Avant d'aller au cinéma, j'ai rejoint une copine (Fanny) pour manger et boire un coup ensemble. On avait prévu d'aller voir Avatar 2 à la dernière séance, c'était une séance en VO car nous ne supportons pas les doublages français des dernières années. Avant de partir de chez moi, je n'avais pas fait pipi depuis quelques heures, alors prévoyante je mets un protège slip. On passe à table dans un bistrot de très bonne réputation, je commande un plat chaud et un thé chaud également, elle un autre plat chaud et une bière. En voyant mon air surprise elle m'explique que c'est une de ses techniques, comme la bière fait pisser, elle peut se vider avant la séance. Une fois le repas fini on va au cinéma qui n'était pas très loin du resto, on fait donc le trajet à pied. C'est après avoir pris nos places elle me laisse entrer dans la salle toute seule pendant qu'elle va aux toilettes. Moi ça va, je ne ressens aucune envie. Fanny me rejoint, et quasiment sans se faire attendre les bandes annonces, puis le film commence. C'est seulement au début de la fin que mon envie d'uriner se fait présente, il reste doit rester 45 minutes de film selon mon estimation. Et c'est seulement au début de l'acte final qu'elle se fait carrément insistante. Faut que je tienne, c'est presque fini, ce n'est absolument pas mes habitudes d'aller aux toilettes quand je suis au cinéma. Je serre fort les jambes et me trépigne sur mon siège. Fanny me demande si j'ai envie de pisser, je lui réponds par l'affirmative, elle sourit en rigolant presque. Ca y est, le générique défile enfin. Nous sommes assez nombreux dans la salle, je me lève la première pour aller dans les toilettes du cinéma, je dit à Fanny qu'elle m'attende dehors. Je remonte les marches à contre courant de la foule, pour finalement me retrouver devant un employé taillé comme une armoire à glace, qui me refuse de sortir par là où je suis rentrée, je vais pour argumenter mais ma vessie me fait mal, je ne fais que bredouiller quelques onomatopées avant de repartir en sens inverse. Descendant les marches 4 à 4, je ne peux m'empêcher de lâcher quelques jets dans le protège-slip, mes seins se ballottent sous mon pull. Dans les escaliers menant à l'extérieur, la foule est trop compacte pour que je puisse me faufiler à travers elle. Le rythme étant moins soutenue, je place la main droite à mon sexe pour essayer tant bien que mal de fermer les vannes. Ça y est je suis dehors, l'air est froid, le parvis est grand, éclairé par quelques réverbères, j'y vois Fanny. La masse continue de marcher devant moi. Je file vers les buissons en vitesse, les talons de mes bottines se font entendre, toujours en courant je laisse tomber mon sac à main, je commence à déboutonner mon jean, je m'arrête dans le coin le plus sombre, baisse mon jean et mon tanga à hauteur de genoux et m'accroupis. Je soupire de plaisir, je me relâche, laisse tomber ma tête entre mes genoux, et ferme les yeux deux secondes, je les rouvre pour regarder ma vulve pisser. Mon minou se fait entendre aux alentours. En voyant l'urine tarir, je dirige mon regard vers Fanny qui ne sait plus où se mettre. Je lui demande de m'apporter mon sac à main pour que je puisse m'essuyer, je le fais un peu plus longtemps que d'habitude, délicatement. Un coup au milieu, un coup sur chaque grandes lèvres et je repasse plusieurs fois au niveau de mon trou de pipi. Je retire mon protège-slip humide pour le jeter dans une poubelle quelques secondes plus tard avec le mouchoir. Je me reculotte d'une traite. Ensuite nous passons les grilles marquant l'enceinte du cinéma, on fait un bout de chemin ensemble où nous débriefons le film que nous venons de voir. Et nous rentrons chacune chez soi.

En réponse à tes questions, maman, personne du milieu des années 30, quand sexe, nudité et pipi ou autre étaient tabou. Elle a très rarement fait pipi hors toilettes ! Mais je viens de me souvenir d'un épisode. Je devais avoir autour de 12 ans, un dimanche où on était sorti maman papa et moi, ma sœur aînée, plus vieille, commençait à ne plus nous accompagner. Un dimanche vers la fin d'après-midi maman a dit à un moment il faut un arrêt le plus vite possible ma limite vient d'être dépassée ! Je ne comprenais pas ce qu'elle voulait dire par là, papa s'est arrêté rapidement à l'entrée d'un petit chemin agricole et maman a bondi hors de l'auto et a couru 10 mètres environ sur le chemin et s'est accroupie immédiatement, robe relevée, culotte baissée et s'est mise à pisser, pisser ! ! Une auto arrivait mais elle n'a pas arrêté. Papa a dit "Elle ne sait plus s'arrêter tellement elle s'est retenue !" Enfin, elle s'est relevée, papa a dit "Je pensais qu'elle n'allait jamais finir !" Elle est remontée en lançant un regard noir, ambiance du retour comme dans un corbillard. Une fois à la maison je la vois entrer dans sa chambre et en voulant aller à la mienne, ayant laissé sa porte entr'ouverte, je la vois enlever sa culotte, s'essuyer avec et enfiler une autre culotte. Je la vois aller vers la fenêtre et m'écarte en douce. Une fois sortie de sa chambre, j'ose y entrer en douce un moment après et découvre sa culotte sur le radiateur et la tâtant je vois le fond trempé ! ! ! ! Maman avait pissé dans sa culotte dans l'auto ! Tout s'éveillait alors, ses paroles dans mon cerveau ! Je commençais à devenir adolescente et à comprendre beaucoup de choses !

J'espère que ça donne des réponses à tes interrogations Julie.

Dimanche dernier, dans l'après-midi, de retour chez moi sur une aire de repos en Allemagne, je vois en buvant mon thé avec mon chéri, une voiture qui s'arrête et une jeune fille d'origine asiatique véritablement bondir de la voiture et courrir vers le batiment et se précipiter vers les toilettes. Un tourniquet y donne accès après avoir payé 0,80 € en monnaie ou par carte. N'ayant rien avec elle, elle sautillait sur place et retourne vers l'entrée où arrivait à son aise une autre asiatique (sa soeur ?) Elle lui parle et lui arrache littéralement sa carte bancaire de ses mains, voyant cela, je vais vers le tourniquet, mes instincts de petite voyeuse se réveillant en moi, et je fais pour y aller aussi pendant qu'elle ouvre le tourniquet à côté du mien ! Elle se précipite vers la salle, je vois le box où elle rentre, c'était calme alors j'entre dans le box d'à côté, et fermant délicatement la porte, j'entends d'abord un pet monstrueux, suivi d'un torrent de pipi qui s'abat dans la cuvette avec un sifflement terrible, encore un très gros pet, et la suite quelques beaux flocs, flocs, elle devait tout faire, pipi et aussi caca ! Et ça devait être très urgent ! ! ! ! Elle a pissé une éternité, elle tenait depuis un bon moment certainement ! L'autre fille était arrivée entre-temps, et j'ai pu tout entendre leur conversation, elles parlaient français ! Elle a demandé des nouvelles, et la réponse a été c'était vraiment l'ultime limite, j'ai bien cru tout faire sur moi des deux côtés ! Le caca ça a été, mais j'ai commencé mon pipi en ouvrant ma ceinture ! Je vais essuyer mon entrejambe de petite culotte toute trempée ! ! ! Je les ai laissées partir et je suis sortie après. Elles sont reparties de suite en voiture et j'ai vu que c'était des luxembourgeoises à leur immatriculation.

Je suis allée dernièrement sur la tombe d'un membre de ma famille, dans un cimetière de campagne, et en entrant une jeune femme d'une trentaine d'années d'après moi que je ne connaissais pas en mini-jupe y entrait aussi. Elle se dirige vers le fond du cimetière par une autre allée que la mienne et je n'y prête pas d'attention. Arrivée sur la tombe me concernant, en regardant après un moment autour de moi, je vois tout au fond du cimetière une tête qui se relève de derrière un monument et je reconnais la chevelure de cette jeune dame qui était de dos debout maintenant et qui fait comme relever des vêtements et rabaisser et mettre en place son manteau... Je ne fixe pas dans sa direction ,fait comme si je n'avais rien vu, mais j'épie du coin de l'œil la suite, la dame quitte l'emplacement, remonte son allée et sort du cimetière. J'étais seule maintenant, alors un peu curieuse voyeuse, je vais vers l'endroit concerné, et une fois sur place, une immense flaque humide sur le tarmac et quelques coulantes dans le sens de la pente avec un petit mouchoir ! Pas de doute possible, tenant une sacrée envie de pipi depuis un fameux moment au vu du lac laissé, cette femme était entrée dans le cimetière, sachant que ce sont des endroits peu fréquentés, pour pouvoir enfin soulager sa vessie ! Je la comprends, car je confesse que moi aussi j'en ai fait parfois pareil, de même qu'une amie intime qui m'a avoué avoir eu recours à cet endroit une fois tellement elle devait pisser !

Voici une anecdote me concernant ainsi que ma fille aînée : nous faisions du shopping, et en fin d'après-midi, dans un magasin, avions envie de faire pipi. Cela allait crescendo avec le temps qui passait...

