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Le blog pause pipi
25 octobre 2023

"Une nouvelle anecdote de Lucie..."

Hier soir j'ai été dîner chez une amie qui habite à une heure de chez moi. Nous avons mangé une belle viande rouge avec de la purée au fromage et une sauce au vin. Ensuite nous avons bu quelques bières sur le canapé à papoter comme deux copines qui ne s'étaient pas vues depuis longtemps. Et il se fait tard, faut que je rentre à la maison. Je n'ai pas envie de faire pipi en partant de chez Daniela. Elle y va, je l'entends pisser normalement à travers le couloir menant à la porte d'entrée. On se fait un gros câlin amical avant de se quitter. J'ai fait la moitié du chemin en voiture quand l'envie me vient. C'est une grosse envie, je peux la faire patienter mais ça me ferait trop du bien de vider ma vessie. Pour l'instant je ne suis au milieu de rien, avec la nuit et malgré mes phares allumés je ne vois pas d'endroit possible pour m'arrêter, je serre les cuisses pour ne pas avoir de fuites, ça m'ennuierait de pisser sur le cuir de mes sièges. Quelques minutes après je traverse un village, il n'y a personne dans les rues. Je découvre un lieu près d'une borne de tri de vêtements un peu à l'écart, pas très éclairé par les lampadaires, je décide de m'arrêter là. Je gare ma voiture dans le sens de la route pour me cacher derrière. Je sors de la voiture le bas ventre tendu, j'en fais le tour et je vais enfin pouvoir me libérer. Je baisse mon collant et mon string d'un même mouvement, remonte ma jupe et la retient d'une main, je m'accroupis mais au même moment, une autre voiture se gare dans le périmètre, je vois que c'est un homme. Je me remet debout, remonte uniquement mon collant dans la précipitation, ce qui fait que j'ai le string mal placé, ce n'est pas très confortable. Je vais devant ma voiture pour faire semblant de rien, je croise les jambes en évitant que ça se voit trop. Je croise les bras et me mords la lèvre en me demandant si je remonte dans la voiture pour chercher un autre endroit ou pas. Heureusement, le jeune homme repart assez vite, houra, je retourne me cacher et je peux enfin me laisser aller. Je soupire de soulagement "Ooooh", je respire lentement et profondément. Les yeux fermés, et avec une main sur ma joue tant mon pipi est bon j'écoute mon minou chanter, mon jet d'urine n'est pas le plus puissant mais il y a un beau débit, il va un peu plus loin que mes pieds. Ensuite la source se tarit petit à petit, ça se finit par un ou deux jets timides. Je me relève pour ouvrir la portière pour prendre un mouchoir dans la boîte à gant. J'essuie mon sexe comme d'habitude et jette le Kleenex sur la tapis de sol passager. Je remonte mon string, mon collant, et m'installe au volant pour faire une marche arrière. Ayant pris assez de recul je découvre ma flaque de pipi, elle est bien plus grande que je ne l'aurais cru, une petite rigole allant vers la route est déjà bien là. Je suis assez fière de moi, si je ne faisais pas autant attention aux déchets que je laisse derrière moi, mon Kleenex finirait bien le tableau au milieu de cette petite marre de pipi.

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23 août 2023

"Le périnée et la miction féminine" par Lucie...

Bonjour à toutes et à tous,

Récemment j'ai visionné une courte vidéo sur un média feministe "Simone Media" sur l'importance du périnée lors de la miction féminine.
 
Et je tenais à vous en faire part, avec mon interprétation. Histoire que cet article ne soit pas trop long je vais me baser uniquement sur cette vidéo et mes connaissances. 


Tout d'abord, qu'est-ce qu'un périnée ? C'est un organe musculeux situé entre notre vagin et notre anus, son rôle est d’exercer une pression de résistance suffisante pour maintenir un équilibre permanent. Il joue donc également un rôle essentiel dans la continence puisque c’est lui qui permet de fermer ou d’ouvrir la vessie. Un périnée en bonne santé ne doit pas être fort, ni embêtant mais compétent, c'est-à-dire souple, mobile et réactif aux contraintes de la vie. Dans ce qui nous intéresse, pour prendre soin de son périnée, il faut aller faire pipi quand on en a envie, ne pas se retenir car cela l'affaiblit, tout comme les pipis "au cas où". Aussi la position naturelle pour uriner (ou aller à la selle) est d'être accroupie. Ce qui fait du mal à notre périnée est de faire pipi debout, puisqu'on ne peut pas totalement détendre notre périnée, et on a tendance à pousser. Et c'est qui est totalement interdit toujours selon la vidéo ce sont les pipis en squat, en équilibre au dessus de la cuvette.

Mon interprétation:

Depuis le temps que je fréquente le blog, vous avez dû voir que je faisais mes pipis hors de chez moi en étant accroupie. Tout comme chez moi (ou dans les toilettes de mes amies) je continuerais de m'asseoir bien évidemment, sans compter que nous avons presque toutes un petit tabouret pour replier les jambes. Donc ça c'est bon mais par contre je n'arrêterais pas de me mettre en position de squat au-dessus des toilettes que je ne connais pas et qui m'ont l'air cracra. Mon périnée pourra supporter ça de temps en temps, et je ne tiens pas à avoir la vulve infectée de je ne sais pas quoi.
 
L'incontinence urinaire touche un quart des femmes. Alors mesdames, si vous voulez avoir un périnée fort, la culotte sèche et l'esprit tranquille, pissez accroupie ;) . 
 
Martine je pense à toi, toi qui pousse tout le temps debout, je serais curieuse d'avoir ton avis ;)

3 avril 2023

"Une anecdote de Cy51..."

Cette anecdote remonte à l'époque de ma pré-adolescence, et à l'époque il était courant d'être emmené par les parents des voisins/copains pour se balader. C'était un non-dit entre familles : tu t'occupes de mon gamin un après-midi et je m'occupe du tien.

Cet après midi là, nous étions dans une foire du nord de la France, vers la fin de l'été, dans une ville médiévale à côté de la frontière belge, avec ses rues étroites et ses portes cochères, où il était facile de perdre des gens, et surtout des enfants de vue. C'était un peu l'événement local qui signifiait la rentrée pour tout le monde et elle attirait une grande foule chaque année. A cette époque là, j'étais vu comme le "gentil garçon" donc très facile à chaperonner (je n'allais pas courir à droite à gauche et j'écoutais ce que l'on me disait) donc on me proposait souvent de m'emmener et c'était le cas pour cette anecdote.
Mon camarade de jeu, dont les parents m'emmenaient sans doute dans l'espoir que mes parents occupent leurs rejetons, lui était un enfant hyperactif, toujours à crier, courir, faire des bêtises - il faut dire que l'époque était encore au "il faut que jeunesse se passe". Sa mère était un peu épuisée de tout ça et je suppose qu'à côté, je devais être plus facile. Appelons là V. ou Madame V.
C'était le milieu de l'après-midi et nous devions être là depuis deux heures je pense. Et le fils de V. avait encore bousculé quelqu'un, une personne âgée. Madame V en avait eu assez : elle prit son fils par la main, qui était en pleine crise de colère pour le confier à son mari (sans doute pour une correction méritée). Il faut se souvenir qu'à l'époque, ce n'était pas rare que les foires servent surtout à garnir les bars du coin et il y en avait encore un peu plus que de nos jours (l'ancienne génération était encore là), alors et sans téléphone portable bien sur, Madame V nous traina de bar en bar pour trouver son mari, en vain. On finit enfin par trouver une tête connue : la mère de Madame V., qui accepta de garder un oeil sur son petit-fils toujours en pleine colère. Sans doute un peu fatiguée, V n'a pas demandé à sa mère de s'occuper de moi aussi, et voila que je me retrouve entraîné, par la main, dans la foule. Et, petit à petit, je sentais que V. avait serré bien plus fort ma main alors j'ai demandé :
"Madame V, est-ce que j'ai fait quelque chose de mal ? Vous êtes en colère après moi ?"
Elle m'a alors regardé, et s'est penchée avec un petit sourire m'a dit quelque chose du genre :
"Non non, c'est juste que je dois aller au petit coin."
Bien des années après, j'ai réalisé après que ce n'est pas tant pour chercher son mari que nous visitions chaque bar, mais pour tenter d'utiliser les toilettes. Or, entre la foule et son fils en pleine crise, il n'était pas possible d'attendre calmement. On a alors continué, à grandes enjambées que j'avais un peu de mal à suivre, en esquivant les gens dans la foule. A ce moment-là, V écrasait presque ma main, à m'en faire mal. Puis, nous nous sommes arrêtés devant une porte cochère et elle m'a dit :
"On va entrer, fais attention au bas de la porte.
- Monsieur V est là ?
- Non, mais je dois vraiment aller au petit coin, je ne peux plus attendre ou je vais faire dans ma culotte."

Madame V m'a aidé à enjamber le bas de la porte (j'étais aussi connu pour tomber tout le temps et me faire mal) et a fermé la petite porte extérieure derrière elle. Elle s'est arrêté et à soupiré. La porte cochère était un hall d'immeuble. Je suppose que l'urgence a pris le dessus sur la décence et m'a amené vers un coin éloigné de la porte extérieure et de la porte de l'immeuble.

"Ecoute, je vais faire pipi dans le coin, et toi, tu vas te mettre devant pour pas que l'on me voie, et tu regardes devant toi, d'accord ?"

J'eus à peine le temps d'acquiescer sans trop comprendre qu'elle me tourna les épaules pour que je sois dos à elle et commença à retirer ceinture et pantalon, puis me tapota sur l'épaule. Par réflexe, je me suis retourné et je me suis retrouvé à voir un joli buisson avec un pantalon à mi-cuisses. J'étais visiblement trop près et elle ne pouvait pas s'accroupir, de ce que j'ai compris entre le petit reproche que j'ai pris et les excuses que j'ai bredouillé.

Un pas en avant et quelques secondes plus tard j'ai entendu un jet puissant de pipi derrière moi frapper le sol et éclabousser l'arrière de mes baskets (Power Rangers, avec la lumière dans les talons - pour les gens des années 90 !). Un début de flaque très odorante se formait. Et soudain, la porte extérieure s'est ouverte et deux dames d'un âge plus avancé sont entrées, ce qui a surpris V. Elle a un peu sursauté et son jet a touché ma cheville. Elle a dit quelque chose du genre :

"Merde, je peux pas m'arrêter, tant pis." 

