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Le blog pause pipi
10 février 2020

"Les réponses de Julie"

1 - Quel était l'état des toilettes de vos écoles :

 

- propre ;

 

- acceptable ;

 

- limite ;

 

- sale ;

 

- repoussant ?

Ça dépend des établissements mais c’était entre limite et repoussant.

 

2 - Utilisiez-vous les toilettes scolaires ?

Lorsqu’il y avait urgence et qu’il y avait des toilettes libres dans un état acceptable (une porte sans trous dedans et qui ferme). Il y avait aux récrés la queue pour les toilettes étant donné que près de la moitié avaient des portes qui ne fermaient pas, avec des trous dedans ou bien n’avaient plus de porte. Et même quand je m’y soulageais ce n’était pas très agréable en raison de l’odeur.

 

3 - Lorsque vous aviez une envie pressante, tentiez-vous de vous soulager ou bien de vous retenir au maximum ?

Si c’était pressant j’allais aux toilettes. Mais le temps d’y aller, d’attendre dans la queue et puis de me déshabiller il m’arrivait bien souvent de mouiller un peu ma culotte.

 

4 - Vos copines vous parlaient-elles parfois des toilettes ? Vous confiaient-elles leurs envies de faire pipi ?

 Oui c’etait pareil pour elles. Elles se retenaient tant que ce n’était pas pressant.

 

5 - Si elles vous confiaient leurs envies, allaient-elles aux toilettes ou bien préfèraient-elles se retenir ?

 

 

6 - En cas d'envie très urgente mais en présence de toilettes peu accueillantes, que faisiez-vous :

 

- vous vous reteniez coûte que coûte ;

 

- vous utilisiez les toilettes des professeurs ;

 

- vous trouviez une alternative pour vous soulager (jardin, allée, sceau, ...). Précisez ;

 

- vous attendiez la sortie pour faire à l'extérieur (café, magasin, parc public, gare, ruelle, ...) ?

 Je faisais quand même dans les toilettes sauf au lycée avec des copines on faisait parfois pipi dans un coin de la cour. Mais on avait peur d’être vues donc on ne le faisait pas souvent.

 

7 - Vos copines trouvaient-elles également des toilettes "de secours" ? Si oui, avez-vous parfois assisté à la scène ?

 

8 - Avez-vous déjà fait dans votre culotte à l'école ? Si oui, où ? (classe, couloir, devant la porte des toilettes, dans les toilettes en commencant à vous déculotter, ...).

 Oui. En primaire j’avais des accidents parce que sentant l’envie je me disais que je pourrais me retenir et j’étais un peu gênée de déranger le cours pour ça. Mais quand je pensais à autre chose et que je me relâchais ça sortait sans s’arrêter. Au collège non seulement les toilettes n’etaient pas du tout attrayantes mais elles n’étaient accessibles que pendant les récréations et le pause déjeuner, soit toutes les 2 heures. En théorie on pouvait faire pipi pendant les interclasses mais elles ne duraient que 3 minutes et il fallait changer de classe, monter ou descendre des étages et ne pas arriver en retard au cours suivant. Donc pas le temps pour un pipi ! Mais le problème est que parfois certains professeurs ne voulaient pas me laisser sortir pour faire mon pipi (malgré mon insistance) et il ne me restait plus qu’à serrer les jambes. Et il m’est arrivé dans ce genre de situation d’avoir des fuites parfois importantes mais heureusement jamais toute ma vessie. Au lycée j’ai parfois fait avec des copines dans la cour mais sinon c’était comme au collège. 

 

Sinon ça m’arrive toujours aujourd’hui les fuites devant les toilettes ou bien en se déculottant.

 

 

9 - Cette mésaventure est-elle aussi arrivée à vos copines ? Si oui, racontez.

Oui certaines de mes copines ont aussi déjà eu la culotte mouillée. Sinon une fois je faisais la queue et je vois débarquer une copine à moi qui a l’air très pressée. Elle déboutonne son pantalon et baisse sa culotte très rapidement laissant voir son jet qui sortait de sa vessie. Elle plie les jambes et se penche en avant pour ne pas pisser sur sa culotte puis descend ses fesses en position accroupie sans faiblir. Elle a donc pissé sur le sol des toilettes pendant plus d’une minute et sa culotte était visible et elle était bien tachée. Ça n’a rien arrangé au fait que les toilettes puaient de faire son pipi par terre, mais ça l’a soulagée.

 

10 - Avez-vous également des souvenirs concernant vous ou vos copines lors de voyages scolaires, visites, séances de cinéma ou de théâtre, ... ?

Oui. En classe de neige on skiait avec un moniteur de l’ESF et tandis qu’on était en hors-piste dans un chemin peu fréquenté, mes copines et moi avons demandé au moniteur si l’on pouvait faire une petite pause pipi. Il a accepté. Alors plusieurs filles et garçons avons déchaussé nos skis, ouvert nos braguettes. Les garçons ont fait pipi comme à leur habitude et nous les filles avons baissé nos pantalons de ski à nos genoux, nos culottes également et nous avons pissé. 

 

Une autre fois était pendant un voyage scolaire en Espagne, nous étions à Barcelone et nous avions quartier libre pendant 1 h 30. Mes copines et moi avons fait du shopping, visité la ville et peu de temps avant de devoir rentrer au point de rendez-vous nous avons trouvé deux voitures avec le bon espacement entre et dans une rue pas trop fréquentée et nous y avons fait pipi chacune à tour de rôle, en commençant bien sûr par les plus pressées.

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18 mars 2020

"Une anecdote de Martine (déjà publiée le 10 septembre 2008)"...

Allez-y Mesdames

On en parle beaucoup et on s’en plaint. Mais... on ne fait rien pour que cela change.

Mais si… Moi Martine, j’y ai fait quelque chose. Oh... pas un exploit ! Mais quand même un petit quelque chose dont je suis fière.

L’évènement s’est passé le samedi 30 août 2008, vers 13 h 30, à la station service de Vémars-est, sur l’autoroute A1, au nord de Paris, en direction de Lille-Bruxelles.

Nous étions en jour et heure de pointe évidemment. Nous avions avec difficultés trouvé une place de parking et nous terminions, Jean-Michel et moi, nos sandwiches jambon-salade.

L’enchaînement logique des évènements voulait qu’ensuite ce soit un pipi à la station service et un café soit au comptoir soit à la machine à pièces.

Nous faufilant au travers des voitures en stationnement et en évitant celles qui cherchaient où s’arrêter, nous arrivons à la station. Depuis qu’il est interdit de fumer dans ces endroits, l’odeur y est plus supportable. Pour les toilettes ? Pas la peine de chercher les panneaux indicateurs. Une longue file d’attente de femmes en indique toujours la direction.

- Tu vois... dis-je à Jean-Michel... c’est comme d’hab. Un monde fou chez les femmes et personne chez les mecs. Quel est l’architecte sensé qui changera cela un jour ?

J’estime à environ vingt ou vingt-cinq nanas celles qui attendaient devant la porte sans compter les autres déjà dans la salle.

Côté "Hommes", la porte s’ouvrait de temps à autre pour une entrée ou une sortie.

Ras le bol. Cette fois j’étais décidée à me bouger. Je demandais à Jean-Michel, mon garde du corps habituel, de regarder si les cabines étaient complètement fermées. Il regarda et m’assura qu’elles l’étaient. Mais il y avait une dame de service qui passait la serpillière et qui éventuellement pouvait refouler les intruses.

- Bon, j’y vais… Je m’y risque… dis-je à Jean-Michel. Je t’accompagne.

Et à deux en entrant nous nous trouvons devant cette dame de couleur. Mieux valait l’aborder avant toute chose.

- Excusez-moi Madame, mais il y a un tel monde côté "Femmes". Mon mari m’accompagne… Ca ne fait rien si je fais mon pipi par ici ?

Avec un fort accent martiniquais elle me rassura :

- Mais non Mahame… C’est idicule d’attendre dans le couloi quand il y a de la place pa ici. Vous ne isquez rien. J’y suis bien toute la jounée moi ! Et je ne me suis jamais fait violer.  Mahie-Théhèse monte la garde…. dit-elle en brandissant son balai. Du moment que vous n’allez pas là-bas au fond chez les hommes, pas de poblèmes.

La salle comprenait cinq cabines fermées et derrière un mur au fond se tenaient les urinoirs masculins, ce mur évitait d’apercevoir inopinément un zizi de sortie.

Aucune des cinq cabines n’était occupée. J’avais donc même le choix.

Je pris mon temps pour me soulager. J’appréciai même particulièrement ce pipi en zone interdite. Je songeais en même temps à la tête des mecs qui m’avaient vue entrer et qui allaient me voir sortir. Un petit coup de kleenex soigneux, puis on remonte le slip et le jean et… on sort. Je comptais malgré tout sur la présence de Jean-Michel de l’autre côté de la porte. Je le vis qui revenait  de la zone "urinoirs".
J’avais trois paires d’yeux sur moi, mais je m’en moquais. Il y avait sans doutes un fantasme dans chaque tête à ce moment là.

Nous avons pris  le temps de nous laver les mains avant de sortir. Marie-Thérèse tout en promenant sa serpillière de droite à gauche renchérit :

- Mahame… dites à vos copines de veni  pa ici. C’est idicule vaiment d’attendre. Dites leu que c’est moi qui le dit. Pas de poblèmes.

En sortant je transmis le message. Mon exemple et l’invitation durent être convaincants car aussitôt trois ou quatre femmes quittèrent leur file d’attente pour entrer chez les "Hommes".

La machine à café se trouvait en bout de file. Le gobelet de café à la main, je continuais à expliquer et à inviter mes consoeurs de misère à changer de porte. Plusieurs le firent pendant que j’étais là et ce fût des entrées et sorties incessantes de femmes chez les hommes. J'avais même droit à un sourire reconnaissant à chaque sortie.

Petite anecdote comme pour "La caméra invisible" : un homme qui paraissait pressé entra précipitamment et, se trouvant devant un groupe de femmes  ressortit tout aussi vite en disant : "Oh…. excusez-moi". Puis, pris d’un doute il regarda la silhouette sur la porte, hésita, puis rentra à nouveau.

Je le vis ressortir peu après avec un sourire, presque un rire, il tint même la porte à une dame qui sortait elle aussi.

Je n’ai pas l’audace de Krys et de Hella. Mais dans de telles circonstances, il se pourrait qu’un jour je finisse par aller carrément vers les urinoirs masculins. Il m’arrive déjà de les fréquenter. Ils ne me font pas reculer quand je n’ai pas de témoin en dehors de mon "garde du corps" évidemment.

Sans être féministe outrancière et encore moins "chienne de garde" je m’élève à nouveau contre cette anomalie que l’on rencontre partout, et j’invite toutes les femmes à montrer leur frustration de cette manière.

S’il y a eu des acteurs ou actrices à cette scène qui liraient ce récit, qu’ils ou qu’elles se manifestent et donnent leur avis.

Allez… Bravo et merci Marie-Thérèse.

30 mars 2020

"Les réponses de Hawk..."

Dans ma jeunesse, en été, un jour j'ai décollé, en planeur, en ayant envie de pisser, pensant me poser comme les autres, un quart d'heure plus tard... Sauf que j'ai tenté le tout pour le tout et je suis resté en l'air pendant 5 h 30 et hors de question de me lacher pour ne pas endommager le parachute... Idem pendant 4 heures de plongée en apnée...

Maintenant, à 54 ans, je ne vois pas de raisons de me retenir. Si l'envie vient et que je ne peux pas, je fais abstraction, tout simplement...

Je précise que je suis un homme...

 

13 janvier 2021

"Les réponses de Julie..."

1 - Mesdames, pour vous quelles sont les chaussures les plus pratiques pour uriner dans la nature (forêt, parking...) :

a) sandales ;
b) petites ballerines ;
c) après ski ;
d) bottes à talons ;
e) talons compensés ;
f) talons aiguilles ;
g) autres (précisez) ?

Après ski parce qu’au moins même si on pisse dessus, ça ne mouille pas les pieds.

 

2 - D'après vous quel endroit est le plus pratique pour uriner tranquillement et sans être vue :

a) un parking souterrain ;
b) un parking en plein air ;
c) un bois ou une forêt ;
d) derrière une haie ;
e) autre (précisez) ?

Un bois ou une forêt si elle n’est pas trop fréquentée  et un parking souterrain c’est très pratique aussi. 

 

 

3 - D'après vous quels sont les vêtements les plus appropriés pour uriner dans la nature ? (Merci de les citer car si je donne toutes les sortes de vêtements je n'aurai pas fini toute de suite : ))

Toute nue ! Je rigole mais en gros moins il y a de vêtements plus c’est simple pour le haut c’est pas très important. Pour le bas l’idéal serait une jupe courte, ample et sans culotte. Comme culotte le string est le mieux. Et une jupe est toujours mieux qu’un pantalon ou un short, en plus ça permet de cacher la culotte si celle-ci est mouillée alors que le pantalon laisserait apercevoir une auréole. 

Une robe c’est bien aussi.

 

4 - Lorsque vous avez fini d'uriner dans un parking souterrain entre deux autos, que vous vous relevez et que vous voyez une énorme flaque au sol, vous :

a ) partez en la laissant telle quelle ;
b) essayez d'estomper la flaque afin qu'elle soit moins voyante (en l'éparpillant) ?

a) comme tout le monde.  Je ne me considère pas comme étant sale en plus je ne laisse pas de mouchoirs.

 


5 - Imaginons que vous avez une énorme envie d'uriner. Vous trouvez un endroit adapté, vous commencez à faire pipi lorsqu'un petit garçon d'environ 12-14 ans arrive et se plante devant vous en vous regardant avec un air étrange. Vous :

a) vous arrêtez immédiatement, vous rhabillez et vous partez ;
b) vous continuez quelques secondes afin de soulager un peu l'envie et vous partez ;
c) vous continuez comme si de rien n'était ?

c) Quand l’on a une énorme envie d’uriner, s’arrêter avant la fin est bien plus simple à dire qu’a faire.

 

 

6 - Sur l'autoroute, coté passager, avez-vous déjà été obligée d'uriner dans un récipient ou une bouteille que vous avez été obligée de vider ou de jeter par la vitre ? (Si oui, à quelle occasion, dans quelles circonstances ainsi que avec quelle sorte de récipient ?)

Durant toute mon enfance dans la voiture il y avait une casserole dans laquelle on pissait et qu’on vidait par la fenêtre. En plus c’était pratique de la soulever avec le manche et elle pouvait contenir plusieurs pipis.

 

7 - Lorsque vous urinez sur de la terre comment faites-vous pour éviter d'en mettre plein vos chaussures ?

La terre est ce qu’il y a de plus absorbant. La question serait plutôt comment je fais sur du béton/goudron. Et ben j’écarte les jambes mais il m’arrive quand même fréquemment d’en avoir sur les chaussures. C’est ça quand on ne soulage que la vessie pleine au max.

 

 

8 - Préférez-vous uriner dans les toilettes sales de l'autoroute ou sur l'aire d'autoroute cachée dans un endroit quelconque ? (Précisez lequel svp)

Sur l’aire d’autoroute si je trouve quelque chose pour me cacher (arbres, buisson) ou sinon au milieu de l’autoroute sur la bande d’arrêt d’urgence.

 

9 - Est-ce que cela vous dérange d'uriner dans la nature ?

