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Le blog pause pipi
4 février 2023

Suite de "Pauses pipi en voyage scolaire" par Julie (publié le 19 octobre 2022)...

L’anecdote se déroule au voyage retour de la sortie que j’ai évoqué lors de ma précédente anecdote. Je suis alors en classe de 4è.

 

On est réveillés vers 7 heures. Pipi du matin, habillage, petit déjeuner puis on prend nos valises et on monte dans le car. Il est alors 8 heures. Avant de monter dans le car les garçons ont fait pipi sans même avoir besoin de demander la permission. Sachant que la prof n’autorisera pas à ce qu’on fasse pipi dehors on demande à aller aux toilettes, ce qu’elle refuse disant que ça prendrait trop de temps qu’on pisse toutes et qu’on doit laisser les lieux propres et que les toilettes étaient sales après notre passage ce matin. On demande quand même à pouvoir faire pipi dans l’herbe, ce qu’elle refuse évidemment et nous demande de monter dans le car. 

La prof monte la dernière dans le car et dit aux élèves « La prochaine pause est la pause déjeuner à midi environ (dans 4 heures). On s’arrêtera à une station service donc les filles vous pourrez y faire pipi. En attendant vous pouvez vous retenir, vous êtes grandes, ça n’a rien d’insurmontable. Les garçons on pourra faire un arrêt pipi si vous en avez besoin. » 

Vers 10 heures la circulation commence peu à peu à se densifier jusqu’à ce qu’on se retrouve dans un embouteillage (dû à un accident). Vers 11 heures le car s’arrête sur la bande d’arrêt d’urgence pour que les garçons fassent pipi, tandis que les filles restons sagement assises dans le car à les voir par la fenêtre. Ils s’ont loin d’être les seuls, de 11 heures à 13 heures on voit sur le bord de la route beaucoup de gens qui s’arrêtent pour faire pipi. Une majorité d’hommes, certes, mais on voit aussi des femmes accroupies en train de faire leur vidange. A 13 heures passées on arrive enfin à une station-service et on n’est visiblement pas les seuls. On voit beaucoup d’hommes faire pipi un peu partout et des femmes accroupies entre les voitures. Les garçons commencent à pisser à peine descendus du car tandis que nous nous dirigeons vers les toilettes. Il y a beaucoup de queue chez les filles, beaucoup moins chez les hommes mais il y en a quand même. On attend dans la file d’attente en trépignant sur place. Je croise les jambes et je sens des fuites dans ma culotte. Bien que ma vessie ne soit pas totalement pleine (suffisamment quand même pour être douloureuse) ce qui est dur est de se retenir aussi longtemps. On n’a pas fait pipi depuis près de 6 heures. Je me souviens qu’il y avait devant nous un groupe de quatre femmes qui étaient très pressées et qui tapaient du pied. On entendait les bruyants jets des femmes en train de se soulager et on voyait chez les hommes une longue rangée d’urinoirs tandis que nous les femmes avions beaucoup moins de toilettes à notre disposition. Se retenir tout en entendant les bruits de pipi et en voyant les jets des hommes n’est pas chose facile. Le temps d’attente m’a paru interminable. Quand ça a enfin été mon tour ma culotte était déjà bien mouillée par les fuites. Les toilettes étaient particulièrement sales avec du pipi sur la lunette et même sur le sol. J’ai dû pisser sans toucher la lunette. Ma pisse a coulé tellement longtemps qu’à la fin j’avais mal aux cuisses. 

On a ensuite pris le déjeuner et on était tous obligés de finir la bouteille d’un demi litre qui nous a été donnée. On repart après que les garçons aient à nouveau vidé leur vessie. Durant le trajet l’eau descend dans nos vessies et garçons comme filles avons besoin de faire pipi. On s’arrête aux alentours de 16 heures pour que les garçons pissent. Malgré des pipis culotte la prof refuse toujours qu’on pisse aussi. La circulation est plus fluide dans l’après midi et malgré les embouteillages du matin on arrive au collège un peu avant 18 heures. A cette heure là les toilettes sont fermées (elles sont fermées en dehors des récréations) donc les garçons vont pisser dans la cour - il y avait des urinoirs dans la cour, je pense parce que le collège était une ancienne école de garçons - et les filles allons pisser entre des voitures non loin du collège.

 

Les toilettes

Toilettes femmes

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25 juillet 2007

Merci PPH...

dessin

dessin_2

"- Minuit déjà, on n'y arrivera jamais !"

"- Fais dans la rue..."

"- Oh non, et s'il venait des gens ?"

"- Psss pss pss !"

"- Arrête, j'en peux plus !"

"- Allez, fais là !"

"- Tant pis, j'y vais je ..."

"- Tu sais que tu es mignonne comme ça ?"

"- Tu trouves ?"

"- Tellement que j'ai envie de te serrer tout fort dans mes bras..."

      

4 août 2007

Pipi coquin...

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et une nouvelle contribution de PPH. Merci...

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"Tour à tour elles grimpaient sur la table et s'admiraient  la délicieuse fissure qu'elles disposaient entre leurs chevilles afin de maculer visiblement la nappe blanche de leurs effluves ambrées.

Rivière ruisseau ou ruisselet développaient des figures abstraites dont les écarts d'intensité variaient de l'or pâle au cristal scintillant."

LES ONDINES (extrait)

13 octobre 2007

Pipi devant tout le monde, par PPH

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Lucie, vous qui m'avez envoyé un message en me racontant une anecdote et en me disant que PPH pouvait, s'il le souhaite, en faire une bande dessinée, si vous lisez cette annonce, pouvez-vous me contacter à nouveau afin que je vous transmette sa réponse. En effet, j'ai effacé par erreur votre mail et ne possède donc plus votre adresse...

Merci.

24 juin 2008

Le Niagara

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La fille sera couchée sur le dos, les épaules bien calées sur un coussin.

Son complice l’enjambera en lui tournant le dos et lui saisira les mollets, ce qui lui permettra en levant ses jambes, de lever plus ou moins les fesses de son ondine.

Ils auront disposé un vase face aux fesses de la fille à une distance choisie pour recevoir l’onde qu’elle va émettre. Il faudra, dans cette position, une étroite collaboration entre les deux personnes pour que le jet tombe dans le vase.

La fille ne voyant pas l’objectif devra suivre les avis de son complice pour freiner ou appuyer son jet pour qu’il tombe dans le réceptacle tel les chutes du Niagara.

Le complice pourra lui aussi intervenir en levant plus ou moins la fille pour allonger ou raccourcir la distance, comme un artilleur réglant la hausse de son canon pour atteindre l’objectif.

Il est impératif  de s’installer sur un tapis car la cible ne sera sans doutes pas atteinte du premier coup.

Par contre, le complice pourra aussi en jouant sur l’ouverture des jambes, vraisemblablement  faire varier le petit chant d’oiseau qui pourrait se faire entendre selon l’anatomie de la fille, surtout si celle-ci réussit à émettre un jet régulier favorable.

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1 juillet 2008

La partie de campagne

souvenir

Cette position trouvera son plein épanouissement lors d’une promenade dans la campagne.

