Ma sœur aînée a joué assez longtemps dans une équipe de volley et j'allais la supporter assez régulièrement en déplacement avec des copains et copines. La petite aventure date de quelques années, je devais avoir presque dix-huit ans à l'époque. On était allé avec un bus et j'étais avec deux filles et quatre garçons. Vous imaginer que nous avions bu quelques consommations durant et après le match, d'autant que l'équipe de ma sœur avait gagné ! Arrive le moment du retour… Voulant tous aller faire pipi avant de monter dans le bus, une belle file et des toilettes plus très nettes ! On sort, les garçons ont vite trouvé, eux, un mur et le tour est joué. Pour nous les filles, il faut un peu chercher… mais qui cherche trouve, une remorque garée dans un endroit assez sombre conviendra parfaitement ! On y va, on passe derrière, l'endroit servait déjà ! On n'était pas les seules dans le cas ! Deux filles accroupies en pleine action ! Elles regardent un peu gênées, on se sourit, et je dis de suite: on vient ici pour la même chose, finissez à votre aise ! Les filles devaient être loin dans leur vidange, à peine six ou sept secondes après elles se relevaient quasi ensemble et remontaient vite leurs vêtements sans s'essuyer… On y va pour ne pas faire attendre les autres disent-elles et elles s'éclipsent. A la vue de leur mare de pipi à chacune, leur vessie était bien remplie et c'était certainement une grande urgence ! J'avais déjà déboutonné mon pantalon, baissés jeans et petite culotte et était accroupie, je m'apprêtais à ouvrir les vannes quand je vois mes deux amies encore debout sans rien faire. Et bien, grouillez-vous leur dis-je, on va finir par se faire remarquer des autres si vous traînez comme ça ! Ces deux filles étaient assez timides, elles devaient pisser comme moi, mais n'osaient visiblement pas s'y mettre ! C'est qu'on n'est pas habituées en dehors d'un toilette me disent elles ! Ben alors, faites comme moi, on est toutes pareilles! La plus hardie se déculotte, s'accroupit, et après un moment dit : "Ca ne vient pas, pourtant je dois faire ! Et pas un petit peu!" Moi je pissais copieusement depuis un bon bout de temps, je lui dit : "Ecoute mon petit bruit, pense à l'eau qui coule, tu sens que ça pousse et que ça descend, ça va sortir, je lui fait un petit "psssiiiiiittttt" pour l'aider, quand tout à coup, c'est parti qu'elle nous dit… que ca fait du bien quand on a tenu longtemps ! Et pour pisser, elle y allait, un vrai geyser incolore qui atterrissait sur le sol bien loin devant elle en éclaboussant de toute part tellement elle avait de la pression ! J'avais fini, j'ai bientôt fini elle me dit, je m'essuie, lui passe un papier pour qu'elle fasse de même."Merci" me dit-elle.Mais son autre copine était toujours debout sans bouger. Dépêche toi lui a-t-on dit ! Non, j'ai trop peur ! Tu n'as pas envie ? Un peu, mais j'ose pas ! On va te laisser seule si tu es gênée lui dis-je, on va t'attendre à côté et te prévenir en cas d'alerte ! L'autre fille avait fini, se reculottait et lui dit : "Vas-y, c'est pas si terrible, tu peux pas savoir comme je suis mieux maintenant !". Non, d'ailleurs je n'ai pas si envie que vous répond t-elle. A toi de savoir lui dis-je, mais songe qu'on en a pour deux petites heures jusqu'à chez nous ! Et c'est un vieux bus sans toilettes ! Et on part vers le bus, sa copine lui disant : "Tu vas regretter ta conduite stupide, c'est moi qui te le dit !". On rejoins le bus, on démarre et en route pour la maison ! La fille qui n'avait pas pissé était à mes côtés, je la voyais croiser ses jambes, bouger sur son siège par moment... Elle avait envie de faire mais se retenait stoïquement sans rien dire ! Il faisait calme dans le bus, les garçons dormaient un peu, sans doute du à l'heure tardive et la bière consommée après la victoire, les filles étaient calmes aussi. Deux filles étaient derrière nous, on roulait depuis une bonne heure, quand une dit : "J'ai encore envie de pisser, je crois avoir bu un peu trop de bière...". "Moi aussi, dit son amie, j'espère que les garçons vont demander un arrêt, car j'oserai pas demander ! On a encore roulé une dizaine de minutes, je commençais aussi à avoir envie, je voyais que ma copine d'à côté était vraiment dans un état avancé, elle avait mis sa main entre ses jambes, mon autre copine dans la rangée d'à côté avait aussi sa main entre ses jambes. Elle m'a sourit en disant: il faut que j'y aille encore malgré que j'ai fait juste avant le départ, les deux filles derrière nous nous disent: et nous aussi, si on ne s'arrête pas bientôt, il va y avoir des catastrophes