Pas du tout.

 

10 - Lorsque vous urinez dans la nature vous êtes plutôt :

a) petite flaque ;
b) petite mare ;
c) grand lac ?

Entre b et c selon le besoin.

 

 

11 - Vous urinez dans la nature :

a) par plaisir ;
b) lorsque nécessaire ;
c) autant que possible ?

Lorsque nécessaire si l’on appelle nature uriner en dehors des toilettes. Par contre par plaisir et autant que possible dans la nature au sens propre du terme.

 

 

12 - Vous préférez uriner :

a) accroupie ;
b) debout ;
c) dans une autre position ? (Merci de préciser laquelle svp)

En général accroupie (comme la plupart des femmes). Il y a aussi la position avec les jambes semi-fléchies et le buste en avant que j’utilise pour faire pipi dos aux urinoirs. Certaines femmes (une minorité) l’utilisent même pour faire pipi par terre mais je trouve qu’elle génère plus d’éclaboussures, que le jet est moins puissant (donc pipi plus long), on arrose derrière sans voir ce qu’il y a et on peut aussi arroser ses chaussures sans s’en rendre compte et on vide moins bien sa vessie. 

L’avantage de la position accroupie c’est que c’est la meilleure position pour vider totalement sa vessie (et donc prévenir les cystites), même mieux qu’en position assise.

 

 

13 - Quelle proposition vous correspond le mieux ?

a) vous êtes plutôt pudique (vous n'aimez pas trop être vue) ;
b) quand vous avez envie vous faites où vous pouvez en essayant de vous cacher ;
c) vous faites n'importe où (peu importe que l'on vous voit) ?

Quand vous avez envie vous faites n’importe où, peu importe que l’on vous voit. Un mix de b et c.

 

 

14 - Lorsque vous urinez sur le sable et que vous vous relevez :

a) vous partez en laissant l'auréole ainsi ;
b) vous la recouvrez avec un peu de sable ?

Je la recouvre de sable mais ce n’est pas très important.

 

 

15 - Imaginons que vous aviez une énorme envie de pipi sur la plage, après vous être soulagée, vous commencez à partir lorsque vous voyez des personnes qui s'installent pile à l endroit où vous avez uriné :

a) vous allez les prévenir de ne pas s'asseoir ici et vous leur dites la vérité ;
b) vous allez leur dire de ne pas s'asseoir ici et vous leur raconter un mensonge pour vous expliquer ;
c) vous les laissez s'installer ?

a) même si ça ne m’est jamais arrivé. Il n’y a pas de honte à dire que l’on a fait pipi là.

 

 

16 - Avez-vous déjà uriné dans un endroit qui n'est pas fait pour cela mais qui a déjà servi beaucoup de fois à des femmes pour une vidange ? (Si oui, comment l'avez-vous remarqué : Kleenex au sol, flaques... Merci de préciser.)

Oui. Le meilleur exemple est le petit coin où les femmes font pipi aux festivals. Sinon dans des parkings près de lieux à forte affluence mais sans toilettes.

 

17 - Avez-vous déjà fait pipi dans un endroit déjà occupé par une autre femme faisant la même chose ? (Dans l'affirmative, qu'avez vous fait : vous avez uriné à ses côtés, vous avez attendu qu'elle finisse... Merci de préciser.)

Oui entre deux voitures idéalement situées. J’ai attendu qu’elle finisse.

 

 

18 - Avez-vous déjà été verbalisée pour avoir uriné dans un lieu public ?

Non.  Mais connaissez-vous l’histoire de Geerte Piening ? En 2015 cette hollandaise a reçu une amende de 90 € pour une simple vidange. Alors qu’il faisait nuit, que les cafés et restaurants étaient fermés, que les seules toilettes publiques qu’il y a sont pour les hommes. Geerte était tiraillée par sa vessie qui menaçait de se vider à tout moment dans sa culotte. Elle trouve une ruelle déserte et hop baisse ses vêtements et pisse. Malheureusement pour elle des policiers la verbalisent. Non seulement ça devait être horriblement gênant pour elle mais en plus 90 € le petit pipi ça fait cher. Elle fait appel à un juge qui tranche et qui dit qu’elle aurait du utiliser l’urinoir pour hommes. Car dans Amsterdam il y a des urinoirs pour hommes un peu partout dans les rues mais rien pour les femmes. Entre nous à sa place j’aurais fait dans l’urinoir et ce n’est pas faux de dire qu’une femme peut le faire mais malgré tout c’est complètement injustifié de verbaliser une femme pour un pipi alors qu’un urinoir pour hommes n’est aucunement une toilette qui lui est adaptée. Et les femmes ne sont pas tenues d’utiliser les urinoirs.

 

 

19 - Quel âge avez-vous ?

29 ans.

31 mars 2021

"Une anecdote de Martine (déjà publiée le 10 septembre 2008 et le 18 mars 2020)"...

Allez-y Mesdames

On en parle beaucoup et on s’en plaint. Mais... on ne fait rien pour que cela change.

Mais si… Moi Martine, j’y ai fait quelque chose. Oh... pas un exploit ! Mais quand même un petit quelque chose dont je suis fière.

L’évènement s’est passé le samedi 30 août 2008, vers 13 h 30, à la station service de Vémars-est, sur l’autoroute A1, au nord de Paris, en direction de Lille-Bruxelles.

Nous étions en jour et heure de pointe évidemment. Nous avions avec difficultés trouvé une place de parking et nous terminions, Jean-Michel et moi, nos sandwiches jambon-salade.

L’enchaînement logique des évènements voulait qu’ensuite ce soit un pipi à la station service et un café soit au comptoir soit à la machine à pièces.

Nous faufilant au travers des voitures en stationnement et en évitant celles qui cherchaient où s’arrêter, nous arrivons à la station. Depuis qu’il est interdit de fumer dans ces endroits, l’odeur y est plus supportable. Pour les toilettes ? Pas la peine de chercher les panneaux indicateurs. Une longue file d’attente de femmes en indique toujours la direction.

- Tu vois... dis-je à Jean-Michel... c’est comme d’hab. Un monde fou chez les femmes et personne chez les mecs. Quel est l’architecte sensé qui changera cela un jour ?

J’estime à environ vingt ou vingt-cinq nanas celles qui attendaient devant la porte sans compter les autres déjà dans la salle.

Côté "Hommes", la porte s’ouvrait de temps à autre pour une entrée ou une sortie.

Ras le bol. Cette fois j’étais décidée à me bouger. Je demandais à Jean-Michel, mon garde du corps habituel, de regarder si les cabines étaient complètement fermées. Il regarda et m’assura qu’elles l’étaient. Mais il y avait une dame de service qui passait la serpillière et qui éventuellement pouvait refouler les intruses.

- Bon, j’y vais… Je m’y risque… dis-je à Jean-Michel. Je t’accompagne.

Et à deux en entrant nous nous trouvons devant cette dame de couleur. Mieux valait l’aborder avant toute chose.

- Excusez-moi Madame, mais il y a un tel monde côté "Femmes". Mon mari m’accompagne… Ca ne fait rien si je fais mon pipi par ici ?

Avec un fort accent martiniquais elle me rassura :

- Mais non Mahame… C’est idicule d’attendre dans le couloi quand il y a de la place pa ici. Vous ne isquez rien. J’y suis bien toute la jounée moi ! Et je ne me suis jamais fait violer.  Mahie-Théhèse monte la garde…. dit-elle en brandissant son balai. Du moment que vous n’allez pas là-bas au fond chez les hommes, pas de poblèmes.

La salle comprenait cinq cabines fermées et derrière un mur au fond se tenaient les urinoirs masculins, ce mur évitait d’apercevoir inopinément un zizi de sortie.

Aucune des cinq cabines n’était occupée. J’avais donc même le choix.

Je pris mon temps pour me soulager. J’appréciai même particulièrement ce pipi en zone interdite. Je songeais en même temps à la tête des mecs qui m’avaient vue entrer et qui allaient me voir sortir. Un petit coup de kleenex soigneux, puis on remonte le slip et le jean et… on sort. Je comptais malgré tout sur la présence de Jean-Michel de l’autre côté de la porte. Je le vis qui revenait  de la zone "urinoirs".
J’avais trois paires d’yeux sur moi, mais je m’en moquais. Il y avait sans doutes un fantasme dans chaque tête à ce moment là.

Nous avons pris  le temps de nous laver les mains avant de sortir. Marie-Thérèse tout en promenant sa serpillière de droite à gauche renchérit :

- Mahame… dites à vos copines de veni  pa ici. C’est idicule vaiment d’attendre. Dites leu que c’est moi qui le dit. Pas de poblèmes.

En sortant je transmis le message. Mon exemple et l’invitation durent être convaincants car aussitôt trois ou quatre femmes quittèrent leur file d’attente pour entrer chez les "Hommes".

La machine à café se trouvait en bout de file. Le gobelet de café à la main, je continuais à expliquer et à inviter mes consoeurs de misère à changer de porte. Plusieurs le firent pendant que j’étais là et ce fût des entrées et sorties incessantes de femmes chez les hommes. J'avais même droit à un sourire reconnaissant à chaque sortie.

Petite anecdote comme pour "La caméra invisible" : un homme qui paraissait pressé entra précipitamment et, se trouvant devant un groupe de femmes  ressortit tout aussi vite en disant : "Oh…. excusez-moi". Puis, pris d’un doute il regarda la silhouette sur la porte, hésita, puis rentra à nouveau.

Je le vis ressortir peu après avec un sourire, presque un rire, il tint même la porte à une dame qui sortait elle aussi.

Je n’ai pas l’audace de Krys et de Hella. Mais dans de telles circonstances, il se pourrait qu’un jour je finisse par aller carrément vers les urinoirs masculins. Il m’arrive déjà de les fréquenter. Ils ne me font pas reculer quand je n’ai pas de témoin en dehors de mon "garde du corps" évidemment.

Sans être féministe outrancière et encore moins "chienne de garde" je m’élève à nouveau contre cette anomalie que l’on rencontre partout, et j’invite toutes les femmes à montrer leur frustration de cette manière.

S’il y a eu des acteurs ou actrices à cette scène qui liraient ce récit, qu’ils ou qu’elles se manifestent et donnent leur avis.

Allez… Bravo et merci Marie-Thérèse.

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1 avril 2021

"Les réponses de Lucie..."

1 - Avez-vous déjà fait pipi en extérieur (en dehors des toilettes) ?

Oui bien sûr, plusieurs fois.

2 - Si vous avez répondu oui à la question 1 : à quel endroit précisément avez-vous fait pipi ?

Dans un parking souterrain, une forêt, en montagne, en festival etc etc.

3 - Dans quelles circonstances avez-vous fait pipi dehors ?

Une simple envie de faire pipi sans etre chez soi ou chez quelqu'un.

4 - Arrive t-il que vous soyez obligée de vous retenir de faire pipi ? Si oui, pourquoi ?

Obligée obligée ? Non jamais.

5 - Vous souvenez-vous de la fois où vous avez eu le plus envie de votre vie ? (Où cela se passait et ce que vous avez fait).

Oui, récemment, je revenais d'un grand tour en moto, sur le chemin de retour je commence à avoir envie mais ça va encore. Plus j'avance, plus ma vessie se remplie, alors j'essaie de trouver un endroit pour vidanger mais rien ne se présente devant mes roues. J'arrive à mon garage une heure après, avec le pipi sur le point de sortir, je trépigne pour ouvrir la porte de mon garage, ça y est, je prends vite un bidon vide qui trainait, mets un entonnoir dans le trou du bidon un petit jet de pipi est parti. J'enlève mes bottes et mon pantalon spécial moto, baisse ma petite culotte, m'accroupie et libère les vannes. Dur de viser au début, du coup j'en mets un peu à coté, ça faisait tellement de bien. Pour m'essuyer, j'ai pris une peau de chamois propre dans un sac. J'ai bien dû pisser un litre et demi. Je précise que c'était des garages les uns à coté des autres en sous-sol. Quelqu'un aurait pu me voir. Ahaha.

6 - Avez-vous déjà surpris quelqu'un en train de faire pipi dans la rue ou ailleurs ? Quelle a été sa réaction ?

Non jamais.

7 - Quel est l'endroit le plus insolite où vous ayez fait pipi ?

Dans un bus qui n'avait pas de toilette, je vous raconte pas la galère.

8 - Quand vous êtes dans des toilettes publiques, comment évitez-vous de vous "salir" ou d'effleurer la cuvette ?

Je tends mon popotin en arrière, fléchi un peu les genoux et c'est parti.

9 - Le matin, êtes-vous plutôt :

 

- pipi goutte à goutte ; Parfois.

- pipi copieux et sonore ; Oui.

- fontaine intarissable ; Non.

- pipi saccadé et dru ? Non.

 

10 - Est-il arrivé que vous ayez l'impression que vous ne pourriez en finir tellement vous aviez envie ?

Non quand même pas.

11 - En cas de grosse envie :

- vous ne dépassez guère trente secondes non stop ;
- vous atteignez facilement la minute ; Oui.
- vous dépassez facilement la minute ;
- vous pouvez atteindre les deux minutes aisément.

12 - Avez-vous déjà entendu une femme faire pipi très longuement ? Si oui, qui était-ce et à quelle occasion ?

Dans les toilettes d'un centre commercial, j'étais aux lavabos pour me laver les mains, et d'un coup je vois une jolie blonde qui entre en courant dans un wc en se tenant le minou, curieuse je reste et le concerto commence, le bruit du pipi sur la faïence résonne dans toute la pièce et un soupir de soulagement se fait entendre. Je ne saurais dire combien de temps ça a duré mais ça m'a vraiment surprise.

13 - Pour vous, faire pipi c'est :

 

- un geste naturel spontané donc irrefléchi ; Oui.

- un moment de plaisir où l'on se soulage ; Selon notre envie et depuis combien de temps on se retient.

- l'occasion de réfléchir à tout et n'importe quoi ; Y'a la douche pour ça.

- un moment où vous vous "lachez" ? Non.

 

14 - Avez-vous déjà été surprise en train de faire pipi ? Quelle a été votre réaction ?

Non, jamais surprise, généralement je regarde tout le temps autour de moi quand j'urine dehors, je vois arriver les gens de loin et j'ai le temps de me reculotter.

15 - Cela vous gêne t-il que l'on puisse vous entendre faire pipi ? Dans l'affirmative, quelle(s) précaution(s) prenez-vous afin d'éviter cela ?

Ca me gêne pas, et même ça m'excite un peu.

16 - Avez-vous déjà vu une amie, un ami ou votre conjoint faire pipi ? Si oui, trouvez-vous cela "naturel" ou "choquant" ?

Des amies oui, dans ces cas-là on est côte à cote à pisser en meme temps, donc naturel. Mes amis jamais regardé.

17 - Avez-vous déjà fait pipi devant quelqu'un ?

Oui, ipso facto.

18 - Connaissez-vous des "trucs", des "endroits" pour faire pipi à l'abri des regards quand une envie vous prend ?

Entre deux voitures, sous un pont, dans une friche.

19 - Avez-vous déjà ressenti une "jouissance" en faisant pipi après vous être très longtemps retenue ?

Oui bien sur, dans ces cas-là et quand je suis toute seule, je ne peux m'empecher de me carresser les seins et la nuque quelques secondes. de plus ma vulve est très sensible , alors le papier hygiénique qui passe sur mes lèvres...

