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Le blog pause pipi
5 septembre 2008

Une anecdote de Krys...

Vécu dans des toilettes publiques

Dernièrement je me suis rendue en famille - mon mari, ma fille aînée et moi - en Angleterre dans notre famille et on en a profité pour nous rendre à Londres. Une soirée avant de regagner notre logement nous nous rendions vers les transports en commun (car c'est très coûteux de se déplacer en voiture personnelle dans Londres) et nous avions tous envie de faire pipi. Nous étions assez proches de toilettes publiques, d'un côté la porte pour les femmes et de l'autre celle des hommes. Côté femmes, une file d'attente impressionnante sur la rue, et côté hommes, le désert... Ma fille et moi décidons donc de suivre mon mari, on entre ensemble, une pièce avec le long du mur une dizaine de place d'urinoirs et deux toilettes. Il n'y avait que deux hommes dans le même coin occupés à se soulager. Nous étions à deux en pantalons, ayant toujours avec nous notre petit accessoire, nous prenons place à deux avec mon mari en face d'un urinoir, ma fille, mon mari au milieu et moi de l'autre côté à l'autre extrémité de la ligne d'urinoirs. Nous étions tous occupés à nous soulager lorsqu'on entend des pas pressés qui entrent dans le local. Un groupe de jeunes filles, visiblement très pressées de satisfaire un besoin naturel, venaient d'entrer aussi, se sentant incapables d'attendre leur tour côté femmes. C'était des jeunes allemandes, elles étaient cinq au total. Les deux plus rapides s'engouffrent dans les toilettes, les trois autres trépignent devant la porte en dansant frénétiquement sur place avec leur mains entre leurs jambes. Deux filles étaient en jupe et une en jeans. Une fille en jupe répétait sans cesse : "Vite, vite, je ne tiens plus, je vais me faire dessus, vite...", sa copine en jeans se pincait les lèvres en gesticulant et disait : "Oooooh ! Oooouuuuh !". A un moment, elle dit : "Oh non, je fais dans ma culotte !" Nous ayant remarqués à l'urinoir, elle se précipite à côté de moi, ouvre et déboutonne son jeans, le baisse sur ses genoux avec sa petite culotte, découvrant un joli sexe bien taillé, se retourne dos à l'urinoir, se met en position "hight-squatting" et lâche de suite un torrent de pipi très puissant en sifflant très fort, tout en émettant un grand cri de soulagement. Sa copine en jupe la voyant prend place à ses côtés, mais pour elle la manoeuvre est plus aisée, elle se positionne face au mur, relève sa jupe, écarte ses jambes, met le fond de sa petite culotte sur le côté et commence un déluge aussi impressionnant que sa copine... Sur cet entrefait, une fille dans les toilettes sort, l'autre fille en jupe y entre en la bousculant, ne prends pas le temps de refermer la porte, mais se met debout jambes écartées au-dessus de la cuvette, jupe relevée à la taille et trop tard, elle se met à pisser à travers le fond de sa petite culotte. L'autre fille sort alors des toilettes, elles regardent toutes les deux leurs amies en plaine action, éclatent de rire, nous trois aussi, de même que les deux hommes anglais stupéfaits d'assister à ce spectacle ! Une fois toutes soulagées, c'est l'heure de constater les dégats : les deux filles les plus rapides à s'engouffrer dans les wc n'ont apparemment pas eu d'accidents, la fille en jupe qui s'est soulagée à l'urinoir également, elles ont contrôlé leur petit trou à pipi jusqu'au bout, quand aux deux autres filles, celle en jupe qui a uriné dans les toilettes, une fois son affaire terminée, elle enlève sa petite culotte, essuie entre ses cuisses et son sexe, rebaisse sa jupe et se dirige vers les lavabos pour y rincer et tordre sa petite culotte qu'elle met ensuite dans son sac. Et pour la fille en jeans, elle constate son fond de petite culotte mouillé et également un peu le fond de son jeans. Une copine et moi lui donnons des Kleenex, elle se rend dans un cabinet avec son jeans et sa petite culotte baissés aux genoux - imaginez la démarche - , et ferme la porte. Elle en ressort un court instant après avec sa petite culotte en main et va faire la même chose aux lavabos que son amie. Elle avait encore une petite tâche humide à son entrejambe de son jeans de la taille d'un billet de cinq euros environ. Nous avons un peu parlé avec elles dans les toilettes et en sortant, elles venaient de la région de Hanover, étaient en excursion dans la région de Londres et avaient passé la fin d'après-midi et la soirée dans des pubs, ce qui expliquait leur immense envie de devoir soulager leur vessie. Dehors d'autres de leurs amies attendaient toujours de pouvoir se soulager côté dames, mais pour elles il ne devait pas y avoir d'urgence aussi vitale !

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10 septembre 2008

Une anecdote de Martine...

Allez-y Mesdames

On en parle beaucoup et on s’en plaint. Mais... on ne fait rien pour que cela change.

Mais si… Moi Martine, j’y ai fait quelque chose. Oh... pas un exploit ! Mais quand même un petit quelque chose dont je suis fière.

L’évènement s’est passé le samedi 30 août 2008, vers 13 h 30, à la station service de Vémars-est, sur l’autoroute A1, au nord de Paris, en direction de Lille-Bruxelles.

Nous étions en jour et heure de pointe évidemment. Nous avions avec difficultés trouvé une place de parking et nous terminions, Jean-Michel et moi, nos sandwiches jambon-salade.

L’enchaînement logique des évènements voulait qu’ensuite ce soit un pipi à la station service et un café soit au comptoir soit à la machine à pièces.

Nous faufilant au travers des voitures en stationnement et en évitant celles qui cherchaient où s’arrêter, nous arrivons à la station. Depuis qu’il est interdit de fumer dans ces endroits, l’odeur y est plus supportable. Pour les toilettes ? Pas la peine de chercher les panneaux indicateurs. Une longue file d’attente de femmes en indique toujours la direction.

- Tu vois... dis-je à Jean-Michel... c’est comme d’hab. Un monde fou chez les femmes et personne chez les mecs. Quel est l’architecte sensé qui changera cela un jour ?

J’estime à environ vingt ou vingt-cinq nanas celles qui attendaient devant la porte sans compter les autres déjà dans la salle.

Côté "Hommes", la porte s’ouvrait de temps à autre pour une entrée ou une sortie.

Ras le bol. Cette fois j’étais décidée à me bouger. Je demandais à Jean-Michel, mon garde du corps habituel, de regarder si les cabines étaient complètement fermées. Il regarda et m’assura qu’elles l’étaient. Mais il y avait une dame de service qui passait la serpillière et qui éventuellement pouvait refouler les intruses.

- Bon, j’y vais… Je m’y risque… dis-je à Jean-Michel. Je t’accompagne.

Et à deux en entrant nous nous trouvons devant cette dame de couleur. Mieux valait l’aborder avant toute chose.

- Excusez-moi Madame, mais il y a un tel monde côté "Femmes". Mon mari m’accompagne… Ca ne fait rien si je fais mon pipi par ici ?

Avec un fort accent martiniquais elle me rassura :

- Mais non Mahame… C’est idicule d’attendre dans le couloi quand il y a de la place pa ici. Vous ne isquez rien. J’y suis bien toute la jounée moi ! Et je ne me suis jamais fait violer.  Mahie-Théhèse monte la garde…. dit-elle en brandissant son balai. Du moment que vous n’allez pas là-bas au fond chez les hommes, pas de poblèmes.

La salle comprenait cinq cabines fermées et derrière un mur au fond se tenaient les urinoirs masculins, ce mur évitait d’apercevoir inopinément un zizi de sortie.

Aucune des cinq cabines n’était occupée. J’avais donc même le choix.

Je pris mon temps pour me soulager. J’appréciai même particulièrement ce pipi en zone interdite. Je songeais en même temps à la tête des mecs qui m’avaient vue entrer et qui allaient me voir sortir. Un petit coup de kleenex soigneux, puis on remonte le slip et le jean et… on sort. Je comptais malgré tout sur la présence de Jean-Michel de l’autre côté de la porte. Je le vis qui revenait  de la zone "urinoirs".
J’avais trois paires d’yeux sur moi, mais je m’en moquais. Il y avait sans doutes un fantasme dans chaque tête à ce moment là.

Nous avons pris  le temps de nous laver les mains avant de sortir. Marie-Thérèse tout en promenant sa serpillière de droite à gauche renchérit :

- Mahame… dites à vos copines de veni  pa ici. C’est idicule vaiment d’attendre. Dites leu que c’est moi qui le dit. Pas de poblèmes.

En sortant je transmis le message. Mon exemple et l’invitation durent être convaincants car aussitôt trois ou quatre femmes quittèrent leur file d’attente pour entrer chez les "Hommes".

La machine à café se trouvait en bout de file. Le gobelet de café à la main, je continuais à expliquer et à inviter mes consoeurs de misère à changer de porte. Plusieurs le firent pendant que j’étais là et ce fût des entrées et sorties incessantes de femmes chez les hommes. J'avais même droit à un sourire reconnaissant à chaque sortie.

Petite anecdote comme pour "La caméra invisible" : un homme qui paraissait pressé entra précipitamment et, se trouvant devant un groupe de femmes  ressortit tout aussi vite en disant : "Oh…. excusez-moi". Puis, pris d’un doute il regarda la silhouette sur la porte, hésita, puis rentra à nouveau.

Je le vis ressortir peu après avec un sourire, presque un rire, il tint même la porte à une dame qui sortait elle aussi.

Je n’ai pas l’audace de Krys et de Hella. Mais dans de telles circonstances, il se pourrait qu’un jour je finisse par aller carrément vers les urinoirs masculins. Il m’arrive déjà de les fréquenter. Ils ne me font pas reculer quand je n’ai pas de témoin en dehors de mon "garde du corps" évidemment.

Sans être féministe outrancière et encore moins "chienne de garde" je m’élève à nouveau contre cette anomalie que l’on rencontre partout, et j’invite toutes les femmes à montrer leur frustration de cette manière.

S’il y a eu des acteurs ou actrices à cette scène qui liraient ce récit, qu’ils ou qu’elles se manifestent et donnent leur avis.

Allez… Bravo et merci Marie-Thérèse.

8 novembre 2008

Une anecdote envoyée par Hella...

Vécu au salon de coiffure dernièrement...

Dernièrement, je suis allée chez la coiffeuse. Le local dispose d'une toilette à disposition du personnel et des clientes qui donne directement dans le salon. Mais je préfère ne pas l'utiliser car l'acoustique des lieux est assez particulière !

