son bar. Chaque soir après le thé,  je profitais des toilettes de l'établissement qui se composaient d'une cabine avec cuvette tout simplement.  Pas besoin de plus vu la modestie de l'établissement.
 
Ce soir là deux copines, je leur donne quatorze ou quinze ans, bavardaient comme deux fofolles avec de petits mots à l'oreille entrecoupés de petits rires. Leur verre vidé elles se dirigèrent ensemble vers les toilettes pendant que je terminais de déguster ma tasse.  Puis je me levai à mon tour vers les toilettes pensant croiser les deux filles dans le couloir ou de les voir se recoiffant. Je fus surprise de constater qu'elles étaient toujours dans la cabine et toutes les deux. Je me résignais donc à attendre un peu qu'elles sortent. Elles n'avaient pas entendu le bruit de mes pas et continuaient me croyant sans doute encore occupée à boire ma tasse. 
Elles ne se méfiaient pas et je ne manquais rien de leur conversation et de leurs petits rires. "Non... Pas comme cela... Tire plus fort sur ton slip. Tu as bien vu comment moi je faisais ?" Petits rires puis : "Attends c'est moi qui vais mettre mes doigts. Quand c'est tes doigts je n'y arrive pas tu le sais bien" Puis ce fut deux petits rires et un bruit de chute dans l'eau des toilettes.  "Oui... Bravo... Tu vois j'ai des doigts magiques. Ne te remets pas. Je t'essuie" Et ce fut le bruit du papier qui sort de la boite.
Pour suivre ce fut un bruit de vêtement que l'on réajuste et  la sortie de mes deux fofolles qui voyant ma présence marquèrent un temps d'arrêt avant de partir vers la salle à toutes jambes.
Je ne puis les accuser mais il y en avait tout  autour de la cuvette. Fort heureusement cela ne me gêna pour faire ce que j'avais à y faire. Un moment  surprise par ce petit jeu je finis par penser : "Après tout, elles ne font de tort à personne... Elles découvrent tout simplement." A leur âge il m'était absolument interdit de faire une telle découverte. 
24 septembre 2017

"Quand on ne peut plus, n'importe où, mais pas dans la culotte !" par Florence...

La scène se déroule en Allemagne sur l'autoroute entre Aix-la-Chapelle et Cologne un dimanche d'août vers quinze heures. Nous étions complètement à l'arrêt et avions du quitter l'autoroute suite à un grave accident je crois. Cela faisait deux heures qu'on était à l'arrêt et des hommes et enfants - des deux sexes - s'étaient déjà soulagés sur le bas-côté. Une femme, la cinquantaine, était sortie de la voiture et était rentrée dans la caravane, d'où elle est ressortie quelques minutes après, ayant pu satisfaire un besoin pressant. Heureusement pour elle, elle avait une caravane.
Je commençais à avoir envie et je dis à mon compagnon : "Si ça ne va pas mieux, je vais aller faire pipi avec mon accessoire". J'étais en pantalon je précise.
A ce moment quelques voitures devant nous, une femme en pantalon style jogging noir sort du véhicule, rejoint la bande d'urgence, passe au-dessus de la rambarde de sécurité, gravit le talus et une fois en haut, franchit un petit parapet, et de l'autre côté dans les hautes herbes, se met dos à l'autoroute, baisse ses vêtements ce qu'il faut et s'accroupit... Elle est restée dans cette position une petite minute, ce qui veut dire une vessie pleine à exploser je suis certaine ! Une fois soulagée, elle a remonté ses vêtements, redescendu le talus et est rentrée dans la voiture.
Cela a donné du courage, car quelques minutes après, une autre femme a fait de même, elle portait un short.
Quelques minutes après, je suis sortie et suis allée vers la rambarde, accompagnée par une hollandaise. Une fois la barrière passée, j'ai sorti mon P-Mate et me suis soulagée comme un homme sous les yeux ébahis de cette hollandaise. Elle était en jupe, je lui ai proposé un P-Mate et lui ai expliqué comment procéder... Après quelques secondes d'hésitation, elle a opté pour ma solution, relevé le devant de sa jupe, mis sa petite culotte sur le côté, placé son P-Mate et lâché les grandes, mais alors très grandes eaux ! ! !
Elle a demandé comment se procurer cette merveille et je lui ai donné les renseignements. C'était une femme autour de la bonne quarantaine...
1 septembre 2018

"Les réponses de Nomade"

1 - Avez-vous déjà fait pipi en extérieur (en dehors des toilettes) ?