Ce à quoi les dames ont répondu quelque chose du genre :

"Ne vous inquiétez pas Madame, on est là pour la même chose que vous."

V. se dépêcha de finir et se rhabilla pendant que mes pieds étaient littéralement dans sa flaque, puis me rattrapa vite fait par la main et me tira vite fait pendant que les dames commençaient à peine à pisser.

V. nous fit sortir des toilettes de fortune et me dit :

"Je te paye une grosse glace et tu ne dis rien à tes parents, ok ?"

Désolé Madame V. mais 20 ans de silence, ça vaut bien la glace au chocolat non ?

18 août 2023

"A deux on a parfois plus de courage..." par Florence...

Il y a peu, j'étais en sortie shopping avec une amie de longue date un peu plus jeune que moi. Nous avions garé la voiture en périphérie du centre ville où le parking est gratuit et non payant. Après quelques heures on était de retour au parking situé autour d'une église. Il faisait beau, pas trop chaud, on avait toutes les deux une petite robe d'été jusqu'à un peu au-dessus du genoux. Nous avions pris deux consommations, mais pas été à la toilette car pas envie... mais arrivées à la voiture avec nos sacs, elle me dit je pense regretter de ne pas avoir été à la toilette quand même, car je ne sais pas toi, mais j'ai envie de faire pipi... je lui dit j'allais te le proposer, car moi aussi je pense que je vais faire avant de retourner ! Mais où aller elle me dit. Je connais l'endroit pour y être déjà allé seule, on va mettre nos sacs dans le coffre, et suis moi. Derrière l'église il y a un ancien urinoir, juste deux places, paroi et rigole le long du mur de l'église et un beau paravent métallique cintré derrière avec une seule entrée pour faire écran. De plus l'écran ne va pas jusqu'au sol alors on voit qu'il y a deux personnes qui occupent les places si un autre amateur se présentait pendant qu'on est en action ! Mais ne crains rien, je n'ai jamais vu personne s'y présenter par le passé ! Nous arrivons donc, tout est calme, je rentre et elle me suis, on se place chacune face au mur comme les hommes, on ne se met pas trop près pour ne pas avoir d'éclaboussures éventuelles, on étaient devant la séparation, on se voyait complètement, on a relevé notre petite robe sur le devant, les cuisses à moitié découvertes mais notre arrière train encore couvert par notre robe, fond de la petite culotte sur le côté et ouverture des vannes ! Mais quelle pression et quel jet mon amie ! ! ! Mon jet atterrissait un peu devant mes pieds, mais elle ! ! ! Un vrai geyser bruyant qui frappait le mur un peu au-dessus de sa base avec force ! Comme tu avais envie je lui ai dit ! Regardes moi, j'avais aussi bien envie, mais rien de comparable à toi !  En me regardant pisser, elle me dit je fais toujours ainsi, grande envie ou petit pipi, depuis petite j'ai toujours pissé loin ! Déjà à l'école primaire j'étais la championne de mes copines ! A un moment, elle a pété sec une bonne fois, et on a éclaté toutes les deux de rire tout en terminant de bien pisser ! On a eu fini quasi en même temps, comme on est mieux elle me dit, oui on peut rentrer à notre aise maintenant ! Je ne connaissais pas cet endroit, maintenant je sais où je peux me rendre en cas de besoin ultérieur.

21 juillet 2007

Une anecdote dans un centre de formation...

L'action se situe dans les toilettes d'un centre de formation. Je me trouve dans un des compartiments, côté hommes. Soudain, j'entends deux filles qui entrent en disant quelque chose comme "On va chez les types". Elles choisissent les compartiments situés de part et d'autre de celui que j'occupe. Je les entends alors simultanément faire couler leur pipi dans l'eau de la cuvette. Elles quittent ensuite leur compartiment et je fais de même juste après. Alors que nous utilisons tous trois les lavabos, l'une d'entre elles, gênée de se trouver là, présente ses excuses et me dit "Y'a trop de monde chez les filles". Je lui réponds que leur présence ne me dérange pas.

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26 juillet 2007

Une anecdote de PPH. Merci...

Avec mon ancienne compagne, j'avais pris l'habitude de la laver, après un lent déshabillage, le bain déjà servi, je la caressais à l'aide du gant de toilette savonné, les gestes doux et tendres étaient appréciés. Un jour, dans la baignoire, elle s'excusa de ne pas pouvoir retenir un pipi urgent, et j'ai embrayé, si j'ose dire, en lui démontrant que l'acte était merveilleux !
D'abord génée, surprise, je lui posais la main sur le ventre et elle a beaucoup aimé ce geste.
On en a discuté toute la soirée et même tard dans le lit, tout en faisant l'amour...
Elle m'avoua qu'elle avait toujours craint de faire pipi au moment d'un orgasme !
Alors les jours qui suivirent, j'apportais toujours au pied du lit des récipients que je lui faisais remplir dès qu'elle le souhaitais.
Là, c'est un jeu qui s'instaurait : le côté positions différentes revenait tout comme je le pratiquais enfant avec ma petite voisine...
Du pipi esthétique on parvenait au pipi érotique, ce qui me donnait une "forme" inaltérable, parfois il y avait des "loupés", un petit jet de travers qui mouillait les draps, jusqu'au jour où au cours d'un orgasme, elle s'est vidée au lit, sur moi !
Bien qu'ayant également joui à ce moment, mon sexe est redevenu rigide, aussitôt, en-elle !
Je crois que c'était le plus bel orgasme de ma vie, long et pas saccadé du tout, interminable, très doux, à ce moment nous nous tenions mutuellement les mains, quelque chose se passait dans les mains aussi, aussi étrange que cela puisse paraître...

24 septembre 2007

Une anecdote concernant les deux filles de Femme mûre...

Durant les vacances mes deux filles étaient allées à la mer en excursion avec le train et le soir venu elles rentraient. Il faisait quasi noir quand dans le train à mi chemin de la maison, la cadette a ressenti le besoin impérieux de faire pipi. Elles traversent le wagon (quasi vide à cette heure) à la recherche de toilettes, et dans le wagon de tête elles trouvent l'endroit tant désiré. Mais, stupeur ! Sur la porte, verrouillée, une affiche : hors service ! "C'est que je dois absolument faire" dit la cadette à l'aînée ! "Pas ici sur la plate-forme, c'est trop risqué" lui dit l'aînée. Viens dans le compartiment, il n'y a personne. Elles entrent donc et la cadette s'assied sur la banquette au bord en relevant un peu sa mini-jupe (elles étaient toutes deux en mini-jupe) ; elle écarte ses jambes et met le fond de sa petite culotte sur un côté et s'apprête à faire pipi quand sa soeur aînée lui dit : "Arrête-vite, voici le contrôleur !" Heureusement elle n'avait quasi rien fait, elle a su vite bloquer le jet qui ne demandait qu'à sortir, vite remis sa culotte en place et rebaissé sa jupe et refermé ses jambes ! Seules quelques gouttes de pipi étaient tombées sur le sol à ses pieds ! "Je vais attendre qu'il soit passé et je ferai vite après" dit elle. Mais, pas de chance, le contrôleur s'assied dans le compartiment et commence à lire un journal ! Rien à faire, on va ailleurs ! Les deux filles se lèvent, changent de wagon et vont vers le dernier wagon. Le premier compartiment du dernier wagon était aussi vide, mais mon aînée dit : "Moi aussi il me faudrait faire, ici c'est peut-être risqué, restons plutôt dans le soufflet entre les wagons, le sol est ajouré, notre pipi coulera sur les voies, il fait noir dans ce petit espace, on ne verra pas ce qu'on a fait, et en restant debout on verra si quelqu'un arrive !" Elles se mettent donc dos à dos dans le soufflet, enlèvent leur petite culotte, écartent leurs pieds et se mettent à faire un de ces pipi, surtout la cadette... Les chutes du Niagara quoi ! Heureusement elles ont été tranquilles et on pu finir leur pipi à leur aise, remettre leur petite culotte, essuyer leurs sandales et aller se rasseoir et terminer leur voyage bien soulagées... Vous voyez les filles, quand on doit faire pipi, avec un peu d'imagination, on parvient toujours à trouver une solution.... et à ne pas souffrir d'une terrible envie durant une éternité !

2 octobre 2007

Confession entre femmes de problèmes intimes, par Femme mûre

Au cours d'une réunion avec des amis, la femme d'un de ceux-ci venue me donner un coup de main à la cuisine, me dit à un moment : "Excuses-moi un instant, je dois absolument aller aux toilettes !" De retour, je lui demande : "Ca va mieux ?" Et, mise en confiance, on papote et elle me confie cette petite aventure. De retour de son bureau en bus après avoir fait quelques courses, elle tenaillait un violent besoin naturel quand elle a senti sur son siège qu'elle ne tiendrait plus jusqu'à destination... Pour éviter une honte publique, elle se lève et descend à l'arret suivant, lorsque, en descendant les marches, elle sent quelques gouttes s'échapper dans le fond de son body... Elle portait ce jour là un body et un panty.... Elle parvient à stopper l'écoulement, mais comprend que la prochaine poussée serait fatale ! Elle se presse donc dans une rue calme. Heureusement, c'était la période hivernale et il faisait noir, et se met vite entre deux voitures stationnées... avec des sous-vêtements peu pratiques pour un pipi extérieur discret. Elle écarte donc ses jambes et commence la vidange de sa vessie prête à exploser au travers du fond de son body et de son panty... Ca dégoulinait le long de ses jambes et ca tombait sec entre ses pieds, son jet frappait le sol avec une telle force qu'elle éclaboussait ses souliers ! Après un pipi interminable, durant lequel elle priait pour que personne ne la surprenne car elle aurait été bien été incapable de s'arrêter, elle était trempée, penaude, comme une petite fillette, mais tellement soulagée... Elle a cru à un moment jouir en faisant pipi tellement cela lui faisait du bien ! Elle reprit son sac et retourna à l'arrêt du bus pour rentrer chez elle. Heureusement, à cette heure il n'y avait quasi plus personne et elle est resté seule debout près de la porte de sortie pour ne pas mouiller son panty et son manteau en s'asseyant ! A la maison, personne n'était encore rentré, elle s'est vite changée, et a fait sécher ses souliers, a mis son body et son panty à tremper dans le lavabo afin que personne ne se rende compte de l'accident qu'elle venait d'avoir...