Comme souvent, pas de toilettes pour les clientes ! On sort avec nos achats, on ne voit pas de signalisation indiquant des toilettes. Nous descendons vers le parking souterrain où se trouvait la voiture. La situation devenait critique pour toutes les deux. Ma fille avait sa main entre ses jambes dans les escaliers, moi également pour tenir le petit trou à pipi fermé (comme des petites filles !) Lorsque dans le parking, les contractions de ma vessie m'annonce que j'allais rapidement perdre le contrôle de la situation... Je dis à ma fille : "Suis moi ici entre ces deux voitures près du mur..." On dépose nos sacs par terre, un dernier regard autour : personne en vue. On ouvre notre pantalon, le baisse à nos genoux avec notre petite culotte, accroupies, le tout en deux ou trois secondes tellement ça pressait. Alors, un gros jet de pipi sort avec un beau sifflement et frappe le sol avec violence en éclaboussant nos souliers ! Quelle délivrance enfin ! L'accident évité de justesse ! Après plus de 30 secondes d'un pipi intense, on a enfin fini. On regarde à travers les fenêtres des voitures, toujours personne. On se relève, on essuie nos minous avec un kleenex, remontons nos vêtements, nettoyons nos chaussures, reprenons nos sacs. Et là, en levant les yeux au plafond, ma fille dit : "Maman, là, regarde !" Nous partons allors rapidement et je remarque que nous venions de faire pipi sous une caméra de surveillance ! Je ne sais pas si le gardien s'est rincé l'oeil, mais nous avons regagné rapidement notre véhicule et quitté les lieux !

Une autre anecdote, plus ancienne. Mes deux filles étaient petites et nous étions dans un magasin de vêtements quand elles me disent : "Maman, pipi !" Et, biensûr, pas de toilettes ! A croire que les architectes pensent qu'on ne pisse jamais nous les femmes ! Je demande à la caisse s'il est possible pour mes enfants de faire pipi, mais on me dit que non. Pas contente du tout, je pars et en passant devant les cabines d'essayage. La solution me vient à l'esprit. Je dis à mes filles : " Venez avec moi prendre des vêtements. J'en prends dans mes bras, en donne à la plus âgée aussi. En passant près d'une vendeuse, je dis : "Allez les enfants, venez essayer avec maman. On rentre alors ensemble dans une cabine. Je ferme la porte, dis à mes filles tout bas : "Pas de bruit, enlevez votre petite culotte et relevez vos petites robes, vous allez pouvoir faire pipi !" Je place des polos pliés entre leurs jambes, et leur dit de les tenir contre leur entrejambe, mets par terre un autre vêtement par prudence entre leurs pieds. Et lance : "Allez-y, faites pipi à votre aise mais le plus doucement possible..." Comme elles étaient heureuses d'enfin se soulager... Quand elles ont eu fini, je leur ai bien essuyé jambes et minous, remis leur petite culotte. Quant, tout à coup, je commence moi aussi à voir envie de faire pipi. Je leur ai dit : "Attendez, c'est le tour de maman maintenant !" Il restait des vêtements secs. J'ai remonté ma jupe, baissé ma petite culotte et me suis assise sur le bord de la chaise. J'ai mis un vêtement plié sur mon minou, et me suis mise à faire pipi... Nous rions toutes trois, mais pas trop fort pour ne pas se faire remarquer... Quand j'ai eu fini, je me suis reculottée, et puis j'ai entrouvert la porte. Personne. Nous sommes alors vite sorties de la cabine en laissant les vêtements souillés en place. Nous sommes passé devant la caisse, et j'ai dit, l'air de rien : "Venez les enfants, maman va trouver un petit endroit pour que vous puissiez faire pipi..." Une fois à l'extérieur, j'ai fait semblant de chercher un endroit calme. Je me suis dirigé vers les poubelles, et ai constaté que le gardien regardait dans notre direction. Il nous épiait sans doute. Nous sommes allé sur la place comme pour faire, et somme sorties un instant après... Il se dirigeait vers nous, mais, pas de chance pour ce voyeur, nous avions déjà fait pipi dans le magasin...

Enfin, voici une troisième et dernière anecdote, qui remonte à ma petite enfance. C'était l'hiver, j'étais à l'église avec ma grand-mère. Il faisait froid, et pendant la cérémonie, je fus prise d'une envie de pipi ! J'ai d'abord serré les jambes et ai dit tout bas à l'oreille de ma grand-mère : Mamie, je dois vraiment faire pipi, et ça presse !" Elle m'a répondu : "L'office est presque fini, on va bientôt sortir, encore une minute, pas plus, je te le jure !" Et c'était vrai, nous sommes sorties les premières. Une fois dehors, ma grand-mère m'a rapidement accompagnée derrière l'église. Elle m'a alors dit de faire rapidement entre le mur et le grillage. J'ai donc vite relevé mon manteau, ma jupe, baissé mes collants de laine et ma petite culotte et me suis vite accroupie. A ce moment là, on entend des bruits de pas sur le gravier... Je me retourne et voit ma grand-mère, debout, son sac à ses pieds, ses mains relevant un peu son manteau et sa robe, et entre ses jambes, un gros jet de pipi jaunâtre qui coulait et frappait les graviers...Mamie aussi faisait pipi ! Et comme il faisait froid, nos pipi fumaient au contact du sol... Les bruits de pas, étaient ceux d'une mère, de son petit garçon et de sa petite fille arrivant en courrant. Tout le monde se connaissait. Le petit garçon avait déja ouvert sa brayette, il sortait son petit zizi et à peine sorti, celui-ci a commencé à faire pipi alors qu'il faisait encore un mètre ou deux vers le grillage ! La petite fille courrait, elle avait déja son manteau et sa robe relevée autour de sa taille, et, à peine tournée vers le coin du mur, baissait collant et petite culotte, s'accroupissait au milieu de la petite allée et commencait à faire pipi... Sa maman la suivait, relevant aussi ses vêtements. Lorsqu'elle nous aperçoit, elle s'arrête un instant, hésite un peu, devient toute rouge, serre ses pieds, et puis dit : "Au point où on en est toutes...", elle met ensuite son sac par terre à côté d'elle, relève ses habits autour de sa taille, montrant ses bas, sa gaine porte-jaretelles - nous étions en 1960 ! - ses cuisses, écarte sa culotte et se met à faire pipi puissamment en écartant ses pieds et fléchissant à moitié ses jambes... Son vif jet de pipi jaillit d'une énorme touffe de poils très noirs en décrivant un arc de cercle, et finissant sa course sur les graviers. Cela m'impressionne encore quand j'y pense. De même que toutes nos flaques de pipi fumant par terre à cause du froid ! Je ne sais plus qui avait fini en premier, mais je me souviens que la femme a dit à ma grand-mère : "Ca a été pour toi ? Tu es arrivée à temps ?" "Moi pas, ça coulait déjà un peu à peine la porte franchie." Et je l'ai alors vue retirer sa culotte et la mettre dans son sac ! En partant, Mamie m'a dit : "Tu vois, les grandes personnes aussi font parfois pipi dans leur culotte !".

J'étais en voiture avec mon chéri et ma fille aînée sur une autoroute allemande, plus exactement sur le ring de Berlin. Il était aux environs de 17 h et on était en route depuis 13 h. Mon chéri était au volant et moi et ma fille étions côte à côte sur la banquette arrière. On se reposait... Ma fille dit alors : "Papa, je ne sais pas pour toi et maman, mais moi il faudra que je songe à une petite vidange de vessie... J'ajoute "C'est aussi vrai pour moi..." Mon chéri dit je vais aussi faire la même chose, je pensais m'arrêter au prochain parking. Mais voilà qu'on est ralenti et puis à l'arrêt... et les trois bandes de circulation également... Zut, pas de chance dis-je, j'espère que ça va pas durer trop dit ma fille... On avance un peu, on stoppe, et puis encore un peu... Il y avait des travaux alors de trois bandes la route était réduite à une seule, ce qui expliquait l'embouteillage... Ma fille dit " C'est que ça commence vraiment à presser pour moi..." Je lui dit "Ne t'en fais pas, pour maman aussi ça devient urgent..."On avait croisé nos jambes, on les décroisait pour les recroiser dans l'autre sens, puis ma fille commence à mettre sa main à son minou... "Ca va tout de même ?" demande mon chéri ? "Oui, mais je ne sais pas pour combien de temps..." lui dis-je. On était sur une seule file qui roulait doucement maintenant, alors pas question de sortir et vite aller faire sur le bas côté... "Aïe, aïe !" dit ma fille, "Je crois que je vais faire dans l'auto si ca continue..." Mon chéri dit : "Prenez le plaid et mettez le sur la banquette au cas où..." Pour tenir le coup, j'avais mis ma main sur le minou de ma fille et réciproquement. On serrait très fort nos lèvres du vagin pour bien maintenir fermer notre petit trou à pipi tellement on sentait une immense pression dans notre vessie !