Donc j'étais assise dans le fauteuil, il était un peu plus de midi et j'étais la seule cliente présente à ce moment là. La responsable était également seule et finissait de s'occuper de moi quand deux femmes entrent. Elle avait l'air de bien en connaître une, en fait c'était une vendeuse d'un magasin proche. La seconde était une cliente de ce magasin. La vendeuse devait avoir vingt-cinq ans et la cliente une petite quarantaine. Dès leur entrée, la plus jeune dit : "Tu pemets qu'on se dépanne encore une fois chez toi ? Il y a urgence pour nous deux." "Bien sûr" répondit la coiffeuse ! "Allez-y, c'est cette porte madame" dit la vendeuse. Je vois alors la cliente s'engouffrer dans la toilette, et particularité, on entend quasi comme si on était dedans ! J'entends des petits gémissements, le bruit de froissement de collants nylons qu'on descend, puis en un rien de temps un bruit d'un violent jet de pipi qui s'abat avec grand bruit dans la cuvette, accompagné d'un sifflement assez puissant. Pour une urgence, c'en était une, ca n'arrêtait pas... et ca durait, durait... Un vrai déluge. Enfin, elle en finit quand même, elle tire sur le rouleau de papier pour s'essuyer, on entend qu'elle remet ses vêtements en place, notamment lorsqu'elle lâche l'élastique de la ceinture de son panty et de sa petite culotte, puis le bruit de la chasse d'eau et la sortie. "Merci beaucoup dit la femme, je me sens mieux !" Et elle sort. Pendant qu'elle était dans la toilette, la jeune vendeuse qui avait également très envie, croisait ses jambes, elle avait mis le plus discrètement possible sa main entre ses jambes de son pantalon et pincait son minou. Elle dt à la coiffeuse : "C'est terrible, si ça continue, je vais me faire dessus... elle va bientôt en finir où quoi, je viens de lâcher quelques gouttes !!!" En disant ces paroles, elle appuie encore plus fort avec sa main sur son entrejambe ! "Oh qu'est-ce que j'ai envie, je n'ai pas fait depuis que j'ai quitté la maison ce matin !" La porte des toilettes s'est ouverte à ce moment et elle est vite entrée, et en un rien de temps, le même concerto que la femme précédente ! Avec en plus le lacher de deux gros pets ! Sortie de la toilette, la vendeuse dit : "Il était super temps, je croyais me faire dessus dans ton salon ! J'avais déjà mon fond de culotte trempé ! J'ai essuyé avec du papier, ça va sécher durant la pause déjeuner. Heureusement on ne voit rien à l'entrejambe de mon pantalon, imagine si c'était un pantalon clair !" Puis elle lui dit bon appétit et quitte le salon de coiffure. La coiffeuse me dit alors : "Ils sont bien embêtés, leur toilette est bouchée depuis avant hier et ils ne peuvent plus aller faire pipi !" Elle raconte alors : "Une fois j'ai été prise ici d'une terrible envie, il y avait du monde à finir et j'étais seule... A la dernière cliente, j'ai senti que je ne me contrôlais plus, je sentais que je commencais à me faire dessus. Je suis parvenue à me contrôler temps bien que mal pour lui mettre la laque, mais derrière mon comptoir, ça a été trop fort, je me suis complètement pissé dessus en recevant son paiement ! Heureusement j'étais en jupe et je portais des bottes ! Je sentais le pipi couler le long de mes cuisses et mollets et finir dans mes bottes. Heureusement aussi, il n'y avait plus personne après, j'ai attendu qu'elle soit sortie pour aller fermer la porte du magasin et ensuite aller me changer et passer un torchon derrière le comptoir !"

18 mai 2008

Comme une petite fille, une nouvelle contribution de Krys...

Cette semaine il m'est arrivé un petit accident comme à une toute petite fille. J'étais sur le chemin du retour quand j'ai tout à coup envie de faire pipi. Je me suis dit que je parviendrai bien à tenir jusqu'à chez moi et que je n'allais pas chercher un petit chemin tranquille pour me soulager entre les portières de l'auto. Au fur et à mesure que je m'approchait de ma maison, la pression devenait de plus en plus forte, par moment je mettais même ma main sous ma jupe entre mes cuisses pour pincer les lèvres de mon minou tellement ca devanait urgent. Enfin j'arrive chez moi, je rentre la voiture dans la cour intérieure, je klaxonne pour voir si quelqu'un est à la maison, mais personne apparemment. En sortant de l'auto et en courrant vers la maison, je sens mon fond de petite culotte devenir chaud et humide, je commencais à me pisser dessus... En cherchant ma clef dans mon sac pour ouvir la porte j'avais mes jambes croisées, à moitié accroupie, sac par terre, fouillant d'une main où pouvait être cette foutue clef, l'autre main sous ma jupe pincant mon trou à pipi au travers de mon fond de petite culotte déjà tout trempé... Vous imaginez la scène ! Et à peine cette clef trouvée, fini, je perds le contrôle, et je me mets à pisser avec force dans ma culotte sur le trottoir... J'ai tout fait dans ma culotte comme une petite fille... une immense faque entre mes pieds... Une fois soulagée, je me suis secouée pour tout égoutter et je suis rentré m'essuyer et changer de petite culotte. Mon âge ? Devinez un peu...

4 décembre 2008

Une anecdote de Hella...

Une des pires envies de ma vie...

Dernièrement j'ai du aller à Paris (dans le quartier de la Défense plus exactement) pour un colloque de société. En cette période de tourments financiers, les réviseurs d'entreprises sont très occupés ! J'y suis allée avec le TGV depuis Lille-Europe. Ma journée s'est déroulée sans grand "incident", j'étais juste heureuse que la pause de midi arrive, une grosse envie, mais j'ai pu bien tenir... Bien occupée par le travail, je ne me suis pas rendu compte que l'heure passait très vite après-midi et en fin de réunion, catastrophe, il ne me restait plus que cinq bonne minutes pour regagner la gare pour reprendre mon train ! Mission impossible quoi ! Deux collègues d'un autre bureau qui me connaissaient un peu, voyant mon désarroi, me propose charitablement de me reconduire en voiture et de me déposer près de chez moi (ils venaient de Bruxelles). Toute heureuse, j'accepte bien volontiers ! On prend une dernière consommation avant le départ, et par prudence, je me rends aux toilettes avant le voyage... Me connaissant, je prends toujours quelques "précautions" lors de pareilles journées : je porte toujours une jupe, deux petites culottes (une habitude que m'a apprise ma maman depuis l'adolescence), un protège-slip (Tena-mini exactement) au fond de la première petite culotte et une protection Tena-lady extra entre les deux petites culottes. Généralement je porte des bas, mais cette fois-ci, vu le temps froid et humide, j'avais exceptionnellement mis un panty pour avoir plus chaud ! Je fais donc mon petit pipi, change le protège-slip (il était un peu moite après une journée), rajuste ma lingerie et rejoins mes collègues au parking. J'avais aussi un manteau assez long genre doudoune que je garde en montant dans la voiture, l'ouvrant simplement. J'avais pris place seule à l'arrière, heureusement pour moi, vous comprendrez ensuite! Nous voilà donc partis à trois pour le retour. D'abord rejoindre le ring, puis sortir vers l'autoroute du Nord. Inutile de vous dire que cela prit un certain temps, mais enfin on n'a jamais été totalement bloqués ! Arrivés à hauteur de Roissy, ma vessie me dit qu'elle aimerait bien que je songe à elle ! Avec deux hommes simplement, je n'ose rien dire de mon envie naissante... On passe devant un parking, mais pas d'arrêt. Après une heure environ de route, je me dis : ils vont sans doute aussi avoir envie de faire pipi, et on va bientôt faire un petit arrêt j'espère ! Je dois vous avouer que j'avais alors très très envie de faire, je sentais ma vessie pleine à craquer, j'avais l'impression que mes petites culottes rentraient dans mon bas ventre tellement il était gonflé ! Je serrais mes cuisses le plus fort que je pouvais, je croisais mes jambes, les décroisais, les recroisais, heureusement j'étais seule à l'arrière et il faisait noir, ce qui faisait que personne ne remarquait mon état. Je n'en pouvais plus, j'avais mis ma main sous ma jupe, je pinçais mon petit trou à pipi qui ne demandait qu'à s'ouvrir à tout moment, et pour aider à sa fermeture, j'avais mes jambes croisées et fortement serrées. Vous imaginez la posture. Et on passe encore devant une possibilité d'arrêt ! Nous approchions de Lille, je sentais une pression incroyable dans mon pussy, j'avais des crampes au ventre et par moment des contractions involontaires, je ne comprenais pas comment je parvenais encore à tenir une pareille quantité de pipi en moi ! Mais à un moment, c'était trop fort, un spasme, je sens le pipi qui descend dans le petit tuyau, je parviens encore à bloquer au pris d'un sursaut incroyable d'énergie, mais le spasme suivant après trois ou quatre secondes, plus assez de force, je sens un premier petit jet partir, suivi d'un second, d'un troisième, mon protège slip et le fond de ma première petite culotte sont saturés, ma téna-lady (le modèle extra) se remplit doucement, je continuais mes petits jets incontrôlables, enfin après six ou sept jets je parviens enfin à me contrôler ! Nous étions juste à ce moment à hauteur de l'aéroport de Lille-Lesquin ! Il fallait compter encore une bonne demi-heure environ avant que je puisse enfin descendre ! Je sentais les poils de mon pussy, mes lèvres, mon vagin entièrement humides, ma seconde culotte n'était pas encore transpercée ni le fond de mon panty (par bonheur il était renforcé, donc plus épais), mais cela n'allait pas tarder, car je devais vraiment trop faire pipi. Je me dis, Hella, il faut que tu trouves vite une solution si tu ne veux pas vivre la honte de ta vie ce soir ! Je pensais à tout, et puis je vois mon sac à main, avec ma main libre je l'ouvre, et miracle, le midi, par pure inattention, j'avais emporté ma serviette de table, une belle grande serviette en tissu coton assez grande et bien épaisse, bien absorbante quoi, une vraie aubaine pour une fille dans mon état ! Pas une seconde à perdre, je la saisis, je la roule en une grosse boule, je desserre mes cuisses et je la plaque fortement avec ma main à mon entrejambe en refermant vite mes jambes, je m'avance le plus possible sur le bord du siège, et je place vite mon sac ouvert sous le milieu de mes jambes ! Heureusement qu'il faisait noir ! Et mes collègues étaient trop occupés à écouter leur émission préférée pour prêter attention à mon manège ! A peine ma serviette bloquée entre mes cuisses, une incroyable secousse dans mon bas ventre, et instantanément je me mets à faire pipi, pas moyen de contrôler, ça sort, ça sort, je pousse très fort avec ma main ma serviette en boule contre le fond de mon panty pour étouffer le bruit du psssiiiiit très sourd que je produis, ma Tena déborde, le fond de la seconde petite culotte et du panty sont très vite transpercés sous le puissant jet de pipi qui sort de façon continue, je suis sans force, je sens ma main devenir toute chaude et humide, la serviette de table a beau être épaisse, elle est vite saturée... Je me sentais en extase, j'étais prête à jouir et à connaître un puissant orgasme tellement ça me faisait du bien d'enfin pouvoir faire pipi, je ne sais pas comment je suis parvenue à ne pas crier, les quelques secondes que je faisais pipi m'ont paru durer une éternité, enfin après un petit temps, je reprends mes esprits, et soulagée énormément, je parviens à bloquer d'un trait mon gros jet de pipi... J'avais peut-être fait pipi dix-douze secondes maximum dans mes vêtements, mais il me semblait avoir fait pipi plusieurs minutes dans ma tête, j'étais encore remplie à ras le bord, mais j'avais l'impression d'être comme vidée. Le "trop plein" de ma vessie avait fonctionné, et je me sentais comme relaxée, plus de douleurs inouïes dans mon bas ventre ! L'alerte était passée, nous étions sur le ring de Lille à présent, direction Bruxelles, et je pourrais tenir jusqu'au bout si tout allait bien... Je retire ma serviette dégoulinante et la laisse tomber dans mon sac, un petit filet de pipi avait coulé dans le fond de ma jupe, à l'intérieur de mon manteau (heureusement que je l'avais gardé car il était imperméable !) et avait fini dans mon sac à main ouvert entre mes jambes ! Peut importe, le principal, j'avais peut-être pissé plein mes affaires, mais je n'avais rien mouillé dans la voiture, et mes deux collègues masculins ne pensaient pas que je n'étais pas capable de me retenir comme eux ! Mon honneur avait été sauvé et j'espérais qu'il en serait encore ainsi une demi-heure ! Je téléphonais à la maison que j'allais arriver à destination et leur fixais un lieu de rendez-vous pour venir me chercher. Nous étions à présent presque arrivés, on était sorti de l'autoroute, on se dirigeait vers le lieu que j'avais indiqué à mes collègues, je recommençais à avoir très envie de pouvoir vider ma vessie pour du bon cette fois ! Encore deux ou trois minutes de courage ma petite Hella me repetais-je, retiens-toi, après ce que tu as réussi, ce serait trop bête de te faire humilier si près du but. Enfin on est arrivés, l'auto n'était pas encore tout à fait stoppée que j'avais ouvert ma portière, je bondissais littéralement dehors en jetant un coup d'oeil et en passant ma main discrètement sur ma place, elle était chaude bien sûr, mais aucune trace d'humidité, sauvée, et je dis à mes collègues merci beaucoup, je vous laisse sans vous embrasser, ne sortez pas, ma voiture m'attend là-bas, je tapais mes talons sur le sol tellement il fallait que je fasse pipi (mais je leur aie menti en disant : "Dieu, qu'il fait froid ce soir"!"). Je ferme la porte vite, et faisant un rapide petit signe amical, je me mis à courir vers la voiture qui m'attendait. Mais cette fois c'en était vraiment de trop, mes contractions avaient repris de plus belles, je recommençais à me lâcher dans mes jambes arrivée à la voiture. J'ouvre la porte arrière pour y jeter mon sac et mon attaché-case avec mon laptop à l'intérieur, je la laisse ouverte, j'ouvre la portière avant, je faisais pipi à pleine force à ce moment, et je dis "Good evening" (nous sommes anglophones), "excuse-moi, mais je n'en peux plus, depuis si longtemps que je me retiens, je fais d'abord pipi, et ça va prendre du temps tu sais !" Et j'ai poussé un grand cri de jouissance ! Enfin je pouvais vraiment faire pipi ! Je jouissais vraiment de bonheur de me dégonfler complètement, je faisais pipi debout entre les portières dans mes vêtements, mais "comme ça fait du bien, comme c'est bon", repetais-je sans arrêt ! Je connaissais un orgasme de bonheur d'enfin pouvoir me vider à mon aise ! Je faisais pipi comme une enragée, je croyais que je n'allais jamais savoir terminer ! Après une éternité, j'avais fini, un vrai étang de pipi sur les pavés mouillés stagnait entre mes pieds, mais comme j'étais mieux ! J'ai retiré mes panty et sous vêtements trempés et dégoulinants de pipi et je me suis assise place passager et on est rentrés à la maison.