20 - Si oui, avez-vous déja fait expres de vous retenir pour ensuite avoir du plaisir en faisant pipi ? Dans quelles circonstances ?

De manière volontaire, honnêtement oui, pour donner une douche dorée à ma copine, nous sommes toutes les deux dans l'uro. Alors déjà un pipi après cette retenue est vraiment bon, puis le cunni qui a suivi... Whoa !

21 - A partir du moment où vous avez envie de faire pipi, combien de temps pouvez-vous vous retenir ?

Une heure maximum.

22 - Avez-vous déjà involontairement fait pipi dans votre culotte ?

Pas plus que quelques gouttes quand je ris ou éternue.

23 - Portez-vous plutôt des bas ou des collants ?

Collants.

24 - Quel âge avez-vous ?

28 ans.

20 mai 2021

"Les réponses de Miriam..."

1 - Avez-vous déjà fait pipi en extérieur (en dehors des toilettes) ?

Oui plusieurs fois.

2 - Si vous avez répondu oui à la question 1 : à quel endroit précisément avez-vous fait pipi ?

Dans la rue, dans les bois, dans un couloir de métro, dans un parking souterrain, dans un magasin de bricolage.

3 - Dans quelles circonstances avez-vous fait pipi dehors ?

Car l’envie était trop forte et je ne tenais plus.

4 - Arrive t-il que vous soyez obligée de vous retenir de faire pipi ? Si oui, pourquoi ?

Oui lorsque je suis en réunion au travail ou lorsque je suis dans un taxi, Uber ou transport en commun mais ce n’est pas toujours facile.

5 - Vous souvenez-vous de la fois où vous avez eu le plus envie de votre vie ? (Où cela se passait et ce que vous avez fait).

J’étais à Londres pour un séminaire d’entreprise. Le lendemain j’avais mon vol de retour sur Paris très tôt. Je suis allée au toilette avant de partir mais avant de monter dans l’avion j’ai bu une bouteille de cinquante centilitres. Je me suis endormie et en arrivant à Paris l’envie de faire pipi était présente mais je n’avais pas le temps de passer par les toilettes car je devais rentrer chez moi déposer des affaires et repartir pour un autre rendez-vous. J’avais soif donc j’ai fait la grosse erreur de reboire une bouteille de cinquante centilitres d’eau. Je suis montée dans le taxi et là une horrible envie de faire pipi. Ma vessie était très lourde je me disais que ça allait aller mais l’envie était de plus en plus pressante et là forcément les EMBOUTEILLAGES ! ! ! Je ne tenais plus mais je n’osais pas demander au chauffeur de s’arrêter pour que je puisse aller au toilettes. J’avais ma main entre les cuisses, c’était affreux j’avais très mal à la vessie et j’étais à deux doigts de perdre le contrôle. Peu avant d’arriver chez moi des petits jets commencaient à sortir et vu comment je me dandinais je pense que le chauffeur a remarqué mon envie pressante. Arrivée devant chez moi, je paie ma course, m’engouffre dans mon immeuble et là je ne pouvais plus tenir, j’ai vite ouvert la porte du local à vélos et j’ai lâché un énorme pipi. J’ai poussé un petit cri de jouissance tellement c’était intense.

6 - Avez-vous déjà surpris quelqu'un en train de faire pipi dans la rue ou ailleurs ? Quelle a été sa réaction ?

Oui, dans une gare, une jeune femme, peut-être même adolescente était accroupie entrain de pisser à gros jet. Lorsqu’elle m’a vue elle s’est vite rhabillée mais à continuer de pisser en même temps. Elle en avait plein le jean, je me suis sentie mal pour elle.

7 - Quel est l'endroit le plus insolite où vous ayez fait pipi ?

Une salle de cinéma dans le pot de pop-corn ou dans la poubelle de mon bureau lors d’un entretien téléphonique interminable (je n’en pouvais vraiment plus).

8 - Quand vous êtes dans des toilettes publiques, comment évitez-vous de vous "salir" ou d'effleurer la cuvette ?

Soit je fais pipi sur le sol (toilettes publiques que l’on trouve dans la rue) soit je me met en équilibre au-dessus de la cuvette.

9 - Le matin, êtes-vous plutôt :

 

- pipi goutte à goutte ; Non.

- pipi copieux et sonore ; Oui.

- fontaine intarissable ; Oui.

- pipi saccadé et dru ? Non.

 

10 - Est-il arrivé que vous ayez l'impression que vous ne pourriez en finir tellement vous aviez envie ?

Oh mon Dieu oui tellement de fois.

11 - En cas de grosse envie :

- vous ne dépassez guère trente secondes non stop ;
- vous atteignez facilement la minute ;
- vous dépassez facilement la minute ;
- vous pouvez atteindre les deux minutes aisément.

Je peux attendre deux minutes mais ma vessie me fait souffrir.

12 - Avez-vous déjà entendu une femme faire pipi très longuement ? Si oui, qui était-ce et à quelle occasion ?

Oui c’était à l’aéroport, elle est rentrée dans la cabine de toilette en courant directement après j’ai entendu un gros jet de pisse. Elle a soupiré très fort et a dit : "J’ai bien cru que j’allais me pisser dessus devant le douanier". Son pipi à facilement duré une minute.

13 - Pour vous, faire pipi c'est :

 

- un geste naturel spontané donc irrefléchi ; Oui.

- un moment de plaisir où l'on se soulage ; Oui.

- l'occasion de réfléchir à tout et n'importe quoi ; Non.

- un moment où vous vous "lachez" ? Oui.

 

14 - Avez-vous déjà été surprise en train de faire pipi ? Quelle a été votre réaction ?

Oui dans un couloir de métro, j’étais en jupe, je pissais debout jambes écartées. Plusieurs personnes m’ont vue mais ont fait mine de rien. J’ai été très gênée mais c’était un accident, je ne tenais plus.

15 - Cela vous gêne t-il que l'on puisse vous entendre faire pipi ? Dans l'affirmative, quelle(s) précaution(s) prenez-vous afin d'éviter cela ?

Non cela ne me gêne pas.

16 - Avez-vous déjà vu une amie, un ami ou votre conjoint faire pipi ? Si oui, trouvez-vous cela "naturel" ou "choquant" ?

Oui ma meilleure amie et ma chérie plusieurs fois, c’est totalement naturel et même excitant.

17 - Avez-vous déjà fait pipi devant quelqu'un ?

Devant ma meilleure amie et ma chérie. (Les inconnus du couloir de métro ça compte ?).

18 - Connaissez-vous des "trucs", des "endroits" pour faire pipi à l'abri des regards quand une envie vous prend ?

Une ruelle, un hall d’immeuble, un parking, une cage d’escalier...

19 - Avez-vous déjà ressenti une "jouissance" en faisant pipi après vous être très longtemps retenue ?

Oui plusieurs fois c’était vraiment une profonde jouissance.

20 - Si oui, avez-vous déja fait expres de vous retenir pour ensuite avoir du plaisir en faisant pipi ? Dans quelles circonstances ?

Oui lors d’une longue réunion au travail qui a duré plus de cinq heures. En allant aux toilettes après, c’était une jouissance totale. Une autre fois avec ma chérie lors d’un trajet de huit heures en voiture. A l’arrivée j’ai foncé aux toilettes, la jouissance était puissante. Ma chérie elle, n’a pas pu se retenir pendant que j’urinais et a fait sur elle.

21 - A partir du moment où vous avez envie de faire pipi, combien de temps pouvez-vous vous retenir ?

Si l’envie vient d’arriver facilement une heure, si l’envie est très forte moins de dix minutes.

22 - Avez-vous déjà involontairement fait pipi dans votre culotte ?

Oui plusieurs fois.

23 - Portez-vous plutôt des bas ou des collants ?

Aucun des deux.

24 - Quel âge avez-vous ?

24 ans.

12 mai 2021

"Une anecdote de Lucie..."

Les filles, je viens de faire pipi dans ma culotte pour la première fois. Jusqu'à là je n'avais fait que des petits jets, tant que c'était que ça, je ne considéraits pas avoir eu un vrai accident, car ce n'était pas une vessie complète mais là... Je vous raconte :

Ca s'est passé samedi dernier, en présence de ma copine. On est parti voir un magasin de bricolage à quarante-cinq minutes de là où on habite (le magasin faisait moins de dix mille mètres carrés) pour prendre des matériaux pour un petit projet chez nous. Ca c'était le matin et on avait aussi prévu de déjeuner au bord d'un étang pas très loin de là, avec des sandwichs fait maison, et une grande bouteille de thé (j'aime beaucoup ça). Au moment de partir. Sarah à envie de faire pipi, moi non. Il n'y avait personne d'autres que nous, elle s'ecarte un peu de la table de pique-nique, baisse ses vêtements avec beaucoup de charme et s'accroupie. Je la trouve très belle. Tout en urinant elle me dit «Tu ferais mieux de faire pipi aussi, Lucie, je te connais.» Mais je sur-estime encore une fois ma vessie et lui réponds que ça va aller. Nous partons pour rentrer chez nous, je conduis. Au fur et à mesure des minutes, mon envie se fait sentir. Plus on roule sur la departementale plus ça presse, et vous le savez, il n'y pas beaucoup d'à-côtés satisfaisants dans ces moments là. J'en viens au point où c'est très très urgent, j'analyse la route devant moi et je sais que dans cinq minutes il y a un parking sur la droite qui est assez grand et peu fréquenté. Je demande à Sarah de mettre une main à mon entrejambe car il faut que je passe les vitesses et que je dois me concentrer. Pour plus d'efficacité elle passe sa main sous ma jupe, ça aide. Le parking est là, sous les yeux et c'est là que je perds le contrôle de ma vessie. Je commence à faire pipi sur le siège, «Oh non !» je m'engage, je freine fort, je sors de la voiture sans chercher à contracter mon périnée, je contourne la porte conducteur et m'accroupie direct au niveau de la roue avant sans même enlever ma culotte ni remonter ma jupe (pas le temps d'y penser) ça fait du bien de sentir son bas ventre se détendre, et le debit chatouiller mon clito. Mais il n'y a bien que ça de positif, car le reste n'est pas glorieux, je regarde sous ma jupe et le pipi traverse le tissu pour atterir sur ma jupe. Aussi je sens des filets de pipi s'étirer sur mes cuisses, j'ai les fesses trempées. Je relève la tête pour voir que les voitures qui passent sont à quinze ou vingt mètres devant moi et ma copine près de moi entrain de rire, je le prends pas mal, à la voir rire je rigole aussi... Avec beaucoup de gêne. Le pipi se finit enfin mais je reste dans cette position rouge de honte. C'est là que ma compagne se montre un fois de plus merveilleuse. Elle me prends par la main et me conduit de l'autre côté de la voiture et ouvre les portes avant et arrière pour être un peu plus discrète. Je ne peux décidement pas faire un geste. Elle m'enlève la jupe qu'elle met dans le coffre ainsi que ma culotte et m'essuie chaque zone humide avec bienveillance et quelques Kleenex puis me prends dans ses bras. Ca me rappelle l'époque où j'étais toute petite avec ma mère à la place de Sarah. Elle me passe le string de secours qu'elle a tout le temps dans son sac à mains (ça lui arrive plus souvent qu'à moi ce genre d'accident) je l'enfile et me sentir à nouveau propre me libère de ma torpeur. On est prête à repartir, une fois installée Sarah me couvre les jambes avec sa veste, elle conduit cette fois. Une fois arrivées, et pour eviter de me ballader en sous vetements dans la rue entre les voitures, Sarah va d'abord me chercher un pantalon propre. Plus tard dans la journée je la remercie avec passion.
Voilà mon anecdote, je me suis dit que je devais la partager.

15 juin 2021

"Les réponses de Lucie..."

1 - Qui vous a expliqué que vous devez vous essuyer après avoir fait pipi ?

Ma tante qui m'a élevée.

2 - Comment vous sentez-vous si vous ne le faites pas ?

Humide.

3 - Si vous avez une fuite en pleine journée, comment faites-vous ? Est-ce qu'un protège-slip est vraiment efficace ?

Ca m'arrive pas souvent les fuites, mais quand ça m'arrive, je prends un Kleenex dans mon sac et le met dans ma culotte. Un protège-slip fait son travail uniquement avec un tout petit pipi, et on ne peut pas en mettre tout le temps.

4 - Prenez-vous une feuille de papier hygiénique ou plusieurs ?

2 ou 3 que je replie sur elle même.

5 - Est-ce que le papier toilette glissant sur vos lèvres vous fait ressentir quelque chose de particulier ?

En temps normal, pas grand chose sauf que c'est doux mais après m'être libérée d'un gros pipi oui, ça m'excite un peu.

6 - Faut-il s'y prendre d’une autre manière si vos petites lèvres ressortent des grandes ?

C'est mon cas, et je ne crois pas m'y prendre d'une manière différente que mes copines.

7 - Est-ce que vous essuyez assise ou debout ?

Assise quand j'ai uriné sur des toilettes propres et privées, et selon la position que j'ai prise en exterieur, si j'ai dû m'accroupir, je m'essuie accroupie, ou dans des toilettes publiques avec la position qu'on connait toutes, je le fais debout.

8 - Faites-vous le mouvement de l’avant vers l’arrière ?

Oui et non, je fais des aller-retours avant arrière puis arrière avant.

9 - Est-ce que vous essuyez seulement votre urètre ou toute votre vulve ?

Toute ma vulve.

10 - Dû aux petites lèvres, est-ce toujours un jet bien net ou l’urine s’éparpille ?

Ça dépend de la pression, parfois c'est bien net, parfois ça ruiselle partout sur mon entrejambe.

11 - Avez-vous déjà mis plein de pipi partout (exprès ou non) ? Si oui, racontez…

Plusieurs fois, il y a longtemps j'étais dans une soirée pyjamas typique entre filles et l'alcool nous montent à la tête, on a toute envie de faire pipi, on a poursuivi le jeu de action ou vérité pour ce moment là aussi, et j'ai eu comme gage de pisser dans l'evier de la salle de bain. Le but n'était pas d'en mettre partout mais c'est ce qu'il s'est passé. J'enlève mon bas de pyjama et ma culotte, je commence à monter sur le lavabo sur la pointe des pieds, j'ai même pas le temps de me mettre dos au miroir et m'accroupir que j'urine déjà, je peux pas arrêter le jet, je me baisse en triple vitesse mais ça ne suffit pas, j'en mets toujours à côté, je rectifie le tir et là c'est dans l'évier. L'une a fait pipi dans la baignore et deux se sont assises sur les toilettes en même temps.
Encore une fois, c'était un matin, sans gueule de bois rien, juste que j'étais pas réveillée, je m'assieds sur les wc et commence à uriner sans me rendre compte que la lunette n'était pas relevée.

12 - Avez-vous déjà essuyé une de vos copines ?

Ma copine actuelle oui plusieurs fois, lors de la soirée on s'étaient toutes essuyées mutuellement, et à d'autres moments.

13 - Ressentez-vous de la gêne à le faire devant quelqu’un ?

Devant des filles que je connais ou pas, non aucunement, devant des hommes oui.

1 janvier 2022

"Une anecdote de Lucie..."