Enfin les travaux sont fini, mais comme dans ces cas une demi-heure peut paraître un siècle ! Mon chéri voit un dégagement sur la droite, il s'y engage aussitôt, c'était plutôt une aire de service qu'un parking. Il y avait juste un petit bâtiment de service et aucune autre voiture arrêtée... A peine la voiture stoppée, on ouvrait à deux nos portières et on se pécipitaient dehors... On a toutes les deux courru vers ce bâtiment, je crois qu'on battait un record olympique du sprint... et dans ces cas, on fait des choses incroyables. Sur le côté du bâtiment, pour l'anecdote, on était à deux en bas porte-jaretelles et tanga... Voyez le beau petit spectacle ! A peine passées à l'arrière, on n'a pas pris le temps de baisser nos tangas ni de s'accroupir, on a simplement écarté nos jambes, un peu fléchi nos genoux et mis le fond de nos tangas sur le côté pour lâcher un de ces déluges de pipi...On aurait dit un torrent de montagne en crue, ça sifflait un "pssssitttt" très fort, et, en arrivant sur le sol, nos jets de pipi éclaboussaient de tous les côtés, y compris sur nos souliers et chevilles... Mais quel plaisir d'enfin se soulager avec de fameux soupirs de bonheur de sentir son bas ventre se dégonfler comme un ballon.... Je ne saurai pas dire le temps durant lequel on a fait pipi, mais on pensait ne jamais en finir... On finissait nos derniers jets - on avait tellement tenu qu'on poussait pour bien se vider ! - quand on a entendu des pas rapides se rapprocher... Je dis à ma fille "Pas de panique, on finit tout à fond..." A peine avais-je prononcé ces quelques mots, qu'une jeune femme allemande en jupe aussi, arrivait en quatrième vitesse. Dans son empressement elle ne nous a pas vue de suite, elle avait ses vêtement en ordre, elle a relevé sa jupe derrière elle, elle avait un collant et un string. Elle a tout baissé d'un coup en lancant un petit juron, et a commencé à se relâcher, et c'est alors qu'elle nous a vue... Elle a rougit, baissé les yeux, j'ai vu dans son visage qu'elle essayait d'arrêter de faire pipi, mais, pas moyen pour elle, l'envie était trop forte... Un beau jet de pipi bien blanc sortait devant elle en sifflant... On a dit quelques mots, elle a pissé moins longtemps que nous, mais elle, une fois fini et relevée, elle a regardé entre ses jambes et a enlévé collant et string qu'elle a jeté derrière un arbuste. Car le juron, c'était parce qu'elle commencait à pisser dans ses vêtements... Elle a pris un kleenex pour essuyer ses jambes... Nous avons regagné notre voiture, et elle a rejoint la sienne juste après. Elle était seule et est partie immédiatement. En passant près de notre voiture, elle nous a fait un petit signe avec un petit sourire...

A la vue du dessin de PPH d'un pipi dans une cabine d'essayage, voici une aventure authentique qui m'est arrivée quand j'étais encore étudiante : début de mes études supérieures, j'étais partie après les cours faire quelques courses avec un garcon qui allait devenir mon compagnon. Idiote comme je suis, je n'avais pas pensé à faire pipi avant de quitter la fac ! Et au beau milieu du magasin, je n'en pouvais vraiment plus d'envie de soulager ma pauvre vessie si cruellement torturée... Je pensais où me retirer pour moi être plus légère, j'envisageais bien des possibilités, je n'osais pas dire mon état à ce garcon que je connaissais depuis peu (on était en 1974 à l'époque, époque où une fille était encore honteuse de devoir avouer devoir faire pipi ! ) Quand mon compagnon se rend compte qu'il a oublié quelque chose ! Il me dit va vers les caisses et attends-moi, je n'en n'ai pas pour longtemps ! Ouf, seule, mais vite en profiter pour faire pipi "en douce" quelque part... Et voilà que je passe dans le rayon bricolage-sanitaire, et là, une porte accordéon ouverte sur un petit espace avec une toilette si accueillante... Quelle aubaine providentielle dans mon état ! En un éclair je rentre, ferme la porte, dépose mon sac de cours et mes achats par terre, relève ma jupe, baisse ma petite culotte et m'assied sur ce trône si accueillant où je pisse comme une folle, pensant ne jamais en finir tellement j'avais envie ! Enfin fini, je me relève, pour remonter ma petite culotte et, horreur ! Plein de pipi autour de la toilette ! Je n'ai quand même pas fait au dessus, commencais-je à penser, mais bien vite je comprends : je venais de faire pipi dans un wc d'exposition non raccordé... Rouge de honte, morte de peur, j'entrouve la porte, personne par chance. Alors j'ai battu le record du 100 m vers les caisses, où mon compagnon m'attendais. Je le poussais à sortir au plus vite, lui laissant à peine le temps de reprendre sa monnaie... Il me regardait avec des yeux éberlués, ne comprenant pas mon attitude ! Une fois dehors et après avoir encore courru loin du magasin, on s'arrête et je lui explique mon aventure toute honteuse, au bord des larmes tellement j'avais honte !!! Il s'est mis à rire, m'a consolé, m'a payé un coca pour me consoler et me faire passé ma honte, m'a si gentillement parlé et dédramatisé mon aventure qu'on est resté ensemble pour de bon... Depuis 33 ans le mois prochain !

Un professeur peut parfois aussi être prise d'envie de pipi...

Ma fille cadette avait il y a quelques années un professeur de langues germaniques assez sévère, son surnom était d'ailleurs la dame de fer... Comme anglophone ma fille n'avait pas de problèmes. Un jour, pendant les examens, cela se passait une matinée, de 8 h 30 à 11 h 30 sans interuption  avec interdiction de sortir de la salle un quart d'heure avant la fin de l'épreuve. C'était le règlement de l'école. A partir de 10 h 15-10 h 30, ma fille voit la prof se lever et se mettre à marcher doucement et aller vers le fond de la salle avec une mine un peu crispée... C'était inhabituel, quelque chose devait se passer... Elle s'assied sur une chaise libre au fond, et en regardant discrètement, elle voit le professeur croiser ses jambes ,les décroiser, gesticuler un peu, puis à un moment carrément mettre sa main entre ses jambes serrées sur son minou.... Plus de doute, le professeur réprimait une sérieuse envie de faire pipi... A 11h, elle s'est levée et est allée vers la porte, l'a ouverte et regardé si quelqu'un venait dans le couloir. Elle espérait une âme charitable pour la remplacer et aller se soulager ! Mais pas de chance, personne ! A voir son attitude, le professeur vivait un vrai calvaire, une lutte terrible pour tenir encore tenir jusqu'à 11 h 30. Vers 11 h 20, les premières copies rentraient et à un moment, elle a dit : "Dans cinq minutes, c'est fini, et je ramasse immédiatement !Pas de temps supplémentaire ! J'appliquerai le règlement !" Elle n'avait jamais parlé comme cela avant ! Ma fille a remis sa copie vers 11 h 27-11 h 28 puis est sortie et est allée se "planquer" derrière la porte des toilettes de l'étage d'où elle avait vue sur la sortie de la classe à travers la rainure de la porte entrouverte des toilettes. A peine 11 h 30 sonna, la professeur a vraiment poussé les derniers élèves dehors, fermé la porte à clef, regardé autour d'elle, plus personne dans le couloir. Alors elle a carrément mis sa main à son minou et s'est mise à piquer un sprint vers les toilettes... Ma fille est vite entrée dans une toilette, le professeur est entré en coup de vent, s'est précipité dans la première toilette venue. Elle dansait sur place en fermant la porte, elle dsait : "Oh non, non, non, pas ça, pas ça !" Elle l'entendait relever ses vêtements, baisser ses collants et sa culotte, et "Je pisse !" a t-elle dit et immédiatement un bruit immense d'un vrai torrent dans l'eau de la cuvette du wc s'est fait entendre. Elle a pissé un temps interminable... Quand elle a eu enfin fini, elle a dit : "C'est pas vrai, j'ai pissé dans mes vêtements, à 36 ans encore faire à sa culotte, heureusement que j'ai tenu en classe, par deux fois j'ai pensé tout lâcher sur ma chaise, je sentais le pipi descendre, j'ai imaginé ne pas savoir bloquer, mais commencer à pisser devant le pot en fermant la porte, c'est trop bête ca !" Elle l'entendait gesticuler, elle enlevait son panty et sa petite culotte, puis elle a entendu le couvercle de la poubelle, la chasse d'eau, et le professeur qui sortait et s'éloignait. Ma fille est sortie de sa cachette, est rentrée dans le wc du professeur et a vu dans la poubelle un panty et un tanga rose bien humide et dégoulinant de pipi, avec des trâces d'essuyage encore humide devant la toilette. Oh ! Le professeur avait fait pipi par terre avant de se positionner au dessus de la cuvette ! Ma fille a ramassé le "trophée" et l'a rapporté à la maison. Il y est toujours parmi ses souvenirs d'école...

Au cinéma

La semaine dernière j'étais allé en famille au cinéma et à la fin de la séance je suis allé aux toilettes avec mon aînée. Comme cela nous arrive nous sommes entrées dans le même toilettes à deux, et quand on avait fini et qu'on s'apprêtait à sortir, on entend des pas qui courrent dans le couloir, et des bruits de talons de femmes... Une femme est entrée en vitesse, elle s'est engouffrée dans la toilette à côté de la nôtre. On l'entendait frapper du pied en se déculottant, et puis, un vacarme incroyable, une de ces cascades dans l'eau de la cuvette et un sifflement très fort de son jet de pipi sortant avec une force inimaginable se sont fait entendre ! Elle n'arrêtait pas.  On était tellement saisies qu'on a regardé notre montre, ma fille et moi. Elle a pissé durant une bonne minute trente... Jamais entendu un tel pipi de ma vie ! Elle disait : "Comme c'est bon d'enfin pouvoir pisser, j'ai pensé tout lâcher dans mon fauteuil ou dans le couloir ! Et même pas une seule goutte dans ma culotte ! J'en reviens pas !" On est sorties à ce moment là, et avons guêté la porte. Une femme la trentaine environ, taille moyenne, belle corpulance avec des cheveux bruns luisants est sortie du wc, est allée aux lavabos, et nous sommes parties pour ne pas éveiller de soupçons !

Un pipi-culotte

C’était première fois que cela m’arrivait, et je me souviens bien des circonstances, moi qui aimais tant être au sec.

Je rentrais du travail. J’avais une demi-heure de route à accomplir. Avant le départ, nous avions fêté l’anniversaire d’un collègue et j’avais bu un grand verre de jus d’orange plutôt qu’une coupe de Champagne, trop diurétique à mon goût avant de prendre la route. Confiante et connaissant mes possibilités habituelles, j’avais négligé de passer aux toilettes avant de partir. Je n’ai pas tardé à le regretter.

Je roulais depuis un quart d’heure environ quand la colonne de voitures qui me précédait ralentit et finit par s’arrêter... L’autoradio me fit patienter les premières minutes. Je ne sais pas depuis combien de temps on ne bougeait plus quand les voitures de l’autre sens repassèrent à ma hauteur. Mais nous, nous étions toujours bloqués.