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9 février 2009

Confidences d'une institutrice. Après tout, c'est une femme comme une autre ! , par Krys...

Voici une petite anecdote véridique que m'a confiée une amie dimanche dernier seule avec moi dans ma cuisine en préparant les assiettes de dessert. Elle a cinquante ans, et est institutrice. Ses élèves sont des deux sexes et ont 10-11 ans en moyenne. Donc en novembre dernier, elle était de sortie un après-midi avec sa classe pour une leçon d'étude du milieu. Le temps était assez frais, mais il ne pleuvait plus et une belle petite éclaircie s'installait. Les voilà tous arrivés dans un parc, le but de la sortie. Là, elle sent une petite envie de faire pipi, et rapidement son envie devient terrible. Pas de wc dans ce parc et aucune toilette publique dans les environs ni sur le chemin vers l'école ! La pauvre serrait ses jambes comme elle pouvait, et à un moment où ses élèves étaient devant elle regardant quelque chose, elle en a profité pour carrément mettre sa main à son entrejambe, presser son minou fermement, et même ses lèvres pour mieux tenir fermé son petit trou à pipi et tenter de diminuer la pression.... mais elle l'a vite retirée une fois qu'elle a vu sa classe bouger pour rester la plus discrète possible et qu'on ne remarque pas ce qu'elle mourrait d'envie de faire... A un moment, elle sent son minou devenir chaud et humide et une goutte ruisseler le long de sa jambe gauche ! Elle ne parvenait plus à se retenir et commençait à faire pipi ! Elle est parvenue à trouver l'énergie pour tout bloquer ! Mais elle a vite compris qu'elle ne tiendrait plus longtemps, et certainement pas jusqu'à l'école... Elle était en transpiration malgré la fraîcheur, il lui fallait sauver la face et trouver la solution, et vite ! Heureusement ce jour elle était en jupe, une jupe longue à mi-mollet, des bas, pas un panty, un string et des bottillons. Elle dit à sa classe d'aller regarder attentivement quelque chose à une vingtaine de mètres d'elle, de bien noter dans le cahier et de ne revenir que quand elle appellera ! A peine les enfants partis, elle sent que ça part tout seul, n'a le temps que d'écarter ses pieds et ses jambes, et de pisser comme une enragée sur l'herbe à travers ses sous-vêtements ! Elle a pisser sans arrêt avec force pendant une minute certainement tellement elle s'était retenue, regardant autour d'elle avec anxiété si personne ne surprenait ce qu'elle était occupée à faire ! Une fois son affaire finie, elle a vite changé de place et a regardé son bas, heureusement sa jupe n'avait aucune trâce et ses bas n'étaient pas trop humides... Elle a vite essuyé ses souliers avec un Kleenex, ses mollets, a ensuite rappelé sa classe et a fini sa leçon comme si rien n'était ! De retour à l'école, elle a dit aux enfants : "Vous avez deux minutes pour aller à la toilette", et en a profité pour faire de même. Elle a alors essuyé ses bas et ses jambes, retiré son string, l'a enroulé dans du papier wc avant de le mettre dans son sac et est retournée en classe. Elle a finit la journée sans culotte, a parlé dehors avec des parents devant l'école sentant la fraîcheur sur son minou et son bas ventre. Une sensation agréable m'a t-elle confiée, et est rentrée chez elle en vélo. Chez elle, elle s'est de suite rendue aux toilettes, a fait un tout petit pipi et s'est masturbée furieusement en pensant à son aventure et au bonheur qu'elle a ressenti d'enfin pouvoir soulager sa vessie, dans sa culotte, comme une petite fillette de sa classe, quasi devant ses élèves, et d'avoir fini sa journée sans culotte en classe, d'avoir parlé avec des parents et d'avoir traversé la ville à vélo sans culotte. Ah ! Si les gens pouvaient savoir cela de l'institutrice âgée de 50 ans ! Quel scandale ! Et quelle honte pour elle ! Elle m'a dit que son mari, apprenant son aventure au lit le soir, avait redoublé d'ardeur à la tâche !

8 avril 2009

Une anecdote de Tornade...

Pas le temps de pisser

Une cousine me racontait, ses quatre enfants étaient petits et, deux dans des écoles différentes... Une fois la famille levée, elle a du préparer le petit déjeuner, s'apprêter, s'occuper des enfants... vite les conduire aux deux écoles... pas tout près l'une de l'autre... puis passer chez sa belle-mère...

Arrivée chez cette dernière, elle prit juste la peine de lui faire la bise, et comme cette dernière commençait une conversation... n'en pouvant plus, ma cousine s'écria "pipi" et se précipita aux toilettes...

Elle n'avait plus fait pipi depuis la veille... une douzaine d'heures...

17 avril 2009

Une anecdote de Léa...

Pipi à deux, pipi heureux.

J'ai déjà fait allusion de cette anecdote dans la section "Questionnaire pipi".

Il y a quelques années, je roulais depuis un bon moment dans la campagne, quand il me prend une envie pressante. Coup de chance, voilà un petit parking.  Je pénètre de quelques mètres dans la végétation et je trouve une petite clairière derrière de grands buissons. Je relève donc ma jupe et je m'installe.

A peine avais-je commencé à faire pipi que j'entends du bruit par là d'où je suis venue. Bon, j'ai commencé, pas le temps de me relever. Tant pis, je continue.

Une jeune fille d'une vingtaine d'années apparaît, et sans hésiter, se fige devant moi. JUSTE devant moi (enfin bon, à deux ou trois mètres...). M'avait-elle suivie ? En tout cas elle était très à l'aise et ne semblait pas surprise de croiser quelqu'un, surtout dans ma posture.

Elle me sourit, en guise de bonjour complice, passe les mains sous la jupe, retire complètement sa culotte, la jette dans l'herbe à côté d'elle, et s'accroupit jambes écartées. Je n'en crois pas mes yeux et cependant elle s'y prend d'une manière qui rend la scène tout à fait naturelle. Elle est pourtant là, jambes écartées, comme offerte. Un long jet sort de son minou, qui est presque rasé. Dans un même temps, elle ne perd pas une miette du spectacle en face d'elle. Je suis partagée entre l'envie de me cacher, et celle d'écarter moi aussi complètement les cuisses, pour lui rendre la pareille. Je sens qu'elle n'attend que ça, mais je ne peux quand meme pas aller jusque là ! Alors je me contente d'un léger repositionnement d'une jambe, suffisament pour lui faire décrocher un nouveau sourire de remerciement. Elle en profite un peu puis plonge son regard dans le mien. Je pisse régulièrement dans la nature, devant mon homme, mais là, devant cette inconnue, ça n'avait rien à voir. Et en même temps tout s'est enchaîné de manière si naturelle ! Comme s'il en était toujours ainsi.

Nous sommes restées comme ça jusqu'au bout, puis j'ai saisi le Kleenex que j'avais préparé, me suis séchée, et le lui ai tendu en disant : "Ca vous intéresse ?". Elle m'a remerciée, l'a utilisé, et au lieu de le jeter, l'a placé dans son sac (une écologiste ?) avant de remettre sa culotte.

Nous sommes alors retournées à nos voitures respectives. J'avais le coeur qui battait la chamade, contente d'avoir été aussi gonflée. Je ne suis pourtant pas attirée par les femmes mais ce moment de complicité était vraiment magique.

23 avril 2009

Une nouvelle anecdote de Tornade...

Voici le récit d'un déplacement en voiture et un pipi urgent...

Il y a quelques années, je devais me rendre dans un village à trente kilomètres de chez moi. Pour ce faire, c'est une amie qui m'y conduisait... Mais, avant, elle devait passer chez des connaissances qui habitaient à l'opposé à quinze kilomètres vers le N.

Arrivés dans la localité du premier rendez-vous, elle me dit : "Tu te rends-compte, je suis partie en oubliant d'aller pisser, mais c'est pas grave, je serai contente d'aller chez les amis"... Nous arrivons devant la maison : elle se voyait déjà leur dire bonjour, et aller vite aux toilettes... Pas de chance, ils étaient absents...

Il n'y a qu'une chose à faire dit-elle, on va repasser par chez moi... Nous voilà repartis pour une quinzaine de kilomètres à travers l'agglomération...
Arrivée devant chez elle, elle s'aperçoit qu'elle n'avait pas sa clé, et, de plus, son fils était parti...