Dans la vie d'une femme on a plusieurs fois la pire envie de faire pipi, je vais vous raconter la dernière qui m'est arrivé :
Le 30 decembre je vais faire du snowboard avec ma copine et des copains, on monte à deux voitures, on arrive a la station mais il y a un monde fou, en peu de temps on se perd sur les pistes et je reste avec Sarah et un copain, nommons le Marc. Bon, jusque là rien de très grave, on continue de skier jusqu'à midi où je commence à avoir faim, on se pose au sommet des pistes à 2 100 mètres d'altitude avec un soleil magnifique, nos sandwiches, mandarines et notre bonne humeur. Je bois aussi ma bouteille de 50 centilitres en entier. On repart rider et au cours de l'aprem je sens que l'envie est là, elle reste gérable je m'inquiète pas. Sur les pistes il n'y aucun wc public, et impossible de s'arrêter sur un côté pour poser-culotte, partout est ouvert aux yeux du monde. On reste jusqu'à la fin des remontées, pour descendre à la voiture du sommet il faut passer par deux très longues pistes rouges et c'est là que je devais vraiment pisser, mais j'avais pas le choix. Alors on descend, quand je prenais une bosse un peu maladroitement ma vessie en prenait un coup, je crois qu'une fois j'ai lâché un jet dans ma culotte. On arrive en bas, on déchausse, je dis a Sarah que j'ai envie alors elle presse Marc pour rentrer à la voiture. On marche 5 minutes, rangeons le matos et je me dirige vers les toilettes publiques mais une fois devant je m'aperçois qu'elles sont fermées pour maintenance. Mince, je marche plus loin vers des boxes de bureau de construction désert. C'est dur de me retenir, encore un jet qui part. Je marche sur la pointe des pieds (figure de style car je suis toujours en boots de snowboard) Je trouve enfin un coin entre deux boxes, je baisse mon pantalon et ma culotte en même temps que je m'accroupie, et je commence le pipi mais j'aperçois que mon jet va vite mouiller mes vêtements (je portais un collant thermique sous mon pantalon de ski, ce qui est plus epais au final que mes slims habituelles.) Je ferme le robinet mais ça ne tient pas du tout, dans le même mouvement où je tends mes jambes droites et mes fesses en arrière, je recommence à faire pipi, au début timidement mais une fois mes habits en sécurité, je lâche tout. Le bruit de mon minou est fort, je gémis de plaisir. Mais la galère n'est pas fini, mon pipi va sur une de mes cuisses alors j'ecarte mes lèvres de deux doigts, je reste vraiment longtemps dans cette position. Plus j'arrive sur la fin, plus je m'accroupie de nouveau tant je n'avais de force dans les jambes. Je ferme les yeux, les bras autour de mes genoux et mon visage dans mes bras, j'avais pris beaucoup de plaisir. Je me relève avec toujours la culotte et le pantalon aux chevilles pour m'essuyer et là je vois que la rangée de boxes dans laquelle je m'étais abritée donnait sur la route dix mètres plus loin, un groupe passe devant moi, mais je ne crois pas que quiquonque m'est vu. Je me reculotte, croise Sarah qui allait également faire pipi (ce n'était pas urgent pour elle) et Marc m'apprends que le groupe que l'on avait perdu de vue était parti plus tôt que nous. Nous rentrons via une route alternative pour éviter les bouchons.

17 janvier 2022

"Petite aventure" par Martine...

Il m'arrive professionnellement de devoir former des nouvelles employées qui seront  affectées dans des agences de la société qui m'emploie. La meilleure méthode est qu'elles me suivent pas à pas dans toutes mes démarches et chez tous nos clients. Avec certaines c'est un plaisir qui m'accompagne pour d'autres je suis ravie que leur stage se termine. 

Par hasard dernièrement, en déplacement, sur Paris, je me suis retrouvée nez à nez avec une de mes anciennes stagiaires affectée au siège social. Le plaisir de se retrouver à fait que nous avons dîner ensemble le soir dans une petit brasserie. Évidemment le travail fut le sujet de la conversation et aussi le stage de deux semaines passées avec moi déguisée en formatrice. 
 
Il me revint subitement un moment tout à fait particulier vécu avec elle au cours de sa formation Je lui ai demandé si elle se souvenait de toutes les visites de clients que nous avions faites ensemble. Elle eut un sourire dubitatif. Elle se souvenait de certaines visites évidemment. Se souvenait-elle de nos arrêts-pipi parfois nécessaires au cours de nos déplacements ? Elle se souvenait surtout que pour moi qui connaît bien mon territoire ce n'était pas un gros problème même en dehors de l'accueil chez un client. 
 
Je lui remis en mémoire cette sortie à G...... où l'une et l'autre souhaitions une "pause-pipi". Fort heureusement je connaissais un petit bosquet qui peut accueillir par un petit chemin, discrètement, et la voiture et sa conductrice. Le coin idéal. Ca n'était pas la première fois que j'allais faire pipi en présence d'une autre fille. Par contre ma collègue semblait un peu embarrassée et semblait attendre que je commence. Elle tenait une main sur sa robe à l'emplacement de son sexe. 
 
Rien ne trouble Martine dans cette situation et jupe levée,  j'envoyais un beau jet à vingt centimètres de mes pieds. La dernière goutte tombée un coup de Kleenex termina l'opération.  Je fus surprise de voir qu'elle semblait attendre. Attendre quoi ? ... Je me le demandais.  Je lui posais la question : "Tu n'as plus envie ? ". "Si,  me répondit-elle. Mais je voudrais faire comme toi. Montre-moi. Comment tu fais. 
Toute surprise je lui répondis : " Mais tu as vu... C'est facile. Une main de chaque côté tu écartes un peu tes grandes lèvres sans forcer et tu te laisses aller. Elle eu un moment de surprise et un beau pipi. Je crus même bon en plaisantant de la féliciter. Et j'ajoutais : "Tu ne pisses jamais comme cela ?"
Si évidemment, répondit-elle,  mais lorsque j'ai une copine lesbienne avec moi nous nous entraidons l'une l'autre c'est pour cela que je pensais que tu allais intervenir. Je partis d'un grand rire en avouant que je n'étais pas lesbienne et que j'ignorais tout de cette pratique. 
 
Elle parut un peu déçue mais levant sa robe devant elle dégagea sa fente pour envoyer un gros pipi contenu depuis un bon moment sans doute. Je sortis un autre Kleenex de mon sac et comme pour compenser son erreur je me penchais vers elle et je le passais sur sa fente. 
 
La fin du voyage en voiture se passa dans un long silence. Ma collègue était vraiment navrée et peut-être déçue que je n'avais pas compris immédiatement son attitude.  
Au restaurant nos voisins de table devaient sans doutes se demander la raison de notre rire.
27 mars 2022

"Pipi : resssource naturelle" par Martine et Jean-Michel (Déjà publié le 11 février 2013 et le 17 janvier 2017)

La plaquette publicitaire que notre agence avait réalisée à propos de la création du Centre socioculturel avait beaucoup plu et portait déjà ses fruits. Aussi Monsieur l'adjoint à la culture avait invité quelques personnes, dont Martine et moi, à un petit buffet froid pour remercier ceux et celles qui avaient collaboré à la bonne réalisation du centre.

Le centre se trouvait à environ dix minutes de voiture.

- Oui mais c'est suffisant pour prendre froid... affirma Martine

Aussi elle ressortit la tenue qu'elle portait le jour de notre reportage. Le long manteau noir, la casquette en laine étaient censés la protéger de la bronchite. Les chaussures à talon et le petit sac à dos complétaient l'habillement.

- Comment me trouves-tu ?
- Superbe pour un vernissage. Mais les chaussures... sur la neige verglacée... il faudra faire attention à la façon dont tu marcheras.
- Boof... il y aura vraiment peu à marcher de la voiture au centre.

Je dus conduire avec beaucoup d'attention car la neige tassée sur la chaussée était vraiment glissante.

Il y avait déjà quelques voitures sur le parking. Elles devaient sans doutes appartenir à des personnes invitées car elles étaient toutes groupées au plus prés de l'entrée du centre.

Accueil chaleureux obligatoire évidemment. On serre des mains. On s'embrasse, se congratule. On est heureux que... "vous ayez pu venir malgré ce froid... cette fois c'est vraiment l'hiver, n'est-ce pas ?... "

Puis on arrive à la phase des discours. Brève, heureusement, mais chacun est heureux de s'entendre cité pour avoir participé au succès. Martine et moi prenons avec d'autres, notre part du gâteau pour la plaquette... "rédaction stricte mais complète... photos flatteuses... ".Martine me glisse alors dans l'oreille :

- Merci... Et encore, je n'ai pas pu photographier les toilettes fermées.

Puis, il fallut en groupe refaire le tour du centre. L'odeur de peinture était moins forte que lors de notre premier passage. On revit les salles de réunion, la salle des assemblées générales, le vestiaire et les toilettes... "répondant aux dernières normes d'hygiène"... Les enduits étant secs, cette fois les portes s'ouvraient et chacun pu admirer les toilettes de ces "dames".

Puis, on passa coté "messieurs". Là aussi on fut invité à applaudir "le soucis d'hygiène et le côté pratique des stalles avec arrosage automatique". Je ne pus m'empêcher de dire à voix basse à Martine :

- Tiens... tu devrais leur faire une démonstration comme celle que tu m'as faite l'autre jour, histoire de faire voir que même les dames peuvent utiliser ces urinoirs et que l'arrosage automatique fonctionne bien pour elles aussi.

Je reçus un coup de coude bien appuyé sur le bras.

- Tu vas te taire... oui ? On pourrait t'entendre. Si tu continues, je ne ferai plus jamais pipi en ta présence.
- Menteuse. Ca te manquerait à toi aussi.

Elle me répondit par un regard et un sourire plein de malice.



Monsieur l'adjoint à la culture, pendant sa présentation des toilettes dernier cri était loin de s'imaginer que Martine avait été la première à essayer ces urinoirs à arrosage automatique.

Pendant qu'il parlait, je la revoyais dans son grand manteau noir, la casquette de laine, la "queue de cheval" entre les épaules, élégante, qui se tenait debout devant la stalle, un pan de son manteau protégeant le bas de son ventre de mes regards, pour épancher son envie urgente de pipi innocent. Comme j'étais malgré tout assez prés, j'eus droit quand même à la petite musique des petites lèvres au passage du jet.

Peut-être parce qu'il était innocent, urgent, sans arrière-pensée, ce pipi était terriblement érotique. J'ai toujours souhaité photographier de tels moments, mais Martine s'y oppose farouchement, craignant les fuites au labo, et même que notre album confidentiel tombe dans de mauvaises mains. Même masquée, il ne faut pas y penser, elle craint d'être reconnue quand même. Quant à des photos pour Vassilia2... !

Une jeune femme sur une des photos parues pour illustrer un de nos récits lui ressemble terriblement. Elle m'a fait jurer de ne pas dire laquelle. Promesse tenue.



Monsieur l'adjoint en avait terminé avec la visite. Il nous invita à nous rendre au buffet servi dans l'entrée.

Martine me laissa pour se joindre à une amie journaliste qui était de service pour la circonstance, et pendant qu'elles se dirigeaient vers la table, j'en profitais, le calme revenu, pour essayer moi aussi les urinoirs, qui après tout, mis à part l'arrosage automatique étaient tout ce qu'il y a de plus classique.

Je retrouvais tout le groupe papotant un verre dans une main et un toast ou un petit gâteau dans l'autre. Une hôtesse, voyant que j'avais les mains vides se précipita vers moi. Je pris sur le plateau un petit gâteau et une coupe de Champagne en pensant :

- Est-ce que Martine à pris aussi du Champagne ? Est-ce qu'elle tient sa promesse de ne plus en boire ?

Du regard, je la trouvais en discussion avec un petit groupe de connaissances. Elle tenait un verre assez grand, donc pas de Champagne, sans doutes un jus d'orange. Certes, si le jus d'orange est moins diurétique que le Champagne, il a pour lui le volume, le résultat sur la vessie de Martine est quasiment le même.

Les conversations allaient bon train, les uns vous présentant aux autres. Monsieur l'adjoint allait de l'un à l'autre.



Le temps passait vite et les plus pressés commençaient à s'excuser de devoir partir. Voilà prés d'une heure trente que nous étions là. Je cherchai Martine du regard, quand d'un geste convenu depuis longtemps entre nous, elle remonta la manche gauche de son manteau découvrant sa montre, ce qui signifiait :... "On y va" ?. Je répondis par le même geste. Je serrai quelques mains avant le départ, Martine embrassa quelques joues avant que l'on se retrouve sur les marches du centre, direction le parking et la voiture.

- Ouah !... Il fait encore plus froid que tout à l'heure... dit-elle en remontant son col. Et ce petit brouillard qui tombe pourrait bien faire encore plus de verglas. T'as intérêt à faire attention sur la route.

- Promis. Je te ramène sans problème jusqu'au garage. Fais attention toi aussi avec tes talons hauts.



Presque toutes les voitures étaient encore là, garées en épis, côte à côte le long d'une haie. Martine marchait à petits pas prudents craignant la glissade. J'étais en avant et je fouillais ma poche. J'y trouvais la clef de la voiture sans difficultés. Par contre, elle ne voulait pas pénétrer dans la serrure sans doutes givrée par le froid humide qui régnait. J'essayais de souffler sur la clef sans résultat. J'essayais de souffler sur la serrure sans effet. Seule cette serrure pouvait ouvrir les portes.

Martine vint me rejoindre de mon côté. Elle suggéra :

- Et si on allait demander un briquet à gaz à quelqu'un ?
- On va avoir l'air bête et c'est dangereux.
- Peut-être, mais rentrer à pieds ça ne m'enchante guère ! On va appeler un taxi, ou on demande à quelqu'un de nous reconduire et on revient demain.
- C'est vraiment pas la joie. T'as vu "Les bronzés font du ski" ? En pissant sur la serrure on la réchauffe et sa remarche.
- Ouais... pourquoi pas ? Vas-y. Pour un homme c'est facile.

J'ouvris ma braguette et fis une tentative. Comme j'avais déjà fait pendant la visite, je n'avais pas grand chose pour réchauffer la serrure. Je refis un essai d'ouverture sans succès.

- Ah, parce que tu as fait au centre. Moi, avec mon jus de fruit, je peux tenir jusqu'à l'appartement.
- Et si tu essayais, toi, de pisser sur la serrure ? C'est dans tes possibilités.
- Tu ne préfères pas que j'aille chercher un briquet ? Parce que, dis donc, avec le manteau, la jupe, le pantalon, les collants, le slip, ton idée ça tient du numéro de cirque !
- Tu peux déjà enlever le pantalon, ça faciliterait les choses.
- Oui, c'est vrai, en collant sous le manteau je pourrais faire assez vite sans trop installer. Bon allez, pas de briquet, un pipi.

Elle ouvrit le manteau, déboutonna la ceinture du pantalon, ouvrit la fermeture Eclair, et le pantalon descendit sur ses jambes. D'une main, elle se cramponnait à moi, et enlevant une chaussure, puis l'autre, elle s'en débarrassa et me le confia.

- Tiens... Rends-toi utile... Bouh... Ca fait plus froid tout de suite.

Avant de se lancer dans l'arrosage de la serrure, elle examina bien les lieux.