Après avoir marché quelque temps loin de l’agitation de la ville, si la fille éprouve le besoin de se soulager, elle en fera part à son complice.

Compréhensif, celui-ci trouvera rapidement pour elle un coin de nature à l’abri d’éventuels regards indiscrets. Complaisamment, sans qu’elle le sollicite, il dégrafera son jean qu’il descendra sur ses cuisses ainsi que sa culotte. Peut-être surprise mais appréciant cette aide, elle le laissera ensuite la porter par les mollets et pliant les genoux, elle appuiera son dos sur les jambes de son partenaire. Ses mains lui tiendront les chevilles  pour bien assurer son équilibre.

Ainsi tenue, elle aura toute facilité pour se laisser aller comme bon lui semblera pendant que son complice pourra admirer éventuellement la naissance de sa poitrine et le haut de sa fente d’où il verra sortir soit un jet continu, soit une série de petits jets si la fille a décidé de faire durer le spectacle pour lui.

Devant ce tableau, la nature environnante se fera silencieuse et ils pourront entendre vraisemblablement le chant d’une petite mésange entre les chevilles de l’assistant.

Certes, ce dernier aura sans doutes du mal à porter ainsi la fille, mais il en sera récompensé par ce qu’il verra et entendra.

21 février 2009

Rêve ou réalité à votre avis ? , par Krys...

La solution vous sera donnée la semaine prochaine.

R_ve_ou_r_alit____votre_avis

Comme promis, voici la réponse. Il s'agit bien de la réalité !

Bravo tout particulier à leperecollateur (pseudo bien trouvé pour le genre de discussion !) qui a répondu exactement et a même donné des détails supplémentaires en prime, même avec la traduction exacte. Spreekt jij ook vlaams beste vriend ? Proficiaat en beste ! Pour les amateurs, plus d'info sur le site www.plasactie.be. Pour ceux qui ne comprennent pas la langue de Vondel, les photos parlent d'elles-mêmes !

12 février 2009

Vive la mariée, par Martine sur un dessin de PPH

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Dans cet autre monde où tout est resté prés des traditions, il est une coutume à laquelle tous les couples qui souhaitent le bonheur doivent se soumettre le jour de leur mariage à la sortie de l’hôtel de ville.

L’entraide promise lors de la cérémonie se concrétise d’une manière bien particulière. Ce contrat d’entraide, avant d’être scellé par le traditionnel baiser du marié à la mariée, est précédé d’un rituel bien particulier qui n’existe plus que dans cet autre monde.

En effet, la mariée doit faire publiquement son pipi d’une manière bien particulière devant les autres couples secondée par son mari.

Alors qu’elle sera assise sur la dernière marche de l’hôtel de ville, son époux aidé de la demoiselle d’honneur, remontera avec beaucoup de soins la robe blanche dont il confiera la traîne au témoin pour que les fesses de l’épousée soient bien en contact de la pierre.
Puis, accroupi prés d’elle, le marié lui lèvera les jambes  pendant que la demoiselle d’honneur lui maintiendra le dos d’une main et que de l’autre elle disposera un bouquet de fleurs blanches prés de la petite source.

Tout étant ainsi prêt pour l’essentiel, le marié invitera son épouse à se laisser aller librement ce qu’elle fera mêlant sa fontaine au parfum des fleurs odorantes, tout comme l’avait fait le couple précédent ce jour là.

La source tarie, le nouveau marié aidera son épouse à se relever, et avec les fleurs, il l’essuiera  avec tendresse et soins. Il redescendra sa robe, et  la serrant contre lui il l’embrassera tendrement sur la bouche, sous les applaudissements des autres couples.

Cette tradition n’existe sous cette forme que dans l’autre monde, mais on peut la retrouver parfois dans le notre d’une manière plus discrète.

16 novembre 2009

Utilisation d'un petit accessoire peu connu par les françaises, par Krys et Hella...

p_mate

Rien ne vous empêche de l'utiliser dans une toilette traditionnelle. Dans des toilettes publiques et porta-potty pas très nickel, cela vous évite aussi une gymanastique particulière ! Vous pouvez visiter les sites http://www.p-mate.com, http://freelax.fr ou bien encore http://www.urinelle.biz/html/fr/About.shtml pour documentation.

22 mai 2010

Technique du pipi debout pour Dominette...

Tu peux y voir très bien la position du V avec l'index et le majeur et le beau jet que tu feras ! Tu vois que ce n'est pas compliqué ! Sur cette photo, c'est sans petite culotte, mais si tu en portes une, pas de problème, avec une main tu tiens le gusset écarté sur un côté et avec l'autre tu écartes tes lèvres !

Krys, Hella, Ola et Dominique font de la sorte !

Technique_pipi_debout

20 octobre 2011

"Les toilettes publiques automatiques" par Martine...

Elles ressemblent à des coffres-forts et donnent l'impression que l'on ne pourra pas en sortir. De plus il y a un bruit sourd sans doute dû à la pompe d'alimentation du lavage automatique qui n'inspire pas confiance du tout et qui vous fait penser que le cycle pourrait se modifier et vous faire prendre une douche.
 
Lorsque je dois fréquenter un tel lieu heureusement souvent je puis me faire accompagner par mon compagnon ou une copine.
 
Comme c'est plein d'eau partout c'est évidemment pipi debout en plein milieu et loin du faux siège et des parois. Peu importe puisque c'est les grandes eaux dès que l'on sort.
 
Les filles, je voudrais savoir si vous avez déjà utilisé ces toilettes et ce que vous en pensez.
 
 
Toilettes publiques automatiques
25 janvier 2019

"Ma découverte fortuite" par Martine...

Ma découverte fortuite

Histoire de faire le ménage sur mon bureau, parfois, je mets à la poubelle tout ce qui n'a plus d'intérêt sur le plan personnel ou sur le plan professionnel. C'est ainsi qu'un agenda 2016 me revint sous la main et avant qu'il atterrisse aux oubliettes avec un tas de papiers sans intérêt je l'ai feuilleté rapidement pour voir s'il ne contenait vraiment plus rien à conserver.  C'est ainsi qu'il m'a rappelé que le dimanche 12 juin 2016 j' étais invitée  au salon du portait photographique organisé par un confrère belge. Exposante et étant en affaires avec lui je me devais d'y être présente. Départ le matin, Jean-Michel m'accompagnait. 
Beau temps, route facile. Pas de problème. 
Sur place une  petite salle mais bien remplie. Beaucoup de présentations. Beaucoup de mains à serrer. Retrouvailles de vieilles connaissances. Quelques découvertes avec des : "Ah !... C'est vous qui... ? Oui... Ce portrait c'était moi qui ... Ah! ... Bravo !".
En tant qu'exposante J.M. et moi étions invités à un petit buffet modeste entre exposants et organisateurs. 
 
Vers 14 heures 30 nous étions les derniers à bavarder photos et affaires avec les organisateurs. 
La route du retour comme prétexte nous nous excusons de quitter l'expo non sans avoir demandé  où se trouvaient les toilettes. Il est bien connu que le Champagne même bu avec grande modération est un terrible diurétique. Surtout chez moi. 
Facile à trouver. Au bout du couloir on tourne à droite et nous y sommes. 
Deux portes blanches. Avec les sigles convenus. Une silhouette en pantalons et une en jupe. Pas d'erreur possible. Chacun sa porte. 
 