Chers lecteurs et lectrices du blog, vous avez peut-être été témoin de scènes de pipi d'une femme à l'extérieur ou entendu dans des toilettes ou ailleurs pareilles petites confidences... Si vous aimez ces anecdotes, faites les aussi connaître aux lecteurs et lectrices de ce blog... Le plus grand nombre pourra ainsi en profiter ! Et Yannick vous dira certainement merci !

9 octobre 2007

"Cadavre exquis" par Femme mûre et PPH...

Femme mûre et PPH ont mis en place un système d'écriture appelé "cadavre exquis" et dont voici la définition.

"Jeu qui consiste à faire composer une phrase, ou un dessin, par plusieurs personnes sans qu'aucune d'elles puisse tenir compte de la collaboration ou des collaborations précédentes".

L'exemple devenu classique, qui a donné son nom au jeu, tient dans la première phrase obtenue de cette manière : "Le cadavre - exquis - boira - le vin - nouveau".

Voici la première partie d'un texte, débuté par Femme mûre.

C'était le mauvais gamin, le petit vagabond, le"bad boy"comme nous disons, et bien sûr, il faisait encore une fois l'école buissonière cet après-midi...

En vadrouille dans la campagne automnale, il voit une femme bien mise en vélo faire halte, regarder autour d'elle,  et entrer dans les buissons qui entourent la petite chapelle... Il se hâte d'aller vers cet endroit, et entre à son tour furtivement dans les frondaisons... Il trouve d'abord le vélo, puis entend des petits soupirs doublés d' un petit sifflement mélodieux... Il aperçoit alors la dame cachée derrière une haie, accroupie, jupe autour de sa taille, panty et culotte immaculée à ses genoux, occupée à effectuer une immense vidange.

Un jet puissant bien clair sortait en force entre ses jambes écartées et une véritable cascade tombait sur le sol, et à la vue du petit lac déjà formé, son besoin de se soulager devait être immense.... La voyant, il commence à rire bruyamment et à la mépriser... Surprise, la dame sursaute un peu, essaie d'endiguer son torrent de pipi, mais son besoin était tel qu'elle fut incapable d'arrêter et obligée de finir sa vidange sous ses yeux moqueurs... Elle lui a bien demandé de détourner ses yeux, mais rien n'y fit... Tout honteuse, elle se relève, lui offrant le spectacle d'un minou parfaitement coiffé et remonte vite sa culotte de dentelle blanche et ses pantys... Rabaissant ensuite sa jupe et défroissant le tissu...

Elle quitte vite l'endroit du délit sous ses rires et sarcasmes de mauvais garçon....

C'est alors qu'une chose extraordinaire se produisit : Ondine, la bonne fée qui protège les dames devant se soulager dans la nature, apparut subitement, sortie de nulle part, et dans une immense luminosité l'éblouissant,  lui dit sur un ton sévère : "Mauvais garnement, tu vas arrêter de taquiner ainsi les dames ? Tu ne t'es déjà pas assez moqué de tes petites camarades contraintes de devoir faire à leur culotte sur leur chaise quand un méchant professeur les empêche de sortir de classe pour assouvir un besoin urgent ? Tu vas voir ce qu'est la vie d'une fille et tu m'en diras des nouvelles !"

Ce discours le fait non seulement rire, mais il nargue Ondine en lui disant : "Essaie toujours, espèce de sorcière ! "C'est alors que l'effleurant de sa baguette magique, en un éclair, le sale gamin se trouva changé en  fille.... La fée Ondine disparut aussitôt; et se frottant les yeux, se pinçant pour voir s'il ne faisait pas un mauvais rêve, il réalise qu'il a été transformé en une fille et habillé en fille.... Relevant sa jupe, il voit dessous  une jolie petite culotte à fleurs, et la baissant, plus de petit oiseau qui faisait sa fierté en pouvant uriner très loin devant lui et la risée de ses copines dans leur échec à ce "sport", mais une jolie petite touffe de poils naissante et une simple fente avec un petit trou à pipi....

Tout penaud, il (elle bien malgré elle !) doit se résoudre à sortir des buissons et reprendre le chemin du village pour une nouvelle expérience de vie...

Deuxième partie, rédigée par PPH

Tout en courant il pensait : "Mais je ne vais pas pouvoir rentrer chez moi sous cet aspect !"

Et puis quel aspect avait-il, avait-elle, déjà une certaine confusion s'exprimait dans ses phrases, déjà apaisées.

Il lui tardait de se voir dans un miroir et l'occasion allait se présenter puisque la première maison du village vers lequel il se dirigeait en était pourvue, normal pour un marchand de vêtements.

- "Oh , je suis mignonne en plus" fut sa première impression face à son double. L'apercevant derrière son comptoir au travers de la vitre,  la commerçante sortit et lui demanda :

- "Bonjour, que veux-tu ma petite ?"

C'est alors qu'il/elle reconnu le vélo, appuyé sur le mur, dont la propriétaire venait de subir, il y a encore quelques minutes, ses moqueries les plus déplacées. Elle sortait du magasin en remerciant une vendeuse.

- "Bonjour mon petit, tu es très jolie ainsi vétue !"

- "Heuuu, bonjour Madame, merci !"

Surpris du compliment, il/elle eut une vive émotion inattendue et sans prévenir, une chaude sensation naquit au fond de sa petite culotte à fleurs...

La suite, par Femme mûre

Son entrejambe devenait toute chaude, elle sentait une sensation de douce moiteur au niveau de son petit minou, une sensation de douceur et de bien-être indescriptible qu'elle n'avait jamais connue, elle ne comprenait pas ce qu'il arrivait, elle ne réalisait pas encore qu'elle faisait doucement pipi à sa culotte, elle était comme dans un rêve, le fond de sa petite culotte à fleurs était maintenant saturé et une goutte perlait et commencait sa descente le long de sa cuisse gauche, quand, soudain, la voix de la commerçante la réveilla brusquement de ses pensées...

Partie 4 : PPH

"Oh ! regardez, elle fait pipi entre ses jambes !"

La commerçante s'adressait à la rue remplie de personnes circulant sur le trottoir qui finirent par faire un attroupement.

Après les premières gouttes, c'est un filet plus garni qui longea le long des deux cuisses cette fois, puis la cadence augmentait, une étincelante mare naissait au milieu des deux souliers et ondulait au gré des irrégularités du bitume.

Personne ne se moquait, au contraire, une certaine bienveillance émergeait des passants, hommes et femmes confondus, elle remarqua même des enfants qui ne riaient pas, des garçons, en plus...

Ne sachant que faire, prise entre l'envie de pleurer et fascinée par cette sensation étrange, elle baissa sa culotte inondée et fut surprise de s'accroupir, comme si ce mouvement gracieux fut inné !

Soudain tout disparut ! Il se retrouva en garçon, tout seul, à l'endroit où il avait surpris la femme au moment où elle descendait de son vélo...

La fée Ondine réapparut et lui dit : "Maintenant c'est ta seconde chance..."

Partie 5 : Femme mûre

et dans un bruit de grand vent, Ondine disparut aussitôt...
Notre petit se demandait ce qui lui arrivait... Après un bon moment, tout se remit en place dans son esprit... Il pensa alors à son comportement peu élogieux vis-à-vis des femmes, d'abord cette charmante dame qu'il a invectivée alors qu'elle soulageait un besoin bien naturel, ensuite la petite Emilie, sa voisine de classe si gentille, mais son souffre douleur parce qu'elle a du mal à tenir son pipi, sa grande soeur qui a été la risée de tout le monde quand on a su qu'elle avait fait pipi à sa culotte le jour de sa communion en sortant de l'église, et même sa maman qui a été "sermonée" quand son papa a appris la scène dont son fils avait été témoin en ville :

Partie 6 : PPH

Mais ses évasions en pensée furent aussitôt perturbées par son petit retour dans le temps, toujours caché dans un buisson il vit arriver à nouveau la femme dont il s'était moqué tout à l'heure !

Il ne savait que faire, se cacher, courir le plus loin possible, il fallait qu'il prenne une décision puisque la femme s'approchait de lui, sans le remarquer,  posait son vélo contre un arbre, portait ses mains sous sa jupe et...

Partie 7 : Femme mûre

la relevait prestement, s'accroupir et l'apercevant alors lui dire : tu ne voudrais pas m'aider ? J'ai tellement besoin de faire pipi... C'est alors que , se souvenant d'Ondine, il murmura doucement : je ne sais pas comment madame, je ne sais comment fait une femme pour faire pipi !

Mon pauvre,  lui répondit la dame, regarde bien, je vais te montrer ce que ta maman aurait dû t'enseigner ! Tu vois, j'ai relevé ma jupe autour de ma taille, mon vêtement de dessous s'appelle un panty, ce sont des bas avec une sorte de culotte au sommet, et sous mon panty je porte une petite culotte, je vais les baisser ensemble à mes genoux...

Tu vois, je n'ai pas de petit oiseau comme  un homme, comme toi,  juste un joli duvet, on dit "les poils pubiens", mais plus intimement on dit le "minou" d'une dame, et regarde, sous mon minou, il y a une fente avec un petit trou, c'est notre trou à pipi, c'est lui qui nous permet de faire pipi... Je vais m'accroupir et écarter mes jambes pour que tu puisses bien observer, et,  joignant le geste à la parole, elle se mit en position  puis

Partie 8 : PPH

après une courte attente un trait légèrement oblique prit sa source au bas du ventre de la belle accroupie, il lui semblait que ce jet sifflant avait du mal à trouver une direction stable, parfois même, il se divisait en deux, et ces deux jets ne tombaient pas ensemble, au point que de disparates gouttelettes non apprivoisées arrosaient tantôt le sol, tantôt les cuisses, comme s' il fut impossible de le rendre docile !

Il se surprit à se retrouver à genoux, tremblant d'émotion, car, tout compte fait, il venait de s' apercevoir, que la manoeuvre demandait technique et habileté, et que le hasard jouait un rôle important quant au devenir de l'envie expulsée avec autant de grâce que de maladresse !

Une immense marée sinueuse et étincelante s'avançait vers lui, et les interminables jets lui rappelaient les magnifiques jeux d'eau qu'il avait admiré en visitant la place royale, bredouillant il lui parut salvateur de faire un commentaire :

"Madame, je crois que je n'ai jamais rien vu d'aussi beau, je me sens tout bête face à vous !"