Je lui ai alors proposé de venir se soulager chez moi... il était temps... car elle a fait un de ses long pipi... Mais heureuse en sortant...

Je ne crois pas que nous aurions su aller dans le village, sur une fête et y rester, sans qu'elle puisse aller faire pipi...

29 avril 2009

Une anecdote de Hella...

Souvenir d'entraide féminine

En lisant le journal de ce jour, j'ai appris par la rubrique nécrologie le décès d'une de mes anciennes professeurs de langues modernes. Cette dernière était une femme très austère et sévère et la terreur de ses élèves... Pas étonnant qu'elle soit restée célibataire avec un caractère de chien comme elle avait ! Ceci m'a remis un souvenir de classe en mémoire. Les faits se sont déroulés il y a une quinzaine d'années. La miss était proche de sa retraite à cette époque. Nous étions en fin d'après-midi, à la septième heure de cours, la dernière de la journée. J'étais avec ma meilleure amie au fond de la classe comme d'habitude et la rangée devant nous était vide de même que celle d'à côté de nous. Dès le début, ma copine me dit tout bas à mon oreille : "Si tu savais ce que j'ai envie de faire pipi, je me retiens depuis le milieu du cours précédent ! Et les toilettes sont tellement sales que je ne me sens pas capable d'y entrer" (et c'était vrai, c'était un vrai cauchemar dans cette école les toilettes !). Et comme on n'a pas changé de bâtiment, pas moyen de m'éclipser un instant dans la petite cour pour me soulager derrière les poubelles (c'était une de nos "planques" quand nous avions trop envie...)

Je lui dit : "Essaie de ne pas y penser... si je pouvais t'aider je le ferais bien volontiers !" Elle ne cessait de me demander l'heure et croisait sans cesse ses jambes, se tortillait, elle était vraiment désespérée, elle n'avait plus fait pipi depuis qu'elle avait quitté sa maison ce matin, et il était passé quinze heures, c'était tout dire ! Elle avait maintenant mis carrément sa main sous sa petite jupe et pressait fermement son minou avec pour l'aider à contenir le contenu de sa vessie archie remplie ! On était à mi-cours seulement, je la voyais en transpiration tellement elle luttait avec sa vessie, et à la voir dans cet état, elle me donnait aussi envie de faire pipi à moi, mais comme j'avais réussi à me soulager durant le temps de midi dans un de nos petits coins secrets, j'étais en moins pire état qu'elle... de plus j'avais un petit secret que je gardais jalousement, je portais toujours une serviette Tena dans le fond de ma petite culotte pour me permettre d'un peu relâcher la pression en laissant échapper quelques gouttes en cas de nécessité... La voyant dans cet état, je lui dit : "Fais comme moi discrètement, on va dégager notre jupe de notre chaise et nous mettre les fesses sur le bois, ce sera déjà quelque chose de sec en cas d'accident, car tu m'as maintenant aussi refilée ton envie !" Et elle fait la même manœuvre que moi très discrètement... heureusement pour nous, c'était une belle journée de mai et nous étions toutes les deux en jupe courte plissée pas du tout serrée, sans bas ni pantys, simplement notre petite culotte ! Et avec cette chienne, pas question de lui demander pour sortir, c'est non d'office, tout le monde saura mon état, et je risque de plus une réflexion des plus désagréable ! Il restait encore un bon quart d'heure quand je la vois fermer ses yeux, se pincer ses lèvres, contracter son visage et retenir son souffle... Elle me regarde et me confie : "Hella, je n'en peux vraiment plus, je viens de commencer à faire les premières gouttes à ma culotte, j'ai su m'arrêter, mais je ne tiendrai plus jusqu'à la fin... je vais faire à ma culotte comme une petite gamine de primaire !" "Pas encore" luis dis-je, tu as confiance en moi ? "Oui bien sûr", me répond t-elle, "tu es ma meilleure copine depuis des années !" "Alors, laisse toi faire, au point où tu en es, toi d'abord, et moi ensuite, car tu m'as aussi donné une fameuse envie ! On va pisser en classe, il n'y a personne autour de nous, et le bruit de la cassette audio couvrira notre petit écoulement sur le sol ! Je sais que ca va être difficile, mais essaie de ne pas pousser et laisse couler le plus doucement que tu peux malgré ta grande envie... Avance un peu comme moi le plus possible sur le bord de ta chaise. Parfait, maintenant laisss moi faire et répète le cours pour ne pas te faire remarquer. Ouvre un peu tes jambes afin que je puisse te tirer ton fond de culotte sur le côté !" Elle me regarde, prête à pleurer, mais fait ce que je lui dit.

Je mets ma main droite entre ses cuisses (elle était à ma droite), saisi son fond de culotte (qui était bien humide de sa première fuite !), le tire rapidement sur le côté et lui dit doucement : "Vas-y, la voie est libre... ". En une fraction de seconde un vrai geyser s'échappe de son trou à pipi ouvert au maximum, décrit un bel arc de cercle, et atterrit sur le linoleum entre ses pieds ! Pour ne pas aller trop loin devant, je place vite quelques uns de mes doigts devant son puissant jet d'urine chaude et incolore pour casser sa force le mieux que je pouvais et le dévier pour qu'il tombe le plus possible sous sa chaise ! Elle n'arrêtait pas, je voyais une expression d'un immense soulagement et de bonheur resplendir sur son visage, la quarantaine de secondes de vidange a paru durer une éternité, nous disions toutes les deux toutes les prières qu'on connaissait pour ne pas nous faire surprendre par cette chienne de prof. Enfin elle a terminé, elle s'est vidée à fond, car à la fin, elle a émis trois ou quatre jets successifs qui allaient en diminuant. Elle avait une énorme flaque de pipi sous elle, on a même bougé nos sacs pour ne pas qu'ils soient mouillés... "A mon tour maintenant" lui dis-je, et en faisant la même manœuvre, je me suis soulagée, à part que devant moins faire, je maîtrisais mon jet et vu qu'il coulait assez lentement, je n'ai pas du mettre des doigts pour le dévier... Elle regardait sous elle son immense marre de pipi et regardait avec admiration mon petit filet de pipi qui coulait doucement sous moi... Ca a été plus rapide, une vingtaine de secondes je crois... Mais que j'étais contente quand j'ai eu aussi fini sans avoir été inquiétée dans mon action !

On a terminé le dernier quart d'heure de la leçon en essayant de garder notre sérieux et de ne pas éclater de rire pour nous trahir bêtement après avoir si bien réussi ! Mais quand la sonnette a retentit, on a été les premières à quitter la classe en riant, et une fois dans le couloir, on s'est vraiment lâchées d'un de ces fou rire... Le reste de la classe nous regardait sans savoir pourquoi, et même la professeur qui nous a lâché : "Et bien, mesdemoiselles, je vois que mon cours n'est pas si austère que cela, j'espère que vos notes au prochain contrôle seront à la hauteur de votre plaisir !" Si au moins elle avait pu imaginer ce que nous venions de faire sous ses yeux ! On n'osait pas imaginer la punition si on s'était fait surprendre (et je n'ose toujours pas l'imaginer !)

23 mai 2009

2 - En Autriche, un jour au soir en revenant à

2 - En Autriche, un jour au soir en revenant à l'hôtel après le repas. Nous étions dans la rue et on regardait des vitrines. Il était environ 21 h 30. Un groupe de trois jeunes, deux filles et un garçon. Une fille avait l'air malade. Le groupe s'arrêtait régulièrement. A un moment, la fille s'est avancée dans une entrée de bureau un peu sombre et a immédiatement vomi. Sa copine la soutenait et lui parlait. Nous étions de l'autre côté de la rue dans une galerie dont le fond n'était pas éclairé. Le groupe ne se doutait pas de notre présence. Après avoir vomi, la fille s'est essuyé la bouche avec un Kleenex que lui donnait sa copine, puis elle lui a dit quelque chose. La copine a regardé dans la rue à gauche et à droite en disant quelque chose au garçon, puis s'est retournée vers son amie en lui disant quelques mots et en faisant oui de la tête. Immédiatement la fille dans l'entrée a relevé sa longue jupe, baissé son panty et sa petite culotte, s'est appuyée le bas du dos contre le mur et a commencé à pisser. Au bout d'une dizaine de secondes, alerte, quelqu'un s'approchait. La fille occupée à faire pipi a sans doute répondu qu'elle était incapable d'arrêter car sa copine s'est placée devant elle et a appelé le garçon qui s'est placé à hauteur de l'entrée sur le trottoir, obligeant les deux personnes qui venaient à quitter le trottoir et marcher sur la rue pour permettre à la fille malade de terminer son pipi à son aise. Le pipi a duré une bonne trentaine de secondes, puis c'est l'autre fille qui a aussi eu envie en voyant sa copine se soulager. Elles ont échangé la place, la fille portait elle une jupe courte qu'elle a relevé autour de sa taille avant de baisser également son panty et sa petite culotte. Elle s'est accroupie complètement et avait ses cuisses bien écartées, on pouvait voir un jet de pipi assez puissant qui sortait en arc de cercle et était projeté assez loin devant elle sur le sol. Son pipi a été moins long que celui de sa copine, une quinzaine de secondes, elle a voulu s'essuyer, mais suite a l'alerte donnée par sa copine et le garçon, elle s'est vite relevée en remettant se vêtements en ordre rapidement et ramassant son sac posé à ses côtés, elle est vite sortie de l'entrée et le groupe est rapidement parti.