Quelle ne fut pas ma surprise en découvrant qu'en fait, les belges offraient aux dames deux moyens de satisfaire leurs besoins.  Évidemment en plus du lavabo classique et de son chauffe-eau accompagné du distributeur de serviettes, j'avais le libre choix entre la cuvette traditionnelle avec son rouleau de papier et... un urinoir féminin nouvelle conception , bien à sa place puisqu'il était là près de la cuvette. Ce n'était pas une erreur de cabine, je ne m'étais pas trompée.

J'avais déjà vu cet urinoir féminin en photo mais de le voir en service me surprit à un point inimaginable. J'ai dû passer du temps à le regarder car mon Jean-Michel qui avait terminé ce qu'il avait à faire fut tout surpris de voir que je n'avais pas encore fermé la porte.
 
- Alors, ... me lança t-il.. Tu as oublié de fermer la porte. C'est la coupe de Champagne qui te perturbe à ce point ?   
- Mais non... répondis-je. Tu te souviens de la photo que je t'ai fais voir ? Tu vois bien que ça existe et que les belges sont plus avancés que les français en apparence. 
- Ah oui... Je m'en souviens. Tu as fait ton pipi la porte ouverte ? 
- Non pas encore. 
- Eh bien tiens voilà une bonne occasion de faire un essai. Je sors et tu fermes la porte. Tu me raconteras. 
- Ah bon ?... Tu ne veux pas assister à cette première ?  Ferme la porte. 
- Si tu m'invites je serais sans doute un des rares hommes à assister à un tel événement. 
J'étais en jupe. Aucun problème. Je  pris position, "le bec de canard" entre les jambes. Allais-je descendre le slip ou l'écarter. Il me vint  une idée. 
- Collabore au moins au lieu de faire le voyeur.  J'ai besoin de mes deux mains pour tenir ma jupe. Ecarte mon slip.
 
Il ne se fit pas prier. J'eus une petite période de retenue à cause de "la première" sans doute. Puis mon pipi arriva que j'arrivais à maîtriser pour le faire durer plus longtemps. Il y eut même un petit gazouillement discret par moments.   
La dernière goutte tombée j'eus droit à un petit essorage traditionnel. 
- Je te remercie. Je te paierai en nature ce soir... dis-je en finale.
Un grand rire partagé termina cette séance inaugurale. Nous avons rejoint la salle vide de ses occupants qui auraient pu s'inquiéter du temps un peu trop long que nous avions pris pour faire ce que nous avions à faire. 
Depuis nous attendons en France l'occasion de pouvoir renouveler ce petit jeu.
27 février 2021

"Une anecdote de Vanessa..."

Eh bien, voilà la dernière en date, qui date aussi de mes vacances.
L'été dernier, j'ai passé quelques jours dans un centre naturiste, bon moyen d'oublier un peu qu'il n'y avait pas grand chose à faire de notre temps et que d'autres projets avaient été annulés les uns après les autres.
Avec un couple d'amis et leur fille d'une vingtaine d'années rencontrés à la plage, nous décidons d'aller visiter une des seules manifestations encore autorisées - un marché aux antiquités, à quelques kilomètres de notre lieu de résidence. Après un petit apéritif improvisé sur le bord d'une fontaine, nous sommes restés deux bonnes heures à nous promener entre les stands, en buvant beaucoup à cause de la chaleur étouffante (surtout sous les masques...), et je pense que nous pensions tous les quatre qu'une petite vidange ne serait pas un luxe.

En retournant vers le parking où nous avions laissé leur voiture (ils m'avaient proposé de me conduire), c'est leur fille qui a annoncé son besoin de faire pipi en premier, mais une fois qu'elle l'a dit, on a ajouté tous les trois, presque d'une seule voix : "ouais, moi aussi", avant d'éclater de rire. Il y avait deux toilettes portables à l'entrée du parking, avec une file d'attente d'une bonne trentaine de personnes je pense, et évidemment pas mal d'hommes et de temps en temps une femme qui s'échappaient discrètement vers les broussailles qui bordaient le parking. En voyant la queue, la fille de mes amis a changé très visiblement d'expression, c'était évident qu'elle commençait à s'inquiéter du temps qu'elle devrait attendre pour pouvoir faire pipi. Moi, j'ai dit "pas question que je fasse une heure de queue pour entrer dans ces toilettes immondes" (effectivement, ça puait à trentre mètres), et je me suis éloignée d'un air décidé vers le buisson le plus proche. La femme m'a suivie, et sa fille aussi après une brève hésitation. Pendant que nous cherchions un petit coin vaguement caché pour nous accueillir, la femme appelait son compagnon, en criant "viens faire pipi derrière la haie, tu ne vas pas rester dans la file à attendre !"
C'est pendant qu'on s'accroupissait, la fille entre sa maman et moi, qu'il est arrivé, il a été gêné de nous trouver toutes les trois en train de nous préparer, mais sa femme lui a dit "viens avec nous, c'est pas bien grave si Vanessa te voit, vous êtes toute la journée à poil à la plage de toute façon", et je lui ai fait signe de venir, en ajoutant "n'aie pas peur on ne va pas te manger, si c'est moi qui suis de trop, je finis vite et je vous laisse en famille". C'est ça qui l'a décidé je pense, il s'est arrêté au bout de la rangée que nous formions, à côté de sa femme, et il a commencé très vite à se soulager lui aussi - apparemment un grosse envie tout comme nous.
Après un long pipi qui nous a bien réconfortés tous les quatre, sa femme lui a demandé s'il avait des mouchoirs. Comme il avait fini son affaire, il s'est rajusté, a fouillé rapidement dans sa sacoche, il lui en a donné un et a tendu le paquet à sa fille, qui en a pris un aussi. On a tous pensé à la même chose, mais je pense qu'il était gêné de s'approcher de moi, alors je lui ai lancé "moi aussi, je veux bien m'essuyer", pendant que sa femme et sa fille se marraient. Alors, il s'est approché de moi avec un grand sourire pour me tendre aussi le paquet de mouchoirs. J'ai un peu surpris ses yeux traîner pendant que je m'essuyais, ça m'a amusé mais pour ne pas en rajouter je n'ai pas relevé
On s'est rhabillées toutes les trois pendant qu'il s'éloignait pour rejoindre la voiture. Sur le trajet du retour, on a passé un bon moment à se demander dans quelle mesure la "distanciation sociale" dans une file de gens qui font la queue pour les toilettes à un mètre les uns des autres rend l'attente encore plus insupportable, parce que la file paraît plus longue (ça c'est un bon sujet de philo pour le bac de l'année prochaine, non ?)

18 août 2019

"Les réponses de Madameanonyme7"

1 - Avez-vous déjà utilisé un urinoir ?

Oui.

2 - Si oui, combien de fois environ ?

Un peu moins d'une dizaine de fois.

3 - Avez-vous déjà utilisé des urinoirs pour femmes, pour hommes ou les deux ?