- Les voitures qui passent sur l'avenue ne peuvent pas deviner ce que je fais. Côté de la haie, personne dans le jardin public à cette heure et par ce temps. Le seul risque est que quelqu'un vienne sur le parking. Mais les conversations vont durer sans doutes encore longtemps. Si quelqu'un sortait, les autres voitures me protégeraient un moment, de toute façon ce que je serai en train de faire, si on est pas tout prés, on ne pourra pas voir. Et çà va aller vite dès le top de départ. Tu vas tenir mon manteau entr'ouvert et je vais m'approcher le plus possible de la voiture.

Ce qu'elle fit. Le parking était peu éclairé, et il restait juste assez de place avec la voiture de notre voisin. Le pantalon sur le bras, je tenais le manteau un peu ouvert comme je le lui avais vu faire pour se cacher de mes regards. Je la vis remonter sa jupe qui heureusement était courte, et la coincer dans la ceinture, puis, elle descendit ensemble collants et slip. Passant une main entre ses fesses elle les tira bien en arrière. La main restée libre devait servir à écarter les lèvres. Elle s'approcha encore un peu plus.

- Toujours personne en vue ? Heureusement que j'ai la bonne taille, c'est tout juste... Ahouille !
- Qu'est-ce qui t'arrive ?
- Devine ? J'ai touché la serrure... tu sais avec quoi ?... Mon petit clito !... Tu sais que sur le métal froid la peau peut restée collée ? Bon, on y va. Je regarde la serrure, toi tu regardes la porte du centre socio-cult'.

Une vraie envie, plus le désir d'en finir firent qu'un jet sortit tout de suite pendant une seconde et s'interrompit.

- En plus, je te le fais par petits coups, ça sera plus efficace, et je peux rectifier le tir.

Au bout de quelques petits jets, le ruissellement atteignit le sol. Encore trois ou quatre et je vis de la lumière sortir par la porte du centre.

- Envoie le reste... dis-je à Martine.

Elle lâcha les vannes et arrosa encore deux ou trois secondes avec un bruit sourd sur la portière.

- C'est tout ce que je peux faire, j'ai tout vidé le jus d'orange... dit-elle en regardant vers la lumière de la porte.

Un petit groupe discutait en bas de l'escalier avant de se séparer.

- Je n'ai pas de kleenex... et toi ?
- Moi non plus... rien... Tu veux mes doigts ?
- Chiche... Mais calme alors... sans caresses... tu partages avec mon slip.

Je passais ma main à plat entre ses cuisses entr'ouvertes et remontais sur sa fente un peu humide. Elle était presque entièrement épilée, il restait peu de gouttes.

- Merci... maintenant je range. Le slip fera le reste. En collants et en jupe sous le manteau je suis présentable. Elle remonta le slip, puis les collants et redescendit la jupe en regardant le groupe qui continuait à discuter sans se douter de l'attention dont il était l'objet à vingt mètres de nous.

Pendant qu'elle se rhabillait, je fis une nouvelle tentative. La serrure avait encore quelques réticences. La clef pénétra enfin, en insistant un peu elle tourna et on entendit le "clic" libérateur.

- Heureusement que j'étais là... dit-elle en se précipitant à l'intérieur de la voiture et en envoyant le pantalon sur le siège arrière... Mais je t'assure que je suis glacée. Tu te rends compte si mon clito était resté collé par le givre ?
- Il y avait peu de risques. Il est au moins à trente sept degrés. C'est peut-être ce contact qui a été efficace... dis-je en riant.
- Trente sept degrés ?... Plus maintenant je t'assure ! Je le sens "traumatisé" par ce qu'il a vécu. Tu devras le réchauffer longtemps tout à l'heure !
- D'accord, je le réchaufferai tant qu'il le voudra pour le remercier de nous avoir tiré d'embarras malgré la pénibilité du travail qu'on lui a demandé.

Pendant que je sortais de l'épi, notre voisin de parking arriva et nous fit "au revoir" d'un grand signe de la main. Il fit un écart pour éviter de marcher dans une flaque qu'il prit sans doutes pour de l'eau et qui allait faire une petite plaque de verglas dans une heure.



Dix minutes plus tard, les vingt degrés de l'appartement nous furent bien agréables, surtout à Martine, dont une partie sensible de son anatomie avait particulièrement souffert de la gelée. Par jeu, elle ne manqua pas de me rappeler ma promesse faite à la sortie du parking. Mais çà n'était pas nécessaire.

Source : http://wp.vassilia.net/histoires/pipi-ressource-naturelle-par-martine-et-jean-michel

7 août 2022

"Une anecdote de Hella... (Déjà publiée le 4 décembre 2008)"

Une des pires envies de ma vie...

Dernièrement j'ai du aller à Paris (dans le quartier de la Défense plus exactement) pour un colloque de société. En cette période de tourments financiers, les réviseurs d'entreprises sont très occupés ! J'y suis allée avec le TGV depuis Lille-Europe. Ma journée s'est déroulée sans grand "incident", j'étais juste heureuse que la pause de midi arrive, une grosse envie, mais j'ai pu bien tenir... Bien occupée par le travail, je ne me suis pas rendu compte que l'heure passait très vite après-midi et en fin de réunion, catastrophe, il ne me restait plus que cinq bonne minutes pour regagner la gare pour reprendre mon train ! Mission impossible quoi ! Deux collègues d'un autre bureau qui me connaissaient un peu, voyant mon désarroi, me propose charitablement de me reconduire en voiture et de me déposer près de chez moi (ils venaient de Bruxelles). Toute heureuse, j'accepte bien volontiers ! On prend une dernière consommation avant le départ, et par prudence, je me rends aux toilettes avant le voyage... Me connaissant, je prends toujours quelques "précautions" lors de pareilles journées : je porte toujours une jupe, deux petites culottes (une habitude que m'a apprise ma maman depuis l'adolescence), un protège-slip (Tena-mini exactement) au fond de la première petite culotte et une protection Tena-lady extra entre les deux petites culottes. Généralement je porte des bas, mais cette fois-ci, vu le temps froid et humide, j'avais exceptionnellement mis un panty pour avoir plus chaud ! Je fais donc mon petit pipi, change le protège-slip (il était un peu moite après une journée), rajuste ma lingerie et rejoins mes collègues au parking. J'avais aussi un manteau assez long genre doudoune que je garde en montant dans la voiture, l'ouvrant simplement. J'avais pris place seule à l'arrière, heureusement pour moi, vous comprendrez ensuite! Nous voilà donc partis à trois pour le retour. D'abord rejoindre le ring, puis sortir vers l'autoroute du Nord. Inutile de vous dire que cela prit un certain temps, mais enfin on n'a jamais été totalement bloqués ! Arrivés à hauteur de Roissy, ma vessie me dit qu'elle aimerait bien que je songe à elle ! Avec deux hommes simplement, je n'ose rien dire de mon envie naissante... On passe devant un parking, mais pas d'arrêt. Après une heure environ de route, je me dis : ils vont sans doute aussi avoir envie de faire pipi, et on va bientôt faire un petit arrêt j'espère ! Je dois vous avouer que j'avais alors très très envie de faire, je sentais ma vessie pleine à craquer, j'avais l'impression que mes petites culottes rentraient dans mon bas ventre tellement il était gonflé ! Je serrais mes cuisses le plus fort que je pouvais, je croisais mes jambes, les décroisais, les recroisais, heureusement j'étais seule à l'arrière et il faisait noir, ce qui faisait que personne ne remarquait mon état. Je n'en pouvais plus, j'avais mis ma main sous ma jupe, je pinçais mon petit trou à pipi qui ne demandait qu'à s'ouvrir à tout moment, et pour aider à sa fermeture, j'avais mes jambes croisées et fortement serrées. Vous imaginez la posture. Et on passe encore devant une possibilité d'arrêt ! Nous approchions de Lille, je sentais une pression incroyable dans mon pussy, j'avais des crampes au ventre et par moment des contractions involontaires, je ne comprenais pas comment je parvenais encore à tenir une pareille quantité de pipi en moi ! Mais à un moment, c'était trop fort, un spasme, je sens le pipi qui descend dans le petit tuyau, je parviens encore à bloquer au pris d'un sursaut incroyable d'énergie, mais le spasme suivant après trois ou quatre secondes, plus assez de force, je sens un premier petit jet partir, suivi d'un second, d'un troisième, mon protège slip et le fond de ma première petite culotte sont saturés, ma téna-lady (le modèle extra) se remplit doucement, je continuais mes petits jets incontrôlables, enfin après six ou sept jets je parviens enfin à me contrôler ! Nous étions juste à ce moment à hauteur de l'aéroport de Lille-Lesquin ! Il fallait compter encore une bonne demi-heure environ avant que je puisse enfin descendre ! Je sentais les poils de mon pussy, mes lèvres, mon vagin entièrement humides, ma seconde culotte n'était pas encore transpercée ni le fond de mon panty (par bonheur il était renforcé, donc plus épais), mais cela n'allait pas tarder, car je devais vraiment trop faire pipi. Je me dis, Hella, il faut que tu trouves vite une solution si tu ne veux pas vivre la honte de ta vie ce soir ! Je pensais à tout, et puis je vois mon sac à main, avec ma main libre je l'ouvre, et miracle, le midi, par pure inattention, j'avais emporté ma serviette de table, une belle grande serviette en tissu coton assez grande et bien épaisse, bien absorbante quoi, une vraie aubaine pour une fille dans mon état ! Pas une seconde à perdre, je la saisis, je la roule en une grosse boule, je desserre mes cuisses et je la plaque fortement avec ma main à mon entrejambe en refermant vite mes jambes, je m'avance le plus possible sur le bord du siège, et je place vite mon sac ouvert sous le milieu de mes jambes ! Heureusement qu'il faisait noir ! Et mes collègues étaient trop occupés à écouter leur émission préférée pour prêter attention à mon manège ! A peine ma serviette bloquée entre mes cuisses, une incroyable secousse dans mon bas ventre, et instantanément je me mets à faire pipi, pas moyen de contrôler, ça sort, ça sort, je pousse très fort avec ma main ma serviette en boule contre le fond de mon panty pour étouffer le bruit du psssiiiiit très sourd que je produis, ma Tena déborde, le fond de la seconde petite culotte et du panty sont très vite transpercés sous le puissant jet de pipi qui sort de façon continue, je suis sans force, je sens ma main devenir toute chaude et humide, la serviette de table a beau être épaisse, elle est vite saturée... Je me sentais en extase, j'étais prête à jouir et à connaître un puissant orgasme tellement ça me faisait du bien d'enfin pouvoir faire pipi, je ne sais pas comment je suis parvenue à ne pas crier, les quelques secondes que je faisais pipi m'ont paru durer une éternité, enfin après un petit temps, je reprends mes esprits, et soulagée énormément, je parviens à bloquer d'un trait mon gros jet de pipi... J'avais peut-être fait pipi dix-douze secondes maximum dans mes vêtements, mais il me semblait avoir fait pipi plusieurs minutes dans ma tête, j'étais encore remplie à ras le bord, mais j'avais l'impression d'être comme vidée. Le "trop plein" de ma vessie avait fonctionné, et je me sentais comme relaxée, plus de douleurs inouïes dans mon bas ventre ! L'alerte était passée, nous étions sur le ring de Lille à présent, direction Bruxelles, et je pourrais tenir jusqu'au bout si tout allait bien... Je retire ma serviette dégoulinante et la laisse tomber dans mon sac, un petit filet de pipi avait coulé dans le fond de ma jupe, à l'intérieur de mon manteau (heureusement que je l'avais gardé car il était imperméable !) et avait fini dans mon sac à main ouvert entre mes jambes ! Peut importe, le principal, j'avais peut-être pissé plein mes affaires, mais je n'avais rien mouillé dans la voiture, et mes deux collègues masculins ne pensaient pas que je n'étais pas capable de me retenir comme eux ! Mon honneur avait été sauvé et j'espérais qu'il en serait encore ainsi une demi-heure ! Je téléphonais à la maison que j'allais arriver à destination et leur fixais un lieu de rendez-vous pour venir me chercher. Nous étions à présent presque arrivés, on était sorti de l'autoroute, on se dirigeait vers le lieu que j'avais indiqué à mes collègues, je recommençais à avoir très envie de pouvoir vider ma vessie pour du bon cette fois ! Encore deux ou trois minutes de courage ma petite Hella me repetais-je, retiens-toi, après ce que tu as réussi, ce serait trop bête de te faire humilier si près du but. Enfin on est arrivés, l'auto n'était pas encore tout à fait stoppée que j'avais ouvert ma portière, je bondissais littéralement dehors en jetant un coup d'oeil et en passant ma main discrètement sur ma place, elle était chaude bien sûr, mais aucune trace d'humidité, sauvée, et je dis à mes collègues merci beaucoup, je vous laisse sans vous embrasser, ne sortez pas, ma voiture m'attend là-bas, je tapais mes talons sur le sol tellement il fallait que je fasse pipi (mais je leur aie menti en disant : "Dieu, qu'il fait froid ce soir"!"). Je ferme la porte vite, et faisant un rapide petit signe amical, je me mis à courir vers la voiture qui m'attendait. Mais cette fois c'en était vraiment de trop, mes contractions avaient repris de plus belles, je recommençais à me lâcher dans mes jambes arrivée à la voiture. J'ouvre la porte arrière pour y jeter mon sac et mon attaché-case avec mon laptop à l'intérieur, je la laisse ouverte, j'ouvre la portière avant, je faisais pipi à pleine force à ce moment, et je dis "Good evening" (nous sommes anglophones), "excuse-moi, mais je n'en peux plus, depuis si longtemps que je me retiens, je fais d'abord pipi, et ça va prendre du temps tu sais !" Et j'ai poussé un grand cri de jouissance ! Enfin je pouvais vraiment faire pipi ! Je jouissais vraiment de bonheur de me dégonfler complètement, je faisais pipi debout entre les portières dans mes vêtements, mais "comme ça fait du bien, comme c'est bon", repetais-je sans arrêt ! Je connaissais un orgasme de bonheur d'enfin pouvoir me vider à mon aise ! Je faisais pipi comme une enragée, je croyais que je n'allais jamais savoir terminer ! Après une éternité, j'avais fini, un vrai étang de pipi sur les pavés mouillés stagnait entre mes pieds, mais comme j'étais mieux ! J'ai retiré mes panty et sous vêtements trempés et dégoulinants de pipi et je me suis assise place passager et on est rentrés à la maison.

24 juillet 2022

"Pipi à l'escalade" par Lucie...

Aujourd'hui, j'ai été faire de l'escalade avec des grimpeurs que j'ai rencontré sur un groupe Facebook spécialement pour la grimpe. C'était la première fois que je les voyais, il y avait en plus de moi une autre fille et deux garçons.


Elle est la première à me rejoindre sur le point de rendez-vous, donc on papote un peu en attendant les mecs qui seront en retard comme on l'observera plus tard. Au bout d'un moment elle me dit qu'elle doit faire pipi, on est sur un parking animalier avec pas mal de quidam. Le terrain est en pente, elle remonte un peu le sentier en direction d'un autre parking moins fréquenté. Je l'observe, curieuse. Je vois ses pieds s'arrêter derrière un van, de là où j'étais j'aurais pu voir son jet , mais elle reprend son chemin et va dans les buissons adjacents, je ne vois rien, je l'accompagne en pensée, je l'imagine en action. Peu de temps après elle me rejoint, et quelques minutes après les deux garçons sont arrivés.