Pour le rassurer elle lui dit :

Partie 9 : Femme mûre

Mais non, tu n'es pas idiot petit homme ! Ta maman ne t'a pas appris les choses de la vie ?

- "Non Madame, je n'ai plus de maman... et ma belle-mère ne m'aime pas beaucoup..."

- "Oh pardon", répond la dame en remettant ses vêtements en place...

"Alors tu sais, maintenant, et je vais encore te dire quelque chose qu'un homme galant doit savoir : Il faut toujours aider une dame devant assouvir un besoin naturel quand elle n'a pas de toilette à sa disposition... tu as vu, c'est parfois difficile de s'accroupir et de bien "viser" en même temps... alors quand un homme peut nous aider en nous faisant comme un petit siège avec ses mains, on apprécie encore plus... Tu te mets derrière la dame, tu lui relèves sa jupe ou lui baisse son pantalon, puis tu lui descends sa petite culotte et ensuite pendant qu'elle fléchit ses jambes, tu la soutiens avec tes mains grandes ouvertes sous ses cuisses et  lui dis de commencer son pipi... Tu  peux aussi faire avec ton corps un écran qui protège la dame des yeux de personnes malveillantes..."

Partie 10 : PPH

La femme reprit son vélo, et après avoir posé délicatement sa main dans les cheveux du garçon en signe d' au revoir, elle grimpa sur sa bicyclette et s'éloigna lentement !

Beaucoup de choses trottaient dans sa tête, il avait le désir de changer, d'en finir avec son côté gamin rebelle, il regarda une dernière fois cette gigantesque flaque que la terre aspirait goulûment...

Mais une question cruciale se posait : il n'osait pas se l'avouer, mais il commençait à regretter le temps où il était une fille, à bien réfléchir, était-ce vraiment une punition ?

- "Ho ho ! Madame la fée, je voudrais vous parler... S'il vous plait !"

(Il y avait bien longtemps qu'il n'avait pas dit s'il vous plait !)

Froufff ! Elle se manifesta aussitôt !

Elle coupa court à sa demande à venir et lui dit :

- "Je sais ce que tu voudrais redevenir un moment, mais il y a une condition et quand-même un risque :"

Partie 11 : Femme mûre

Tout d'abord si tu veux devenir fille, tu dois absolument une fois la transformation réalisée te consacrer durant ta vie à défendre la cause des femmes dans la vie de tous les jours en ce qui concerne un besoin naturel pour elle aussi, faire pipi, qui doit être un droit comme la liberté de pensée, et également veiller à l'éducation des hommes pour qu'ils respectent ce point de vue et ne rabaissent pas les femmes dans ces moments là ni ne les méprisent ou les raillent car tu deviendras légèrement énurétique et le risque c'est qu'au début ça aille bien, mais que par la suite, tu te sentes parfois un peu le moral dans les talons et que tu regrettes dans certaines circonstances ne plus pouvoir faire pipi si facilement comme quand tu étais du sexe opposé et sentir à ce moment un sentiment d'infériorité... Voilà, c'est à toi de vraiment décider, mais si tu le veux, je te ferai changer en femme comme tu le désires, mais avant,  tu subiras encore une épreuve au moment que je jugerai oppportun et alors tu verras ce qui se passera quand tu ne t'y attendras pas du tout... Et la bonne fée ondine disparut de ses yeux en l'arrosant généreusement d'un joli pipi accompagné d'un chuintement des plus mélodieux qui le plongea dans l'extase un certain temps...

Et c'est après un assez long moment qu'il revint les pieds sur terre lorsqu'il entendit une voiture s'approcher, ralentir, s'arrêter, les portières s'ouvrir et vit en descendre...

Partie 12 : PPH

...Mais, oui, c'était bien elle, la fée Ondine mais habillée en "civil", comme tout le monde, et non plus avec sa grande robe lumineuse de l'autre monde...

- "Ha, c'est vous, j' ai failli ne pas vous reconnaître !"

- "Alors, petit homme surpris ?" Dit-elle en souriant, un de ces sourire comme seules les fées savent produire, une alliance du charme, de la gentillesse, et de la féminité !

- "Dites-moi Madame, vous ne seriez pas plus petite que tout à l'heure ?"

- "Hé-hé ! Lança-t-elle, je vois que tu es observateur, je me suis allégée, exprès afin que tu puisses m'aider à faire une envie très pressante, je veux voir comment tu vas te débrouiller, et si tu t'y prends bien, j'accéderai à ta requête !"

-"Venez , je vais vous choisir un petit endroit qui convienne mieux que ce bord de route agité !"

Il lui prit délicatement la main et la dirigea en direction d'une petite clairière tapissée d'une herbe tendre haute de vingt centimètres, il fit adroitement glisser sa petite culotte jusqu'à ses pieds, puis la souleva d'un coup habile, comme on fait avec les petites filles, là il s'arrangea pour que son délicat minou tout blond  pose sur les brins d'herbe et il la banlança ainsi d'un mouvement lent d'avant en arrière...

Partie 13 : Femme mûre

Délicatement bercée au ras de l'herbe, elle commenca par émettre un petit filet de pipi, mais sous les caresses de brindilles d'herbes délicieusement humidifiées par sa petite source, son petit bourgeon d'amour vint à éclore lentement et le petit filet se transforma bientôt en torrent en crue, émettant à la sortie de ses parois rocheuses abruptes un grand bruit caractéristique d'une femme occupée à se vider en force... Ce doux bruit mélodieux, mêlé à la tendre brise qui agitait les frondaisons environnantes fut bientôt couvert par des soupirs de plus en plus prononcés : en effet sous l'effet de l'immense satisfaction de pouvoir faire pipi  et de la douce caresse de l'herbe sur une de ses parties les plus délicates de son anatomie, la femme plongeait de plus en plus dans un état second, elle tentait bien au début de se contrôler, mais les sensations étaient si bonnes et voluptueuses que tout à coup, ne se maîtrisant plus, elle déchira le calme champêtre d'un grand cri et agrippa vigoureusement les chevilles de son chevalier servant...

Partie 14 : PPH

Puis il sortit d'entre ses jambes une substance translucide, nacrée, sous la forme d'une coulure généreuse, alors, imaginez un orgasme de fée en comparaison avec celui d'une femme !

Sous elle, des fleurs multicolores toutes plus splendides les unes que les autres se mirent à pousser promptement, un parterre parfumé envahit les lieux, une brise agitée saisit la flore toute entière et les nuages s'écartèrent afin de laisser passer les rayons lumineux qui éclairèrent l'endroit afin d'exhausser cette scène rare et subtile et fixer un temps une des plus belles images de partage des sens que la nature ait connue !

- "Ton examen est réussi avec mention excellent !" lui dit la fée, maintenant relevée. Le jeune garçon avait en poche un mouchoir tout neuf qu'il utilisa avec grande précaution afin d'essuyer une douce fissure épuisée de bonheur...

- "Garde ce précieux mouchoir après l'avoir replié quatre fois, quand tu désireras te transformer en fille, il te suffira de le serrer fermement de la main droite et de prononcer cette formule :

Partie 15 : Femme mûre

"Petit oiseau qui gazouille si délicatement devient gentil petit minou qui aime les tendres calins" et tu deviendras une jolie fille ! Mais attention, si tu ne respectes  pas nos règles déontologiques féériques, ton chatiment sera terrible et à perpétuité ! Tu ne peux prononcer ces mots magiques dans un but de sale voyeurisme ni d'esprit sado-masochiste ! Uniquement pour aider des femmes en difficultés dans ces moments là !  Et Ondine disparut aussitôt emportée dans les nuées par une douce brise....
Bien des semaines passèrent sans que notre garnement n'ait l'occasion de réaliser son rêve féérique. Mais un jour, en se promenant en ville, il surprit à la sortie d'un magasin une mère qui disait à sa fille : "Maintenant nous rentrons à la maison" et sa fille de dire : "Maman, comme je dois faire pipi ! Je ne tiendrai pas jusque la maison" Et puis réalisant que le public pouvait entendre ses paroles elle chuchota à l'oreille de maman (mais grâce à Ondine il put tout entendre) "Maman, où je pourrais aller me cacher pour faire pipi ? J'ai tellement mal au ventre !". Sa mère reprit sèchement : "Tu n'y penses pas ma fille ! Tu n'es plus un bébé ! Une grande fille comme toi est capable de se retenir ! D'ailleurs, moi aussi j'ai une vessie prête à exploser, et je tiens ! Viens dans la voiture et je t'autorise à mettre tes mains entre tes jambes pour pincer ton trou à pipi dans l'auto, mais pas avant, ne te montres pas en spectacle !"  Dépitée et les yeux pleins de larmes, la fille, serrant ses jambes très fort, dut se résoudre à suivre sa mère vers la voiture... Prenant son mouchoir en main et pronancant la formule magique, notre petit bonhomme devint sur le champ une jolie jeune femme et se trouva de suite à côté de la voiture de cette femme et de sa fille qui trépignait sur place pendant que sa mère ouvrait les portières... Prenant la parole, cette jolie personne dit à la mère :

Partie 16 : PPH

"Dites, sans vouloir vous obliger, pourquoi faire souffrir inutilement votre petit ventre, tout ça pour des conventions dépassées et un manque total de compréhension de votre corps ?"

Tout d'abord contrariée, la femme répondit : "Puisque vous êtes plus maligne que nous, que proposez-vous ?"

Là il/elle  il ne s'y retrouvait plus, (même l'auteur a du mal ), embraya à la volée,

- "Allez vous soulager, je m'occupe de votre petite !"

La petite acquiesca aussitôt par un hochement vigoureux de sa tête et, pendant que sa mère s'éloigna, elle fut tendrement prise par la main et dirigée vers un petit arbre, une nouvelle impression gagna notre gamin transformé, il éprouva soudain une grande tendresse maternelle pour cette fillette et le trouble qu'il craignait ne vint pas, pris dans l'élan,  il retrouva une gestuelle millénaire, celle qui consiste à décharger de toute contrainte d'équilibre les jeunes corps féminins encore maladroits, et de positionner à la perfection une adorable fissure afin qu'elle puisse sans retenue ni difficulté évacuer dans le confort une douce et chaude cascade dorée !