Jamais vu d’urinoirs pour femmes et à chaque fois c’etaient des urinoirs pour hommes (je suis une femme je précise).

4 - Comment avez-avous appris à faire pipi debout :

- grâce à votre mère ;

- fortuitement alors que vous étiez ivre ;

- vous avez appris comment faire grâce à internet ou à des livres ;

- à l'occasion d'une envie vraiment très urgente, vous ne saviez comment faire autrement ;

- dans une baignoire ;

- d'une autre manière ? Précisez laquelle.

A l’occasion d’une envie très urgente. J’avais un peu bu, mais j’avais surtout la vessie très pleine. Je me serrais les jambes et j’avais des fuites qui coulaient entre mes cuisses. J’ai regardé la file d’attente et je me suis dit : « Il y a trop de monde je ne pourrai jamais tenir jusque là ». Et après coup je me souviens encore du monde qu’il y avait et je ne pense pas que j’aurais pu tenir. Alors je suis allée chez les mecs et l’envie a commencé à grandir. La première chose que j’ai vu était un urinoir de libre alors je suis allée me soulager dedans dans la même position que la pisseuse sur la photo mais sans rire autant.

5 - Après avoir fait pipi dans un urinoir, utilisez-vous du papier toilettes ?

Non jamais. Je remets ma culotte et je pars (je porte des jupes ou des robes le plus souvent).

6 - Les hommes vous ont-ils déjà interrogée à propos des raisons pour lesquelles vous utilisez des urinoirs ?

Non.

7 - Est-il arrivé qu'un homme vous regarde faire pipi dans un urinoir ?

Oui et plus d’un. Mais ça ne me dérange pas.

Position urinoir

27 juillet 2007

Poésie descriptive par PPH. Merci...

Les plus beaux pipis d'une fille sont ceux que je nommerais : les loupés...

Lorsque je dirigeais les yeux en direction de la distance qui séparait ses deux chevilles, les adorables petites lèvres boudaient, avachies et flasques, elles refusèrent de s'entrouvrir correctement, de ce fait le flot ne parvint pas à resplendir précisément, il longeait les fesses et se retenait à elles désespérément !

De rutilantes sinuosités brillantes mouillaient complètement le derrière accroupi de la belle qui saccadait son envie en de multitudes  coulées verticales : devant, en arrière, sur la gauche, partout  elles se concentraient juste en dessous,  décrivant un miroir ovale, il multipliait sa beauté par deux.

Placé sur le côté, j'ai ôsé aider cette désespérante démonstration en écartant ses babines du bas, aussitôt, un délicieux jet large et pincé postillonna par devant en une seule fois, ainsi libéré ; je replaçais doucement ma main droite sur son ventre que je pressais légèrement...

Poussée par une pluie sussurante oblique, une exubérante mare ambrée s'étendait, pétillante à souhait, louvoyant en explorant les brins d'herbe qui n'avaient pas vu mieux depuis la rosée du matin.

Quoi que vous puissiez en penser, l'émotion la plus forte que je recevais venait de son sourire avec les yeux, dont la luminosité respirait de joie...

J'ai plié des mouchoirs de papier en accordéon, afin que ce simple origami se métamorphose en éventail...

A l'aide de la partie évasée j'ai effleuté ses fesses gouttelées, en manoeuvrant de manière concentrique, plusieurs de ces buvards furent employés.

Les frissons obtenus sur cette admirable peau finement duvetée, facilitaient l'absorption, je tremblais d'émotion, j'avais presque envie de pleurer...

Puis, blottis l'un contre l'autre, au pied de notre arbre préféré  nous nous sommes endormis en  joignant nos mains. Une douce brise d'été vint nous border de ses effluves fleuries...

Voyez-vous, mesdames qui aurez l'occasion de lire une fois ces lignes, point de salacité dans ce souvenir, l'ondinisme gentil m'a toujours enchanté, vous êtes toutes très belles dans ces moments là, délicieusement et enfin totalement féminines.

23 juillet 2007

PPH toujours. Merci...

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"Elle avait cherché, se croyant seule, un tout petit coin pour varier le plaisir qu'elle ressentait en se soulageant dans des endroits inhabituels... Derrière la commode ce serait amusant, surtout que le carrelage amplifiait drôlement les éclaboussures du jet, générant ainsi un joyeux clapotis, résonnant dans le long couloir...

Au moment où elle parvint au plus haut débit, un cliquetis annonça que Sophie rentrait plus tôt que prévu, quelques pas rapides accusaient l'approche d'un témoin inattendu !

Curieusement le sourire ému de Sophie ne fit que renforcer l'envie intarissable qui s'étalait en une rivière sinueuse et frémissante, un clitoris saillant bourgeonnait sans avoir été invité...

Ce petit détail fit naître une impérieuse envie de caresses délicates, comme seules les filles savent hautement apprécier..."

ENTRE FILLES (extrait)

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"En ce temps là, l'usage voulait que les princesses pissent couchées, absolument pas toutes seules, mais en présence de personnes dont la fonction consistait à faciliter l'acte en le réhaussant par un ensemble de rituels tous plus raffinés les uns que les autres...

Ayant signifié son désir intense de vider sa frêle vessie, on fit ralentir la voiture...

Aussitôt on la coucha à même le sol en glissant des coussins sous-elle afin d'aboutir à un maximum de confort...

Robe et jupons, culotte, furent dégagés d'un postérieur impatient, vint le moment des caresses provoquées d'abord par le bout de doigts agiles, puis par une main plus insistante, quand la chair de poule apparut, une énergique cascade s'étala le long du caniveau, chuchotant sa douce mélodie si chuintante, si chantante..."

CONTES DE CHEZ-ELLES - La princesse Ondine (extrait)

6 août 2007

PPH toujours. Merci...

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"Les yeux se fixaient sur la précieuse verticale, après l'avoir cajolée par de doux effleurements répétés, tel l'épanouissement de pétales d'une fleur à l'aube, le rose bourgeon s'éveilla soudainement. Sa brève émergence fut suivie d'un torrent joyeux, il semblait pressé de finir sa course sinueuse sur un sol si lustré qu'il étincelait sous l'effet de celui-ci..."

LES ONDINES (extrait)

et pipi souriant...

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19 août 2007

Pipi en duo...

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et toujours PPH. Merci...

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Offrez lui des fleurs... c'est dimanche.

"Aujourd'hui vous ne penserez qu'à elle, votre belle vous ayant formulé l'approche certaine et impérieuse d'un besoin pressant, choisissez ensemble un parterre de pâquerettes et d'herbes hautes. Tout comme décrit sur l'image au dessus, placez son adorable minou ainsi et effectuez un balancement d'avant en arrière et, pour varier, de gauche à droite, en prenant la précaution d'obliger brins d'herbe et fleurs de chatouiller l'endroit fébrile...
C'est à la belle de décider quant elle va céder sous les insistants frissons que génère le contact chlorophyllé avec sa peau de pêche, la chair de poule gagnera son popotin tout entier, puis dans un resplendissant jet à faire pâlir les jeux d'eau de la place Royale, vous aurez le bonheur léger d'assister au sien..."

23 août 2007

Pipi boudeur...