Oui.

2 - Si vous avez répondu oui à la question 1 : à quel endroit précisément avez-vous fait pipi ?

Au sol.

3 - Dans quelles circonstances avez-vous fait pipi dehors ?

Grosse envie en vacances.

4 - Arrive t-il que vous soyez obligée de vous retenir de faire pipi ? Si oui, pourquoi ?

Pour faire des photos, des films.

5 - Vous souvenez-vous de la fois où vous avez eu le plus envie de votre vie ? (Où cela se passait et ce que vous avez fait).

Chez mon ami, j'ai fait toute habillée.

6 - Avez-vous déjà surpris quelqu'un en train de faire pipi dans la rue ou ailleurs ? Quelle a été sa réaction ?

Non.

7 - Quel est l'endroit le plus insolite où vous ayez fait pipi ?

Devant une grotte.

8 - Quand vous êtes dans des toilettes publiques, comment évitez-vous de vous "salir" ou d'effleurer la cuvette ?

Je reste un peu debout, ou je protège avec le papier.

9 - Le matin, êtes-vous plutôt :

 

- pipi goutte à goutte ;

- pipi copieux et sonore ;

- fontaine intarissable ;

- pipi saccadé et dru ?

Pipi copieux et sonore.

 

10 - Est-il arrivé que vous ayez l'impression que vous ne pourriez en finir tellement vous aviez envie ?

Parfois.

11 - En cas de grosse envie :

- vous ne dépassez guère trente secondes non stop ;
- vous atteignez facilement la minute ;
- vous dépassez facilement la minute ;
- vous pouvez atteindre les deux minutes aisément.

Vous pouvez atteindre les deux minutes aisément.

12 - Avez-vous déjà entendu une femme faire pipi très longuement ? Si oui, qui était-ce et à quelle occasion ?

Moi.

13 - Pour vous, faire pipi c'est :

 

- un geste naturel spontané donc irrefléchi ;

- un moment de plaisir où l'on se soulage ;

- l'occasion de réfléchir à tout et n'importe quoi ;

- un moment où vous vous "lachez" ?

Un geste naturel spontané donc irrefléchi.

 

14 - Avez-vous déjà été surprise en train de faire pipi ? Quelle a été votre réaction ?

Oui, sourire.

15 - Cela vous gêne t-il que l'on puisse vous entendre faire pipi ? Dans l'affirmative, quelle(s) précaution(s) prenez-vous afin d'éviter cela ?

Non.

16 - Avez-vous déjà vu une amie, un ami ou votre conjoint faire pipi ? Si oui, trouvez-vous cela "naturel" ou "choquant" ?

Naturel.

17 - Avez-vous déjà fait pipi devant quelqu'un ?

Oui.

18 - Connaissez-vous des "trucs", des "endroits" pour faire pipi à l'abri des regards quand une envie vous prend ?

Non.

19 - Avez-vous déjà ressenti une "jouissance" en faisant pipi après vous être très longtemps retenue ?

Non.

20 - Si oui, avez-vous déja fait expres de vous retenir pour ensuite avoir du plaisir en faisant pipi ? Dans quelles circonstances ?

21 - A partir du moment où vous avez envie de faire pipi, combien de temps pouvez-vous vous retenir ?

Des heures.

22 - Avez-vous déjà involontairement fait pipi dans votre culotte ?

Non.

23 - Portez-vous plutôt des bas ou des collants ?

Bas.

24 - Quel âge avez-vous ?

57 ans.

30 novembre 2019

"Les réponses de Madameanonyme7"

1 - Quel est l'endroit où vous adorez uriner ?

A la campagne (dans l'herbe).

2 - Pourquoi ?

Parce qu’on a un sentiment de liberté en n’étant pas dans des toiletttes.