La maman, vit cette scène du derrière de la portière où elle observait cette procédure impeccable, elle en fut si impressionnée qu'un moment elle s'arrosa les chevilles,elle se dépêcha de finir, se releva et avec un sourire rayonnant de bonheur dit à la jeune fille :

Partie 17 : Femme mûre

La maman, ayant assisté à la scène tout en se soulageant elle aussi (et au plus profond d'elle même elle car était heureuse de ne plus avoir ce fardeau dans son bas ventre !) dit à notre demoiselle qui revenait à la voiture avec sa fille (elle aussi beaucoup plus légère après une fameuse vidange) :"Ma chère fille, comme j'ai admiré votre technique appliquée à mon enfant... J'ai vu tout l'art de faire profiter une dame en ces moments là... Croyez moi bien que je remercie le ciel de vous avoir mis sur mon chemin à ce moment, car je vais vous l'avouer, moi aussi je me sens mieux à présent, et j'ai pris du plaisir à aussi enfin faire pipi ! Vous savez, je ne suis pas si cruelle que cela, mais avant de vous rencontrer, j'avais vraiment peur de faire pipi dehors depuis deux petites mésaventures, car les hommes ne sont en général pas tendres avec les femmes dans ces moments-là ! Ils ne pensent qu'à leur petit confort ! Adolescente en revenant d'une soirée avec deux copines, je n'en pouvais plus, tout comme elles, on avait alors décidé de nous soulager dans un petit parc chacune à son tour... Pas de chance pour moi, j'ai fait pipi en dernier lieu, et en pleine action, une patrouille m'a surprise... Et en plus l'agent connaissait mon père... Mes deux copines avaient bien sûr disparues en un éclair, alors je me retrouvais seule,  pantalon autour des chevilles, accroupie derrière un banc, avec une immense mare de pipi entre mes jambes (leur deux pipi et le mien, vous jugez de l'étendue des dégats !) Inutile de vous raconter le sermon, et le lendemain à mon réveil, un autre sermon du paternel prévenu par son ami...

Il lui avait même dit qu'il me faisait une grâce de m'épargner une amende pour cette fois pour dépôt de saleté sur la voie publique !  Ma mère également me reprocha d' être à mon âge insortable si je ne pouvais me retenir quand je devais faire pipi, et que j'étais pire qu'une petite fille de cinq ans !

Quelques années après, enceinte de mon enfant, j'ai été prise d'une terrible envie bloquée dans  un embouteillage... N'y tenant vraiment plus, je suis sortie de voiture et j'ai vite été me soulager sur l'à côté de la route, mais incapable de m'accroupir complètement vu mon état, je me suis positionnée buste courbé vers le sol et arrière train bien en arrière, et jupe relevée à ma taille et petite culotte à mes genoux, j'ai émis durant une minute je crois les chutes du Niagara !

Pas très bien cachée, des amis de mon mari m'ont reconnue, et quelques jours après, un soir à la maison, j'ai eu droit à une fameuse scène !

Et il a même été raconté mon "exploit" lors d'une visite chez le gynéco pour encore plus m'humilier ! Alors vous comprenez mon attitude dans ces moments... les hommes peuvent être très cruels envers nous en ces circonstances... Mais dites-moi, où avez-vous appris cette technique particulière ? Et serait-ce beaucoup vous demander que de me l'enseigner ?

Partie 18 : PPH

- "Si je vous le disais, je pense que vous ne me croiriez pas !", (comment expliquer que deux heures auparavant elle était encore un garçon !) Et que son expérience se limitait en tout et pour tout à un gros pipi dans la rue et un essai provoqué par une fée : inracontable !

- "Je pense que c'est une histoire d'éducation des garçons, s'ils pouvaient vivre, ne serait-ce qu'une fois, les impressions générées par nos envies fréquentes, la moquerie cesserait aussitôt !"

La femme fut étonnée de ce raisonnement si réfléchi, surtout de la part d'une fille aussi jeune !

- "Et puis, en plus je dois secrêtement admettre que nous sommes également très jolies dans les rares positions qui nous permettent de nous "vidanger" plus ou moins confortablement, d'ailleurs, si on y réfléchit bien, on pourrait en inventer des tonnes !" Avoua la femme !

Cette intime et naturelle conversation, entre filles, si on peut dire, continuait de longues et passionnantes minutes, pendant lesquelles elles imaginèrent une quantité impressionnante de positions pour faire pipi, à faire pâlir de jalousie les auteurs du Kama Sutra !

Elles s'entendaient tellement bien sur le sujet pour des personnes qui ne se s'étaient jamais rencontrées auparavant, que l'envie irrésistible de mettre en pratique leur discussion fut proposée d'un accord commun :

La dame ainsi décomplexée après des années de frustration, proposa :

- "Si j'osais... Et puis j'ose ! Retrouvons nous ce soir à huit heures chez moi, je possède une très grande maison et un grand jardin, on pourra essayer quelques unes des idées que nous avons évoquées tantôt !"

Elle ajouta : "Mon mari est absent une semaine, nous serons tranquilles entre filles !"

Il y eut des petits rires complices, puis sur un papier elle griffonna un croquis expliquant clairement son adresse et le donna à notre jeune fille !

Elles se saluèrent avec un "A tout à l'heure !" avant de se séparer momentanément...

12 octobre 2007

Une idée pour un cadeau utile pour vos compagnes... , par Femme mûre

Suite à un commentaire, c'est vrai que par le passé il existait des urinoirs pour les hommes en ville, quand aux femmes, bien souvent elles devaient se retenir... N'avez vous jamais vu vos compagnes croiser ou serrer leurs jambes quand elles vous voient faire pipi ? Bien souvent, elles seraient heureuses de pouvoir elles aussi faire pipi, mais ce n'est pas qu'elles ne voudraient pas, mais bien souvent elles n'osent pas, par peur de la réaction de leur entourage ou parce que l'endroit ne convient pas !

Voici pour ces situations une petite idée de cadeau pour vos partenaires féminines qui leur prouveront que vous pensez à leur bien-être intime aussi ! Offrez-leur quelques packs de p-mate (il y en a 5 par pack), un petit accessoire qui leur permettra de soulager une grosse envie vésicale presque partout sans être obligées de se déculotter complètement et de s'accroupir ! Personnellement j'emploie cet accessoire depuis plusieurs années et mes deux filles aussi, je l'ai fourni à quelques amies dans des cas d'urgences quasi vitales ! Et je peux vous garantir son efficacité à 100% ! Nous en avons toujours dans la boîte à gants des voitures et dans nos sacs à main. Et lorsqu'il y aura "encombrement" aux wc dames, comme c'est souvent le cas, vous pouvez aller dehors ou chez les hommes... Et je peux vous garantir aucune fuite de pipi le long de vos jambes ni dans vos vêtements !

Comment vous le procurer à vos compagnes féminines ? Très simple, par internet, vous aller sur le site p-mate, vous cliquez sur buy et vous passez votre commande... Vous payez par carte de crédit, visa par exemple, aucun risque croyez-moi ! Et vous recevez chez vous par la poste une enveloppe discrète venant d'Angleterre la semaine suivante !

Vous voyez, c'est très simple et facile.... Il ne vous reste plus alors qu'à faire la surprise...

Pour votre compagne, je lui propose de d'abord faire un essai à la maison toute nue, ensuite avec seulement une petite culotte, et ensuite avec un pantalon et une jupe. Le plus ennuyeux est si on porte un panty, dans ce cas il faut le baisser complètement à mi-cuisses... Avec un pantalon, le mieux est de l'ouvrir et le baisser de 2-3cm pour dégager un peu l'entrejambe pour pouvoir y glisser le p-mate, avec une jupe, simplement relever le devant... Pour la petite culotte, personnellement je saisis l'élastique avec ma main gauche devant sous mon nombril et je baisse seulement le devant jusque sous mon minou et avec ma main droite je glisse le p-mate sous mes grandes lèvres et je le maintiens bien en contact avec mon corps, et ensuite je me laisse aller... Vous verrez c'est très simple ! Je n'ai jamais mouillé le fond de ma petite culotte ni mon pantalon, même lors d'une grosse envie avec de la pression à la sortie...

Alors les hommes, ne soyez pas misogynes et pensez au bien-être de vos compagnes en tout instant et endroit !

Des questions ? Posez les en commentaires, vous recevrez ma réponse de femme, sauf en cas de commentaire déplacé ou injurieux !

4 décembre 2007

Quand on cherche, on trouve... par Femme mûre

Il y a plusieurs années - les filles étaient encore jeunes - nous étions sur une autoroute du sud de l'Allemagne et les filles avaient demandé de bientôt s'arrêter pour une petite vidange. "Au prochain parking" avait répondu mon chéri, mais à peine ces mots prononcés, ralentissement, files et arret général... Nous étions en pleine campagne. Au bout d'un quart d'heure d'immobilité, les filles disent qu'elles ont vraiment besoin de faire pipi ! C'était la période hivernale, et absolument rien pour faire pipi, pas même un petit paravent... Le peu de végétations derrière les rails de sécurité n'étaient que quelques branches sans la moindre feuille... et à cette époque, nous ne connaissions pas encore le p-mate... "Maman, je vais faire à ma culotte dans l'auto si ca continue" me dit l'aînée... "Ca va aussi arriver très vite" dit de suite la cadette... "Bon, alors vous sortez, j'ouvre les portières côté passagers et vous faites entre accroupies" leur dis-je... Elles nous regardent, hésitent un peu. "Si au moins on avait une boîte" dit mon chéri, "elles pourraient faire dedans..." Ces paroles font alors un déclic dans ma tête, je crois avoir la solution... Je portais des bottes, faute de mieux, elles vont servir de toilettes de fortune... J'ai alors enlévé mes bottes, j'en ai donné une à chacune des filles, elles se sont déculottées, avancées le plus possible en avant de leur siège, positionné la botte sous leur petit trou à pipi, et on fait un de ces torrent de pipi... Chacune en émettant un joyeux concerto de sifflement... Nous avons tous les quatre éclaté de rire ! "Comme ça soulage !" disaient-elles. "Merci maman, tu es la reine de la débrouille dans ces cas !" Quand elles ont eu enfin fini leur pipi monstrueux ! - elles devaient vraiment faire, je peux l'assurer ! - elles m'ont donné à tour de rôle la botte et j'ai ouvert un peu ma portière pour vidanger... Les ayant vues faire pipi, cela a seulement augmenté mon envie à moi aussi, et j'ai fait la même chose que mes filles dans une botte... Et pour tout avouer, mon chéri a fait de même quelques minutes après... Toute la famille bien soulagée, j'ai mis des kleenex dans mes bottes pour éponger le principal, puis je les ai mises à sécher sous la bouche de chauffage des pieds de la voiture et on a mis la ventilation d'air chaud en marche... Il y avait un accident sur notre voie et nous sommes encore resté une heure immobile... Les bottes avaient eu le temps de bien sécher lorsqu'on a gagné l'aire de parking suivante où chacun à de nouveau fait pipi.