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et une nouvelle contribution de PPH...

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"De bon matin les deux ondines voulaient encore essayer de divertir leurs jeux calins, alors ce furent les draps parfumés qui reçurent l'offrande liquéfiée. Après s'être concertées, elles adoptèrent deux attitudes opposées, l'une se coucha sur le ventre, tandis que l'autre restait assise en remuant un peu. Les fesses sur le tissu, le passage du jet aussitôt aspiré restait silencieux, la chaleur incroyable réchauffait progressivement le joli derrière, au contraire la position couchée refermait l'orifice et un déluge saccadé postillonnait sans retenue, amplifiant grandement le son si cher et tant aimé du tendre minou dans ses moments intimes..."

18 août 2007

Une nouvelle oeuvre de PPH. Merci...

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Petite recette coquine...               

"Par une fin de chaude journée d'été, prenez votre épouse ou compagne par la main et, en artiste que vous êtes, choisissez lui un beau parterre de fleurs, le plus délicatement parfumé possible. Avant de procéder, humez encore une fois la douce brise qui vous attendrit sans que vous sachiez pourquoi...

Placez vous à ses pieds, puis avec un mouvement ample et généreux, faites glisser la culotte jusqu'aux chevilles...

Du bout des doigts, effleurez les jambes, en insistant derrière les genoux, des frissons naissent comme des bulles dans du champagne...

Enfin, saisissez votre belle et blottissez vous l'un contre l'autre, puis, en relevant ses cuisses légèrement, elles presseront la vessie qui immanquablement, cèdera, d'autant plus aisément qu'à ce moment vous direz ô combien vous l'aimez, et que seules les plus jolies fleurs sont dignes de recevoir cette pluie divine, nectar suprème, offrande pacifique à la nature, qui s'étalera goulûment devant vos yeux émerveillés...

Le reste de la nuit vous appartient... Chuuuut !"      

et pipi jambes croisées...

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18 décembre 2007

Les urinoirs existent aussi pour les dames, par Femme mûre

Oui, ce n'est pas une blague ni une utopie ni un gadget pour sites spécialisés, des urinoirs concus pour les dames existent bel et bien sur le marché ! Si je n'en ai pas encore rencontré lors de mes déplacements en France (je ne suis pas francophone), il en existe bel et bien dans les pays limitrophes de la France et installés dans des lieux publics. On les trouvent dans les toilettes côté dames,e t sur la porte donnant accés au local vous remarquez l'inscription "ladies-p urinals". Une fois entrées dans ce local, vous y découvrirez ce genre de mobilier... Et pas de honte ni de gêne pour les utilisatrices, vous vous trouvez entre femmes... qui sont toutes là pour soulager leur vessie comme vous ! Voici une petite anecdote vécue par moi ce printemps. J'étais partie accueillir une amie à l'aéroport, j'ai une bonne heure de route pour y arriver, garer la voiture et me rendre à l'arrivée, celà faisait une heure trois quart que j'avais quitté ma maison et fait mon dernier pipi... Sur le tableau de renseignements, on annonce enfin "deleated 20 mn"... Ma vessie se rappelant à mes bons souvenirs, je me rend donc dans la direction des toilettes, entrée côté pictogramme dames, et deux portes, une avec mention "toilets" une autre "ladies-p urinals". En pantalon et avec toujours mes p-mate dans mon sac, je pousse la seconde porte et m'installe devant un urinoir comme si j'étais un homme... A ce moment j'étais la seule dans le local. Je commencais juste mon pipi quand deux dames environ la soixantaine entrent, deux allemandes, l'une en pantalon, l'autre en jupe plissée. Elles me voient occupées à uriner, sont toutes saisies, je leur sourie et d'abord celle en pantalon prend place à ma gauche ; elle n'avait pas de p-mate, alors elle se met dos au mur, baisse son pantalon et sa petite culotte à mi-cuisses puis se positionne popotin en arrière et penchée vers l'avant au dessus de l'urinoir et commence son pipi... J'entendais très bien son petit sifflement et son jet assez puissant frapper la faïence... Sa compagne en jupe hésite un peu, puis vient à ma droite, se met comme moi face au mur, soulève un peu sa jupe et commence par enlever sa culotte, ensuite écarte ses jambes et se place au-dessus de l'urinoir en relevant le devant de sa jupe et se met également à faire pipi, mais alors un de ces déluges, un sifflement terrible et un jet d'une puissance incroyable qui frappait l'urinoir... Pour avoir envie, elle avait envie ! Et plus elle faisait pipi, plus ça continuait... Elles poussaient à deux des soupirs de soulagement, sa compagne lui a dit : "C'est dur de devoir tenir si longtemps, mais comme c'est bon d'enfin pouvoir se vider !" J'avais fini, sa compagne aussi, elle se reculottait, mais elle continuait de plus belle... Je pensais qu'elle n'allait jamais finir ! On se souriait toutes les trois, je dois dire que je faisais semblant d'encore faire alors que j'avais fini depuis un moment... Puis j'ai refermé mon pantalon et me suis rendue vers les laves-mains, j'ai jeté mon p-mate dans la poubelle, et en lavant mes mains, elle avait enfin fini... Elle a alors remis sa culotte, une culotte de coton blanc style maxi, elle portait des bas et un porte-jaretelle blanc, je l'ai remarqué dans le miroir quand elle mettait bien sa culotte en place, ayant relevé quelques instants sa jupe autour de sa taille... Puis pour ne pas me faire trop remarquer, je les ai quitté en leur disant au revoir. Elles ont quitté le local une petite minute après moi et sont parties avec leurs compagnons qui les attendaient avec les bagages dans le hall devant les toilettes.

Cette histoire n'est nullement une fiction. Si vous voyez un jour sur une porte des toilettes dames "ladies-p urinals" vous saurez ce qui s'y trouve derrière...

Voici une photo de ce genre d'urinoir. Vous remarquerez que vous pouvez l'utiliser soit dos au mur, soit face au mur, suivant votre inspiration du moment... Personnellement, pour moi, c'est toujours face au mur comme un homme, en jupe ou pantalon, mais j'emploie toujours un p-mate lorsque je suis en pantalon, en jupe, cela dépend de mon humeur, soit avec, soit sans. Dans ce cas je mets simplement le fond de ma petite culotte sur un côté et je place la sortie de mon petit trou à pipi au dessus de l'urinoir. Vous verrez, si vous avez l'occasion de l'essayer un jour, vous n'hésiterez pas à le refaire, et jamais de grandes files comme pour les toilettes traditionnelles ! C'est beaucoup plus rapide ! Et on n'est qu'entre femmes après tout, et toutes pour le meme besoin !

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Quand c'est urgent, on a le courage d'oser...

Urinoirs

18 février 2008

Une nouvelle oeuvre de PPH...

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- Il leur était agréable de se laisser doucement faire, chacune leur tour, après une attente pas toujours gérable, elles libéraient calmement une envie généreuse d'autant plus facilement expulsée qu'elles se sentaient vraiment admirées.

Les chuintements produits sous l'effet des jets se mélangeaient pour s'unir sous la forme d'une symphonie cristalline à peine accompagnée de très légers soupirs de satisfaction.