Je n’étais pas pressée de rentrer, mais mon jus d’orange lui, prévu pour s’épancher à l’appartement, commençait à se manifester. Je pense qu’il y avait au moins un quart d’heure que nous étions immobilisés quand la file redémarra.

Un quart d’heure…. C’est le temps que j’aurais mis pour rentrer avant d’avoir envie de vidanger. Maintenant, il faudra que je me retienne un quart d’heure… si on ne s’arrête plus. "Ca devrait marcher…" pensais-je. Mais nous roulions lentement… et les minutes passaient. Je me mis à craindre le pire : la fuite au travers de la culotte, de la jupe et sur le siège… L’horreur ! J’arrivais à la hauteur d’un bas côté large et herbeux. Un plan s’échafauda rapidement dans ma tête. Je mis mon clignotant à droite et m’arrêtai sur l’herbe. Je ne sais pas pourquoi je mis mes "warning". Le fait de me mettre debout et de faire quelques pas augmentai encore mon envie. J’étais décidée. Je contournai la voiture, et ouvrit les deux portes pour me faire un semblant de protection.

Debout pour descendre la culotte je me serais trahie au travers des vitres. Aussi, décidai-je de me baisser et de tirer sur l’entrejambe. Le fond était déjà humide. J’avais déjà perdu des gouttes que je n’avais pas réussies à contenir.

La culotte était serrante et moulante et j’eus du mal à écarter complètement. Tant pis, dans cette situation je me laisse aller, je lâche tout. Habituellement, tranquille, je maîtrise bien mon jet, mais là, avec le fond de la culotte à moitié tiré, ça partait en vaporisant tantôt vers une jambe, tantôt vers l’autre. Je n’arrivais pas à contrôler.

Les voitures, presque pare-choc contre pare-choc, continuaient à me doubler. L’une d’elle m’envoya en passant deux coups de klaxon qui signifiaient peut-être "Attention je double !" ou "Je t’ai vue !"  Je m’en moquais, cela n’arrêta pas ma vidange. Et pourquoi aussi avais-je mis mes "warning" ? Rien de mieux pour attirer l’attention, et de plus avec mes portes ouvertes qui sans doutes me cachaient mal. Je pissais toujours et encore comme si j’avais bu un litre au moins. Après tout, si c’était un homme à ma place, on n’aurait certainement pas klaxonné. Alors… ça va bien  hein !

Le jet s’arrêta enfin. Je sentais le fond de la culotte et mes cuisses toutes trempées. A demi-baissée, je la descendis, m’en libérai, et m’en servit pour essuyer mes jambes. Puis elle atterrit par terre au pied du siège passager. Jupe baissée, les fesses et la chatte à l’air, je pris l’air digne de celle qui était occupée à chercher quelque chose dans la voiture. Mes "warning" attirèrent la curiosité sans doutes bienveillante d’un automobiliste qui s’arrêta et me demanda si j’avais besoin d’aide. Je le rassurai et le remerciai en pensant  que s’il s’était arrêté une poignée de secondes plus tôt il aurait eu à voir le  spectacle d’une pisseuse dans l’embarras. Mais cela m’aurait-il arrêtée ? Je ne le pense pas. Le besoin et le plaisir du soulagement étaient bien trop fort. Et maintenant quelle sensation de légèreté en repartant. Même la chatte à l’air et la jupe un peu mouillée.

Le ralentissement et l’arrêt étaient dus à un accident matériel. Je ressentais en le doublant une certaine satisfaction à l’idée qu’il m’avait sans doutes fait voir sans doutes plusieurs fois, faisant un pipi urgent. J’ai peut-être fait fantasmer des automobilistes qui ne pouvant pas s’arrêter ont du se contenter de rêver qu’ils m’aidaient. J’en oubliais que j’étais sans culotte.

Voilà une anecdote qui m'est arrivée tout dernièrement...

Samedi matin, je file à La Poste. N'habitant pas loin, j'y suis allée à pied.

Il n'y avait pas beaucoup de monde et je pensais être vite sortie. J'avais bu deux tasses de thé une heure auparavant et je commençais à avoir envie de faire pipi mais rien d'urgent.

Une mamie devant moi prenait son temps et posait tout un tas de questions. Un bon quart d'heure est passé et mon envie de pipi a considérablement augmentée (en plus, il faisait froid, ça n'aidait pas...).

Un autre quart d'heure est passé, la mamie était toujours au guichet et un monsieur est arrivé derrière moi. J'avais la vessie pleine et je commençais à gigoter tellement j'avais du mal à retenir cette envie pressante. Plus j'y pensais et plus j'avais envie...

Le monsieur a remarqué mon manège, je pense, puisque je croisais et décroisais les jambes et qu'il n'a pas été sans le remarquer ! J'avais un peu honte de me comporter comme une gamine mais vraiment, j'avais du mal à me retenir. J'ai fait un rapide tour d'horizon dans ma tête et je me suis demandée si, en sortant de la poste, il pouvait y avoir un endroit où je puisse me relâcher tranquillement mais non...

La mamie est enfin partie et ça a été mon tour. Je ne savais même plus ce que je venais chercher tellement je retenais mon envie de pipi ! Je me suis concentrée (toujours en croisant les jambes), j'ai mis ma main à mon sexe et j'ai effectué ma transaction (évidemment, l'ordinateur a planté et ça a pris plus de temps que d'habitude !).

Je suis enfin sortie et, avec le froid, j'ai senti que je commençais à faire pipi. J'ai tout retenu au prix de je ne sais quel effort et je me suis dépêchée (autant que je le pouvais) pour trouver une haie qui puisse, au moins, me protéger de la route.

J'étais presque arrivée à la haie que j'ai senti que je ne contrôlais plus rien. J'ai passé ma main dans ma jupe, j'ai écarté ma culotte (j'avais des bas) et j'ai tout lâché en disant "Je pisse, je pisse !". Je ne voulais pas pousser pour ne pas mouiller ma jupe et mon manteau (je ne l'avais pas relevé pour essayer de faire discret !) mais ça coulait en torrent.

Je pissais tellement que j'ai mouillé mes bottes et mes bas, je ne voulais pas trop écarter les jambes, toujours pour ne pas mouiller ma jupe et mon manteau et je pissais sans m'arrêter... Ca a duré un bon moment lorsque j'ai vu que le monsieur qui était derrière moi à la poste m'avait suivie et me regardait !

Il m'a avoué avoir été excité à l'idée que je puisse faire pipi dans ma culotte et c'est pour ça qu'il m'avait suivie !

Je ne lui ai pas dit que j'avais commencé à faire dans ma culotte (qui était toute mouillée !), je lui ai souris et je suis rentrée chez moi... A la fois un peu honteuse mais tellement soulagée !

Cela s'est passé à Brussel. Dans le cadre de mon travail, je devais me rendre dans plusieurs bureaux. Un jour, en fin de matinée, je me suis dépêché afin d'honorer un dernier rendez-vous avant midi. J’avais envie de faire pipi mais je ne l'ai pas fait et ai vite courru au dernier bureau. En entrant, pour ne pas que l'on voit que j'avais hyper envie de faire pipi, j’avais mis ma main entre mes jambes mais sous mon manteau... Je ne suis pas allé aux toilettes situées à l'entrée pour ne pas que l'on m'entende faire pipi car je suis bruyante lorsque j'ai très envie, mais j’ai voulu faire pipi à l’étage, car il n'y a des toilettes isolées et l'on ne pouvait m'entendre ! J’étais heureusement seule dans l’ascenseur, j’avais les jambes croisées, ma main poussait fort sur mon minou et je pincais mes lèvres pour bien tenir fermer mon petit trou et ne pas faire dans ma culotte ! Mais à un moment, l’ascenseur s'est arrêté et la lampe de secours s’est allumée ! Il était en panne ! J’ai sonné, sonné l’alarme, en vain ! Et je ne pouvais vraiment plus tenir, j’ai senti une ou deux gouttes de pipi sortir ! Alors j'ai remonté mon manteau, ouverte la ceinture et le pantalon en vitesse et me suis rapidement accroupie ! Tout cela en commencant à faire pipi ! J'ai pissé très fort et très longuement dans un coin de l'ascenseur ! Heureusement le tapis au sol absorbait mon gros pipi et amortissait le bruit du pipi qui éclaboussait sur mes chaussures et mon pantalon ! Quel soulagement de faire pipi ! Ensuite, je me suis rhabillée et ai encore attendu une bonne demi-heure avant que l'ascenseur ne se remette en marche. Si j’avais pas fait ça, je pissais dans ma culotte... Lorsque la porte s'est enfin ouverte, il n'y avait heureusement personne de l'autre côté. Je suis vite sortie de la cabine en laissant une grande tâche humide sur le tapis ! Mais mon pantalon était sec pour finir ma journée !

1 - Avez-vous déjà fait pipi en extérieur (en dehors des toilettes) ? Oui plein de fois !!! C'est pas toujours évident de trouver des toilettes !!!

2 - Si vous avez répondu oui à la question 1 : à quel endroit précisément avez-vous fait pipi ? Plein d'endroits !!! Voiture, forêt, petite ruelle, parking, entre 2 portières, etc...