27 décembre 2007

Toutes les femmes doivent faire pipi même pendant leur travail...

Voici une anecdote véridique qui s'est déroulée dans le Nord de la France, à Lille et plus exactement dans une petite rue près de la Place Saint-Hubert dans le quartier de la gare Lille Flandres. (N'étant pas française et n'habitant pas dans cette ville je ne sais pas le nom exact de l'endroit !). J'étais allée une fois à cette période de l'année faire du shopping de Noël et j'avais garé ma voiture dans cette ruelle. J'étais revenue à ma voiture et je m'apprêtais à rentrer chez moi, il faisait presque nuit (le soir tombe vite à cette époque) et je vois une femme en uniforme qui controlait le stationnement sur la place Saint-Hubert s'avancer un peu dans cette ruelle assez sombre... Elle s'arrête, regarde autour d'elle, dépose son sac par terre, regarde encore une fois, et puis se met entre une voiture garée et le mur, relève sa jupe, baisse ses pantys et sa petite culotte en posant un dernier regard circulaire (elle ne m'avait pas vue dans ma voiture à trente mètres d'elle !) et s'accroupit rapidement, presque le derrière au sol... A un moment elle a un peu bougé ses pieds, pour éviter de se mettre du pipi dans ses souliers sans doute, et est encore restée accroupie dans cette position un bon moment... Elle regardait toujours soit entre ses jambes son jet de pipi qui sortait, soit vers la place si personne n'arrivait... Après une petite minute, elle s'est relevée, a remonté sa petite culotte, son panty, et voyant qu'elle n'était pas dérangée, a pris tout son temps pour bien remettre ses vêtements en place, puis a rebaissé sa jupe et a tiré sur le bas pour la défroisser... Du début à la fin, l'opération a pris une bonne minute et demie, c'est dire si elle avait vraiment envie de faire pipi... Elle a ramassé son sac et est partie d'où elle provenait. Par curiosité je suis allée voir sur place les "dégâts" et j'ai constaté une belle flaque humide par terre sur le trottoir, des éclaboussures autour de la flaque et plusieurs petites rivières de pipi coulant vers la rigole d'égoût... Je me suis dit : je me demande la réaction de cette femme si c'est elle qui venait à surprendre une autre personne occupée à se vidanger entre deux voitures dans la rue... Je crois qu'elle n'en pouvait vraiment plus au point de faire pipi dans la rue en uniforme ! Ce que je pouvais distinguer vaguement c'est une expression beaucoup plus souriante et de bonheur sur son visage quand elle s'est relevée pour se reculotter. Anecdote absolument authentique !

1 janvier 2008

Une nouvelle anecdote de Barbara, lectrice du blog...

Une anecdote qui s'est déroulée au cours du mariage de la fille de l’amie de ma mère, belle dans sa robe de mariée. J’étais avec ma mère qui discutait avec elle, et on la voyait légèrement bouger ses jambes. Elle appela sa mère et lui dit discrètement : "J'ai envie de faire pipi". Et elle répondit : "Bon, paniques pas !". Elle se retourna vers nous et dit : "C’est le problème dans cette église, il n’y a pas de toilettes, vous pouvez nous aider pour qu'elle ne tâche pas sa robe ?". Et on accepta de les aider. C’était une petite église de village de campagne, on s’est dirigé à l’arrière de celle-ci, derrière un buisson. Elle enlevait sa culotte puis, à trois, nous levions sa longue robe pour éviter qu’elle ne la tâche.

En tous cas, je savais qu’elle était épilée... car j'avais une vue de son entrejambe...

Elle disait à sa mère : "Excuse-moi maman, ça doit être le stress !". Sa mère répondit : "C’est pas grave, chérie, moi aussi, j’ai envie de pipi". Puis elle nous dit : "Merci de nous avoir aidé, vous pouvez me laisser, c’est à mon tour...". Elle n’avait pas besoin d’aide car elle avait une robe qui arrivait aux genoux... Et le mariage se passa bien et avec bonheur…

19 février 2008

N'hésitez pas à poster des commentaires :-)

Chères lectrices, chers lecteurs,

Vous avez envie de donner votre avis sur ce blog ? :-)

N'hésitez surtout pas, postez donc des commentaires. Ils sont là pour ça ! :-)

Dites nous ce que vous en pensez, exprimez-vous librement ! :-)

Mesdemoiselles, Mesdames, un questionnaire est à votre disposition ici :-)

29 mars 2008

Une question de Vanessa...

Quand j'ai très envie de faire pipi, plus je m'approche des toilettes ou d'un petit coin improvisé, plus mon envie augmente, jusqu'à devenir irrésistible - un peu comme si mon cerveau donnait des signaux de relâchement à ma vessie pour lui dire que c'est bientôt le moment. Le pire qui puisse m'arriver, c'est que les toilettes soient occupées, fermées, hors service ou je ne sais quoi d'autre mais inutilisables - là je deviens complètement folle et je peux faire n'importe quoi pour me soulager même devant quelqu'un (j'ai déjà parlé de deux petits incidents :) Pourtant je suis sûre que si je ne m'attendais pas à trouver de toilettes, je pourrais me retenir encore quelques minutes sans trop de difficulté.

Mariana nous a raconté que c'est en voyant la porte des toilettes qu'elle a commencé à faire pipi dans sa culotte. Moi aussi, ça m'est arrivé de lâcher quelques gouttes juste au dernier moment.
Je me demande donc si on se retient avec le ventre ou avec la tête :) ou un peu des deux ?

Ça m'intéresserait beaucoup de savoir ce que d'autres lecteurs du blog en pensent - est-ce que l'envie devient de plus en plus pressante à mesure qu'on se rapproche des toilettes ?
Mathématiquement, y aurait-il un théorème qui dirait que l'envie est inversement proportionnelle à la distance jusqu'aux toilettes ???

29 mars 2008

Une question de Vanessa...

Quand j'ai très envie de faire pipi, plus je m'approche des toilettes ou d'un petit coin improvisé, plus mon envie augmente, jusqu'à devenir irrésistible - un peu comme si mon cerveau donnait des signaux de relâchement à ma vessie pour lui dire que c'est bientôt le moment. Le pire qui puisse m'arriver, c'est que les toilettes soient occupées, fermées, hors service ou je ne sais quoi d'autre mais inutilisables - là je deviens complètement folle et je peux faire n'importe quoi pour me soulager même devant quelqu'un (j'ai déjà parlé de deux petits incidents :) Pourtant je suis sûre que si je ne m'attendais pas à trouver de toilettes, je pourrais me retenir encore quelques minutes sans trop de difficulté.

Mariana nous a raconté que c'est en voyant la porte des toilettes qu'elle a commencé à faire pipi dans sa culotte. Moi aussi, ça m'est arrivé de lâcher quelques gouttes juste au dernier moment.
Je me demande donc si on se retient avec le ventre ou avec la tête :) ou un peu des deux ?

Ça m'intéresserait beaucoup de savoir ce que d'autres lecteurs du blog en pensent - est-ce que l'envie devient de plus en plus pressante à mesure qu'on se rapproche des toilettes ?
Mathématiquement, y aurait-il un théorème qui dirait que l'envie est inversement proportionnelle à la distance jusqu'aux toilettes ???

4 avril 2008

Les réponses de Jessica...

1 - Avez-vous déjà fait pipi en extérieur (en dehors des toilettes) ? Oui.

2 - Si vous avez répondu oui à la question 1 : à quel endroit précisément avez-vous fait pipi ? Dans la forêt, au bord d'une route, dans un abri bus...

3 - Dans quelles circonstances avez-vous fait pipi dehors ? Quand je n'en peux plus.

4 - Arrive t-il que vous soyez obligée de vous retenir de faire pipi ? Si oui, pourquoi ? Non.

5 - Vous souvenez-vous de la fois où vous avez eu le plus envie de votre vie ? (Où cela se passait et ce que vous avez fait). La fois où j'ai eu le plus envie, c'était quand j'avais 15 ans, il faisait nuit, en voiture, je voulais pas demander à ma mère de s'arrêter, car j'ai très peur la nuit et en plus c'était dans une route de campagne, alors je me retenais pendant plusieurs heures, jusqu'à ce qu'on s'approche d'un village et là je demandais à ma mère de trouver un endroit pour que je puisse faire pipi. (C'était sur le parking de la mairie de ce village).

6 - Avez-vous déjà surpris quelqu'un en train de faire pipi dans la rue ou ailleurs ? Quelle a été sa réaction ? Une femme, sur une aire d'autoroute...

7 - Quel est l'endroit le plus insolite où vous ayez fait pipi ? Dans les wc pour hommes dans une gare, pour cause, les toilettes pour dames étaient fermés...

8 - Quand vous êtes dans des toilettes publiques, comment évitez-vous de vous "salir" ou d'effleurer la cuvette ? J'évite de m'asseoir sur la cuvette.

9 - Le matin, êtes-vous plutôt :

- pipi goutte à goutte ;

- pipi copieux et sonore ;

- fontaine intarissable ;

- pipi saccadé et dru ? Pipi copieux et sonore.

10 - Est-il arrivé que vous ayez l'impression que vous ne pourriez en finir tellement vous aviez envie ? Non.

11 - En cas de grosse envie :

- vous ne dépassez guère trente secondes non stop ;
- vous atteignez facilement la minute ;
- vous dépassez facilement la minute ;
- vous pouvez atteindre les deux minutes aisément.  Vous ne dépassez guère trente secondes non stop.

12 - Avez-vous déjà entendu une femme faire pipi très longuement ? Si oui, qui était-ce et à quelle occasion ? Non.