Ils facilitaient grandement la venue dynamique du liquide ambré, toutes différentes, toutes originales, mais si belles ainsi accompagnées, nos Ondines choyées offraient confiantes la plastique irréprochable de leur fente suspendue en l'air, cet instant si précieux et fragile rendant leurs serviteurs gourmands de tendresse si émus...

L'aisance procurée par cette participation bénévole élevait cette nécessité physiologique au rang de petit bonheur qu'elles aimaient renouveler le plus souvent possible, la délicate attention d'une assistance enthousiaste leur procurait un moment l'impression que le mot indécence pouvait être à jamais rayé du dictionnaire...

19 février 2008

Promenade initiatique, un récit imaginé par Martine à partir d'un dessin de PPH...

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Je m’en souviens bien. C’était un dimanche après-midi. Le printemps s’achevait et l’été montrait le bout de son nez. Bref… Un dimanche après-midi où l’on n’a pas envie de rester à la maison, mais plutôt d’aller goûter les tièdes rayons du soleil en respirant l’odeur de la végétation qui s’épanouit.

Et donc, Jean-Michel et moi sommes pris de l’idée d’aller faire notre première ballade de la saison dans les remparts, à quinze minutes de voiture.

Nous n’étions pas les seuls, apparemment, à avoir eu cette idée et les allées étaient déjà fréquentées par des couples qui, comme nous, voulaient apprécier les prémices de l’été. Il flottait une ambiance de calme, de paix. Tout le monde semblait heureux.

- "Comme c’est étrange… remarqua Jean-Michel… il n’y a que des couples… Que des couples de jeunes… Comme nous… Tu ne trouves pas cela bizarre ?"

- "C’est vrai… Je l’avais remarqué aussi. Et tu remarques comme ils ont l’air heureux ? C’est le beau temps sans doutes qui les rend ainsi contents et épanouis."

Bien que nous marchions lentement, nos pas nous rapprochaient de plus en plus de ce groupe formé par deux couples qui bavardaient et parfois riaient aux éclats, montrant leur bonheur d’être ensemble en ce lieu.

Nous n’osions pas accélérer nos pas pour passer devant eux et nous étions gênés de les suivre d’aussi près. Nous profitions de leurs rires.

Ils remarquèrent bientôt notre présence gênée derrière eux.

L’une des filles se retourna et s’adressant  à moi me dit :

- "Vous aussi êtes venus apprécier cet enchantement ? Un vrai décor de rêve n’est-ce pas ? Pas un bruit. Que des chants d’oiseaux et le bruissement des premières feuilles. Le vent est si léger qu’on le sent à peine et qu’on ne l’entend pas. On s’attend à ce qu’il se passe quelque chose. Je ne sais pas. L’apparition d’une fée par exemple."

Les deux hommes semblaient très heureux de promener leur belle en la tenant par la main. Nous aussi. Pris par cet enchantement, nos mains se trouvèrent et se joignirent.

Nous marchions ensemble maintenant, en échangeant parfois quelques mots à voix basse comme si nous craignions de casser le charme. Il y avait juste parfois le petit rire cristallin d’une des filles que ses amis appelaient Angélique. Quel beau prénom et comme elle le portait bien. L’autre fille, à ma question, nous apprit qu’elle s’appelait Rose.

Nous marchions de concert depuis un bon moment. Nous nous sentions tellement bien que l’on avait l’impression de flotter dans l’air, d’être dans un autre monde. Nous étions pris d’une étrange sensation.

L’allée que nous suivions tous les six serpentais  au travers arbres et bosquets. Depuis combien de temps marchions nous ensemble ? Nous nous rapprochions de la sortie sans doutes quand l’un des deux hommes suggéra :

- "Savez-vous les filles ce qui serait bien pour terminer cette ballade ? Regardez là, ce beau tapis de mousse et ces premières petites fleurs. Vous devriez offrir un beau pipi à cette nature."

- "Oh oui !" s’écria Angélique.

- "Oui… Ce serait bien ! … enchérit Rose… Ce serait bien vraiment."

Prise par leur enthousiasme, avec elles, j’avais déjà commencé à lever ma jupe quand Jean-Michel m’arrêta :

- "Martine… Tu ne peux pas faire cela devant elles… Devant eux… Viens nous partons. Laissons-les entre eux !"

Je dus le retenir par la main pour qu’il puisse aussi assister à cette offrande à Dame Nature… Toutes les trois, culotte descendue et accroupies face à face, nous tenions la main de nos compagnons pour les unir à ce que nous faisions. Trois paires de petites fesses blanches éclairaient notre groupe.

Les deux filles plus hardies que moi commencèrent leur pipi. Je les suivis bientôt et ce fut alors un superbe concert de chuintements variés pour trois paires de nymphes en ambiance printanière. On n’entendit plus rien d’autre. Même les oiseaux s’étaient tus pour écouter ces rivales. Nous étions heureuses toutes les trois. Nos hommes souriaient de plaisir à ce spectacle et à ce bruissement de nos petites sources. Les dernières gouttes tombaient.

Nous nous relevâmes pour échanger nos six sourires épanouis. C’était l’apothéose de notre promenade sans aucun doute, et sur ces sourires nous nous sommes fixé rendez-vous pour le dimanche suivant. Nous souhaitions vivement renouveler cette ballade de notre trio et redonner un concert si érotique.

Nous étions de retour près de notre voiture quand soudain un bruit étrange me fit sursauter. Ca faisait : Bip… Bip… Bip… Instinctivement je sortis  un bras de la couette et je collais une grande claque au radio-réveil.

Je retrouvais rapidement mes esprits en allumant la lampe de chevet.

J’avais rêvé, certes… Mais quel rêve !… Jean-Michel va rire si je lui raconte ce rêve. Moi… si réservée… Et pourtant je suis sûre que j’étais bien là-bas… Ailleurs… Et que tout s’est passé comme je l’ai vécu. Merci ma bonne fée.

Je finis de retrouver la dure réalité des choses assise sur les toilettes dans un horrible bruit de chute d’eau tombant dans la cuvette.

29 février 2008

Promenade initiatique (suite 1), un récit imaginé par Martine à partir d'un dessin de PPH...

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Dix jours, je crois, que mon rêve m’avait entraînée dans ce parc paradisiaque. Je souhaitais vivement refaire un tel rêve dans ce décor de douceur, d’oiseaux, de quiétude, et où j’avais pris tant de plaisir à offrir un pipi à mon compagnon en présence de nos nouveaux amis.

J’y repensais chaque soir en me mettant au lit.

Cette nuit là, subitement, je sursautais en m’éveillant brutalement. J’avais encore fait un rêve semblable. J’en revenais.

Les yeux ouverts, je vis que la chambre était encore dans le noir, juste un peu d’éclairage de la pleine lune. Le radio réveil indiquait un peu plus de minuit. Oui… C’est l’heure du sommeil aléatoire propice aux songes.

Nous étions, Jean-Michel et moi, seuls dans une grande allée du parc. Même douceur, même calme. Nous marchions lentement main dans la main ;

- "Tiens…" dis-je. "Nos amis ne sont pas là ce soir ?"