3 - Dans quelles circonstances avez-vous fait pipi dehors ? Le pire que je me souviens, c'est un jour sur l'autoroute en partant au ski. Il y avait un accident et l'autoroute était complètement bloquée. Ca faisait déjà 3 h qu'on était arrêté et je commençais a avoir une big envie de faire pipi. J'ai tenté de me retenir car je pensais qu'on allait bientôt repartir !!! Mais au bout d'une 1 h, j'en pouvais plus !!! Impossible de sortir de la voiture pour me soulager car il y avait beaucoup de monde. Les trois files étaient pleines de voiture !!! Y'avait même des gens dehors !!! Mais fallait vraiment que je me soulage !!! Alors j'ai décidé de faire pipi dans une bouteille, pas d'autre choix !!! J'ai donc vidé une bouteille d'eau dehors pour avoir une bouteille vide. Je me suis mise à l'arrière du véhicule. J'ai mis les pares soleil pour que personne ne me voit. J'ai baissé mon jean et mon string. Et la, j'ai galéré pour viser le trou de la bouteille !!!! C'était chaud mais j'ai réussi sans en mettre partout !!! J'ai pas rempli la bouteille mais c'était quand même une très grosse envie !!! J'étais enfin soulagée !!!

4 - Arrive t-il que vous soyez obligée de vous retenir de faire pipi ? Si oui, pourquoi ? Oui comme beaucoup de femmes je pense !!! On ne peut pas faire n'importe où et y'a pas toujours des toilettes dispo !!!

5 - Vous souvenez-vous de la fois où vous avez eu le plus envie de votre vie ? (Où cela se passait et ce que vous avez fait). Dans un car sans toilette en voyage en Tunisie. 5 h sans faire pipi !!! 

6 - Avez-vous déjà surpris quelqu'un en train de faire pipi dans la rue ou ailleurs ? Quelle a été sa réaction ? Oui une femme derrière des bennes à verre. Elle a continué sans me regarder.

7 - Quel est l'endroit le plus insolite où vous ayez fait pipi ? Urinoir dans les WC des hommes. Trop de monde dans les WC des femmes et j'avais très envie.

8 - Quand vous êtes dans des toilettes publiques, comment évitez-vous de vous "salir" ou d'effleurer la cuvette ?  Accroupie les pieds sur la cuvette.

9 - Le matin, êtes-vous plutôt :

- pipi goutte à goutte ;

- pipi copieux et sonore ;

- fontaine intarissable ;

- pipi saccadé et dru ? Pipi copieux et sonore.

10 - Est-il arrivé que vous ayez l'impression que vous ne pourriez en finir tellement vous aviez envie ? Oh oui très souvent.

11 - En cas de grosse envie :

- vous ne dépassez guère trente secondes non stop ;
- vous atteignez facilement la minute ;
- vous dépassez facilement la minute ;
- vous pouvez atteindre les deux minutes aisément. Vous ne dépassez guère trente secondes non stop.

12 - Avez-vous déjà entendu une femme faire pipi très longuement ? Si oui, qui était-ce et à quelle occasion ? Oui dans les WC turcs d'un camping de bord de mer. Je ne la connaissais pas mais elle faisait un bruit d'enfer ! ! !

13 - Pour vous, faire pipi c'est :

- un geste naturel spontané donc irrefléchi ;

- un moment de plaisir où l'on se soulage ;

- l'occasion de réfléchir à tout et n'importe quoi ;

- un moment où vous vous "lachez" ? Un geste naturel spontané donc irréfléchi.

14 - Avez-vous déjà été surprise en train de faire pipi ? Quelle a été votre réaction ? Non jamais.

15 - Avez-vous déjà vu une amie, un ami ou votre conjoint faire pipi ? Si oui, trouvez-vous cela "naturel" ou "choquant" ? Oui plusieurs de mes amies, c'est naturel, y'a pas de honte à avoir !!!

16 - Avez-vous déjà fait pipi devant quelqu'un ? Oui ma sœur, mes amies.

17 - Connaissez-vous des "trucs", des "endroits" pour faire pipi à l'abri des regards quand une envie vous prend ?  La jupe, c'est le plus pratique !!! Avec un string ouvert, c'est encore mieux !!!

18 - Avez-vous déjà ressenti une "jouissance" en faisant pipi après vous être très longtemps retenue ? Oh oui et c'est trop bon !!!

19 - Si oui, avez-vous déja fait expres de vous retenir pour ensuite avoir du plaisir en faisant pipi ? Dans quelles circonstances ? Non.

20 - A partir du moment où vous avez envie de faire pipi, combien de temps pouvez-vous vous retenir ? 2 h grand max !!!

21 - Avez-vous déjà involontairement fait pipi dans votre culotte ? Oui en éclatant de rire.

22 - Portez-vous plutôt des bas ou des collants ? Bas.

23 - Quel âge avez-vous ? 25 ans.

1 - Avez-vous déjà fait pipi en extérieur (en dehors des toilettes) ? Oui, souvent. Je voyage beaucoup en voiture pour des raisons professionnelles, et je n'ai pas toujours le confort et la discrétion souhaités.

2 - Si vous avez répondu oui à la question 1 : à quel endroit précisément avez-vous fait pipi ? Tout ce que l'on peut trouver en dehors de toilettes fermées : cachée par la voiture sur une route ou un parking, un bosquet, une maison à l'abandon, un champs de maïs, des rouleaux de paille, partout où je peux "disparaître" des regards pendant une minute.

3 - Dans quelles circonstances avez-vous fait pipi dehors ? Je dois boire beaucoup et je ne peux pas me retenir indéfiniment. Toutes les circonstances deviennent bonnes quand il y a urgence.

4 - Arrive t-il que vous soyez obligée de vous retenir de faire pipi ? Si oui, pourquoi ? Me retenir m'est vraiment pénible, et je crains toujours une nouvelle crise de cystite comme celle que j'ai déjà eue. Je me retiens si vraiment je ne peux pas faire autrement dans l'immédiat. Alors je cherche les circonstances favorables de la question 2.

5 - Vous souvenez-vous de la fois où vous avez eu le plus envie de votre vie ? (Où cela se passait et ce que vous avez fait). Oui je m'en souviens. C'était sur une voie rapide. Pas de toilettes, pas d'aire de repos, pas de station service. Heureusement ce ne fut pas long et quand j'ai rejoint la nationale... j'ai trouvé le bon endroit près d'un entrepôt abandonné.

6 - Avez-vous déjà surpris quelqu'un en train de faire pipi dans la rue ou ailleurs ? Quelle a été sa réaction ? Oui... bien sûr. Les hommes je ne les compte pas. C'est banal, c'est courant, ils ne se gênent pas et on ne les remarque même plus.  J'ai déjà vu des femmes aussi. Sur une aire de repos sans toilettes, il y avait l'arrière d'une grande benne-poubelle accueillante pour les urgences féminines. Je m'y suis rendue et la place était déjà occupée. Il y a d'abord eu un échange de sourire, et la dame a continué, et  je l'ai  accompagné sans gène pour l'une ou l'autre. J'ai fait d'autres rencontres du même genre plusieurs fois avec le même état d'esprit chez l'une et l'autre. Je ne compte pas les fois où ce sont des copines qui se soulageaient en même temps que moi. La vraiment aucun problème. Cela nous donna même l'occasion de comparer nos "techniques".

7 - Quel est l'endroit le plus insolite où vous ayez fait pipi ? L'endroit le plus insolite ? J'en ai connu plusieurs. Mais je me souviens d'urgences dans ma voiture, sans autres possibilités qu'avec un entonnoir et une bouteille et assise au bord du siège.

8 - Quand vous êtes dans des toilettes publiques, comment évitez-vous de vous "salir" ou d'effleurer la cuvette ? J'ai horreur des toilettes publiques dégoûtantes et malodorantes. Je fuis tout ce qui porte un manque d'hygiène. Je suis presque maniaque. Dans les toilettes publiques et même des toilettes d'hôtel où d'autres lieu où le service est sensé être fait correctement et régulièrement, je m'installe jambes fléchies au-dessus de la cuvette sans la toucher ou je reste debout plus généralement. Si ce sont des urinoirs muraux masculins là évidemment je n'ai pas le choix. Même si je suis en pantalon, j'ai toujours mon Freelax qui me facilite les choses et me tire d'affaire.

9 - Le matin, êtes-vous plutôt :

- pipi goutte à goutte ;

- pipi copieux et sonore ;

- fontaine intarissable ;

- pipi saccadé et dru ? Le matin, mes premiers pas au saut du lit me conduisent vers les toilettes, que je sois chez moi, à l'hôtel ou... ailleurs, pour un gros pipi copieux et sonore.

10 - Est-il arrivé que vous ayez l'impression que vous ne pourriez en finir tellement vous aviez envie ? C'est vrai que j'ai parfois une impression de longueur en commençant. Mais je sens le "niveau" baisser au fur et à mesure et l'approche de la goutte finale.

11 - En cas de grosse envie :

- vous ne dépassez guère trente secondes non stop ;
- vous atteignez facilement la minute ;
- vous dépassez facilement la minute ;
- vous pouvez atteindre les deux minutes aisément. Même en cas de grosse envie, trente secondes c'est déjà long. Celles qui disent faire beaucoup plus n'ont sûrement pas le sens du chronomètre ou elles... se vantent. 

12 - Avez-vous déjà entendu une femme faire pipi très longuement ? Si oui, qui était-ce et à quelle occasion ? Oui... C'était dans les toilettes d'une brasserie. Elle n'en finissait plus et elle était très bruyante. Elle m'avait vue entrer à côté et cela n'a pas mis de frein à son ardeur.

13 - Pour vous, faire pipi c'est :

- un geste naturel spontané donc irrefléchi ;

- un moment de plaisir où l'on se soulage ;

- l'occasion de réfléchir à tout et n'importe quoi ;

- un moment où vous vous "lachez" ? C'est un geste tout à fait naturel, un besoin normal, auquel personne ne peut échapper. Et si en plus cela amène le plaisir d'être soulagé d'une gène ou d'un soucis alors... c'est le pied. Ce peut être aussi, selon l'intention, un excellent moyen de provocation érotique que j'aime utiliser parfois. 