dans le bus ! Deux garçons devant nous se réveillent, ils demandent où on est, on leur dit, et après très courte réflexion et jugeant ce qu'il y avait encore à parcourir, l'un dit : je vais demander au chauffeur de s'arrêter pour aller pisser ! Sauvées nous disons tout bas entre filles, notre calvaire est bientôt fini ! Le garçon était parti trouver le chauffeur, il revient, et dit à son copain : le chauffeur a dit qu'il s'arrêterait dès que possible sur un parking d'un établissement où, si une fille a aussi envie, elle pourra y aller également ! Au moins un homme pas macho ce chauffeur ! Un homme autour de la cinquantaine, mais vraiment chouette de penser à nous aussi les filles ! Et quelques minutes après, le car ralentit et s'arrête. Cinq minutes d'arrêt pipi pour ceux qui veulent dit le chauffeur, pour les dames et demoiselles il y a un bar-taverne au bout du parking il rajoute ! Merci beaucoup clame tout le bus, ça commençait à devenir nécessaire disent beaucoup de passagers ! Nous étions tous des jeunes, de quinze à trente ans maximum, un bus d'une quarantaine de place, quasi complet, vingt-cinq ou trente garçons et dix à quinze filles disons. J'avais entre temps remarquée ma voisine très mal à son aise, et je l'avais vue deux ou trois fois se tenir très fort, se pincer les lèvres, et pousser un soupir étouffé prononcé. Et la dernière fois, elle avait passé plusieurs fois sa main libre à son entrejambe, l'avait portée ensuite sous son nez et avait regardé son entrejambe avec insistance... J'étais quasi certaine qu'elle venait de faire un peu pipi à sa culotte cette fois ! Mais elle ne disait mot ! Quasi tout le monde était debout pour sortir, les deux filles derrière nous se levaient et disaient grouillez vous un peu devant pour sortir, il y a urgence au fond ! J'étais debout, ma copine de la rangée d'à côté aussi, mais celle à côté de moi encore assise. Alors, qu'est-ce que tu fais demande mon autre copine ? Tu n'as vraiment pas envie où quoi ? Oh que si ! Mais j'attends que ça se dégage pour sortir sans rester debout longtemps ! En voilà une idée dit mon autre copine ! Ben vous comprenez, vous savez... mais quoi enfin je demande ! Ben, je viens de me mouiller un peu il y a une minute, alors regardez discrètement mon derrière si vous voulez ! Les deux filles de derrière étaient devant nous, on était les dernières, on regarde... ça va, on ne voit quasi rien, il faut le savoir on lui répond !Et c'était vrai, juste une petite tâche sombre à l'entrejambe, mais c'était un jean foncé, c'était quasi invisible, et ses fesses étaient encore sèches. Nous voici hors du bus, les garçons ne cherchaient pas plus loin, ils étaient en une rangée tous en pleine action le long de l'allée devant des arbustes, quand à nous les filles, on courrait toutes vers le bar-taverne... certaines, dont ma copine qui s'était un peu mouillée se tenaient l'entrejambe en courant.... c'est curieux comme on perd toute pudeur en ces moments-là, et en plus quand on est uniquement entre filles ! Notre copine avait manifestement des difficultés de courir, elle avait sa main à son sexe bien sûr, mais devait s'arrêter régulièrement vu son état avancé... c'est fou ce qu'une petit centaine de mètres peuvent paraître long dans ces cas ! J'arrive dans les dernières, et plusieurs filles font demi-tour en disant : c'est pas vrai, c'est fermé ! Ah, si on pouvait être un garçon comme ce serait facile ! Les deux filles derrière nous, visiblement très très pressées disent : on s'en fout, on va derrière et on pissera où on peut ! N'importe où, n'importe comment, mais pas à notre culotte ! Les voilà parties sur le côté pour se rendre derrière, je les suis avec ma copine qui avait osé pisser à mes côtés derrière la remorque, et voilà que les filles qui avaient commencé à faire demi-tour se ravisent et nous suivent comme une ligne de petits canards derrière leur mère ! Il suffit d'une fille qui a plus de courage pour que les autres osent également ! J'arrive derrière avec ma copine, il y avait une assez grande cour pavée, pas une âme qui vive, notre autre copine suivait bien péniblement, les deux filles derrière nous, arrivées les premières étaient déjà accroupies dos à un mur et avaient déjà ouvert leur robinet à fond, on entendait un sifflement très prononcé, et l'une dit : oh mon dieu, que ça fait du bien ! Jamais je n'aurais tenu jusqu'à l'arrivée. Je les laisse à leur aise et je vais à quelques mètres d'elles à côté des bombonnes de gaz, ma copine est à mes côtés, on se déculotte et on y va également... cette fois-ci, elle n'est plus bloquée et