A peine avais-je fini ma remarque, que les deux couples apparurent en face de nous ?

- "Bonsoir… Vous nous avez appelés ?" … "Nous voici. Nous sommes contents de vous retrouver pour faire une petite promenade au clair de lune."

Nos trois couples marchaient lentement, comme si nous flottions au-dessus de l’allée. La lune amie nous souriait. Nous ne parlions pas ou très peu. Il y avait parfois un petit rire enfantin qui rompait le silence..

- "Et si nous allions dans la petite clairière"… suggéra Angélique… "Tu la connais Martine ?"

"Non… Je ne la connaissais pas." Nous quittons l’allée et nous engageons sous les arbres pour arriver dans un espace couvert de mousse et inondé par la lumière lunaire.

- "Ouah ! …" murmura Angélique en s’allongeant sur le sol.

Tout le monde s’installa près d’elle. Pas besoin de se parler pour se comprendre. On aurait pu croire que nous conversions par la pensée.

Depuis combien de temps étions-nous là ? Impossible à dire. Le temps n’existait pas. Personne ne rompait le silence et la quiétude.

Ce fut Angélique qui la première, se tournant sur le ventre et accrochant  ses bras autour du cou de son ami lui demanda :

- "Dis… Tu sais de quoi j’ai envie ? … Ce qui me ferait plaisir ?"

- "J’ai reçu ta pensée…" répondit-il.

Et d’une main, la serrant contre lui, de l’autre il glissa doucement sa petite culotte sur ses jambes. Elle se trouva le ventre nu touchant presque la mousse, ses longs cheveux descendant entre ses épaules,  pendant que la main remontait et lui caressait doucement les reins. Elle poussa un long soupir d’aise.

Je n’en croyais pas mes yeux. Un tel relâchement était-il possible ? Nous en avons eu la preuve quand leurs deux visages se frottant l’un contre l’autre nous avons entendu le chuintement doux des nymphes d’Angélique livrant le passage au flux de sa source. Quand cela s’arrêta, tous, sommes restés silencieux, oreilles reconnaissantes.

Puis ce fut Rose qui accroupie près de nous, son ami la tenant par les épaules, nous livra la vue de ses petites fesses avant de laisser couler doucement un petit jet désordonné mais sifflotant à souhait.

- "Oh ! … Je ne l’ai pas bien réussi… "dit Rose en s’excusant… "Je le referai tout à l’heure."

Bien qu’un peu gênée, je ne pouvais pas en rester là.

J’avais un fantasme que je souhaitais réaliser depuis longtemps.  Le plus dur allait être de faire participer Jean-Michel.

Je descendis ma culotte moi aussi et je lui suggérai de me tenir soulevée par les cuisses libérant et ouvrant ainsi le bas de mon ventre. Bien que je le savais plus gêné que moi, il acquiesça néanmoins.

Les quatre autres me regardaient. J’avais du mal à me lâcher. Je perdis quelques gouttes… puis encore quelques gouttes… puis un courant généreux partit devant moi. Vu mon attitude, c’était plus discordant que chantant, mais cela était quand même agréable aux oreilles de mon auditoire qui souriait.

Puis, par habitude, Jean-Michel sortit un kleenex  de sa poche et me le tendit, sachant que je ne manquais jamais d’essuyer les dernières gouttes égarées. Ce qui fit rire les autres aux éclats. Les filles s’écrièrent :

- "Mais Martine… Ici ça n’est pas la peine…".

Ce fut leur rire qui sans doutes m’éveilla.

J’étais sur le dos, les yeux tournés vers le plafond, songeuse de ce qui m’était encore arrivé. C’est ce rire gentiment moqueur de mes nouvelles amies qui avait provoqué la fin du rêve.

Rien de mieux à une heure pareille que de se rendormir. Me bougeant un peu dans le lit, je sentis quelque chose d’insolite entre mes jambes. Je glissais une main qui récupéra…. un kleenex.

Impossible qu’il se trouvât là. La veille en me couchant, il n’y était pas dans le lit et encore moins entre mes jambes, j’en suis sûre. Et je n’étais pas sortie du lit depuis. Je le posai  sur la table de nuit, espérant que le soleil m’éclairerait plus que la lune à ce propos.

Réfléchir empêche de dormir. J’avais encore six bonnes heures de sommeil devant moi. Jean-Michel dormait à poings fermés. Je recalais la couette sur mes épaules et je me rendormis remettant au lendemain la résolution  du mystère de la présence de ce kleenex où je ne l’avais pas mis.

30 mars 2008

Promenade initiatique (suite 2), un récit imaginé par Martine à partir de dessins de PPH...

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Depuis ces deux rêves que j’avais faits il y a quelques semaines, mes nuits avaient été moins agitées. Je ne pouvais néanmoins pas oublier ces sorties au clair de lune avec les deux couples amis. Je n’avais toujours pas résolu le mystère du kleenex trouvé entre mes jambes à mon réveil. J’étais de plus en plus sûre que la veille au soir je ne m’étais pas endormie avec. D’où provenait-il ? Plusieurs fois, je lui ai cherché une odeur. Il n’en avait aucune. Les miens sont imprégnés de lavande. Pourtant il était un peu froissé comme s'il avait été utilisé. Alors… Par qui ?… Pourquoi ?

Je m’étais vraisemblablement endormie sur ces questions quand soudain je fus réveillée par un bruit étrange. Je regardais l’heure du radio-réveil. Il était une heure du matin. Ce bruit semblait venir de la fenêtre située près de notre lit. J’avais l’impression qu’un oiseau frappait la vitre comme s’il voulait que je lui ouvre pour qu’il se réfugie à l’intérieur.

Par l’ouverture du rideau mal fermé, je voyais bouger des lumières. Il n’y a pas d’arbres devant cette fenêtre. J’étais surprise. Sans faire de bruit, je me glissais hors du lit et ouvris le rideau.

Quelle ne fut pas ma surprise de trouver derrière la vitre mes amies Angélique et Rose. Elles me faisaient de grands signes et m’invitaient à ouvrir. Comment pouvaient-elles se trouver au troisième étage ?

J’ouvris la fenêtre. Comme d’habitude pas besoin de se parler, nous lisions nos pensées.

- "Tu vois… Nous nous promenions et comme nous passions près de chez toi, nous nous sommes arrêtées à ta fenêtre pour te saluer."

- "Mais comment êtes vous arrivées jusqu’ici ?"

- "Mais nous volons bien sûr. Nous sommes dans ton rêve, ne l’oublie pas."

- "Mais vous êtes des anges alors ?"

- "Pas du tout. Toi aussi quand tu rêves tu peux voler. Il suffit de le souhaiter. Essaie !"

Dans ma tête je dis : "Je vole", et à ma grande surprise, je me rendis compte que je pouvais me déplacer sans toucher le sol. Je pouvais aller à droite et à gauche sans effort. Il suffisait que je le souhaite.

- "C’est vrai... Vous avez raison. Mais vous n’avez pas peur de voler si haut ?"

- "Non… Nous ne pouvons pas tomber. Nous n’avons aucune crainte. Il suffit d’y croire et en rêve tout est permis. Nous sommes légères comme l’air."