13 - Pour vous, faire pipi c'est :

- un geste naturel spontané donc irrefléchi ;

- un moment de plaisir où l'on se soulage ;

- l'occasion de réfléchir à tout et n'importe quoi ;

- un moment où vous vous "lachez" ? Un geste naturel spontané donc irrefléchi. Un moment de plaisir où l'on se soulage.

14 - Avez-vous déjà été surprise en train de faire pipi ? Quelle a été votre réaction ? Oui, par une femme, j'avais eu peur.

15 - Avez-vous déjà vu une amie, un ami ou votre conjoint faire pipi ? Si oui, trouvez-vous cela "naturel" ou "choquant" ? Oui. Naturel.

16 - Avez-vous déjà fait pipi devant quelqu'un ? Oui, devant ma meilleure copine...

17 - Connaissez-vous des "trucs", des "endroits" pour faire pipi à l'abri des regards quand une envie vous prend ? Non, pas plus que les autres.

18 - Avez-vous déjà ressenti une "jouissance" en faisant pipi après vous être très longtemps retenue ? Non.

19 - Si oui, avez-vous déja fait expres de vous retenir pour ensuite avoir du plaisir en faisant pipi ? Dans quelles circonstances ?

20 - A partir du moment où vous avez envie de faire pipi, combien de temps pouvez-vous vous retenir ? Ca dépend, s'il fait froid par exemple je ne peux pas tenir longtemps.

21 - Avez-vous déjà involontairement fait pipi dans votre culotte ? Souvent quand j'étais gamine.

22 - Portez-vous plutôt des bas ou des collants ? Bas.

23 - Quel âge avez-vous ? 19.

24 juillet 2009

Une anecdote de Céline...

J'étais en terminale, c'était un mercredi après-midi, je devais rattraper un devoir blanc de quatre heures. Au début nous étions quatre dans une salle avec un surveillant, deux autres personnes qui avaient l'air aussi de rattraper un contrôle, sont parties au bout d'une heure. J'étais donc seule avec un surveillant et une autre fille.

J'ai donc composée sur mon devoir, mais au bout de trois heures, je commençais à avoir une envie d'uriner assez urgente. Cela me déconcentrait un peu, j'ai alors demandé à sortir avant d'être vraiment trop pressée. Le surveillant m'a laissée aller aux toilettes sans problème.

Quelques minutes après que je sois revenue, l'autre fille a aussi demandé à sortir. Le surveillant lui a répondu un "non" assez ferme. Elle a alors demandé pourquoi j'avais eu le droit, et pas elle. La réponse du surveillant : "ta camarade rattrape un devoir, toi tu es collée, tu es punie, tu n'as pas le droit de sortir avant dix-sept heures, et même dix-sept heures trente puisque tu es arrivée en retard. Et puis je sais très bien que si tu veux sortir, c'est pour aller fumer ta cigarette ou faire je ne sais quelle bêtise. Alors tais toi et continue de travailler".

Au bout de quelques minutes, elle a de nouveau insisté pour sortir, argumentant qu'elle avait vraiment besoin d'aller aux toilettes. Elle a même proposé au surveillant de l'accompagner pour vérifier qu'elle allait bien s'y rendre. "Non, a-t-il répondu, je dois rester ici pour surveiller ta camarade. Tant pis pour toi, tu n'avais qu'à pas te faire coller !".

Ensuite elle n'a plus rien dit, mais au bout d'un moment je lui ai jeté un coup d'oeil, elle avait ses jambes croisées, elle écrivait d'une main et gardait l'autre à son entrejambe, et se tortillait sur sa chaise. Elle avait vraiment l'air de ne plus en pouvoir. Le surveillant, plongé dans son bouquin, ne semblait pas s'en rendre compte, ou bien faisait-il semblant. Je me sentais un peu coupable du fait qu'il m'ait laissée sortir et pas elle, même si elle était punie et que moi je n'avais rien fait de mal, c'était injuste. On ne devrait pas empêcher les élèves d'aller aux toilettes, même pendant une punition.

Alors que j'étais replongée dans mon devoir, j'ai entendu comme un bruit couler : la fille était en train de faire pipi dans sa culotte ! Le surveillant l'a regardée, l'air abasourdi, il ne semblait pas savoir quoi dire, alors que la fille était visiblement incapable de s'arrêter, elle était presque en larmes ! Quand enfin elle eut fini, il y avait une énorme marre sous sa chaise, elle devait avoir envie depuis longtemps ! Le surveillant, gêné, - il devait s'être rendu compte de ton erreur - lui a alors dit d'aller à l'infirmerie.

Quant à moi j'ai terminé mon devoir et suis partie, je n'ai pas recroisée cette fille avant de partir, et la marre de pipi était toujours là.

Je tiens à préciser qu'entre la première fois que la fille a demandé au surveillant pour sortir et le moment où elle a fait dans sa culotte, il a dû s'écouler environ quinze ou vingt minutes. Comme quoi quand quelqu'un dit avoir besoin d'aller aux toilettes, il ne va pas forcément pouvoir attendre longtemps.

24 juillet 2009

Une autre anecdote de Céline...

J'étais partie voir ma tante qui venait d'accoucher à l'hôpital. Avant de partir, je suis passée par les toilettes. Il y avait deux cabines, l'une était hors service et donc fermée à clé, l'autre était occupée, j'attendais donc tranquillement mon tour.

Tout d'un coup une infirmière est entrée en courant dans les toilettes, elle était essouflée et avait sa main à son entre-jambe. Elle m'a alors demandé "s'il vous plait mademoiselle, je sais que cela ne se fait pas, mais pourriez-vous me laisser aller avant vous aux toilettes ?" Voyant l'état dans lequel elle était, j'ai accepté, moi je pouvais encore attendre. Puis elle a ajouté, comme pour se justifier "Vous savez, on a un boulot monstre ici. Je suis en service depuis ce matin, et je prends ma première pause de la journée. Cela fait sept heures que je n'ai pas uriné, et au moins deux heures que je retiens une envie pressante, je n'en peux vraiment plus".

Elle avait mis sa deuxième main sur son entre-jambe et s'était pliée en deux, elle a même poussé quelques jurons tellement elle souffrait. En plus, la femme aux toilettes avant nous n'en finissait pas ! Quand enfin elle est sortie, l'infirmière s'est précipitée à l'intérieur, et j'ai entendu un de ces torrents ! Je crois que je n'ai jamais entendue une femme faire pipi aussi longtemps !

Quand enfin elle est sortie, elle avait vraiment l'air soulagée ! Elle m'a remerciée puis est partie au lavabo, et je suis entrée dans les toilettes. Ce pipi m'a fait du bien car j'avoue que de l'entendre uriner comme ça m'avait drôlement donné envie ! En sortant, je ne l'ai pas revue.

Malgré l'ampleur de son travail, cette pauvre femme aurait bien dû s'accorder une pause de deux minutes pour faire pipi, je ne sais vraiment pas comment elle a pu se retenir aussi longtemps !

27 juillet 2009

Les réponses de Ola...

1 - Sur votre lieu de travail, pouvez-vous prendre des pauses pipi quand vous le désirez ? Sinon, combien de temps devez-vous travailler entre deux pauses pipi ? Oui, on peut aller aux toilettes comme on veut. Mais ce n'est pas toujours facile, je suis infirmière urgentiste.

2 - Quand vous souhaitez prendre une pause pipi, devez-vous demander la permission ou en référer à un supérieur hiérarchique ? Si c'est le cas, osez-vous le demander ou le dire facilement ? Absolument aucune demande à faire ! Les médecins savent bien que faire pipi est une fonction vitale !

3 - La fréquence à laquelle vous pouvez prendre des pauses pipi vous satisfait-elle ? Auriez vous besoin de prendre des pauses pipi plus souvent ? Oui. 

4 - La propreté et l'hygiène des toilettes de votre lieu de travail vous satisfait-elle ? Toilettes impeccables ! Nickel, on pourrait manger dedans !

5 - Avez vous en permanence des toilettes à votre proximité sur votre lieu de travail ? En hôpital, oui. Mais en intervention externe, ce n'est pas toujours le cas !

6 - Si vous avez répondu non à la question 5, quelles sont vos solutions lorsque vous avez un besoin pressant ? Une fois sur les lieux d'un accident, j'avais tellement envie que je me suis retirée dans l'ambulance seule pour me soulager dans un Urinal que j'ai vidé après très discrètement sur la route. Une collègue m'a suivie pour faire la même chose. Les hommes eux n'ont pas ce problème, ils trouvent toujours un arbre, un poteau ou que sais-je en cas de besoin !

7 - Utilisez-vous les toilettes de votre lieu de travail, ou bien préférez-vous vous retenir pour ne pas avoir à les fréquenter ? J'utilise les toilettes de l'hôpital.

8 - Vous est-il déjà arrivé d'avoir une envie très pressante et de ne pas pouvoir prendre de pause ? Comment avez-vous alors fait ? Une fois j'ai été obligée de me retenir un certain temps... il était temps que j'arrive aux toilettes... j'ai d'ailleurs pour être honnête un peu fait à ma culotte ! Heureusement maman nous a donné un petit truc depuis l'école primaire : toujours porter une protection style Téna au cas où...

9 - Vous est-il déjà arrivé d'uriner dans votre culotte à votre travail ? Cette fois là, mais quelques gouttes uniquement ! Jamais la totale jusqu'à ce jour ! Dieu merci !

10 - Avez vous déjà surpris une collègue, supérieure ou employée dans l'une des situations décrites dans les questions 8 et 9 ? Quelle fut alors votre réaction ? Parfois. Bas, on se comprend ! Une fois l'anesthésiste m'a avoué en sortant de la toilette qu'elle n'en revenait pas d'avoir son fond de petite culotte sec !

11 - Avez vous déjà uriné dans un lieu qui n'est pas prévu à cet effet sur votre lieu de travail ? Une fois dans une ambulance. Voir plus haut.

12 - Combien de temps pouvez-vous vous retenir au maximum entre deux pauses pipi ? Je n'ai pas beaucoup de problèmes à ce niveau. En cas de besoin absolu, facilement plusieurs heures !

13 - Avez-vous déjà été gênée dans votre travail à cause d'une envie pressante (problème de concentration, difficultés à marcher...) ? Non.

14 - Quel âge avez-vous ? 26 ans.

15 - Dans quel domaine travaillez-vous ? (facultatif) Médical : infirmière urgentiste au S.A.M.U.