14 - Avez-vous déjà été surprise en train de faire pipi ? Quelle a été votre réaction ? Lorsque je me laisse voir entrain de faire mon pipi c'est toujours, dans l'instant, librement consenti. Je prends beaucoup de précautions pour être à l'abri des voyeurs. Toutefois si certains m'ont vue, j'espère que cela leur a plu et qu'ils en sont heureux... !

15 - Avez-vous déjà vu une amie, un ami ou votre conjoint faire pipi ? Si oui, trouvez-vous cela "naturel" ou "choquant" ? Oui... des amies, des collègues de travail féminines. Mon compagnon souvent, et même généralement nous sommes deux à nous soulager côte à côte. Rien de choquant là dedans. A partir de l'instant où c'est consenti par l'un et l'autre. Ca n'est pas du voyeurisme.

16 - Avez-vous déjà fait pipi devant quelqu'un ? Oui... évidemment. Voir réponse précédente.

17 - Connaissez-vous des "trucs", des "endroits" pour faire pipi à l'abri des regards quand une envie vous prend ? Comme je l'ai dit plus haut, je voyage beaucoup en voiture et sur mes itinéraires je connais les endroits et les petits coins qui offrent des possibilités sur la route. Il faut ajouter les toilettes de supermarchés. En ville c'est plus difficile évidemment. Mais en catastrophe, comme je l'ai déjà dit aussi il reste la bouteille et l'entonnoir, la voiture arrêtée sur une place de parking loin des autres voitures ou une route peu fréquentée.

18 - Avez-vous déjà ressenti une "jouissance" en faisant pipi après vous être très longtemps retenue ? Que ceux et celles qui n'ont pas senti un vif plaisir à se soulager après s'être retenu longtemps lèvent la main.

19 - Si oui, avez-vous déja fait expres de vous retenir pour ensuite avoir du plaisir en faisant pipi ? Dans quelles circonstances ? Faire exprès de me retenir ? Certainement pas. Premièrement je ne suis pas "maso" et deuxièmement je crains trop un retour de mon ex-cystite pour éprouver du plaisir à me retenir.

20 - A partir du moment où vous avez envie de faire pipi, combien de temps pouvez-vous vous retenir ? Combien de temps je peux me retenir ? Bonne question. Mais je sais qu'à partir du moment où je commence à avoir envie, généralement en moins d'une heure maximum j'ai trouvé le moyen de me soulager. En fait,  je ne sais pas si je pourrais tenir beaucoup plus.

21 - Avez-vous déjà involontairement fait pipi dans votre culotte ? Non... Jamais. Je n'en suis jamais arrivée là. Jamais involontairement et encore moins volontairement. J'aime trop être au sec dans ce petit coin. Je suis une maniaque du Kleenex après pipi.

22 - Portez-vous plutôt des bas ou des collants ? Je porte des bas en été et des collants ouverts en hiver. Ouverts pour leur côté pratique évidemment.

23 - Quel âge avez-vous ? Mon âge ? ... Je suis une "vieille" de 39 ans.

Voilà, lorsque j'étais encore étudiante, pour me faire un peu d'argent avec mon chéri (qui est maintenant mon mari, mais on était déjà ensemble), je travaillais pendant les vacances et congés .Nous étions au mois d'août et comme je parle plusieurs langues, j'avais trouvé un job à l'accueil d'un call center d'une société financière. Mes horaires de travail étaient les suivants : 8 h 30 à 12 h 30 et 13 h 30 à 18 h. On devait être deux, mais, pendant les vacances, j'étais parfois seule.. Une fois, aux alentours de 16 h, je ne sais pas si j'avais bu un peu trop, mais j'ai eu envie de faire pipi... et je devais attendre 18 h pour pouvoir quitter ma chaise... J'ai commencé à serrer mes jambes, puis à gesticuler sur ma chaise, croiser mes jambes, mettre ma main sous ma jupe et appuyer sur le fond de ma culotte pour tenir. Je regardais sans cesse l'horloge et les minutes me paraissait des heures... Vers 17 h 15, j'avais mal au ventre tellement je me retenais et je sentais la catastrophe qui allait très vite arriver... Je réfléchissais à la façon dont je pourrais enfin me soulager, quand, soudain, j'ai eu une idée... J'étais en jupe (une mini jupe, l'action se situe au milieu des années 70), pas de collant ni de bas, juste ma petite culotte. Assise dans un petit coin derrière une espèce de guichet où les gens ne voyaient pas mes jambes ni ce que je faisais. Personne à mes côtés, et une poubelle type sceau non ajouré ! Sauvée ! La poubelle me servirait de toilettes de secours... Je l'ai vidée sur le sol, je me suis un peu levée de ma chaise juste pour relever le derrière de ma mini jupe et avoir mes fesses directement sur la chaise, j'ai mis la poubelle discrètement entre mes jambes, tout cela en poussant presque toujours avec une main le fond de ma culotte, pincant mes lèvres pour retenir. Je me suis avancée le derrière le plus possible sur le bord de la chaise, j'ai écarté ma culotte avec une main et je l'ai maintenue dans cette position, et, enfin, j'ai pu me lâcher ! Quelle délivrance ! On aurait dit un geyser ! Je faisais de mon mieux pour faire dans la poubelle, mais, vue la pression, j'ai aussi fait un peu à côté... Quand j'ai enfin eu fini, - j'ai crû ne jamais arrêter tellement j'étais pleine, - j'ai remis ma culotte en place et ai attendu les 18 h pour essuyer le sol et aller vider la poubelle... aux toilettes ! Je suis sure que j'ai pissé plus d'un litre ! Il s'agit là d'un des gros pipi de ma vie. J'en ai eu plusieurs et, parfois, dans ma culotte...

J'ai régulièrement des réunions pour le boulot à trois heures de route de chez moi. Je rentrais alors après une bonne journée de travail. Plus que trois heures de route avant de pouvoir enfin me reposer. En entrant dans la voiture j'ai ressenti une micro envie de faire pipi mais comme j'avais hâte d'être chez moi je n'y ai pas porté plus attention.

Après une heure de route, l'envie s'est faite ressentir encore une fois mais beaucoup plus forte à ce moment. Connaissant bien la route je sais qu'il n'y a aucun endroit pour m'arrêter. Je me suis alors obligée à penser à autre chose, il me restait encore deux heures enfermée dans la voiture. Cependant, une demi-heure plus tard l'envie commençait à se faire de plus en plus pressante. J'ai tenté de serrer les cuisse du mieux que je pouvais mais en conduisant c'est plutôt difficile. Plus le temps passait, plus je ne pensais qu'à une seule chose, mon envie de pipi qui devenait de moins en moins tenable. C'est une habitude chez moi les envies pressantes, puisque je voyage beaucoup pour mon boulot je n'ai pas toujours le temps de m'arrêter et j'ai rapidement appris à me retenir même lorsque ça devient pressant. Je ne m'en faisait donc pas pour cette envie bien qu'elle devenait particulièrement difficile à contenir. Je pressais maintenant mon sexe avec la main de façon régulière pour fermer le petit trou. Alors qu'il ne me restait plus que trente minutes de route l'envie de pipi était passée de pressante à impérieuse. Je ne me souvenais pas avoir eu autant envie. J'avais la main collée sur mon sexe maintenant en permanance et je me tortillais pour mieux retenir cette envie. Le bas de mon ventre faisait mal tellement le pipi voulait sortir. J'étais presque arrivée chez moi quand j'ai senti quelques gouttes de pipi venir mouiller ma culotte, mais il était hors de question de perdre la bataille si près du but. Une fois dans le parking j'ai réussi tant bien que mal à sortir de la voiture, à prendre tous mes sacs et à marcher le plus rapidement possible vers mon appartement. J'étais presque arrivée lorsque j'ai senti un premier jet qui est sorti tout seul. J'ai laissé tomber tout ce que j'avais dans les mains pour pouvoir les presser très fort contre mon sexe et arrêter le déluge qui ne demandait qu'à sortir. Je me suis accroupie par terre quelques instants, j'ai pris une grande inspiration et je me suis relevée. J'ai finalement atteint la porte de mon appartement, j'y suis entrée en vitesse en me tortillant sans arrêt. J'ai courru jusqu'à la toilette mais en voyant la porte ma vessie n'a pas pu attendre plus longtemps et elle a commencé à se vider à travers mon pentalon que j'ai baissé en catastrophe tout en pissant pour finir le tout assise sur la toilette. J'avais la culotte trempée, il y en avait aussi dans mon pentalon mais j'avais au moins réussi à me rendre jusqu'à la toilette. J'ai continué à pisser longtemps, quel soulagement ! Je ne m'étais jamais retenue autant, ça m'a vraiment fait du bien de me libérer ainsi.

Quand des toilettes sont condamnées...