La session de grimpe commence, tout va bien, je suis en binôme avec elle, on fait une première voie d'échauffe toutes les deux. On boit de l'eau évidemment. On fait une autre voie plus dure. Une fois descendue et juste avant mon tour elle m'annonce qu'elle doit encore faire pipi. Je souris à cette information, car ça fait déjà deux fois pour elle alors que moi je n'ai pas du tout envie. Les garçons sont loin et le sentier est très étroit. Il n'y a que nous dans le coin. Comme on ne se connait pas, elle s'éloigne de moi, je l'accompagne encore des yeux. Cette fois ci, quand elle s'accroupit je la vois encore un peu, je ne sais pas si elle avait enlevé son baudrier. Elle peut me voir aussi donc je la regarde du coin de l'oeil. C'est un petit pipi, elle ne s'essuie pas mais secoue ses hanches de bas en haut pour faire tomber les gouttes. Le temps qu'elle remonte sa culotte (ou autre) et son pantalon j'ai pu voir qu'elle était rasée à blanc au niveau de son sexe.


Je grimpe la voie qui n'était finalement pas trop à mon goût, pas si difficile mais d'une typologie particulière. Midi, on rejoint les gars sous un arbre pour manger et se reposer. Je finis ma salade et j'ai, à mon tour, envie d'uriner. J'enlève mon baudard, prends discrètement un mouchoir dans mon sac, et m'engage sur le sentier. Comme de par hasard, je retrouve l'endroit où Samantha avait pissé. C'était vraiment un petit pipi, la terre est encore humide, mais la tache est petite. Un pipi tout doux, qui commence doucement et fini tranquillement. Je m'accroupis pile à cet endroit. Mon jet part vite, mon minou siffle, c'est agréable. Je m'essuie deux-trois fois. Au lieu de laisser le mouchoir dans la nature je le garde dans ma poche pour le mettre dans mon sac une fois de retour.


On fait encore quelques voies, j'en fait une vraiment dure, au dessus de mon niveau, que je réussi avec du mal. Sam l'a essayé mais n'est pas allé jusqu'au bout.


Fin de session, on décide d'aller boire une bière. Nous les filles avons fini nos bouteilles d'eau (surement les garçons aussi). Mais notre envie se fait sentir seulement une fois au bar. On laisse les garçons commander, et allons aux toilettes. Jje la laisse entrer en première dans les waters. J'écoute a la porte, et j'entends son sexe siffler, un autre petit pipi. A mon tour, je tends mes fesses au-dessus de la cuvette et me lâche. C'était court pour moi aussi. Après l'effort le réconfort.

2 août 2022

"Covoiturage" par Timide-coquin...

Aujourd’hui un long trajet m’attend du nord au sud de la France en voiture. Pour m’accompagner j’ai décidé de faire du covoiturage et par chance j’ai trouvé une personne intéressée pour faire un bout de trajet ensemble.
Une certaine Martine que je récupère en route pour faire quatre heures de trajet avec.
Quand je récupère Martine cela fait déjà une bonne heure que je roule, j’ai tout prévu dans la voiture, des boissons, des gourmandises… Nous faisons connaissance et le courant passe plutôt très bien. On discute de tout et rien on rigole. Je lui propose de boire un truc, manger quelques bonbons.
Déjà une heure à rouler ensemble, le temps passe vite, moi qui craignais de tomber sur une personne relou.
Cependant je commence à avoir une grosse envie d’aller me soulager.
- Martine quand je peux je m’arrête pour un gros besoin naturel, j’essaye de trouver un endroit où il y a des toilettes si tu as besoin.
- C’est vrai que tes boissons commencent à me donner envie de faire pipi aussi mais arrête toi où tu veux ce n’est pas un souci pour moi.
- Bah je ne vais pas m’arrêter dans un petit chemin non plus, moi ça ne me gêne pas mais bon pour vous mesdames, dis-je en rigolant.
- Non non aucun souci si tu as trop envie arrête toi au prochain chemin cela me va mieux que les toilettes au bord des routes qui sont souvent dégoutantes en plus.
-Ok ça me va car vue mon envie si ça continu je fais sur le siège.
Voilà un cheminn je tournen m’arrête sur le coté, sors de la voiture et vais directement me soulager non loin de là. Martine descend de la voiture passe non loin de moi ce qui lui permet de me voir complétement entrain d’uriner, mon sexe a la main.
- Oh désolé Martine j’aurai dû me mettre plus loin.
- Aucun souci ne t’inquiète pas, me dis-tu en t’éloignant un peu derrière des bosquets.
Je ne vois plus que le haut de ton corps derrière des buissons, je regarde et m’attends à te voir disparaitre en te baissant pour faire pipi, mais non cela n’arrive pas.
Je suis complètement bouche bée car j’écoute ton jet sortir avec puissance mais tu as l’air debout. Je suis toujours entrain de faire pipi, estomaqué, mon idée fuse dans ma tête. Que fait Martine, elle pisse debout, c’est un homme, non je l’aurai vu, elle a un objet qui lui permet de pisser debout, elle…
- Tu as fini tu peux ranger ton engin, tu as l’air perdu, me dis-tu en rigolant.
- Tu me sors de mes pensées.
- Oh mince désolé je bafouille. Euh, mince oui je me rhabille.
Nous sommes remonté dans la voiture, j'étais toujours dans mes pensées, Moi qui aime les jeux de pipi, je suis tout excité sans comprendre le fin mot.
- Depuis qu’on s’est arrêté pour faire pipi tu es dans tes pensées, un problème, me demande Martine.
- Euh non non désolé aucun problème.
- J’ai bien vu que tu as été surpris et perturbé, tu ne savais pas que les femmes peuvent pisser debout, me dis-tu en rigolant.
- Euh si mais je n'ai jamais vu c’est cela.
- Tu n’as jamais vu une femme pisser debout ?
- Si, qu’en photo …
Mince qu’est ce que j’ai dit, elle va me prendre pour un pervers.
- Ah tu regardes des photos de femme qui pisse alors.
- Non ce n’est pas ce que je veux dire
- C’est ce que tu as dit mais aucun souci tu sais sur internet il y a des sites super pour ça ah ah.
- Ah euh oui je confirme, mais je pensais que ça, de ton point de vue, enfin…
- Si tu veux si on s’arrête encore pour une pause pipi et je te montrerai ma technique.
- Avec plaisir mais là tu éveilles ma curiosité et pas que...
26 septembre 2022

"Une anecdote de Florence..."

Ceci m'est arrivé lorsque je venais de terminer mes études d'institutrice primaire et que je faisais ma première année d'enseignante. J'étais dans une école à une quinzaine de km de chez moi et je m'y rendais en vélomoteur. Les cours débutaient à 8 h 25 le matin jusqu'à 12 h avec une pause de 10 h à 10 h 25. Je quittais la maison de mes parents vers 7 h 35 juste après mon petit pipi. On était fin mai et il faisait très beau je portais une jupe courte à mi cuisses sans bas ni collants, juste ma petite culotte.
La journée débute bien et je terminais ma première leçon quand je sens une envie de faire pipi ! Il était alors un peu avant 9 h. J'essaie de ne pas y penser et je commence ma seconde leçon de formes géométriques. Mais rien à faire, ma vessie m'envoyait sans cesse des demandes de vidange... et l'heure qui n'avançait pas ! ! ! ! Vers 9 h 30, je sentais que je ne pourrais tenir encore une demi heure et que j'allais faire pipi à ma culotte devant ma classe sous peu, ce qui m'aurait été une honte énorme ! ! ! Ma classe était au second étage au bout du couloir et le bloc sanitaire se trouvait dans la cour de récréation. Il y avait aussi deux toilettes près du secrétariat au rez-de-chaussée d'un autre bâtiment pour le personnel. N'en pouvant plus, je dis à ma classe : "Ouvrez votre livre aux exercices nous allons faire une révision pour les examens dans trois semaines. Vous travaillez seuls et en silence, mademoiselle (je n'étais pas mariée à l'époque) doit aller au secrétariat pour un détail pour notre voyage de fin d'année. Si quand je reviens j'apprends que vous avez perturbé les classes voisines, vous savez que je n'aime pas punir, mais dans ce cas vous aurez tous et toutes une punition dont vous vous souviendrez longtemps !"
Je quitte alors la classe mine de rien... une fois dans le couloir je prends l'escalier près de ma classe qui servait d'issue de secours car j'avais tellement envie que j'avais mis ma main sous ma jupe en serrant le fond de ma petite culotte pour bien fermer la vanne qui voulait s'ouvrir tout de suite ! J'étais au mi palier vers le premier étage quand je sens un spasme violent dans mon bas ventre et mes doigts deviennent chaud et un peu humides... Je commençais à faire pipi à ma culotte ! ! ! Heureusement, je sais bloquer la fuite mais je sens que je ne vais plus savoir gagner les toilettes à temps ! Il y avait à chaque étage un petit réduit avec un robinet et un dévidoir pour le nettoyage, je m'y engouffre, je me place vite jambes écartées entre le dévidoir, jupe relevée autour de ma taille, fond de petite culotté tiré sur le côté en un éclair, et... un énorme laché de pipi de suite ! Je faisais un pssssiiiittttt énorme, le jet résonnait dans le dévidoir métallique avec un vacarme énorme, j'ai pissé sans arrêt presque une minute tellement je m'étais retenue en suppliant le ciel que personne ne me surprenne en pareille position.
Enfin j'ai fini, que j'étais mieux ! ! ! J'ai ouvert le robinet pour faire couler un peu d'eau et je suis vite partie des lieux sans demander mon reste. Au mi palier en remontant, tout étant calme, j'en ai profité pour baisser ma petite culotte et inspecter son fond... Ca pouvait aller, une simple petite auréole humide sans gravité, mon honneur était sauvé de toute justesse ! ! ! Je suis rentrée en classe, tout était calme, personne n'avait constaté ma brève absence, et personne n'a jamais su ce qui m'était arrivé ! Ouf ! ! Mais à partir de ce jour j'ai toujours fait un pipi de sécurité avant de commencer chaque cours ! Pareille mésaventure ne m'est plus jamais arrivée ! Je n'ai plus jamais senti d'envie de pipi si longtemps avant la pause. Je sentais cinq minutes maximum avant la pause. Voilà ma petite aventure de début de carrière.
3 octobre 2022

"Des situations d'extrême urgence nous font parfois faire des choses incroyables !" par Florence...

A la fin de cet été j'étais partie faire quelques courses en ville. Je devais terminer par un magasin à l'autre côté de la ville mais où il n'est pas facile de se garer. Je décidais donc d'y aller à pied et pour abréger le trajet, je prenais un raccourci par des rues non commerçantes et pour terminer par une petite ruelle uniquement piétonne de 80 mètres de long environ qui fait 2 mètres de large environ. Les murs tout au long de cette ruelle sont aveugles, uniquement quelques portes pleines et à environ 70 mètres de la rue principale un renfoncement de 3 mètres de profondeur sur 2 mètres de large avec une porte au fond, porte pleine.
J'arrivais tranquillement au bout de la ruelle, j'allais tourner dans la rue principale quand j'ai failli être renversée par une jeune fille d'une vingtaine d'années qui courait à toute jambes. Je croyais qu'elle était poursuivie. J'avais déjà le réflexe de mettre ma main dans mon sac pour prendre ma bombe lacrymo au cas où... mais non, personne ne la poursuivait ! Tant mieux pour elle ! ! ! Je me retournais, la fille courrait avec les jambes à son cou, et à une bonne dizaine de mètres du renfoncement, elle commence à relever sa jupe ample plissée, la relève autour de sa taille et continue de courir ainsi, cuisses nues, dévoilant sa petite culotte (une couleur verte, ça m'a frappé car c'est une couleur pas commune pour une petite culotte), et s'engouffre dans le renfoncement sans se retourner ! Je comprends alors dans ma tête ce qui se passait : elle avait sans aucun doute besoin de satisfaire un besoin très très pressant ! ! ! Pour ne pas la déranger dans son travail, je ne suis par partie vers cet endroit pour ne pas la gêner plus qu'elle ne devait être peut-être mais je faisais semblant de regarder la première vitrine pour voir la suite... et deux bonnes minutes plus tard, je vois la même fille qui revenait, sortait de la ruelle mais en marchant tout à fait à son aise cette fois, elle est passée à côté de moi sans me regarder, c'était une jeune fille longs cheveux châtain clair, svelte et assez grande, visage assez fin, jupe ample plissée mi-longue, top clair et une petit sac en bandoulière. Elle a continué de marcher dans la rue principale sans se retourner. Curieuse, je décidais d'aller voir si ce que j'avais imaginé était juste, et une fois sur place,  bingo ! Au fond du renfoncement, une immense flaque humide, un vrai étang avec plusieurs coulantes dans toutes les directions... mais pas de papier ni de petite culotte...
Dans quelle position elle a pissé, je ne sais pas, mais à la vue de la flaque, je crois accroupie face au mur et à la porte en partie... accroupie au raz du sol ou demi accroupie, je ne sais pas, à vous de l'imaginer... mais il y avait des éclaboussures au pourtour de l'océan de pipi ! Je ne sais pas si elle a baissé sa petite culotte ou simplement tiré le fond sur un côté, à vous aussi de l'imaginer ! Avait-elle fait un peu à sa culotte ou pas ? ? ? ? Avait-elle gardé sa petite culotte si elle était intacte ou l'avait-elle enlevée car un peu mouillée et mise dans son sac? ? ? Toutes les hypothèses sont permises !
 
Voilà chers lecteurs et lectrices du blog, bonne lecture et bon fantasmes pour certains j'imagine !
Bonjour à Martine avec qui j'ai un peu correspondu il y a une dizaine d'années mais je n'ai plus fréquenté le blog suite à certains aléas de la vie...
10 octobre 2022

"Garder toujours son sang froid est la meilleure des attitudes !" par Florence...

Voici une petite aventure qui s'est déroulée voici quelques années déjà. J'étais avec une amie de mon âge (nous étions copines de classe aux études durant de nombreuses années) et nous étions de sortie un après-midi. Vers la fin de l'après-midi, je dis à ma copine je vais faire un petit détour par le parking proche car j'ai une de ces envies de faire pipi ! Elle me répond : depuis le temps que je me retiens, c'est aussi une grande nécessité pour moi, j'allais justement te le dire ! Bref on était toutes les deux dans la même situation. Nous voici arrivées à l'endroit en question, on va bien loin de l'entrée et on se met à l'abri derrière un grand pilier qui sert pour afficher de la pub. Personne en vue, on dépose nos sacs par terre, on dégrafe notre ceinture, baisse nos pantalons avec la petite culotte, on s'accroupit côte à côte, et on ouvre les vannes quasi en même temps ! On pissait toutes le deux très fort, un puissant jet qui éclaboussait bien en frappant le sol bétonné, un chuintement bruyant pour toutes les deux vue la pression à la sortie, et ma copine qui riait bruyamment aux éclats ! Je lui dit pas si fort, on va se faire repérer si tu continues ainsi ! Elle me dit : Ah si on voyait ça à l'école (on était toutes les deux institutrices mais dans des établissements différents) Je lui dis : tais toi, on aurait belle presse si nos élèves savaient ça ! ! ! ! On était en route depuis quinze secondes je crois quand on voit débouler de je ne sais où deux jeunes filles et un jeune garçon totalement inconnus de nous heureusement ! Ma copine ne savait que faire, je ne saurai arrêter elle me dit rapidement ! Je lui dit : moi non plus, baisse ton visage et on continue, on verra bien ce qui arrivera... La stupéfaction se lisait sur les trois visages des jeunes, je jette un bref coup d'oeil sur eux tout en continuant de pisser avec force comme mon amie ! Et j'entends une fille dire : allons on s'en va, laissons les pisser à leur aise, maman a déjà vécu cette situation et c'est assez gênant pour elles comme ça ! Si elles pissent ici, c'est qu'elles en avaient trop envie ! Et le trio s'est éloigné... Leur présence a peut-être duré dix secondes maximum, mais ça nous a paru deux minutes ! ! ! Après leur départ on a encore pissé une quinzaine de secondes (tellement cela faisait un moment qu'on se retenait ! !) on a vite relevé nos petites culottes et pantalons sans nous essuyer pour ne plus encore être surprises ! Et on est vite parties toutes deux en laissant deux belles flaques de pipi sur le béton. Un peu après, elle m'a dit : merci Florence d'avoir été avec moi, car je crois que dans la panique j'allais relever mon pantalon et continuer à pisser dedans ! J'avais tellement envie que je ne parvenais à pas à arrêter ! Je lui ai dit : j'étais comme toi, alors j'ai dit en moi-même : tentons le tout pour le tout, on ne les connait pas apparemment, alors autant rester au sec et ne pas finir dans nos habits ! Comme quoi ne pas paniquer est toujours préférable dans tous les cas !