6 juin 2009

4 - Toujours en Hongrie : une belle journée vers

4 - Toujours en Hongrie : une belle journée vers 15 h 30, une petite ville, une femme, la soixantaine faisait les cents pas à un abri bus. Elle portait une jupe plissée claire, un top à courtes manches et un petit pull. Elle avait de belles rondeurs. Seule à l'arrêt du bus, à un moment elle s'assied sur le banc métallique au fond ajouré, regarde autour d'elle, se soulève un peu et remonte le derrière de sa jupe pour se rasseoir aussitôt. Encore un petit regard circulaire, elle écarte très peu ses pieds et ses genoux, puis ferme ses yeux... Quelques secondes plus tard, une tâche humide grandit sous elle, par instant on pouvait voir un petit filet limpide qui brillait sous son siège tomber doucement par terre en éclaboussant un peu en touchant les carreaux du sol. La femme était occupée à faire pipi à travers sa culotte et son panty. (Je ne sais pas si c'était des bas ou un panty, mais elle n'était pas jambes nues, c'est certain !). Quand elle a eu fini au bout d'une bonne trentaine de secondes, elle s'est relevée, a regardé derrière elle, sa jupe était un peu mouillée, elle n'avait pas du assez la dégager par derrière, alors elle a noué son petit pull à sa taille pour cacher son petit accident. Elle est restée debout encore deux trois minutes avant que le bus n'arrive et ne monte dedans. Elle ne s'est pas rendue compte de ma présence dans une petite boutique en face de l'arrêt du bus. Personne ne l'a dérangée pendant son pipi, elle a eu le temps de se vider complètement !

30 juillet 2009

Les réponses de Hella...

1 - Sur votre lieu de travail, pouvez-vous prendre des pauses pipi quand vous le désirez ? Sinon, combien de temps devez-vous travailler entre deux pauses pipi ? Maintenant oui, je suis indépendante. Mais stagiaire, ce n'était pas toujours le cas et ça variait d'une fois à l'autre.

2 - Quand vous souhaitez prendre une pause pipi, devez-vous demander la permission ou en référer à un supérieur hiérarchique ? Si c'est le cas, osez-vous le demander ou le dire facilement ? Maintenant non bien souvent. Stagiaire je disais parfois : "Excusez-moi, j'ai un petit besoin naturel à satisfaire !" Mais il fallait que je sois très loin pour le dire car je suis assez timide à ce point de vue, surtout en présence d'inconnu.

3 - La fréquence à laquelle vous pouvez prendre des pauses pipi vous satisfait-elle ? Auriez vous besoin de prendre des pauses pipi plus souvent ? En stage, c'était parfois la galère !

4 - La propreté et l'hygiène des toilettes de votre lieu de travail vous satisfait-elle ? En général c'est assez propre dans les lieux de meeting ou les administrations.

5 - Avez vous en permanence des toilettes à votre proximité sur votre lieu de travail ? Parfois en déplacement ce n'est pas toujours le cas.

6 - Si vous avez répondu non à la question 5, quelles sont vos solutions lorsque vous avez un besoin pressant ? Bien mon petit truc, c'est maman qui me l'a enseignée depuis l'école primaire : une protection. Se laisser un peu aller soulage énormément et permet d'attendre de trouver des toilettes ou un coin tranquille. Maman a aussi donné ce truc - qu'elle utilise elle même - à ma soeur cadette !

7 - Utilisez-vous les toilettes de votre lieu de travail, ou bien préférez-vous vous retenir pour ne pas avoir à les fréquenter ? Me retenir, non merci ! J'ai déjà assez vite des problèmes de ce côté là, alors je ne les provoquent pas !

8 - Vous est-il déjà arrivé d'avoir une envie très pressante et de ne pas pouvoir prendre de pause ? Comment avez-vous alors fait ? Oui, ça c'est déjà produit malheureusement ! Et bien, je me suis laissé un peu aller dans ma Téna ! Que ça a fait du bien, même un tout petit peu !

9 - Vous est-il déjà arrivé d'uriner dans votre culotte à votre travail ? Malheureusement oui. La pire des situations fut à un retour de Paris. Je l'ai racontée dans le blog l'an dernier.

10 - Avez vous déjà surpris une collègue, supérieure ou employée dans l'une des situations décrites dans les questions 8 et 9 ? Quelle fut alors votre réaction ? Je compatis très sincèrement avec cette pauvre femme !

11 - Avez vous déjà uriné dans un lieu qui n'est pas prévu à cet effet sur votre lieu de travail ? Oui. Le plus gênant fut quand je fus contrainte d'uriner dans un ascenseur bloqué ! Heureusement que j'étais seule !

12 - Combien de temps pouvez-vous vous retenir au maximum entre deux pauses pipi ? Comme maman j'ai vite envie... disons une bonne heure en général au maximum, mais c'est parfois moins !

13 - Avez-vous déjà été gênée dans votre travail à cause d'une envie pressante (problème de concentration, difficultés à marcher...) ? Me concentrer à écouter en meeting oui.

14 - Quel âge avez-vous ? 30 ans.

15 - Dans quel domaine travaillez-vous ? (facultatif) Financier et économique. Je suis consultante réviseuse d'entreprise.

3 août 2009

Anecdote et questions s'y rapportant, par Hella...

C'était il y a plusieurs années déjà, j'avais alors autour de douze ans. On était allé visiter une exposition avec l'école dans des grands palais. Le trajet, effectué en bus, durait une bonne heure et demie. Nous étions partis de l'école tout de suite après le déjeuner. Pendant la visite, une copine me dit : Hella, je dois absolument faire pipi, je ne tiens plus ! Je lui dis : pas de problème, il y a suffisamment de toilettes ici ! D'ailleurs je commence aussi à avoir envie ! Oui, mais j'ai pas d'argent, et la dame ne m'a pas laissée entrer ! Je lui dis : viens, on y va à deux ! Arrivées aux toilettes, la dame pipi a bien vu que nous étions des enfants, mais ne nous a pas laissé entrer sans payer ! On s'en va donc, ma copine avait mis sa main entre ses jambes et me dit : ça presse fort Hella, il faut vite que je fasse pipi, j'aime pas faire à ma culotte ! C'est rien, dans deux minutes tu auras fait ! Tiens encore un peu ! On arrive à une autre toilette, là où ma copine était allé seule, mais même refus. Je dis à la dame : madame on est pressée, on doit vraiment faire, et on n'a pas l'argent ! Regardez dans nos poches si vous voulez ! Demandez à vos parents répond la dame. Mais on est avec notre école, et c'est fort urgent, s'il vous plait madame, laissez nous faire pipi ! Je voyais ma copine danser sur place avec sa main pressée sur son sexe pour mieux se retenir ! Allez demander de l'argent à votre professeur nous répond t-elle, je connais bien tous vos trucs pour ne pas payer, vous les petites filles ! Et dégagez l'entrée, et plus vite, sinon j'appelle la sécurité ! Ma copine et moi partons très tristes. Elle me dit : Hella, je sens que je vais faire à ma culotte ! Mais non, viens, suis-moi, et cette fois, je te garantis qu'on va bien faire pipi ! Je vois une porte de sortie pour aller d'un palais à un autre par l'extérieur. Viens par ici je lui dis, on sort à deux, c'était une cour parking avec des camions, viens vite je dis après avoir regardé tout autour ! On a vite couru vers un recoin derrière des camions, j'ai encore regardé si personne nous avait suivi, on va vite faire ici j'ai dit à ma copine. Je parlais encore qu'elle avait déjà ouvert sa ceinture et son pantalon tellement elle avait envie, et pendant que je me déculottais, elle avait déjà baissé ses vêtements et avait commencé à faire pipi. Mais quel pipi ! Ca sortait, ça sortait, elle inondait le sol entre ses pieds et devant elle. J'avais fini et je me relevais qu'elle faisait toujours pipi ! Elle a quand même eut fini, elle s'est vite rhabillée. Une grande flaque coulait vers une rigole en faisant plusieurs petits ruisseaux ! On est vite parti pour retrouver notre classe. Comme je suis mieux, merci Hella, sans toi j'aurais fait à ma culotte, car j'aurais pas osé demander de l'argent à l'institutrice pour aller faire pipi tu sais ! Et c'était tout juste tu sais, je sentais que ça commençait à descendre dans mon petit tuyau quand je baissais mes vêtements ! Un petit peu plus, et je faisais dans ma culotte !

Quelques questions en rapport avec cette anecdote :

1 - Avez-vous déjà du faire pipi alors que vous n'aviez pas d'argent sur vous ?

2 - Si c'est le cas, vous a t'on refusé l'accès aux toilettes ?

3 - Qu'avez-vous alors fait :

- vous vous êtes retenue et avez pu tenir jusqu'à une toilette gratuite ;

- vous vous êtes retenue, mais n'en pouvant plus, vous avez quand même fait dans votre culotte ;

- vous avez demandé de l'argent à quelqu'un ;

- vous avez trouvé une solution de secours comme nous. Dans ce cas, où avez-vous fait pipi ?

3 août 2009

Une anecdote sur le parking d'un supermarché...

J'étais en train de laver ma voiture dans une station de lavage d'un supermarché. Une motarde, âgée de cinquante ans environ, s'est dirigé vers un coin d'herbe qui borde le parking, ce après avoir garé plus loin sa moto et en regardant plusieurs fois dans ma direction. Je me suis aperçu qu'elle s'est en fait accroupie derrière une voiture, certainement pour faire pipi. Un motard, que j'ai supposé être son compagnon de route, était lui en train de se soulager non loin de là, contre un mur.

3 août 2009

Une anecdote au travail...

Sur mon lieu de travail. Je me souviens d'une collègue, que j'ai entendu un jour pousser un cri dans les toilettes au début de son pipi qui a été assez rapide mais m'a semblé puissant vu le bruit du jet. J'étais passé aux toilettes juste avant elle et avais constaté l'absence de papier dans le distributeur. Il fallait utiliser l'essuie-mains qui était juste à côté de ce dernier. Je ne sais si elle a poussé un cri parce qu'elle s'est aperçu qu'il allait falloir bouger culotte baissée pour atteindre l'essuie-mains, ou bien si elle a été surprise par la direction de son jet mais je pense que c'est plutôt cela étant donné qu'elle s'est exprimé au tout début du pipi... Peut-être a t-elle failli envoyer celui-ci en dehors de la cuvette... ?

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