Cette petite aventure s'est déroulée sur une aire de repos d'une autoroute en Allemagne. Nous étions arrêtés pour un peu se reposer et également faire notre pipi qui commencait à devenir urgent. Le bloc sanitaire a un côté hommes et un côté femmes mais la grille d'accès du côté femmes était fermée pour cause d'entretien. Conclusion : les femmes désirant satisfaire aussi un besoin urgent devaient aller côté hommes où aller se dissimuler dans les buissons, mais vu le peu de végétation à cette période (début avril), l'écran de protection n'était pas très efficace. Pour nous pas de problèmes, je rentre côté hommes avec mon mari et ma fille aînée, il y avait trois urinoirs, deux étaient occupés par des hommes, la seule toilette occupée également et une femme attendant son tour devant la porte. Les deux places urinoirs se libèrent, et nous nous avançons avec mon mari vers les urinoirs. Etant en pantalon, on dégraffe ma fille et moi notre ceinture, on baisse le pantalon de quelques centimètres, on baisse le devant de notre petite culotte juste pour y glisser notre petit accessoire bien pratique, et hop, on se met à lacher un joli jet assez puissant en émetant un petit sifflement... Sur cet entrefait,l a toilette s'était libérée et la femme attendant son tour y était entrée... Elle nous avait regardé assez surprise, ne connaissant sans doute pas notre petite technique. Nous étions en pleine vidange quand on entend des pas rapides et puis une exclamation, et trois jeunes allemandes qui rentrent coté hommes. Trois jeunes femmes, apparemment très très pressées de devoir faire pipi, deux se tenaient le minou avec une main, répétant sans cesse : "Mon dieu non, mon dieu non, pas à la culotte, pas à la culotte !" Découvrant la toilette occupée et nous voyant finir avec plaisir notre vidange dans les urinoirs, elles n'en pouvaient vraiment plus, dansant sur place tout en se tenant... mon mari se retirait juste de son urinoir et les comprenant, ma fille et moi ayant aussi fini, on se retire de l'urinoir et on referme notre pantalon pour leur laisser la place si elles le désirent. Une fille des plus pressées en pantalon n'y tenant plus s'avance à ma place, se retourne dos au mur, baisse pantalon et petite culotte et se penchant en avant essaie de positionner au mieux son derrière dans l'urinoir et commence dans la seconde qui suit un pipi puissant et intense en s'exclamant : "Oh ! Mein God !" Sa copine qui portait une petite jupe la voyant s'exclame tout à coup : "Oh nein ! Nein !" Je comprenais qu'elle venait de ne plus se contrôler et commencait à faire pipi dans sa culotte, et en un éclair elle relève sa jupe, laissant apparaître son collant de laine où l'on devinait une tâche sombre dans l'entrejambe, et baissant collant et petite culotte à mi-cuisse, elle s'accroupit un peu au côté de sa copine faisant pipi dans l'urinoir dans la place juste entre les deux urinoirs et se met à lacher un puissant jet de pipi bien clair qui frappe le sol avec violence éclaboussant de tous les côtés ! La dernière fille en pantalon elle aussi, dansant devant la porte de la toilette, avait ouvert son pantalon et l'avait déjà baissé à mi-cuisse, et avait une main à l'élastique de sa petite culotte et l'autre à son entrejambe, et s'apprêtait à tout baisser et faire par terre comme ses copines quand la porte s'ouvre enfin... Elle a vraiment bousculé la femme qui voulait sortir, n'a pas pris la peine de fermer la porte et s'est mise à pisser sur le sol devant la toilette avant de se positionner au dessus du pot et de finir sa vidange dedans... La femme qui sortait des toilettes était comme tétanisée sur place, elle n'en croyait pas ses yeux de voir pareille scène... Nous sommes restées également un moment, et quand elles eurent fini de faire pipi, se reculottant et constatant les dégats pour la femme en jupe, elles dirent : "Excusez-nous, nous sommes désolées, mais nous n'en pouvions vraiment plus, depuis le temps que nous demandions au chauffeur pour s'arrêter..." Dehors sur le parking stationnait en effet un petit mini-bus, mais curieusement, seulement ces trois passagères étaient sorties pour satisfaire une envie pressante...

Pour moi c'est pareil

Lorsque l'envie se fait sentir et que je m'approche des toilettes l'envie est de plus en plus pressante. C'est à partir du moment où je me met à chercher les toilettes que l'envie s'accélère, à tel point qu'il m'arrive de ne plus me contrôler au moment où je baisse ma culotte et que je la mouille.
Maintenant lorsque je m'absente pour un bon moment j'anticipe et je ne mets plus de culotte.
Lorsque je me lave les mains aussi, l'envie de pipi arrive très vite.

Pour moi c'est pareil

Lorsque l'envie se fait sentir et que je m'approche des toilettes l'envie est de plus en plus pressante. C'est à partir du moment où je me met à chercher des toilettes que l'envie s'accélère, à tel point qu'il m'arrive de ne plus me contrôler au moment où je baisse ma culotte et que je la mouille.

Maintenant lorsque je m'absente pour un bon moment j'anticipe et je ne mets plus de culotte.

Lorsque je me lave les mains aussi, l'envie de pipi arrive très vite.

Un abri bus peut aussi servir à autre chose...

Ceci remonte à quelques années, j'avais seize ans à l'époque, et une des premières belles journées d'avril, j'étais allée aux cours en mini jupe (une nouvelle genre écossaise plissée). J'étais heureuse de la porter pour la première fois et de la montrer aux copines et copains de l'époque. J'avais mis ma petite culotte bien sûr et aussi un panty, malgré que maman ne nous ai jamais conseillé de porter ce type de vêtement en jupe vu la plus grande difficulté en cas de pipi urgent... Mais quand on est jeune et insouciante, on n'écoute pas toujours les conseils des plus anciens ! Je ne sais pas si j'avais bu un peu plus en raison du beau temps, mais à la fin des cours d'après-midi, j'avais une de ces envies de faire pipi, mais une de ces envies, je ne vous dis pas ! Comme les toilettes de l'école n'étaient pas des plus nettes, je les utilisais en cas de vraie urgence, d'ailleurs sur le temps de midi je faisais mon pipi dans des buissons du jardin de l'école... Ne parvenant pas à aller faire pipi discrètement dans les buissons après les cours, je quittais l'école pensant savoir tenir jusque la maison. Mais sur la route pour prendre le bus, je réalisais que ce serait mission impossible ! J'imaginais alors faire debout au dessus d'un avaloir d'égoût dans une ruelle, mais je me rendais vite compte que mon panty ne me facilitait pas la tâche ! Ah, si j'avais écouté maman je me dis alors ! Je pensais pisser dans ma culotte et mon panty debout jambes écartées, mais dès le début de ma tentative, sentant le pipi commencer à couler dans mes jambes à cause de mon panty, j'arrêtais vite ! Très frustrée de ne pouvoir me soulager, je me rendais vers mon arret de bus, et avant d' arriver, je passe devant un arret bus d'une autre ligne sans personne à l'intérieur ! Et un banc avec fond de siège ajouré en plus ! Un vrai cadeau pour une fille dans un état désespéré comme moi ! Je me suis donc assise, j'ai pris le soin de relever le derrière da ma mini jupe délicatement, baisser mon panty et ma petite culotte discrètement juste ce qu'il fallait pour coller mon sexe sur le siège, placer mon imper et mon sac sur mes jambes pour faire le meilleur écran possible, et enfin pouvoir rendre à ma vessie une taille normale ! Je pissais comme une vache, pensant ne jamais savoir arrêter tellement j'avais envie ! Heureusement que personne n'est arrivé, car je me voyais incapable de stopper ! Quand j'ai enfin eu fini, il y avait une immense flaque de pipi sous moi, et de petits ruisseaux qui coulaient dans toutes les directions ! J'ai vite remis mes vêtements en place et suis partie sans demander mon reste à mon arrêt de bus. Mais quel plaisir ! Comme je me sentais mieux à présent !

Je crois bien que si je n'avais pas fait cela, j'aurais fait pipi à ma culotte sur mon siège dans le bus !

Pipi en string sur un parking

Hier en fin d'après-midi après mon travail je suis allé faire quelques courses. Je n'avais pas fait pipi en quittant le travail, - je n'en avais pas envie - et je devais faire quelques magasins. En quittant l'avant dernier magasin, j'ai senti une petite envie de pipi, mais ça pouvait aller, et en plus c'était un magasin sans toilettes. Quand j'étais sur le parking au dernier magasin, j'ai failli faire pipi entre deux voitures ou derrière les buissons de l'abri caddies (il n'y a pas non plus de toilettes clients à ce magasin !) mais ce n'était pas possible car l'endroit n'était pas assez calme. Je suis donc rentrée dans le magasin avec le caddy. J'ai dû aller dans une chambre froide. Et là, au contact du froid, ça a été terrible, j'ai cru que j'allais tout lâcher sur place ! J'ai dû mettre ma main entre mes jambes et pincer mon petit trou sous ma jupe pour bien le fermer et empêcher le pipi de partir tout seul ! Heureusement, il n'y avait personne autour de moi à ce moment ! J'ai vite fini mes courses, j'avais de plus en plus envie et suis allé aux caisses... C'était l'heure de la foule et il y avait du monde à toutes les caisses ! En attendant mon tour, je croisais mes jambes, je m'appuyais sur mon caddy, et je passais ma main discrètement sous ma mini-jupe pour pincer l'ouverture de mon petit trou à pipi... J'avais un de ces mal au ventre ! Enfin c'est mon tour, on me donne le montant à payer. J'étais tellement stressée de peur de me mettre à tout lâcher à la caisse que je me trompe dans mon code de carte, je dois recommencer... Enfin c'est bon et je peux sortir... A la porte, horreur ! Je sens mo minou devenir humide, les premières gouttes sortent toutes seules, j'ai vite mis ma main devant ma jupe et j'ai appuyé très fort, tout en poussant mon caddy avec l'autre main... Ouf, j'ai su arrêter la fuite ! Je cours vers ma voiture avec ma main toujours sur mon minou, je l'ouvre avec ma télécommande, j'ouvre ma portière avant pour déposer mon sac, et là je n'avais donc plus ma main qui pincait ma petite ouverture... Le pipi a commencé à couler tout seul ! Je contractais tous mes muscles du bas de mon petit ventre, mais j'arrivais pas à arrêter de faire pipi ! En regardant autour il n'y avait personne, j'ai laissé ma portière ouverte, j'ai mis mon caddy devant moi et je me suis vite accroupie entre le caddy et ma portière.... Heureusement je portais une mini-jupe, pas de panty, j'ai simplement un peu relevé le derrière de ma mini-jupe pour pas la mouiller et comme j'avais un string, j'ai fait pipi à travers... J'ai pissé fort longtemps, la petite bande de tissu du fond du string faisait couler le pipi sur mes deux cuisses, j'en mettais partout, mais comme ça faisait du bien de me vider ! Quand j'ai eu enfin fini, j'ai essuyé mes jambes et chevilles, retiré mon string que j'ai mis à côté des pédales, j'ai mis les courses dans le coffre et j'ai quitté le parking pour rentrer à la maison. J'étais sans petite culotte, mais comme j'étais bien et plus stressée de devoir tenir ma vessie pleine à exploser ! Si je n'avais pas fait pipi sur le parking, je ne pense pas que j'aurai pu arriver au sec à la maison !