17 octobre 2022

"Apprendre à faire pipi dehors autrement qu'accroupie..." par Florence...

Cette petite histoire remonte à 1974 si mes souvenirs sont bons ! J'avais sept ans à l'époque et on était allés papa, maman et ma grande sœur à une braderie locale. C'était une très belle journée à la fin du mois de septembre et il faisait encore assez chaud. On était toutes les trois en jupe ou robe. Vers la fin de l'avant-midi, on était retourné à la voiture pour y mettre nos achats et ma soeur dit : j'ai envie de quelque chose que j'ai vue à un ambulant à telle place. Maman dit je n'ai pas envie de retourner jusque là, c'est maintenant que tu dis ça ! Ma sœur insiste et dit qu'elle peut y aller seule et de dire où elle nous rejoindra ! Ma sœur est huit ans plus âgée que moi. Papa dit d'accord, on se retrouvera à tel endroit. Je demande si je peux aller avec ma sœur, maman dit d'accord, mais tu es la grande, n'en profites pas pour vous traîner ! Je te fais confiance pour garder un œil sur ta petite sœur ! Nous voilà parties toute deux, ma sœur dit on va prendre un raccourci par ici, on arrive alors dans une petite rue peu fréquentée sans aucune échoppe ni commerce, un homme assez âgé était occupé à faire pipi dans une encoignure de mur, ma sœur s'arrête un peu plus loin, je lui demande quoi, elle me dit tout bas : je crois que je vais aussi faire. Je demande naïvement faire quoi ? Elle me répond assez sèchement : mais pisser quoi ! Mais je dois attendre que ce gars là foute le camp ! Le gars part quelques instants après mais pas dans notre direction, ma sœur avait ses jambes croisées et serrées, enfin il a fini, je n'attendais que ça ! ! ! Elle se met vite derrière une auto, me dit regarde et dis moi si quelqu'un arrive, je la vois relever sa petite robe presque à sa taille, écarter ses pieds assez fort, fléchir un peu ses genoux mais sans s'accroupir près du sol, et simplement mettre le fond de sa petite culotte sur le côté sans la baisser complètement et immédiatement envoyer un fameux jet de pipi bien devant ses pieds ! ! ! Je n'avais jamais encore vu une fille pisser dans cette position ! Tu ne fais pas comme moi je lui dit ? Elle continue à pisser très fort et me répond : bien non, il y a plusieurs manières de pisser ! Tu ne savais pas ! Enfin tu es encore petite, tu ne sais pas encore tout ! ! ! ! C'était un jet de pipi très clair qui brillait sous le soleil ! Après ce que j'estime à une minute, elle a enfin fini, remet vite le fond de sa petite culotte en place et redescend sa robe. Il était temps, je pensais bien faire un peu à ma culotte tellement ça pressait, et ce gars qui n'arrêtait pas de pisser n'était pas pour arranger les choses ! Je lui dit je ferai bien pipi comme toi, tu m'explique ? Elle me dit, allez, ne te mets pas juste à ma place car j'ai beaucoup pissé, écarte bien tes pieds, ouvre tes jambes, maintenant de ta main droite tu relèves ta jupe et tu la cales contre ton ventre avec ton bras, donnes tes doigts maintenant, elle me les met sur les bords du fond de ma petite culotte, tu baisses un peu le fond, tu tires sur un côté le fond pour toi bien dégager ta fente, moi je glisse à droite, mais tu peux aussi glisser à gauche si tu veux, et maintenant tu pisses ! J'étais tellement surprise que je ne savais pas commencer ! Elle a alors chuchoter un pssssiiiit à mon oreille et j'ai lâché les eaux à mon tour ! Pas aussi fort que ma sœur mais j'ai fait un beau petit pipi ! Quand ça a été fini j'ai fait la même manœuvre que ma sœur. Voilà, tu sais faire pipi comme une grande maintenant, mais interdiction de faire pipi de cette façon devant maman hein ! ! Et pas question de dire ce qu'on a fait ! ! ! Si une fois tu fais par oubli pipi de cette façon devant maman, interdiction de te dire ce que je t'ai appris hein ! Tu n'as qu'à dire une copine de classe t'a appris, et que tu ne te souviens plus qui ni quand a eu lieu cette leçon ! ! ! Si tu as le malheur de me griller avec ta mauvaise petite langue de vipère (petiten j'étais toujours naïve et je disais tout ! Ca a changé après ce jour !) tu t'en souviendras, crois moi ! ! ! Maman n'a jamais rien su ! Et ma sœur de me dire en quittant les lieux du délit : voilà, maintenant si on fait comme ça dehors quand on n'a pas de pantalon ni de collant, c'est pour pouvoir regarder si personne n'arrive pour nous voir faire pipi quand on est seule. Tu dois savoir qu'il est interdit de faire pipi en rue comme on a fait ! Et surtout pour une fille ou femme ! Même un homme ne peut pas, alors qu'il ne doit pas se déshabiller comme nous ! !!  Il peut faire dans un lieu qu'on appelle urinoir, mais nous si on va faire pipi là, on ne doit pas nous surprendre ! On risque de devoir payer une amende ! ! Si on ne sait plus se retenir, on n'a plus qu'une seule solution, faire pipi à sa culotte sans nous faire trop remarquer ! Mais bonjour la honte après ! ! ! Surtout pour une grande fille comme moi ou une femme comme maman ou mamy ! ! Retiens le bien ! Et j'ai bien retenu la leçon et je l'ai apprise à certaines autres filles après !  Il faut dire qu'il y a 40-50 ans parler du pipi surtout pour une fille était encore très tabou !
19 octobre 2022

"Pauses pipi en voyage scolaire" par Julie...

Cette anecdote se déroule quand j’étais en 4è quand on a fait un long trajet en car pour aller en classe verte. 

Un matin d’avril j’arrive au collège avec ma valise (la classe verte durait une semaine) et je suis accueillie par la prof accompagnatrice qui me dit de mettre ma valise dans la soute du car puis d’aller faire pipi. Ça tombe bien je n’ai pas fait pipi de la matinée. Je m’exécute et je trouve devant les toilettes des filles une longue file, et à côté les garçons s’amusant à écouter les bruits des filles en train de faire pipi et admirant le spectacle de filles pressées qui pissent aux cabines sans porte. 

Pour explication, la sortie concerne les deux classes de 4e, soit une cinquantaine d’élèves, dont une trentaine de filles (il y avait un peu plus de filles que de garçons). Les toilettes des filles comprennent cinq cabines de toilettes dont deux qui n’ont plus de porte du tout, laissant voir de l’extérieur la pisseuse. Ces toilettes sont utilisées par des filles à la vessie pleine ou bien qui n’ont pas envie d’attendre si longtemps dans la queue pour faire pipi. Après tout les garçons de la classe avaient déjà vu des filles (y compris de la classe) faire pipi, et moi aussi on m’a déjà vue faire pipi. 

Ce jour là n’ayant pas la patience d’attendre dans une si longue file pour faire pipi je me dirige directement vers une toilette sans porte, me mets dos à la toilette et donc face aux filles qui attendent pour les toilettes, baisse mon short et ma culotte, me penche en avant et lâche les eaux sans toucher les toilettes. Comme à mon habitude mon jet est assez bruyant et est entendu en dehors des toilettes. Je fais un gros pipi qui me procure du soulagement tout en observant les filles en train de se retenir, dont certaines ont les jambes croisées. J’ignore les garçons qui assistent au spectacle que je leur offre, alors qu’à toutes les récrés ils peuvent assister à des filles qui pissent dans les toilettes sans portes, et même dans le sterput dans le sol pour les plus pressées. 

Pour explication dans ce collège les toilettes sont fermées en dehors des récréations et de la pause déjeuner, soit toutes les 2 heures, pour éviter que les élèves ne demandent à aller aux toilettes pendant les cours, ce qui donne tous les jours des scènes de filles qui arrivent aux toilettes la vessie pleine à craquer. 

Une fois ma vidange terminée et ma vessie soulagée je ne m’essuie pas car il n’y a pas de papier dans les toilettes, je remets mes habits en place et sors de là. Il était alors 8 h, le temps d’attendre que tout le monde arrive et que les pisseuses finissent de pisser il était 8 h20 quand on est partis. Les garçons d’ailleurs ont eux fait leur pipi contre le car tous alignés les uns à côté des autres, exposant leur pipi et leur engin à la vue de tous et toutes, ce qui n’avait rien d’inhabituel. 

2 h de route plus tard, à 10h (je me souviens des heures parce qu’elles étaient marquées dans le car) la prof annonce qu’on va s’arrêter pour faire une pause pipi que pour les garçons et que les filles on doit rester dans le car. Quand on répond à la prof que nous aussi on a envie de faire pipi (ce qui est vrai car nos petits déjeuners n’étaient pas encore descendus totalement dans la vessie quand on a fait pipi à l’école) et qu’on demande à pouvoir faire pipi aussi, elle répond « Pas question ! Vous êtes grandes vous devez savoir vous retenir. Vous pourrez faire pipi à midi. Et de toutes manières il n’y a pas de toilettes, vous n’allez pas vous déculotter en public. »

On se résigne donc à serrer les jambes tout en voyant à travers la fenêtre les garçons soulager leur vessie. Les voir faire pipi me donne plus envie donc je détourne le regard et m’aperçois que je ne suis pas la seule à avoir envie de faire pipi : étant uniquement entre filles certaines mettent leur main à leur vulve et beaucoup croisent ou serrent les jambes. Les garçons remontent et le trajet en car continue. Vers 11 h 30 l’envie est très pressante, je ne cesse de croiser et décroiser les jambes, ma vessie me fait mal en bas du ventre. Je regrette et je me sens conne d’avoir pris un bol de lait aux céréales comme petit déjeuner.  À midi on demande à la prof de pouvoir s’arrêter, lui disant qu’on ne peut plus tenir. Elle répond qu’on est un peu en retard à cause de la circulation mais qu’on est presque arrivés. À 12 h 10 on arrive à l’aire de repos. Les garçons, qui commençaient à avoir envie pissent face au car à leur aise, tout en matant les filles en train de serrer les fesses et les cuisses. Pendant ce temps on suivait la prof vers les toilettes, quand face aux toilettes on découvre qu’il est indiqué qu’elles sont temporairement hors d’usage. On dit à la prof « Madame faut absolument qu’on fasse pipi, on peut pas se retenir davantage ». On sort dehors, la prof cherchant du regard un endroit où nous dire de faire pipi, nous indique des buissons et nous autorise à aller y pisser derrière, à condition qu’on ne s’éparpillent pas pour pas qu’elle ai à nous chercher. On fonce tout en mettant notre main à l’entrejambe vers ces buissons, dès que je suis derrière les buissons je tire vers le bas short et culotte, m’accroupie et sort de mon urètre un large jet jaune pâle qui frappe le sol en éclaboussant. Mon pipi dure une éternité (impossible de dire combien, le temps passe différemment dans ces moments) soit largement assez pour de temps pour les garçons de venir admirer le spectacle de nous voir toutes accroupies en faisant de si gros jets et en gémissant de soulagement. Moi aussi j’émets un râle de soulagement tellement c’est agréable d’enfin vider sa vessie. A la fin de mon pipi il y a un tout petit jet mais qui visiblement n’a pas envie de s’arrêter, je pousse pour vider complètement ma vessie puis me rhabille après avoir fait état des dégâts : j’ai eu des fuites avant de pouvoir me soulager ce qui fait que ma culotte est humide et mon short présente une très légère tache d’humidité visible de l’extérieur mais ça va. Par contre la sensation de la culotte mouillée c’est pas agréable. Je constate que la majorité des filles (en pantalon en tous cas) ont une tache à l’entrejambe plus ou moins grande, en général juste des fuites pas tout le pipi. 

On pique-nique sur l’aire de repos et on repart à 13 h après que ces messieurs se soient à nouveau soulagés. Dans le car on remarque qu’à gauche du car il y a une tache de pipi accompagnée de mouchoirs. Or aucun garçon ni aucune fille ne s’est soulagé là (les garçons ont toujours pissé côté droit, côté de la descente et de la montée) et on en déduit donc que ce pipi correspond à celui de la prof. Le voyage continue. Vers 15 h j’ai envie de faire pipi (pendant le déjeuner on a mangé et bu aussi et on avait chacun une bouteille de 50 centilitres qu’on devait finir avant de monter dans le car pour être sur qu’on ne jette pas les bouteilles vides dans le car) quand la prof annonce nouvelle pause pipi uniquement pour les garçons. A nouveau la même chose, les filles on n’est pas contentes, on veut faire pipi aussi mais rien à faire avec cette prof, elle nous dit qu’on pissera en arrivant. Le truc c’est que le car est pris dans des embouteillages et même si on est censés arriver à 16 h, on n’y sera pas c’est sur. Mais malgré ça à nouveau les filles on est dans le car à se serrer les jambes tandis que les garçons pissent, alors qu’à voir leur courts pipis je trouve qu’ils n’avaient pas si besoin que ça. Malgré notre insistance on ne peut pas aussi faire pipi et sitôt les garçons remontés le car repart. Les filles on a de plus en plus envie de faire pipi, on croise les jambes, on a des fuites (j’en ai eu à ce moment) pendant l’heure qui suit puis à 16 h environ le car s’arrête à une station service pour que les filles allions faire pipi dans les toilettes de la station. On ne s’attendait pas à pouvoir faire pipi enfin. On descend rapidement et on fonce vers les toilettes, accompagnées de la prof (qui surveille qu’aucune fille ne lui désobéisse et ne fasse pipi dans l’herbe). Arrivées aux toilettes il y a de la queue, heureusement pas hyper longue (entre 5 et 10 personnes je ne me souviens pas exactement) mais je me souviens qu’on ne passait pas inaperçues tellement on avait envie : on serrait fort les jambes, on se penchait un peu en avant (pour relâcher la pression sur la vessie), on trépignait, on grimaçait… J’avais très envie et je luttais contre des fuites qui se déclenchaient avec les bruits des pisseuses que j’entendais (dans la file d’attente on entend les bruits de pipi des femmes qui se soulagent). Quand vient enfin mon tour (j’étais à peu près au milieu de la queue) je me rue dans les toilettes, le temps que je ferme la porte je sens une fuite dans ma culotte, je baisse en vitesse short et culotte et lâche enfin un très gros jet bruyant tout en étant assise sur les toilettes malgré la saleté (plus la force de contracter de muscle). Mon jet dure longtemps et pendant ce temps j’apprécie le soulagement, même si j’aurais bien entendu préféré pouvoir faire pipi plus tôt et ne pas en arriver là. Avec des vessies aussi pleines c’était un vrai concert dans les toilettes, toutes les filles faisaient pipi à gros jet, ce qui s’accompagne toujours de bruit. Je sors ensuite des toilettes pour laisser la place à une autre pisseuse, que j’observe avec curiosité dans le miroir en me lavant les mains. Elle était au moins aussi pressée que moi et comme les portes ne descendent pas jusqu’en bas j’aperçois dans le miroir un petit jet qui tombe pas terre. Elle a commencé à pisser à peine son pantalon et sa culotte descendus avant même de n’avoir eu le temps de poser ses fesses sur les toilettes. Suite à ça je retourne au car puis le trajet continue. Les garçons ont bien évidemment profité de cette pause pipi pour faire pipi eux aussi, telles qu’en témoignent les flaques devant le car. On est finalement arrivés à destination à 19 h (à cause d’embouteillages) ce qui fait qu’en arrivant on avait à nouveau envie d’aller aux toilettes (ce qu’on a pu faire) mais c’était juste de gros pipis classiques, pas des vessies archi pleines en train de fuir comme plus tôt dans la journée. 