11 juillet 2009

10 - Enfin toujours en Allemagne dans les

10 - Enfin toujours en Allemagne dans les toilettes d'une aire de repos un peu avant Aachen. Le côté des femmes était fermé pour cause de travaux. Conséquence: si les femmes voulaient aussi faire pipi, elles devaient aller côté hommes ! On y entre donc à trois, mon mari, ma fille aînée et moi même. Il y avait un caniveau le long d'un mur pour accueillir trois ou quatre personnes et une toilette traditionnelle. Un homme terminait son affaire et sortait, une femme était devant la porte tenant deux sacs dans ses mains, le sien et celui d'une autre femme occupée à se soulager dans la toilette. Nous étions ma fille et moi en pantalon, avions déjà en main notre Freelax (on fait toujours avec notre accessoire dans les toilettes publiques, c'est plus facile de faire debout que mi-accroupie au dessus de la cuvette !) et on se met côte à côte à côté de mon mari face au mur. On déboutonne notre pantalon, on la baisse un peu, on baisse le devant de la petite culotte, on y positionne notre Freelax et on se laisse aller à notre aise. La femme nous regardait bizarre, sa copine sortait de la toilette, elles se demandaient si nous étions des femmes ou des travesties ! Manifestement ces deux allemandes dans la quarantaine ne savaient pas faire pipi debout et ne devaient pas connaître cet accessoire si utile ! Elles venaient à peine de sortir, nous nous étions occupées à plein régime à mi-vidange environ quand on entend une cavalcade, la course s'arrête, les paroles : "Oh shit ! It's closed ! Quick to the other side!" Des anglaises qui avaient découvert dépitées la fermeture côté femmes, et trois jeunes femmes de l'âge de mon aînée se ruent vraiment dans la place côté hommes en se tenant l'entrejambe. La plus habile rentre dans la toilette, ne prend pas la peine de fermer complètement la porte et de suite on entend un déluge qui résonne sur la paroi métallique de la cuvette du wc! Ses copines se trémoussaient en la suppliant : "Quick, quick Maisie, please,we are bursting !" Une des filles en jupe courte paraissait au bout de ses forces. Je la regardait, elle me regardait avec des larmes dans les yeux, alors je lui ai dit : "Come here between us" en lui souriant et en me bougeant un peu avec Hella pour lui faire place. Voyant que nous étions anglophones comme elle, elle a immédiatement pris place entre nous, mais s'est accroupie face au mur en relevant sa petite jupe et écartant un peu le fond de sa petite culotte sur le côté, elle commença immédiatement un déluge en sifflant assez fort et en poussant un gémissement de bonheur et de soulagement. Elle me regarda et me dit : "Thanks ! Just in time ! Without you I should have pee in my panties ! Oh, what a relief !" Mon mari avait fini et quittait sa place, Hella et moi on finissait nos dernier jets, et en laissant sa place libre, mon mari dit à la dernière fille qui se trémoussait en ayant déjà ouvert sa ceinture et son jean : "Go here if you want, I shall stand the guard for you all outside". Elle ne se fit pas prier, mais en pantalon, elle se tourna dos au mur, baissa jean et petite culotte à mi-cuisses et se mit en hight-squatting le papotin le plus en arrière, et envoya un puissant jet de pipi immédiatement en visant le mieux qu'elle pouvait le caniveau. Ma fille et moi avions fini, les deux filles continuaient de plus belle et la plus rapide sortait de la toilette. Elle regarda le spectacle avec des yeux ahuris et éclata de rire ! "So Mandy and Linda, you really want to go!" Leur dit-elle en riant aux éclats. Mon mari était occupé à se laver ses mains dans le box d'entrée, Hella l'avait rejoint pour rincer son Freelax aussi, un homme s'apprêtait à entrer, un allemand, il lui dit : "Patientez un instant monsieur, toutes les places sont occupées par des dames ! Il y a des urgences vitales à satisfaire, et même les urinoirs sont occupés !" Les deux anglaises avaient maintenant fini, je suis sortie avec celle en jupe, la seconde en pantalon sortait également en finissant de remonter son jean et de le refermer près des lavabos. Mon mari dit alors : "Allez-y monsieur, toutes les places sont disponibles maintenant". C'était un allemand d'une septantaine d'années qui se demandait s'il rêvait d'entendre cela ! On s'est lavées les mains ensemble, les trois anglaises avaient entendu parler du P-mate et du Freelax, mais n'en n'avaient jamais vu dans la réalité ni employé. On en a discuté et elles ont dit que de retour chez elles, elles allaient en faire aussi l'achat. Elles étaient amies de cours et avaient visité ensemble la Pologne ayant connu une polonaise qui avait fait des études avec elles les années précédentes. Elles rentraient maintenant chez elles dans la région de Liverpool. On a fait la route ensemble vers la Belgique, et on s'a arrêté pour manger à l'heure de midi tous ensemble dans un restaurant le long de l'autoroute en Belgique. Puis on s'est embrassé, avons échangé nos adresses et repris la route. On a quitté l'autoroute près de chez nous, elles nous ont fait signe au revoir et on continué vers Calais pour embarquer sur le ferry. La semaine dernière, j'ai eu l'occasion de correspondre avec une, elle m'a encore remerciée de notre aide providentielle !

26 mai 2009

Quand on ne vise pas bien... et aussi témoin de petites confidences... , par Hella...

Aujourd'hui je suis allée à un meeting. Arrivée à l'accueil le matin, un petit thé, j'ai parlé avec des confrères de dossiers, et puis le meeting a commencé sans que je fasse un petit tour par les toilettes (je n'en avais pas envie) comme je le fais souvent par précaution ! La réunion se déroulait bien, à 10 h 15 je sens que je dois faire pipi (comme j'ai regardé ma montre j'ai retenu l'heure !) Je dis dans ma tête, ça va encore, ça fait pas trop mal au bas du ventre, et sans doute bientôt il va y avoir la petite pause. Je sentais mon envie devenir assez forte. Je regarde encore ma montre, il était alors 10 h 40, et une minute après l'orateur dit : "Je propose une petite pause d'un quart d'heure si vous le voulez bien !" Je commence à avoir ma bouche sèche dit-il. Et moi ma vessie toute pleine je rajoute dans mon esprit. Je suis rapidement sortie de la salle (je me place toujours par prudence près d'une sortie) et suis partie vite aux toilettes pour arriver avant les autres et devoir éviter d'attendre dans la file comme c'est souvent le cas après. J'ai été d'un pas rapide mais sans courir pour ne pas me faire remarquer quand même ! Arrivée au local, je suis entrée dans la pièce, d'abord les lavabos comme c'est souvent le cas et ensuite après une petite séparation, la rangée de toilettes, la configuration classique quoi ! Etant seule, j'avoue avoir portée ma main à mon entrejambe dès l'entrée franchie et me suis dirigée vers les toilettes en tenant ma zezette Je suis vite entrée, j'ai refermée la porte, relevée l'abattant et la lunette de la cuvette, et étant en jupe (comme c'est souvent le cas pour mon travail !) je me suis mise debout face à la toilette, écartant mes pieds pour me placer au dessus, la cuvette entre mes jambes écartées; j'ai vite relevée ma jupe, étant en bas c'est très pratique et rapide, et j'ai tiré un peu le fond de la petite culotte sur le côté pour faire la place libre pour le pipi sortir. Immédiatement le jet est sorti très fort. Il y avait tellement la pression que j'ai pas bien dirigé le jet et il s'a écrasé sur le couvercle de la planche en éclaboussant de tous les côtés ! Constatant que ça partait trop haut, j'ai un peu reculé, mais alors le jet est parti un peu trop à gauche, il a un peu touché le haut de mes bas à l'élastique, j'en ai mis à côté de la cuvette sur le sol, et enfin je suis parvenue à bien viser et à finir mon pipi dans l'eau de la cuvette! Oh shit, it's really me, again miss my piss, je murmurai tout en pissant avec force comme une enragée et en émettant un sifflement assez prononcé (comme c'est souvent le cas dans ces moments là !) Au bout d'une trentaine de secondes, je commençais à sentir que ça faiblissait, j'étais presque vidée, je poussais pou finir par quelques jets successifs pour me vider à fond (j'ai même, je le confesse pété assez bruyamment) quand j'entends la porte d'entrée s'ouvrir et d'autres femmes rentrer en courant. Elles étaient deux, l'une disait à l'autre en gémissant : "Comme ça presse, heureusement qu'il y a la place libre." (il y avait quatre toilettes en tout, trois étaient encore libres) elle rentre vite dans une à côté de moi, j'entendais qu'elle dansait sur place en se déshabillant, puis j'ai entendu un bruit comme un grande chute suivie du bruit d'un robinet ouvert à fond qui coule dans un sceau d'eau. "Oooohhh, enfin, j'y suis arrivée" a-t-elle dit en poussant un grand soupir. On aurait dit les chutes du Niagara à côté de moi ! Sa copine qui était dans le cabinet de l'autre côté, à côté de moi aussi, commençait également son pipi, mais chez elle, rien de comparable, on entendait un petit jet, puis un moment d'arrêt, puis encore un petit jet, encore une petite pause, puis de nouveau un peu pipi... C'est amusant que certaines femmes ne fassent pas pipi en continu ! Moi j'avais fini, elles pensaient être seules dans la pièce, sa copine demandait : "Ca va Mélanie, tu as su tenir?". "A la limite" lui répond t-elle, "J'ai cru me faire dessus dans la salle ! En arrivant devant la porte dans le couloir, j'ai encore cru que tout allait partir, dieu merci j'ai encore pu tenir quelques secondes ! Mais je sens que mon protège-slip est tout trempé, j'ai du lâcher un peu en me déboutonnant devant la toilette !" "Et toi, pas de problème ?" "Non, pour moi tout est OK. J'ai d'ailleurs fini. Tu veux un propre protège-slip pour te sentir bien au sec le reste de la journée ?" "Non merci, j'en ai un avec moi ! Tu te rappelles, Jocelyne, la fois où tu avais si envie à Namur ?" "Ne m'en parles pas" a répondue Jocelyne qui avait fait pipi par petits jets successifs ! Heureusement qu'on a quitté les toilettes quand on a vu la file en entrant ! Et qu'on a vite pris l'escalier pour vouloir sortir ! Et que j'avais une jupe ! Et qu'il n'y avait personne avec nous ! Je me suis mise à pisser dans mes collants en arrivant au bas des escaliers..." Et puis on a entendue la porte s'ouvrir et un groupe de femmes entrer. Immédiatement le silence complet de la part de mes deux voisines. Je n'ai pas entendue la suite de l'aventure. Moi j'étais restée sans bouger pour ne pas trahir ma présence. Maintenant je pouvais faire du bruit, j'ai employé beaucoup de papier pour essuyer mes cuisses, l'élastique de mon bas et tout autour de la cuvette le sol humide avec mon pipi. Puis j'ai tiré l'eau et je suis sortie pour laisser la place à d'autres femmes pour qu'elles aussi puissent faire pipi. Deux femmes finissaient de se sécher les mains et arranger leur coiffure aux lavabos, c'était les deux femmes qui avaient pissé à côté de moi. Elles étaient toutes les deux en tailleur/pantalon, l'une gris foncé noir, cheveux roux, assez corpulente, l'autre brun foncé, cheveux blond cuivré, un peu moins forte, toutes deux la bonne quarantaine. "Tu veux une pastille Mélanie a demandé l'une ?" Cela m'a permis de savoir que Mélanie était celle avec des cheveux roux et Jocelyne la moins corpulente avec des cheveux blonds cuivré. Je crois me souvenir avoir déjà vu par le passé ces deux femmes à l'une ou l'autre réunions professionnelles. J'ai aussi lavé mes mains et suis sortie rejoindre un groupe de personnes que je connaissais bien à l'entracte. Puis la journée s'est déroulée sans rien remarquer ni entendre d'intéressant (à propos du pipi des femmes bien entendu !).

10 juin 2009

Une nouvelle anecdote de Krys...

Voici quelques décennies je visitais avec mon compagnon une ville historique du nord de la Belgique. Arrivés le matin, en fin d'avant midi j'avais très envie de faire pipi. Mon compagnon s'était déjà soulagé lui, très facile pour un homme ! Mais pour nous les femmes, c'est parfois moins évident ! Et pas moyen de dénicher une toilette ! Nous étions jeunes, on n'avait pas de grands moyens financiers et nous ne désirions pas payer dans un bar ou café le droit de faire pipi ! Nous étions dans une église, et toujours pas de toilette non plus ! Je nen pouvais vraiment plus, j'étais à la limite de mes forces, prête à me faire dessus dans les minutes suivantes... Mon compagnon remarque un... confessionnal, et profitant qu'il n'y avait personne aux alentours à ce moment, il me dit : "Entre vite dedans, ferme la porte et la tenture, et fait pipi sur le siège !" Je n'ai pas hésité une seconde, vite fait bien installée, en une seconde pantalon et petite culotte baissée à mi-cuisses, assise sur le bord de la planche du siège, et ouverture à fond de la vanne... céleste ! Mais quel pipi ! J'essayais de ne pas trop siffler, le pipi s'abbattait avec bruit sur le plancher sous mes pieds, et plus je pissais, plus j'avais envie de pisser ! Mon compagnon qui montait la garde devant le confessionnal me suppliait de me dépêcher pour en finir et d'essayer d'être plus discrète ! Facile à dire dans ces cas là ! Pas moyen d'aller plus vite, et pas la force d'arrêter le torrent de pipi qui sortait de mon petit trou à pipi dilaté au maximum ! Ca coulait sous la porte et une flaque se format devant le confessionnal ! J'ai fait pendant une éternité ! Enfin les éléments se sont calmés, je me suis vite reculotée sans prendre le temps de m'essuyer et demandant à mon compagnon si je pouvais sortir, il m'a répondu : "Oui, fais vite car des touristes entrent maintenant..." Je suis vite sortie, en essayant de ne pas trop marcher dans la mare de pipi sous mes pieds, et inutile de dire que nous avons quitté les lieux le plus rapidement que nous pouvions sans demander l'absolution !