ça part tout seul, un beau petit torrent s'écoule entre ses jambes, tout comme moi d'ailleurs ! Plusieurs autres filles étaient arrivées, chacune y allant de sa technique. Deux filles, les plus âgées du groupe, en jupe assez longue, étaient debout, avaient remonté leur jupe autour de leur taille, écarté leur jambes et mis leur fond de petite culotte sur le côté et envoyaient devant elle un fameux geyser de pipi qui éclaboussait de tous côtés en touchant le sol et mouillait leurs chevilles et chaussures ! Une fille avait baissé son pantalon à mi-cuisse et s'était assise sur une marche devant une porte, une autre s'était appuyée le bas du dos contre le mur pour avoir un appui, une autre avait trouvé une position des plus confortables en s'asseyant sur le bord d'un grand bac à fleur et pissait un vrai torrent sous elle, quand à notre deuxième copine qui n'avait pas osé pisser avec nous derrière la remorque avant le départ, elle arrive enfin alors que toutes les autres pissaient en laissant échapper des petits commentaires divers : comme ça fait du bien ! Heureusement qu'on s'est arrêtées, je crois que ça aurait été dur d'arriver au sec à destination, oh dis donc, je pisse comme une vache moi, ou simplement quelques soupirs qui résumaient bien leur état ! Notre copine nous ayant repéré, elle vient à côté de moi, elle dansait sur place avec ses jambes croisées et serrées très fort, une main vraiment plaquée et appuyant de toute ses forces sur son sexe, ouvrant tant bien que mal sa ceinture, dégrafant son pantalon et ouvrant sa tirette avec sa seule main encore disponible, pas facile, je vous jure, elle n'en pouvait plus,disant durant tout le temps de la manœuvre : ooohhhhh, que ça presse, je peux plus, je peux plus, ça coule déjà un peu dans mes jambes, viiiite, viiiite,pas facile de baisser son jean non plus dans de telles conditions, d'autant que c'était un jean très moulant....ce qui n'est pas rapide à baisser non plus ! Dans sa manœuvre, elle parvient à baisser son jean mais pas sa petite culotte ! Mais malheureusement pour elle, c'était un peu tard, on voyait un goutte à goutte assez rapide couler du fond de sa petite culotte, elle ne parvenait plus à tenir encore deux ou trois secondes ! Elle s'est vite accroupie, n'a pas eu le temps de s'accroupir au ras du sol que c'était parti pour du bon cette fois, elle pissait comme une enragée à travers son fond de petite culotte ! Et le mieux, c'est qu'elle ne s'en est pas rendu compte de suite ! C'est au bout de plus de dix secondes d'une vraie lance à incendie ouverte à fond qu'elle s'en rend compte et dit : et merde, j'ai pas baissé mon slip, je pisse dedans ! Tant pis, je ne pourrai pas arrêter, je finis dedans maintenant ! Ça ne m'est encore jamais arrivé un plan pareil ! Les filles finissaient de pisser les une après les autres, la plupart s'essuyaient, les deux en jupes juraient d'en avoir mis plein sur leurs souliers et bas des jambes, les filles assises derrière nous tâtant leur fond de petite culotte avouaient:on a un peu fait quelques gouttes, heureusement qu'on avait un protège-slip ! Et elles l'enlevèrent avant de se rhabiller. C'est fou ce que des filles pressées peuvent perdre quelques gouttes, car cinq ou six filles ont certainement enlevé leur protège-slip ou essuyé leur fond de petite culotte avec du papier. Notre pauvre copine avait aussi enfin fini, elle était la dernière, beaucoup de filles retournaient déjà vers le bus, elle contemplait les dégâts en se reculottant: petite culotte trempée qu'elle a essuyé avec beaucoup de papier, fond de jeans mouillé qu'elle a essuyé aussi, ses jambes, un petit filet humide à l'intérieur jusqu'à mi-cuisses d'un côté et jusqu'au genoux de l'autre... Maintenant, malgré que le tissu était d'une teinte sombre, on pouvait deviner l'accident si elle se trouvait à la lumière. Heureusement il faisait noir à l'extérieur, et elle a gagné sa place entre nous deux pour cacher son accident. On est reparti et après une heure, avec la chaleur de son corps, ses jambes étaient quasi sec, juste son fond et un peu ses fesses à cause de son fond de culotte trempé ! Elle est descendue à la fin entre nous deux, nous a fait la bise et a couru vers la voiture de ses parents qui l'attendaient déjà. Le lendemain, elle nous a dit qu'elle avait de suite couru à la salle de bain une fois chez elle, et avait de suite mis ses vêtements dans la machine avant de prendre une douche. Ses parents n'avaient rien vu et elle nous a demandé de ne rien dire. Depuis ce jour, elle a été enhardie et n'a plus eu peur de pisser en dehors d'un toilette.