J’espère que mon anecdote vous a plu, n’hésitez pas si vous avez des questions.

24 octobre 2022

"Je n'en suis pas fière, mais je ne suis pas la seule !" par Florence...

J'habite à la frontière de la France mais pas en France. Les derniers jours de ce mois d'août je suis allée dans une grande ville de France à 20 kilomètres de chez moi. Par facilité j'y suis allée en train. Je suis partie de chez moi vers 10 heures et sur place j'ai mangé vers midi dans une brasserie. Tout de suite pipi en arrivant et encore pipi en quittant après mon repas. Mes courses étaient finies, j'avais pris un peu plus de temps dans la dernière boutique, je me pressais vers la gare pour le retour, j'avais envie de faire pipi. J'arrive dans la grande salle d'attente et je vois mon train dans deux minutes. Pas le temps d'aller aux toilettes dans la gare, je ferais dans le train sinon je rate mon train et je dois attendre une heure ! J'arrive sur le quai, je monte dans la dernière voiture et le train part rapidement. Le trajet dure 25 minutes, c'est un omnibus transfrontalier, et le premier arrêt à 6-7 minutes. Je me rends dès que le train est en mouvement à la recherche de la toilette, c'était dans la voiture de tête, et une fois devant, porte fermée avec une affiche hors service ! ! ! Pas de chance, je retourne à ma place, mais je sens que je ne vais plus tenir jusqu'à ma descente de train. Par chance j'étais seule dans la voiture ! Je m'assied donc un peu en avant sur ma banquette, je baisse un peu mon pantalon et ma petite culotte juste ce qu'il faut, personne en vue, tout est calme, j'ouvre les vannes. Ca part de suite, je pensais faire un peu pour être moins gonflée, mais ça me faisait tellement du bien de me vider et comme tout était calme, je me suis vidée à fond ! Je n'ai pas pris la peine de m'essuyer, j'ai vite remonté ma petite culotte et mon pantalon une fois fini, reboutonné et fermé la fermeture de la braguette et refermé ma ceinture ! Une belle flaque entre mes pieds ! Je décide de changer de place pour ne rien faire paraître au cas où et avance d'une rangée et change de côté. Une fois en place, le train ralenti, s'arrête. Je vois le contrôleur sur le quai, coup de sifflet, le train repart et le contrôleur arrive... Il voit mon méfait et dit : encore cette bande qui a renversé de l'eau ou du soda en gare de départ, je les avais repéré mais pas vu monter dans le train ! Heureusement ils n'ont pas sali le siège ! C'est terrible de nos jours madame ! ! ! Si le pauvre savait ! ! ! A l'arrêt suivant trois jeunes filles de 17-18 ans sont montées, une a dit : pas ici, c'est humide, et elles se sont assises devant moi. J'ai entendu une dire pas trop haut : tu vois, on n'est pas les seules à pisser dans le train ou le métro ! Elles avaient déjà fait la même chose que moi au moins une fois avant ! ! ! J'ai souris en moi-même, si elles avaient pu imaginer que la coupable se trouvait derrière elles ! ! ! Une femme, la cinquantaine bien passée ! ! !

31 octobre 2022

"Technique discrète pour se préparer à faire pipi" par Florence...

Ceci remonte à 25 ans environ. J'étais à une fête en plein air. La festivité se trouvait sur une petite route en hauteur et dans le contrebas, un terrain vague et une petite route en terre battue pour y  accéder. Les ambulants qui n'avaient pas besoin de leur véhicule avaient garé ces derniers sur ce terrain. En me promenant, je remarque une femme qui marchait sur ce chemin vers les véhicules en regardant autour d'elle. Je pensais que c'était une ambulante qui allait vers son véhicule. Elle arrive près d'une grosse camionnette, en fait le tour et se positionne derrière. Je la voyais nettement de loin et pensais qu'elle allait prendre un objet. Elle continuait à bien regarder autour d'elle vers le chemin, et je la voyais mettre ses mains sur ses hanches, pincer sa robe et faire comme pour la descendre de quelques centimètres. Elle recommence la manœuvre plusieurs fois, relever un peu sa robe, pincer et baisser un peu... cela m'intriguait ! Elle en était maintenant arrivée au niveau de sa mi-cuisses. Que faisait- elle et pourquoi ? Elle regarde encore une fois vers le chemin, personne n'arrivait, alors je la vois relever le derrière de sa robe, découvrir ses fesses avec sa culotte à hauteur mi-cuisses, se pencher en avant, tirer le fond de sa culotte vers l'avant et pisser ! Un pipi copieux vu le temps qu'elle faisait ! Une fois son affaire finie, elle a vite remonté sa culotte, rebaissé sa robe et est partie très vite de cet endroit. Je n'avais jamais vu auparavant une telle technique pour baisser sa culotte discrètement sans relever sa robe ou sa jupe complètement et je n'ai plus jamais vu une femme faire de la sorte par après jusqu'à ce jour. Cette femme que j'ai vue de plus près une fois arrivée toutes deux à l'intersection de la route et du chemin de terre pouvait avoir entre 55 et 60 ans d'après moi.
23 novembre 2022

"Stop pipi providentiel" par Florence...

Une petite histoire qui remonte à bien longtemps. J'avais presque 16 ans et à cette période j'avais souvent envie de faire pipi. Un dimanche j'étais de sortie avec mes parents qui voulaient changer de voiture. C'était fin janvier, début février si je me souviens bien, un dimanche après-midi. On était allé voir deux concessions et après mon papa dit allons encore voir là si la vitrine est éclairée car le soir était tombé. J'espérais que ce serait éteint car je devais faire pipi... mais pas de chance, c'était éclairé bien sûr ! Et je devais pisser, pisser....le showroom était sur le coin des quais et proche d'une petite rue peu éclairée et fréquentée. Je suis allée dans cette rue, un petit parking, vite entre deux autos, il faisait sombre, ma tenue était facile, jupe écossaise plissée, mis bas de laine et petite culotte, tout est calme. Devant de jupe relevée, fond de culotte sur le côté, pieds écartés et je commence à pisser ! Enfin, quel soulagement ! Je pissais depuis dix secondes environ quand je vois des lueurs de phare dans la rue ! Pas vrai que je ne serai pas tranquille ! ! ! ! Je pousse pensant pisser plus vite, peine perdue bien sûr, alors je décide de m'arrêter je finirai quand ces embêtants seront passés je me dis ! Et heureusement, à peine rhabillée, la voiture arrive doucement, la police en patrouille ! ! ! ! Et ils s'arrêtent et regardent vers moi ! S'ils viennent et voient ma flaque, je suis foutue je me dis, et bonjour les compliments de maman surtout ! ! ! ! Alors je tente le tout, je fais semblant de fermer une portière d'une voiture, je mets ma main dans mon petit sac et je sors d'entre les voitures... mon stratagème a réussi, la police part ! Mais comme mon cœur battait ! ! ! ! Je pars vers le showroom, plus aucune envie de finir mon pipi tellement j'avais été surprise et effrayée. Mes parents arrivent et me demandent mais où étais-tu donc ? Je leur dit je regardais cette petite voiture ! Je comprends dit papa, c'est pour les jeunes un modèle comme ça ! On est rentrés à la maison et pas encore envie de pipi une fois arrivée tellement j'avais eu peur ! Mais en y pensant encore, je l'ai échappé belle car quelle sérénade j'aurais eu de maman ! ! !
2 janvier 2023

"Une anecdote vécue en Allemagne" par Florence...

La semaine dernière je suis allée avec mon chéri quelques jours outre Rhin. Le trajet est d'environ 7 heures et nous faisons une pause à mi chemin. Au départ c'était une aire de repos avec un chalet de type petite auberge. Nous étions à l'intérieur quand un mini bus avec 5 filles et deux garçons est arrivé. Un garçon et deux filles arrivent en courant pour les toilettes, mais c'était payant ! Tous dépités ils ressortent (pas d'argent liquide ? Autre motif  ?) Les 2 garçons vont vers des buissons et se soulagent. Facile pour eux ! Les filles parlent et elles se dirigent vers des buissons et une petite cabane à l'écart. Deux filles se mettent dans les buissons côte à côte et pas beaucoup de feuilles, on peut les voir se déculotter et s'accroupir pour pisser. Elles ont pissé un bon moment, belle envie ! Les trois autres vont derrière la cabane, pas de vision sur leur manœuvre, deux en ressortent après un bon moment aussi, quand à la dernière elle est sortie encore deux minutes après. Elles ont regagnés le petit bus de suite et sont reparties aussitôt. Une fois aussi sortie avec mon chéri, par curiosité ou voyeurisme, nous sommes allés vers la cabane, et derrière deux immenses flaques sur le béton, un seul papier dans une flaque, et face aux deux flaques, une petite flaque mais sur la terre un énorme caca avec des papiers ! La dernière fille devait faire sa petite et sa grande commission, et quelle commission ! Au retour arrêt sur un parking avec station service et petit restoroute, nous allons aux toilettes, et devant les dames une belle file malgré 4 cabines ! Mon chéri me fait signe de venir de son côté car personne chez les hommes, 3 cabines disponibles et 5 urinoirs. Devant moi, deux allemandes, mère et fille sans doute, et la mère particulièrement pressée, elle se tenait l'entrejambe et fesses serrées ! Je lui fait signe et leur dit en anglais - je ne parle pas allemand - de me suivre, elles n'hésitent pas, la maman entre dans la cabine à coté de la mienne, elle trépignait en se déculottant et gémissait - c'était dire si ça pressait ! - et après une lourde chute, un énorme vacarme d'un jet puissant qui atterrit dans l'eau de la cuvette avec un gros "Aaahhh" de soulagement et des mots en allemand, sans doute il était temps où quelque chose comme ça. Elle a aussi parlé avec sa fille. J'avais fini, mais je suis restée dans la cabine pour l'entendre pisser avec force tellement elle devait faire ! Quand elle a eu fini, je suis sortie pour laver mes mais, sa fille se lavait déjà ses mains, puis la mère est apparue, elle est venue un peu confuse mais souriante aux lavabos, elle m'a dit quelques mots en allemand. J'ai dit en anglais "Ne soyez pas gênée, je vais chez les hommes quand c'est bouché chez les femmes." Sa fille parlait anglais, elle m'a remercié vivement de même que mon chéri qui m'avait appelée car sa maman aurait eu un accident certainement, elle lui a dit de sa cabine que c'était vraiment limite, elle commençait à sa culotte en baissant son pantalon et qu'elle avait dû essuyer son fond de culotte avec du papier ! Nous nous sommes tous quitté en leur souhaitant bonne route et la mère m'a dit deux fois "Dank u !".
11 mars 2023

"Pipis devant le cinéma" par Julie...

Cette anecdote se déroule quand j’étais ado, je devais avoir 15-16 ans. Avec ma mère et mon père on était allés tous les trois au cinéma un samedi après midi. Avant la séance nous prenons chacun une boisson d’un demi-litre pour boire pendant le film. Le film a duré longtemps, je me souviens que durant une bonne partie de celui-ci je croisais et décroisais les jambes, tout comme ma mère le faisait également, mais il était trop captivant pour aller aux toilettes. Dès que le générique est apparu on s’est levés les premiers pour aller aux toilettes, fermées car « hors service ». Pas d’autre choix que de faire pipi dehors donc, et l’envie est pressante. Mon père ne se gêne pas de pisser contre le mur du cinéma juste à côté de l’entrée. Ma mère lui remarque qu’il y a moins sale et il lui répond en blaguant qu’il avertit les gens qu’il n’y a pas de toilettes avant qu’ils n’entrent dans le cinéma. Ma mère et moi cherchons rapidement du regard un endroit où pisser et décidons de se soulager entre les deux voitures stationnées juste devant l’entrée, non seulement que c’est l’endroit le plus proche mais ce sont les seules à n’être ni trop ni pas assez espacées. Ma mère pisse en premier car elle avait plus envie que moi, elle avait bu un thé avant de partir de la maison (en plus de la boisson prise avant le film). Son jet est puissant et abondant, on dirait un tuyau d’arrosage qui atterrit sur le sol en éclaboussant, il est également bruyant et bien visible. Je me tiens sur le trottoir pour la « cacher » mais je ne cache pas grand chose. Je meurs d’envie de pisser la voyant pisser, et j’ai même des gouttes qui fuient dans ma culotte, malgré le fait que je serre les jambes, fesses et sphincters. Le jet de ma mère faiblit et elle a bientôt fini lorsqu’arrive derrière moi une femme en pantalon visiblement très pressée. Lorsque ma mère a fini je la remplace, pas le choix que de marcher dans sa flaque de pipi tant elle est grande. Je m’accroupie face au trottoir comme ma mère m’a toujours appris (pour envoyer le pipi dans le caniveau afin de moins salir) et je commence mon pipi. J’avais très envie mais le fait de voir tous ces gens qui sortent du cinéma et qui me regardent en train de faire pipi avec ma culotte mouillée fait que je ne suis pas assez détendue et mon pipi sort lentement. La femme qui attend devant moi n’arrête pas de trépigner mais je ne parviens pas à pisser plus fort. Mon pipi dure une éternité et la femme qui attend commence à pisser dans sa culotte, heureusement pour elle elle arrive à stopper le jet mais la tache sur son pantalon est visible devant et derrière. Une fois mon pipi fini (après un très long moment) je lui laisse la place et elle s’empresse évidemment de s’accroupir soulager son envie. Nous restons la cacher pendant qu’elle fait son généreux pipi puis nous en allons. Plusieurs hommes faisaient pipi contre les arbres ou dans des coins tandis que les femmes soit serraient les fesses à vue d’œil en attendant de trouver des toilettes soit pissaient dans le caniveau sans être cachées par des voitures.

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