30 mai 2009

3 - En Hongrie : nous faisions des courses dans

3 - En Hongrie : nous faisions des courses dans un bazar au coin d'une ruelle. Une maman (trente ans maximum) avec deux enfants, un garçon (environ quatre ans)et une fille (six ou sept ans environ) dans la rue. Le garçon tirait le bras de sa maman et la fille lui parlait tout en ayant sa main à son entrejambe. Pas de doute, les enfants devaient faire pipi ! La maman est entrée dans la ruelle, et a dit a sa fille de descendre du trottoir et de se mettre entre deux voitures. La fillette a relevé son manteau et sa petite robe, baissé ses collants de laine et s'est vite accroupie pour se soulager pendant que la maman, toujours sur le trottoir avec son petit garçon tourné vers le caniveau, déboutonnait son pantalon, sortait son petit oiseau qui a immédiatement lâché un bel arc de cercle de pipi à peine dehors du slip. Les deux enfants ont fait un assez long pipi, le petit garçon a fini d'abord, sa maman a secoué son petit oiseau à plusieurs reprises puis l'a remis en place et fermé sa braguette, la petite fille a alors aussi fini, s'est relevée en se rhabillant, puis elle est remontée sur le trottoir à côté de sa maman et son frère. Ils voulaient partir, la maman a dit quelque chose, les enfants sont allés au coin de la rue, la fille a regardé et fait oui de sa tête, la maman est vite descendue entre les deux voitures, s'est mise quasi sur la place de sa fille, a ouvert son imperméable, déboutonné son pantalon, et l'a rapidement baissé en même temps que sa petite culotte, s'est accroupie en regardant vers le trottoir (dos à nous dans le magasin) et s'est mise à pisser, pisser, pisser ! Je croyais qu'elle n'allait jamais finir ! Ses enfants sont d'ailleurs venus voir, elle continuait de plus belle ! Les enfants riaient, riaient ! Et maman qui n'arrêtait plus ! Ca coulait sous elle dans toutes les directions, elle a d'ailleurs relevé le bas des jambes du pantalon qui était par terre pour ne pas le mouiller et a bougé de place en se déplaçant comme un canard (amusant à voir !) pour ne pas mouiller ses souliers par deux fois !

Je ne me souviens plus d'avoir vu une femme faire pipi si longtemps ! Une minute certainement ! Mais il y a une fin à tout, la source s'est tarie, elle s'est reculottée sans s'essuyer, a pris le temps de bien remettre ses vêtements en ordre, refermé son imperméable et est remontée sur le trottoir. Ses enfants riaient encore aux éclats d'avoir vu leur maman faire un énorme pipi, la maman riait aussi, son visage était radieux et resplendissait de bonheur après un tel soulagement (et on peut comprendre !).Quand regardant vers la fenêtre du magasin, elle nous a aperçu tout à coup ! Elle a fait une drôle de grimace, s'est rendue compte qu'on avait été témoin de la scène (sans savoir si on avait vu tout ou partie !) a fait un sourire tout gêné. Elle a alors vite pris ses sacs et ses enfants par la main et est partie en courant, regardant plusieurs fois par derrière elle si personne ne la suivait...

4 juillet 2009

9 - En Allemagne, un soir dans les faubourgs de

9 - En Allemagne, un soir dans les faubourgs de Berlin. Une femme et un homme rentraient, manifestement ils avaient bien arrosé leur soirée. L'homme disait sans cesse : "Piss et pinkel". A un moment, ils se sont arrêtés, la femme a dit : "Mein god, nein !". Elle a ouvert la tirette du pantalon de son compagnon,et en a sortit rapidement son oiseau qui faisait pipi déjà copieusement ! Manifestement l'homme n'avait plus tenu et avait commencé à sa culotte. La femme tenait l'oiseau en main et s'amusait à le faire aller à gauche et à droite, arrosant de la sorte la largeur du trottoir. Le pipi de l'homme s'est terminé par plusieurs jets successifs de plus en plus faibles, elle a secoué vigoureusement l'oiseau de son compagnon, un dernier petit jet, secouage et remise dans le pantalon en examinant les dégâts au pantalon. A voir son compagnon faire pipi, madame a eu aussi envie, elle a dégrafé sa ceinture, ouvert son pantalon, l'a baissé à ses chevilles, mais ayant un peu abusé d'alcool, elle avait du mal à tenir droite en place. Elle s'est donc appuyée sur l'aile d'une voiture garée, a baissé sa petite culotte, s'est mise à faire pipi avec force, voyant son jet mouiller sa petite culotte et la taille de son pantalon, elle a essayé de rajuster le tir tout en continuant à pisser comme une enragée, mais a perdu l'équilibre et a glissé contre l'aile de la voiture pour finir par tomber son popotin sur le sol assez lourdement. Elle n'avait pas l'air joyeuse, disait certainement des gros mots, incapable de s'arrêter de pisser, son compagnon a du s'y reprendre à trois fois pour la relever. Une fois debout, elle a relevé ses vêtements, vraiment pas contente d'être complètement trempée, son compagnon riait bien d'elle, lui disant des choses comme: "Tu t'es complètement pissé dessus ma belle, tu ne dois pas dire sur moi, je n'ai presque pas fait à ma culotte moi !" Ils sont partis vaille que vaille en continuant à s'insulter mutuellement ! Pas contente la femme de s'être complètement pissé dessus aussi stupidement !

31 août 2009

Une nouvelle anecdote de Krys...

Profitant du beau temps on est allé passer la journée à la côte d'Opale. Durant l'après-midi, une famille composée de deux enfants - garçon de seize ans et fille de quatorze ans environ, la maman, trente-cinq ans environ et la grand-maman, la soixantaine, - sont sur la plage. Les enfants sont en maillot, la maman aussi, un bikini, la grand-maman en robe d'été. A un moment, le garcon dit qu'il doit faire et va vers la falaise où il fait pipi, assez discrètement je dois dire. Revenu avec le reste de la famille, la fille dit quelque chose à l'oreille de sa maman. Sans doute qu'elle devait également faire pipi ! La maman lui dit : "J'en ai aussi besoin ! Viens avec moi, on va aller à l'eau." Le garçon demande : "Où vous allez ?" La maman lui a répondu : "Ta soeur et maman vont faire un peu trempette !" Et sur ce fait, elles courent toutes deux vers la mer, entrent dans l'eau, s'éclaboussent mutuellement comme pour s'amuser, puis rentrent un peu plus dans l'eau et s'assoient avec l'eau à leur taille. Elles riaient toutes les deux, elles parlaient, mais je ne pouvaient comprendre, étant trop loin... Elles appréciaient sans doute de pouvoir faire pipi à leur aise, n'imaginant certainement pas que je savais ce qu'elles faisaient. Elles sont assez rapidement sorties de l'eau et sont revenues s'essuyer sur la plage en ne disant mot de ce qu'elles venaient de faire. Une vingtaine de minutes après, j'ai surpris grand-maman dire assez bas à sa fille qu'elle avait un très grand besoin de faire pipi. Sa fille lui a demandé si elle pouvait tenir encore un moment, ce à quoi elle a répondu : "Non, je viens de bloquer tout juste !" Ca voulait dire qu'elle avait de justesse arrêté la descente de son flot de pipi, sans savoir si elle ne s'était pas faite un peu dessus. La grand-mère s'est alors accroupie à côté de sa petite fille et fille, ayant une robe d'été légère et assez ample, elle a couvert ses jambes et dégagé son derrière et a fait comme une butte de sable en faisant semblant de jouer un peu. Son visage était très tendu, à un moment ses traits se sont défait et elle s'est mise à sourire à sa fille. "Ca y est ?" a demandé sa fille. "Oui, comme c'est bon" a dit grand-maman. Elle était occupée à pisser sous sa robe à travers sa culotte si elle en portait une. Au bout d'une petite minute, grand-maman s'est relevée, une belle auréole humide sous elle, elle a attendu une petite minute peut-être, puis je la vois relever discrètement un peu sa robe, saisir sa taille et tout redescendre de cinq ou six centimètres. Elle a recommencé la manoeuvre plusieurs fois très discrètement et j'ai compris qu'elle baissait sa culotte sous sa robe le plus discrètement possible. Elle s'est arrêtée à un moment, quand sa culotte devait être un peu au dessus de ses genoux, puis a jeté un regard autour d'elle, a rapproché ses pieds et a fait tomber sa culotte à ses pieds. Une culotte de coton style grande culotte avec des petites fleurs imprimées... Une fois sa culotte à terre, elle l'a ramassée, a tordu son gusset d'où un peu de liquide s'est échappé. Elle s'est alors assise, a porté sa culotte entre ses jambes pour s'essuyer et l'a ensuite mise dans son sac. Elles sont encore restées une petite heure à la plage après.

Ce petit spectacle m'avait je vous l'avoue un peu excité moi et mes filles également. C'est nous qui avions envie de faire pipi à ce moment. Etant en maillot, on est allé se baigner toutes les trois, et, une fois dans l'eau, on a chacune ouvert à fond nos vannes !

2 septembre 2009

Pipi discret dans un parking, par Hella...

Ce matin je suis allé conduire maman chez la kiné. La séance dure une demi-heure et le rendez-vous était à dix heure trente. Nous sommes parties à dix heure cinq. Malheureusement, je n'avais pas fait pipi avant de partir ! On est arrivé à dix heure vingt-cinq et j'ai dit à maman que j'allais l'attendre sur le petit parking. La kiné avait du retard et la patiente avant maman est sortie à dix heures cinquante seulement. D'où j'avais mis la voiture, je voyais bien l'entrée du cabinet. A ce moment, j'avais déjà envie de pisser et à onze heure dix, j'en pouvais plus ! Et maman qui en avait encore pour dix ou quinze minutes auxquelles il fallait ajouter vingt minutes de route minimum pour arriver à la maison ! Pas possible, j'allais certainement faire à ma culotte avant ! J'avais une petite mini-jupe, pas de bas ni de panty et un petit string. Ma voiture était garée à côté d'une autre auto et c'était une résidence assez calme sans beaucoup le traffic. J'ai alors pris une carte de route dans la boîte à gants, je l'ai dépliée un peu, j'ai ouvert la porte avant et arrière de l'auto, je me suis assise sur le bord du siège du conducteur, j'ai relevé le derrrière de ma mini jupe pour avoir la peau sur le bord du siège, j'ai bien écarté mes jambes, la carte était sur mes genoux, j'ai regardé autour si ça allait. Avec ma main gauche j'ai tiré mon gusset du string sur le côté, avec ma main droite je tenais la carte, et j'ai commencé à pisser un vrai déluge en faisant semblant de lire la carte ! Je pissais tellement fort que mon pipi frappant le sol sur le macadam et éclaboussait sur mes chevilles et mes sandales ! J'ai pissé presque trente secondes sans arrêt et très fort ! Le pipi coulait entre mes jambes et j'ai du bouger un pied pour ne pas marcher dedans ! Quand j'ai eu fini, j'ai vu un petit garçon arriver sur le trottoir. Il est passé et m'a regardé en souriant, j'ai fait la même chose. Il s'est certainement demandé pourquoi il y avait de l'eau près de ma voiture. J'ai vu dans ses yeux que ça l'intriguait ! Moi j'étais bien mieux, après m'être soulagée, pour attendre maman sortir et rentrer à la maison. Vous voyez les filles, c'est facile de faire pipi discrètement dehors en auto ! Il ne faut pas souffrir en se retenant !