3 - Quel est l'endroit où vous détestez uriner ?

Les toilettes des trains ou les toilettes portables des festivals.

4 - Pourquoi ?

Parce que les toilettes n’ont pas une forme ergonomique et c’est bruyant.

5 - Avez-vous des petites habitudes avant d'uriner ?

Il m’arrive de commencer à faire pipi avant d’être assise. Je viens juste de baisser ma culotte et mon pantalon, j’ai les fesses au-dessus de la cuvette et le jet part déjà.

6 - Après ?

Avant de remettre ma culotte je la touche pour voir si elle est humide ou pas car bien souvent elle l’est mais ce ne sont que de petites fuites. Je fais ça après un pipi urgent.

7 - Comme on peut le voir sur de nombreux sites de voyeurisme, certaines personnes cachent des caméras à des endroits stratégiques où les femmes de soulagent (WC turques, derrière des murs...). Cela vous fait-il peur ?

Je n’aimerais pas qu’on voit ma tête mais si ce n’est pas le cas ça ne me dérange pas plus que ça.

8 - Pourquoi ?

Mais oui ça fait peur de savoir qu’on peut être filmées aux toilettes mais on ne va pas s’arrêter de faire pipi et perso quand j’ai une urgence je n’y pense pas.

9 - Lorsque vous urinez dehors, faites vous autre chose en même temps (pause maquillage, téléphone) ?

Non.

10 - Cela vous a-t-il déjà joué des tours ?

Non.

11 - Vous êtes vous déjà servi de votre urine pour vous débarrasser d'un déchet (mégot, prospectus...) ?

Non.

12 - Préférez vous uriner dans des toilettes ou dans la nature (jardin, bois...) ?

Dans la nature et largement.

Parenthèse "écolo" de Zolpan

13 - Si vous avez répondu "dans les toilettes", en faisant le petit calcul suivant, est-ce que cela vous ferait changer d'avis :

une chasse d'eau utilise environ 11 litres d'eau à chaque utilisation. A raison de 4 chasse d'eau par jour, on utilise 44 litres d'eau potable pour pas grand chose. En plus, cela fera, je pense, plaisir à vos maris ou vos petits amis ;-)

14 - Quel âge avez-vous ?

27 ans.

11 décembre 2019

"Mes mauvaises manières" par Martine...

De ma mère,  ma "grande soeur "R...... et moi avons reçu une éducation très stricte et ce qui va avec à savoir : "les bonnes manières" pour que nous soyons des filles  "bien élevées."  Entr'autre, je crois me souvenir que plus personne, ni même ma mère ne m'a vue nue ou entrain de faire pipi dès que j'ai eu huit ans.  C'était la cuvette des toilettes ou si pas un pot familial en faïence avec utilisation discrète bien cachée,  porte bien close. Je n'ai même jamais vu ma soeur s'en servir . La loi c'était toujours à l'abri des regards et toute précaution devaient être prises en conséquences sous peine de réprimandes. 

 

Un problème se présentait lorsque nous n'étions pas chez nous. Chez des parents ou des amis évidemment nous devions demander pour faire usage des toilettes, ce qui n'était pas un vrai problème. Quoique parfois notre mère nous regardait d'un œil réprobateur en pensant : "Évidemment... elle le fait exprès" . Le vrai problème était lorsque nous étions à l'extérieur. Nous devions impérativement trouver un coin très discret pour nous épancher loin des regards qui auraient pu nous atteindre. 

 

Plus gros problème encore mon père était vigneron et bien sûr toute la famille, y compris ses deux filles, étaient souvent occupées aux travaux viticoles. Fort heureusement, généralement il n'y avait que notre mère, dans l'allée et nous faisions vite et surtout très discrètement.   

 

Soudain il y a eu "le choc".  Je crois que je devais avoir 11 ou 12 ans. C'était en plein été , en période de vacances. Il faisait très chaud. Je suis même certaine que c'était un lundi parce ce jour là était jour de lessive et que traditionnellement la lessive... c'était le lundi . Je m'occupais comme une fillette de mon âge peut s'occuper lorsque... elle n'a rien à faire. J'allais et venais dans l'allée du jardin. Par contre ma soeur avait la charge de transporter le linge lavé dans un grand panier d'osier avant de l'étendre pour sécher sur des cordes tendues tout le long de cette longue allée. 