- "Mais d’où venez-vous ? D’où êtes vous ?"

- "D’où on vient ? Je ne sais pas…" précisa Angélique. "Nous nous promenons au-dessus de la ville pendant que tout le monde dort. Tout est calme, silencieux. Parfois nous rencontrons un oiseau de nuit. Tout à l’heure nous avons croisé une chouette sympa qui nous a saluées. Tu n’as jamais voyagé ainsi toi ?"

- "Mais je vous ai rencontrées dans la parc, c’est tout. Je ne savais pas que l’on pouvait se rendre légère et voler."

- "Mais si… Ca n’est pas ton corps qui vole, c’est ton double. Tiens… Regard sur ton lit, tu dors."

Je tournai la tête vers le lit et ma surprise fut grande de me voir endormie, la tête sur l’oreiller, bien au chaud sous la couette.

- "Tiens Martine… Cette nuit il est tard, le jour va bientôt se lever et nous allons nous éveiller. Mais bientôt nous reviendrons te chercher et nous irons nous promener toutes les trois. Tu veux bien ?"

J’acquiesçais évidemment. Elles me firent signe "au revoir" et s ‘éloignèrent en volant au-dessus de la ville. Je les vis disparaître.

Au moment où je fermais la fenêtre, je sentis un grand choc comme si je tombais lourdement. En fait je me retrouvais dans mon lit, bien éveillée. Il y a quelques minutes, le radio-réveil marquait une heure du matin. La visite n’avait duré que quelques instants et voilà que les infos de six heures trente me tirèrent de mon sommeil. Avais-je rêvé pendant quelques minutes ou pendant plus de cinq heures ?

Ces rêves et ces deux filles m’inquiétaient vraiment. Elles avaient promis de venir me chercher. Il fallait impérativement que j’oublie tout cela pour ne pas être victime d’autosuggestion même dans mon sommeil.

J’allumais la lampe de chevet. Je ramassais le kleenex que ma maladresse avait fait tomber et le reposais sur la table de nuit. Mon compagnon grogna en s’étirant. Je me demandais si je devais lui raconter tout cela. Je n’en fis rien.

Je glissais les pieds dans mes chaussons et comme chaque matin, traditionnellement me dirigeai vers les toilettes.

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Devais-je rire ou prendre au sérieux ce voyage promis par Rose et Angélique ? En fait, j’avais fini par l’oublier. Ce qui me préoccupait le plus, c’était ce kleenex sans aucun parfum, étranger aux miens, et que j’avais trouvé entre mes jambes après un rêve au parc et qui attendait sur la table de nuit que j’obtienne la réponse à cette question.

Nous étions le 21 mars. Une nuit de pleine lune. Ce détail m’avait échappé. Mon compagnon étant en  voyage, je dormais seule. J’avais l’impression d’être éveillée quand j’entendis gratter sur la vitre de la fenêtre. Je descendis du lit pour aller voir. Mes deux amies m’attendaient.

- "Nous venons te chercher. Nous allons profiter des pouvoirs de la pleine lune pour te faire voir plein de choses. Si tu crains d’avoir froid tu peux t’habiller si tu veux. Nous nous avons l’habitude. Prends aussi un kleenex on te fera voir quelque chose."

Pleine d’appréhension mais confiante, je saisis les mains qu’elles me tendaient et m’envolais par la fenêtre. C’est vrai que je pouvais voler. Je me déplaçais comme ma pensée le souhaitait. Elles riaient et s’amusaient de mes maladresses.

Je reconnaissais les rues de la ville endormie. Peu de fenêtres éclairées, mais la lumière crue de la pleine lune sur les toits.

Elles m’expliquaient pourquoi nous étions là toutes les trois. Nous n’avions pas de corps. Personne ne pouvait nous voir. Des anges… Des esprits quoi. On pouvait toucher sans laisser de traces.

- "Nous t’avons dit que tu pouvais t‘habiller. Tu crois avoir tes vêtements, mais tu n’en as plus. Personne, sauf nous, pouvons les voir. Nous n’avons plus rien de matériel. Nous sommes des oiseaux invisibles. Nous sommes dans un monde qui n’existe que pour nous. Nous pouvons faire ce que nous voulons sans déranger les terriens."

- "C’est vrai…" dit Rose. "Regarde..."

A l’horizontale, les bras allongés comme des ailes, elle écarta à peine les jambes pour faire un pipi d’oiseau.

- "Tu vois ? ... A peine sorti il a disparu. Comme nous."

- "Nous pouvons toutes le faire…" dit Angélique. Et debout, immobile devant moi, elle leva sa chemise de nuit pour laisser s’échapper à son tour un vrai pipi sifflotant et généreux. Instinctivement je lui tendis le kleenex que j’avais mis dans ma poche. Elle se mit à rire.

- "Non… C’est comme l’autre nuit dans le parc. Pas besoin ici. Tout a déjà disparu." Elle passa sa main sur son  sexe comme pour prouver qu’il était bien sec. "C’est nous  qui, au parc,  t’avons mis le  kleenex en souvenir de notre rencontre. Tu ne l’as pas remarqué ? A toi Martine… Essaie ! Ne crains rien. Il n’y a que nous pour te voir."

Je m’étais habillée pour les suivre. Si cela n’était pas gênant pour voler, en tenue de ville j’étais un peu empruntée pour faire comme elles. Et c’est en "terrienne" que je levais ma jupe devant moi, que j’écartais la jambe de mon slip sous les petits rires amusés de mes copines. Je ne pouvais pas me mettre dans la tête que ce pipi serait virtuel, et qu’il n’arriverait pas sur la terre dans la rue ou un parterre.

J'ai fini par réussir à me lâcher et mon jet partit droit devant moi pour disparaître presque aussitôt.

- "Bravo..." dit Angélique "Hop... Disparu ! Passe tes doigts, tu verras, ils sont secs. Pas besoin de kleenex comme sur terre."

Je vérifiai qu’effectivement j’étais restée bien au sec.

- "Passe le quand même sur ton sexe, puis fais-en une boulette, et jette-la en l’air."

Bien que surprise, c’est ce que je fis. Je pratiquai un simulacre d’essuyage, fis une petite boule du kleenex et le jetai au-dessus de moi.

Subitement il se transforma en jonquille qui descendit lentement vers le sol.

Rose m’expliqua qu’au printemps c’était le pipi des anges qui faisait fleurir les parterres.

Nous avons encore plané ensemble un bon moment. La ville était presque belle vue de la hauteur où nous nous trouvions.

Mes amies m’accompagnèrent jusqu’à ma fenêtre avec la promesse de revenir me chercher une autre nuit. Elles avaient encore plein de choses à m’expliquer. Je quittais mes vêtements et me glissais dans mon lit. Je crois que j’ai encore dormi jusqu’au matin. Au réveil le kleenex n’était plus sur la table de nuit.

Vers huit heures, je me suis rendue au parking souterrain pour prendre ma voiture. En longeant le parterre qui borde l’immeuble, je vis trois jonquilles que je n’avais pas remarquées la veille.

Encore de quoi faire travailler mon imagination.

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