4 septembre 2009

Une anecdote de Krys...

Ce matin je suis allé faire quelques courses, poissonnerie, boulangerie et banque. J'avais un peu surestimé la grandeur de ma vessie je crois. Il faut avouer que depuis quelques semaines je dois prendre un petit médicament le matin pour ma pression du sang et que ça me fait faire pipi... La poissonnerie et la banque ça allait, j'avais pas envie alors je ne suis pas allé aux toilettes à la banque, mais une fois en route pour la boulangerie, ça a commencé à se faire sentir... Je suis vite allé à la boulangerie, bien entendu avant moi une vieille mémère qui parlait, parlait et ne savait pas trop ce qu'elle voulait prendre comme délicatesse, ce qui ne faisait pas mon affaire ! Je sentais que ça commencait à descendre dans mon petit conduit intérieur, je serrais mes cuisses le plus fort possible pour ne pas me mettre à pisser dans le magasin. Enfin on me sert, je paie et je sors le plus vite que je peux mais en gardant toute ma dignité devant cette mémère qui continuait à parler avec la patronne ! Une fois sur le trottoir, sauvée je dis dans ma tête, et il était temps car je commence à sentir des petits jets incontrolables qui chauffent mon minou et le gusset de ma culotte ! Je commencais à faire à ma culotte ! Et en plus je n'avais mis qu'un petit protège slip mini Téna, alors il n'a pas fallu beaucoup de pipi pour que ça déborde ! Heureusement j'ai pu me recontrôler jusque ma voiture garée pas trop loin, mais une fois à côté de ma voiture, juste le temps d'ouvrir mes portières pour faire un petit écran protecteur, et tout est parti pour de bon ! Je sentais le pipi couler le long des jambes de mon jeans et finir dans mes soquettes pour former un petit étang à mes pieds ! J'ai pissé complètement dans mon pantalon et j'étais absomument trempée ! J'ai mis le plaid sur mon siège et je suis vite rentrée chez moi pour m'essuyer et me changer.

28 juillet 2009

Retour d'un match de volley, par Ola...

Ma sœur aînée a joué assez longtemps dans une équipe de volley et j'allais la supporter assez régulièrement en déplacement avec des copains et copines. La petite aventure date de quelques années, je devais avoir presque dix-huit ans à l'époque. On était allé avec un bus et j'étais avec deux filles et quatre garçons. Vous imaginer que nous avions bu quelques consommations durant et après le match, d'autant que l'équipe de ma sœur avait gagné ! Arrive le moment du retour… Voulant tous aller faire pipi avant de monter dans le bus, une belle file et des toilettes plus très nettes ! On sort, les garçons ont vite trouvé, eux, un mur et le tour est joué. Pour nous les filles, il faut un peu chercher… mais qui cherche trouve, une remorque garée dans un endroit assez sombre conviendra parfaitement ! On y va, on passe derrière, l'endroit servait déjà ! On n'était pas les seules dans le cas ! Deux filles accroupies en pleine action ! Elles regardent un peu gênées, on se sourit, et je dis de suite: on vient ici pour la même chose, finissez à votre aise ! Les filles devaient être loin dans leur vidange, à peine six ou sept secondes après elles se relevaient quasi ensemble et remontaient vite leurs vêtements sans s'essuyer… On y va pour ne pas faire attendre les autres disent-elles et elles s'éclipsent. A la vue de leur mare de pipi à chacune, leur vessie était bien remplie et c'était certainement une grande urgence ! J'avais déjà déboutonné mon pantalon, baissés jeans et petite culotte et était accroupie, je m'apprêtais à ouvrir les vannes quand je vois mes deux amies encore debout sans rien faire. Et bien, grouillez-vous leur dis-je, on va finir par se faire remarquer des autres si vous traînez comme ça ! Ces deux filles étaient assez timides, elles devaient pisser comme moi, mais n'osaient visiblement pas s'y mettre ! C'est qu'on n'est pas habituées en dehors d'un toilette me disent elles ! Ben alors, faites comme moi, on est toutes pareilles! La plus hardie se déculotte, s'accroupit, et après un moment dit : "Ca ne vient pas, pourtant je dois faire ! Et pas un petit peu!" Moi je pissais copieusement depuis un bon bout de temps, je lui dit : "Ecoute mon petit bruit, pense à l'eau qui coule, tu sens que ça pousse et que ça descend, ça va sortir, je lui fait un petit "psssiiiiiittttt" pour l'aider, quand tout à coup, c'est parti qu'elle nous dit… que ca fait du bien quand on a tenu longtemps ! Et pour pisser, elle y allait, un vrai geyser incolore qui atterrissait sur le sol bien loin devant elle en éclaboussant de toute part tellement elle avait de la pression ! J'avais fini, j'ai bientôt fini elle me dit, je m'essuie, lui passe un papier pour qu'elle fasse de même."Merci" me dit-elle.Mais son autre copine était toujours debout sans bouger. Dépêche toi lui a-t-on dit ! Non, j'ai trop peur ! Tu n'as pas envie ? Un peu, mais j'ose pas ! On va te laisser seule si tu es gênée lui dis-je, on va t'attendre à côté et te prévenir en cas d'alerte ! L'autre fille avait fini, se reculottait et lui dit : "Vas-y, c'est pas si terrible, tu peux pas savoir comme je suis mieux maintenant !". Non, d'ailleurs je n'ai pas si envie que vous répond t-elle. A toi de savoir lui dis-je, mais songe qu'on en a pour deux petites heures jusqu'à chez nous ! Et c'est un vieux bus sans toilettes ! Et on part vers le bus, sa copine lui disant : "Tu vas regretter ta conduite stupide, c'est moi qui te le dit !". On rejoins le bus, on démarre et en route pour la maison ! La fille qui n'avait pas pissé était à mes côtés, je la voyais croiser ses jambes, bouger sur son siège par moment... Elle avait envie de faire mais se retenait stoïquement sans rien dire ! Il faisait calme dans le bus, les garçons dormaient un peu, sans doute du à l'heure tardive et la bière consommée après la victoire, les filles étaient calmes aussi. Deux filles étaient derrière nous, on roulait depuis une bonne heure, quand une dit : "J'ai encore envie de pisser, je crois avoir bu un peu trop de bière...". "Moi aussi, dit son amie, j'espère que les garçons vont demander un arrêt, car j'oserai pas demander ! On a encore roulé une dizaine de minutes, je commençais aussi à avoir envie, je voyais que ma copine d'à côté était vraiment dans un état avancé, elle avait mis sa main entre ses jambes, mon autre copine dans la rangée d'à côté avait aussi sa main entre ses jambes. Elle m'a sourit en disant: il faut que j'y aille encore malgré que j'ai fait juste avant le départ, les deux filles derrière nous nous disent: et nous aussi, si on ne s'arrête pas bientôt, il va y avoir des catastrophes dans le bus ! Deux garçons devant nous se réveillent, ils demandent où on est, on leur dit, et après très courte réflexion et jugeant ce qu'il y avait encore à parcourir, l'un dit : je vais demander au chauffeur de s'arrêter pour aller pisser ! Sauvées nous disons tout bas entre filles, notre calvaire est bientôt fini ! Le garçon était parti trouver le chauffeur, il revient, et dit à son copain : le chauffeur a dit qu'il s'arrêterait dès que possible sur un parking d'un établissement où, si une fille a aussi envie, elle pourra y aller également ! Au moins un homme pas macho ce chauffeur ! Un homme autour de la cinquantaine, mais vraiment chouette de penser à nous aussi les filles ! Et quelques minutes après, le car ralentit et s'arrête. Cinq minutes d'arrêt pipi pour ceux qui veulent dit le chauffeur, pour les dames et demoiselles il y a un bar-taverne au bout du parking il rajoute ! Merci beaucoup clame tout le bus, ça commençait à devenir nécessaire disent beaucoup de passagers ! Nous étions tous des jeunes, de quinze à trente ans maximum, un bus d'une quarantaine de place, quasi complet, vingt-cinq ou trente garçons et dix à quinze filles disons. J'avais entre temps remarquée ma voisine très mal à son aise, et je l'avais vue deux ou trois fois se tenir très fort, se pincer les lèvres, et pousser un soupir étouffé prononcé. Et la dernière fois, elle avait passé plusieurs fois sa main libre à son entrejambe, l'avait portée ensuite sous son nez et avait regardé son entrejambe avec insistance... J'étais quasi certaine qu'elle venait de faire un peu pipi à sa culotte cette fois ! Mais elle ne disait mot ! Quasi tout le monde était debout pour sortir, les deux filles derrière nous se levaient et disaient grouillez vous un peu devant pour sortir, il y a urgence au fond ! J'étais debout, ma copine de la rangée d'à côté aussi, mais celle à côté de moi encore assise. Alors, qu'est-ce que tu fais demande mon autre copine ? Tu n'as vraiment pas envie où quoi ? Oh que si ! Mais j'attends que ça se dégage pour sortir sans rester debout longtemps ! En voilà une idée dit mon autre copine ! Ben vous comprenez, vous savez... mais quoi enfin je demande ! Ben, je viens de me mouiller un peu il y a une minute, alors regardez discrètement mon derrière si vous voulez ! Les deux filles de derrière étaient devant nous, on était les dernières, on regarde... ça va, on ne voit quasi rien, il faut le savoir on lui répond !Et c'était vrai, juste une petite tâche sombre à l'entrejambe, mais c'était un jean foncé, c'était quasi invisible, et ses fesses étaient encore sèches. Nous voici hors du bus, les garçons ne cherchaient pas plus loin, ils étaient en une rangée tous en pleine action le long de l'allée devant des arbustes, quand à nous les filles, on courrait toutes vers le bar-taverne... certaines, dont ma copine qui s'était un peu mouillée se tenaient l'entrejambe en courant.... c'est curieux comme on perd toute pudeur en ces moments-là, et en plus quand on est uniquement entre filles ! Notre copine avait manifestement des difficultés de courir, elle avait sa main à son sexe bien sûr, mais devait s'arrêter régulièrement vu son état avancé... c'est fou ce qu'une petit centaine de mètres peuvent paraître long dans ces cas ! J'arrive dans les dernières, et plusieurs filles font demi-tour en disant : c'est pas vrai, c'est fermé ! Ah, si on pouvait être un garçon comme ce serait facile ! Les deux filles derrière nous, visiblement très très pressées disent : on s'en fout, on va derrière et on pissera où on peut ! N'importe où, n'importe comment, mais pas à notre culotte ! Les voilà parties sur le côté pour se rendre derrière, je les suis avec ma copine qui avait osé pisser à mes côtés derrière la remorque, et voilà que les filles qui avaient commencé à faire demi-tour se ravisent et nous suivent comme une ligne de petits canards derrière leur mère ! Il suffit d'une fille qui a plus de courage pour que les autres osent également ! J'arrive derrière avec ma copine, il y avait une assez grande cour pavée, pas une âme qui vive, notre autre copine suivait bien péniblement, les deux filles derrière nous, arrivées les premières étaient déjà accroupies dos à un mur et avaient déjà ouvert leur robinet à fond, on entendait un sifflement très prononcé, et l'une dit : oh mon dieu, que ça fait du bien ! Jamais je n'aurais tenu jusqu'à l'arrivée. Je les laisse à leur aise et je vais à quelques mètres d'elles à côté des bombonnes de gaz, ma copine est à mes côtés, on se déculotte et on y va également... cette fois-ci, elle n'est plus bloquée et ça part tout seul, un beau petit torrent s'écoule entre ses jambes, tout comme moi d'ailleurs ! Plusieurs autres filles étaient arrivées, chacune y allant de sa technique. Deux filles, les plus âgées du groupe, en jupe assez longue, étaient debout, avaient remonté leur jupe autour de leur taille, écarté leur jambes et mis leur fond de petite culotte sur le côté et envoyaient devant elle un fameux geyser de pipi qui éclaboussait de tous côtés en touchant le sol et mouillait leurs chevilles et chaussures ! Une fille avait baissé son pantalon à mi-cuisse et s'était assise sur une marche devant une porte, une autre s'était appuyée le bas du dos contre le mur pour avoir un appui, une autre avait trouvé une position des plus confortables en s'asseyant sur le bord d'un grand bac à fleur et pissait un vrai torrent sous elle, quand à notre deuxième copine qui n'avait pas osé pisser avec nous derrière la remorque avant le départ, elle arrive enfin alors que toutes les autres pissaient en laissant échapper des petits commentaires divers : comme ça fait du bien ! Heureusement qu'on s'est arrêtées, je crois que ça aurait été dur d'arriver au sec à destination, oh dis donc, je pisse comme une vache moi, ou simplement quelques soupirs qui résumaient bien leur état ! Notre copine nous ayant repéré, elle vient à côté de moi, elle dansait sur place avec ses jambes croisées et serrées très fort, une main vraiment plaquée et appuyant de toute ses forces sur son sexe, ouvrant tant bien que mal sa ceinture, dégrafant son pantalon et ouvrant sa tirette avec sa seule main encore disponible, pas facile, je vous jure, elle n'en pouvait plus,disant durant tout le temps de la manœuvre : ooohhhhh, que ça presse, je peux plus, je peux plus, ça coule déjà un peu dans mes jambes, viiiite, viiiite,pas facile de baisser son jean non plus dans de telles conditions, d'autant que c'était un jean très moulant....ce qui n'est pas rapide à baisser non plus ! Dans sa manœuvre, elle parvient à baisser son jean mais pas sa petite culotte ! Mais malheureusement pour elle, c'était un peu tard, on voyait un goutte à goutte assez rapide couler du fond de sa petite culotte, elle ne parvenait plus à tenir encore deux ou trois secondes ! Elle s'est vite accroupie, n'a pas eu le temps de s'accroupir au ras du sol que c'était parti pour du bon cette fois, elle pissait comme une enragée à travers son fond de petite culotte ! Et le mieux, c'est qu'elle ne s'en est pas rendu compte de suite ! C'est au bout de plus de dix secondes d'une vraie lance à incendie ouverte à fond qu'elle s'en rend compte et dit : et merde, j'ai pas baissé mon slip, je pisse dedans ! Tant pis, je ne pourrai pas arrêter, je finis dedans maintenant ! Ça ne m'est encore jamais arrivé un plan pareil ! Les filles finissaient de pisser les une après les autres, la plupart s'essuyaient, les deux en jupes juraient d'en avoir mis plein sur leurs souliers et bas des jambes, les filles assises derrière nous tâtant leur fond de petite culotte avouaient:on a un peu fait quelques gouttes, heureusement qu'on avait un protège-slip ! Et elles l'enlevèrent avant de se rhabiller. C'est fou ce que des filles pressées peuvent perdre quelques gouttes, car  cinq ou six filles ont certainement enlevé leur protège-slip ou essuyé leur fond de petite culotte avec du papier. Notre pauvre copine avait aussi enfin fini, elle était la dernière, beaucoup de filles retournaient déjà vers le bus, elle contemplait les dégâts en se reculottant: petite culotte trempée qu'elle a essuyé avec beaucoup de papier, fond de jeans mouillé qu'elle a essuyé aussi, ses jambes, un petit filet humide à l'intérieur jusqu'à mi-cuisses d'un côté et jusqu'au genoux de l'autre... Maintenant, malgré que le tissu était d'une teinte sombre, on pouvait deviner l'accident si elle se trouvait à la lumière. Heureusement il faisait noir à l'extérieur, et elle a gagné sa place entre nous deux pour cacher son accident. On est reparti et après une heure, avec la chaleur de son corps, ses jambes étaient quasi sec, juste son fond et un peu ses fesses à cause de son fond de culotte trempé ! Elle est descendue à la fin entre nous deux, nous a fait la bise et a couru vers la voiture de ses parents qui l'attendaient déjà. Le lendemain, elle nous a dit qu'elle avait de suite couru à la salle de bain une fois chez elle, et avait de suite mis ses vêtements dans la machine avant de prendre une douche. Ses parents n'avaient rien vu et elle nous a demandé de ne rien dire. Depuis ce jour, elle a été enhardie et n'a plus eu peur de pisser en dehors d'un toilette.