 

Il arriva qu'entrant dans la maison je dû m'esquiver pour laisser passer un gros panier de linge mouillé qui partait à sécher par les bons soins de ma soeur. Comme rien de nouveau pouvait me retenir près de la machine à laver, j'en profitais pour boire un fond d'eau et je retournais arpenter l'allée.  

 

A mi-chemin qu'elle ne fut pas ma surprise d'être témoin d'un spectacle dont je n'en croyais pas mes yeux. A quelques mètres de moi, le panier de linge vide était abandonné et je pouvais voir ma soeur face au tas d'herbe sèche, jupe relevée par une main et culotte écartée par l'autre envoyer devant elle un superbe pipi qui s'écrasait dans l'herbe. Je ne pu pas me retenir de lui dire : "Ah! ... Tu fais pipi comme cela toi? " Je pense que mon intervention inattendue à dû lui couper la fin de son envie car le slip fut rapidement fermé et la jupe baissée.  Elle bredouilla maladroitement : Oui... Et alors ? ... Quand tu seras grande tu pourras aussi si tu veux." Voilà les mots miracles "Quand tu seras grande". Mais je suis grande. Elle ajouta pour me tuer : "Si tu le dis à maman je ne t'aiderais plus à faire tes maths" Ce fut un argument décisif. J'ai gardé le silence jusqu'à ce jour.  

 

C'est de cette découverte que vient mon penchant. Évidemment j’eus tout de suite l'envie de partager cela avec ma voisine de mon âge dont le verger familial jouxte notre jardin. L'après midi je l'ai retrouvée parmi les pommiers  et je lui ai fait part de ma découverte. Et d'un commun accord nous avons décidé de tenter l'expérience. Ce qui fut fait évidemment. Ce fut avec beaucoup de maladresse que nos avons fait un pipi "comme les grandes". Ca partait dans tous les sens y compris sur les jambes et la culotte que comme les grandes nous n'avions pas ôtée. 

 

Il y eu par la suite bien des rencontres avec cette petite voisine soit disant pour ramasser des pommes mais en fait nous nous montrions l'une à l'autre les progrès accomplis car rapidement nous nous sommes rendu-compte que nous pouvions intervenir sur la sortie. Il y eut même des concours de distance. 

Depuis, je ne me suis jamais cachée d'autres femmes pour le côté pratique, ou en forme d'invitation à me suivre. Certaines furent surprises, d'autre moins, d'autres se convertirent même.

 

Je ne vois plus ma petite voisine lorsque je vais chez mes parents. Elle a quitté la région.  Elle devrait avoir  mon âge. Le verger à pommes est toujours là. Il garde le secret mais il me rappelle de bons souvenirs lorsque je repasse au pays. Je ne suis toujours pas brillante en maths. mais ma "grande" soeur n'y est pour rien. Elle a continué à m'aider et moi à garder le secret. 

6 février 2020

Les réponses d'Alain...

1 - A l'extérieur, dans quelle position faites-vous pipi ? Pour quelle(s) raison(s) choisissez-vous cette position ?

Debout, mais je ne comprends pas la question. Si ça concerne les toilettes publiques, c'est toujours debout même si c'est une cuvette pour l'hygiène. Par contre chez moi je fais toujours assis pour éviter les éclaboussures. 

2 - Essayez-vous de vous cacher ? Si oui, comment ?

Oui, toujours dans un recoin, au pire en tournant le dos.

3 - Après avoir fait pipi, utilisez-vous du papier toilettes ?

Oui toujours.

4 - Cela vous dérange t-il de faire pipi en présence d'autres personnes (femmes ou hommes) ?

Oui.

5 - Est-il arrivé qu'une femme vous regarde faire pipi ?

Ma femme oui.

26 mars 2020

"Les réponses de Julie"

Si possible, plutôt que de simplement répondre oui - le cas échéant - il serait sympathique de raconter l'anecdote (âge, lieu, circonstances, attitude). 