1 - Avez-vous déjà fait pipi en extérieur (en dehors des toilettes) ? Oui souvent, voire même très souvent.

2 - Si vous avez répondu oui à la question 1 : à quel endroit précisément avez-vous fait pipi ? Partout lol, dans la rue, à la piscine, dans les bois...

3 - Dans quelles circonstances avez-vous fait pipi dehors ? J'avais envie de faire pipi donc je me suis soulagée.

4 - Arrive t-il que vous soyez obligée de vous retenir de faire pipi ? Si oui, pourquoi ? Oui par exemple quand je suis au boulot avec plein de monde je suis obligée...

5 - Vous souvenez-vous de la fois où vous avez eu le plus envie de votre vie ? (Où cela se passait et ce que vous avez fait). Oui c'était la première fois que je me suis pissé vraiment dessus... C'était un soir en rentrant du boulot, très occupée tout l'apres-midi j'étais sure de pouvoir rentrer, mais j'ai croisé quelqu'un on a discuté un peu et arrivée chez moi ma vessie a littéralement laché...

6 - Avez-vous déjà surpris quelqu'un en train de faire pipi dans la rue ou ailleurs ? Quelle a été sa réaction ? Oui je dois avouer que chez les femmes il est fréquent de se retrouver dans des coins pour y créer des wc de secours et donc de voir des femmes entrain de se soulager sous ses yeux.

7 - Quel est l'endroit le plus insolite où vous ayez fait pipi ? C'est une bonne question... J'ai fait à tellement d'endroits.

8 - Quand vous êtes dans des toilettes publiques, comment évitez-vous de vous "salir" ou d'effleurer la cuvette ? Soit je mets du papier wc tout autour de la cuvette ou soit je me mets accroupie sur la cuvette en faisant attention de ne pas glisser...

9 - Le matin, êtes-vous plutôt :

- pipi goutte à goutte ;

- pipi copieux et sonore ;

- fontaine intarissable ;

- pipi saccadé et dru ? Souvent le matin, c'est bien long et bien bruyant.

10 - Est-il arrivé que vous ayez l'impression que vous ne pourriez en finir tellement vous aviez envie ? Oui et j'ai remarqué que c'est souvent les pipi quand j'ai beaucoup bu - pas obligatoirement de l'alcool - qui sont les plus longs...

11 - En cas de grosse envie :

- vous ne dépassez guère trente secondes non stop ;
- vous atteignez facilement la minute ;
- vous dépassez facilement la minute ;
- vous pouvez atteindre les deux minutes aisément. Une fois je me suis chronométrée à 1 mn 06 s en ayant une belle envie.

12 - Avez-vous déjà entendu une femme faire pipi très longuement ? Si oui, qui était-ce et à quelle occasion ? Non jamais.

13 - Pour vous, faire pipi c'est :

- un geste naturel spontané donc irrefléchi ;

- un moment de plaisir où l'on se soulage ;

- l'occasion de réfléchir à tout et n'importe quoi ;

- un moment où vous vous "lachez" ? Souvent c'est le moment où je me lache après m'être retenue...

14 - Avez-vous déjà été surprise en train de faire pipi ? Quelle a été votre réaction ? Oui il m'arrive d'être surprise par d'autre femmes en train de faire pipi mais cela ne me gêne pas. Le plus gros souvenir concernant le fait de m'être faite surprendre c'était a la piscine. C'est une longue histoire. Je suis arrivée à la piscine avec une grosse envie, je suis rentrée dans une cabine me changer, j'ai enfilé mon maillot de bain qui malheuresement était un peu petit, ce qui faisait qu'il appuyait sur la vessie et le ventre. Je suis vite sortie des vestiaires et j'ai mis mes affaires dans un casier. J'ai couru vers les toilettes et là celle des filles étaient fermées. Je suis donc allée dans celles des mecs, là je suis rentrée dans une cabine, il n'y avais pas de cuvette, uniquement un trou un peu comme dans les toilettes à la turque. Je commence à enlever mes bretelles et descendre mon maillot. Quand mon maillot est arrivé sous mes seins, ma vessie s'est litteralement vidée, je me suis donc accroupie et j'ai pissé. Et à ce moment là, un mec a ouvert la porte - que j'avais oublié de fermer dans la précipitation - et là, il m'a vue seins nus pissant à travers mon maillot. Il est resté bouche bée pendant deux secondes, et a refermé en disant : "Pardon, excusez-moi".

15 - Cela vous gêne t-il que l'on puisse vous entendre faire pipi ? Dans l'affirmative, quelle(s) précaution(s) prenez-vous afin d'éviter cela ? Non cela ne me dérange pas du tout.

16 - Avez-vous déjà vu une amie, un ami ou votre conjoint faire pipi ? Si oui, trouvez-vous cela "naturel" ou "choquant" ? Oui dernièrement j'ai vu une amie se soulager dans le lavabo à côté de moi pendant que je faisais aux wc. Et à part ça j'ai vu mon ex faire souvent... Je trouve ça tout à fait naturel.

17 - Avez-vous déjà fait pipi devant quelqu'un ? Oui, il m'arrivait régulièrement de faire ça devant mon ex.

18 - Connaissez-vous des "trucs", des "endroits" pour faire pipi à l'abri des regards quand une envie vous prend ?  Bah des endroits comme toutes les femmes, dans les parkings entre les voitures, derrière les haies de buissons...

19 - Avez-vous déjà ressenti une "jouissance" en faisant pipi après vous être très longtemps retenue ? Non.

20 - Si oui, avez-vous déja fait expres de vous retenir pour ensuite avoir du plaisir en faisant pipi ? Dans quelles circonstances ?

21 - A partir du moment où vous avez envie de faire pipi, combien de temps pouvez-vous vous retenir ? Ca dépend lol, il m'arrive de tenir une journée sans aller aux wc.

22 - Avez-vous déjà involontairement fait pipi dans votre culotte ? La toute première fois comme cité plus haut.

23 - Portez-vous plutôt des bas ou des collants ? Collants.

24 - Quel âge avez-vous ? 29 ans...

1 - Quel était l'état des toilettes de vos écoles :

- propre ;

- acceptable ;

- limite ;

- sale ;

- repoussant ? Si l'on parle de celles du lycée, on dit limite voire très très limite.

2 - Utilisiez-vous les toilettes scolaires ? Et oui, malheureusement parfois il le fallait bien.

3 - Lorsque vous aviez une envie pressante, tentiez-vous de vous soulager ou bien de vous retenir au maximum ? Cela dépendait du lieu et de l'horaire, mais j'essayais de me retenir au maximum.

4 - Vos copines vous parlaient-elles parfois des toilettes ? Vous confiaient-elles leurs envies de faire pipi ? Oui, on en parlait parfois, surtout à midi au moment d'aller manger c'était "Attendez moi là, faut trop que j'aille pisser là".

5 - Si elles vous confiaient leurs envies, allaient-elles aux toilettes ou bien préfèraient-elles se retenir ? Si c'était lors des récréations, on était obligées d'aller aux wc mais si c'était à la fin des cours du matin ou du soir, on se retenait jusqu'à rentrer chez nous ou alors faire en dehors du lycée.

6 - En cas d'envie très urgente mais en présence de toilettes peu accueillantes, que faisiez-vous :

- vous vous reteniez coûte que coûte ;

- vous utilisiez les toilettes des professeurs ;

- vous trouviez une alternative pour vous soulager (jardin, allée, sceau, ...). Précisez ;

- vous attendiez la sortie pour faire à l'extérieur (café, magasin, parc public, gare, ruelle, ...) ? Souvent on allait en dehors du lycée et on faisait soit entre les voitures sur le parking ou alors derrière des haies d'arbustes.

7 - Vos copines trouvaient-elles également des toilettes "de secours" ? Si oui, avez-vous parfois assisté à la scène ? Oui les mêmes que moi. Et oui j'ai déjà assisté à la scène afin de faire preuve d'une solidarité féminine et faire le guet.

8 - Avez-vous déjà fait dans votre culotte à l'école ? Si oui, où ? (classe, couloir, devant la porte des toilettes, dans les toilettes en commencant à vous déculotter, ...). Il m'arrivait de faire quelques gouttes ou que des jets s'échappent dans ma culotte, le plus souvent en courant aux wc ou voire même en me déculottant.

9 - Cette mésaventure est-elle aussi arrivée à vos copines ? Si oui, racontez. Oui, je sais qu'une fois une copine a fait quelques jets dans sa culotte en sortant du cours, on pouvait la suivre à la trâce.

10 - Avez-vous également des souvenirs concernant vous ou vos copines lors de voyages scolaires, visites, séances de cinéma ou de théâtre, ... ? Oui le pire était lors d'un retour de randonnée, après avoir marché longuement au bord d'une route, on est remonté dans le bus. Et là, beaucoup de monde attendait pour les wc, et je sais que moi j'ai fait quelques gouttes et qu'une camarade de classe s'est carrément fait dessus.