1 - Quelques données personnelles : 

- sexe ; Femme

- âge ; 28 ans

- lieu (aussi imprecis que vous le souhaitez). Ile-de-France

 

2 - Concentrons-nous sur les vestiaires de piscine pour commencer. La raison principale étant que contrairement aux autres vestiaires, le sol est généralement très mouillé. 

A - Avez-vous déjà fait pipi ici ? 

- oui, dans une cabine ;

- oui, dans un coin tranquille / caché ;

- oui, près de mon banc ;

- oui, au-dessus d'un drain ;

- oui (precisez) ;

- non.

Oui plusieurs fois, dans une cabine et au-dessus d’un drain s’il y a. Mais pas sur le banc, salir le sol c’est déjà pas très propre mais pas le banc.  

  

B - Avez-vous déjà encouragé à faire pipi ou laissé faire un de vos enfants ici ? 

Je n’ai pas d’enfants mais en cas d’envie je les aurais laissé faire pipi. Et étant enfant je faisais déjà pipi dans les cabines.

C - Avez-vous déjà été témoin d'un tel évènement, ou cela vous a-t-il été raconté ? 

Je l’ai moi-même fait, mais oui j’ai déjà entendu des enfants dire à leur mère qu’ils voulaient faire pipi et celle-ci leur a répondu de faire par terre dans la cabine. Quand j’étais petite et que j’allais dans la même cabine que ma mère, elle faisait souvent une vidange à ce moment-là.

D - Pour quelle raison cela est-il arrivé ? 

- pas de douches ou toilettes à proximité immédiate ;

- les douches ou toilettes étaient occupés ;

- c'était plus simple. 

Il n’y a pas de toilettes entre l’entrée et les vestiaires, et étant donné que dans les vestiaires on est nue (ce qui me donne un peu plus envie de faire pipi) et qu’après les vestiaires il faut ensuite mettre ses affaires dans un casier, au moment où j’ai fini de me déshabiller je préfère tout simplement m’accroupir et profiter de ce soulagement. De plus les toilettes des piscines sont souvent sales.

E - Votre avis (Ca ne fait pas de mal / c'est dégoutant / les accidents arrivent...) ?

Premièrement une vessie ça doit bien se vider. Après ce n’est pas très propre mais ça ne fait pas de mal et ça ne tue personne. Et aussi les accidents arrivent, je dis ça pour celles et ceux qui arrivent à la piscine la vessie pleine, il faut bien la vider.

 

3 - On reprend, mais cette fois-ci pour des vestiaires en général, par exemple dans un club de gym. 

A - Vous ? 

B - Un enfant sous votre responsabilité ? 

C - Quelqu'un d'autre ? 

D - Pour quelle raison ? 

E - Votre avis ?

Non.

 

4 - Et maintenant, dans les cabines d'essayage d'un magasin. J'ai entendu dire que cela arrivait notamment avec des enfants ou lors des soldes - à cause de l'affluence - par exemple. Krys a déjà raconté une telle anecdote sur ce blog. 

A - Vous ? 

B - Un enfant sous votre responsabilité ? 

C - Quelqu'un d'autre ? 

D - Pour quelle raison ? 

E - Votre avis ?

Une copine à moi a tout lâché dans sa culotte et sur le sol dans une cabine. Heureusement pour elle elle était en train de se changer et n’avait rien sur ses jambes. A ce moment j’etais devant les cabines à l’attendre. 

A mon avis c’est pas ouf pour les gens qui viennent après, mais les accidents arrivent et il n’y avait pas de toilettes dans ce magasin ni aux alentours (il ne faisait pas partie d’un centre commercial).

 

26 mars 2020

Sondage "Capacité de votre vessie, pour les femmes et les hommes" par Julie...

Videz votre vessie puis buvez 1 litre d’eau.

Chronométrez combien de temps vous vous retenez et retenez-vous au maximum, puis soulagez-vous pleinement dans un verre doseur.

Si vous le pouvez, chronométrez aussi votre pipi.

Indiquez également si vous êtes un homme ou une femme et répondez sincèrement et honnêtement à ce questionnaire sans tricher sur la capacité de votre vessie ou autre.

 

 

 

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