30 juillet 2009

Les réponses de Ola...

1 - Avez-vous déja été surprise par un homme en train de faire pipi ? Quelle a été votre réaction ? Une fois absolument certaine ! J'avais autour de douze ans à l'époque. Heureusement ma soeur aînée et maman faisaient aussi pipi  à côté de moi ! Et j'ai continué comme elles !

2 - Avez-vous déja fait volontairement fait pipi devant un garçon autre que votre amoureux du moment ? Non.

3 - Qu'est-ce qui vous gênerait le plus si un homme vous surprenait en train de faire pipi : qu'il vous voie dans cette situation, ou bien qu'il puisse voir votre sexe ? Je ne sais pas trop quoi dire !

4 - Vous êtes-vous déja servie d'une exhibition pipi pour susciter et obtenir un cunnilingus ? Non.

5 - Lorsque vous faites pipi devant lui, lui laissez-vous la possibilité de vous essuyer ? Si oui, est-ce avec le papier, les doigts ou la langue ? Je suis seule, dons pas de réponse !

6 - Quelle est votre opinion sur les hommes - notamment ceux qui fréquentent ce site, bien sûr - dont le fantasme est de regarder les filles faire pipi ? Tout le monde est plus ou moins voyeur. Du moment que ça reste soft et fun, pour moi je trouve qu'il n'y a pas de mal à cela !

7 - Quand et comment avez-vous compris que le spectacle d'une fille faisant pipi pouvait exciter les hommes, ou du moins certains d'entre eux ?  Et qu'en avez-vous pensé sur le coup ? D'abord maman et ma soeur aînée en ont parlé, on n'est pas coïncées à ce sujet en famille. Puis la première fois que je l'ai vu je crois que j'avais autour de quatorze ou quinze ans et c'était au théatre durant l'année scolaire.

8 - Vous arrive-t-il de refuser, juste pour le rendre fou, qu'il vous regarde faire pipi, et de tirer un plaisir amusé de sa frustration ? Je ne sais pas répondre car je suis seule.

9 - Avez-vous déja fait pipi devant un garçon suite à un pari perdu ? Non et ce ne sera pas demain la veille !

10 - Racontez votre plus belle expérience uro ! J'en ai eu quelques unes, mais laquelle choisir ? Je crois que c'est celle où ça a très mal tourné pour une professeur ! Elle a été containte de quitter l'enseignement d'elle-même sur le champ pour éviter un procès avec la perte de tous ses droits à la pension !

11 - Avez-vous déja fait pipi dans la bouche de votre partenaire ? Dans le cas contraire, le feriez-vous s'il vous le demandait ? Non.

12 - Pensez-vous que l'urolagnie fasse partie des pratiques sexuelles les plus dégradantes ? A chacun ses goûts et ses couleurs !

13 - Utilisez-vous des lingettes spéciales ou du simple papier toilette pour vous essuyer le sexe après avoir fait pipi ? Du papier.

14 - Un soupirant - dont vous ne savez réellement que faire, mais qui ne vous déplait pas - vous supplie au moment opportun de le laisser vous regarder faire pipi : votre réaction ? Pas de réponse étant seule. Et ce serait certainement non !

15 - Avez-vous déja remarqué ou soupçonné un trouble chez un garçon à qui vous veniez d'annoncer que vous alliez faire pipi ? Quelle fut alors votre attitude ? Bas oui ! Je reste naturelle. Nous sommes des britanniques pour quelque chose ! Bien que née sur le continent, le fond reste !

16 - Avez-vous déja surpris un homme espionnant une fille aux toilettes ou faisant pipi à l'extérieur ? Quelle fut votre réaction ? Non. Si ça venait à être le cas, il ne devrait pas trop insister !

17 - Y a-t-il des mots ou expressions concernant votre sexe qui vous déplaisent ? Lesquels ? Les mauvais mots. Je n'aime pas le mot cul, ça fait vulgaire... Je préfère arrière-train, popotin, etc...

18 - Aimez-vous lorsque votre partenaire vous adresse des compliments au sujet de votre sexe ? Quels sont alors ces compliments ? Je sais pas répondre honnêtement !

28 septembre 2009

Les réponses de Nadia...

1 - Avez-vous déjà fait pipi en extérieur (en dehors des toilettes) ? Oui souvent.

2 - Si vous avez répondu oui à la question 1 : à quel endroit précisément avez-vous fait pipi ? Un peu partout (forêt, parking, ...).

3 - Dans quelles circonstances avez-vous fait pipi dehors ? Pas de toilettes.

4 - Arrive t-il que vous soyez obligée de vous retenir de faire pipi ? Si oui, pourquoi ? Oui en cours, ou la flemme d'aller aux toilettes.

5 - Vous souvenez-vous de la fois où vous avez eu le plus envie de votre vie ? (Où cela se passait et ce que vous avez fait). Sortie des cours, je me retenais depuis un serieux moment. Quand je me suis assise dans le bus j'ai tout lâché, comme il pleuvait j'ai dit que c'était de l'eau.

6 - Avez-vous déjà surpris quelqu'un en train de faire pipi dans la rue ou ailleurs ? Quelle a été sa réaction ? Des filles à la plage, elles ne m'ont pas vu.

7 - Quel est l'endroit le plus insolite où vous ayez fait pipi ? Oulala dur comme question, je sais pas je dirais dans un manège a la foire.

8 - Quand vous êtes dans des toilettes publiques, comment évitez-vous de vous "salir" ou d'effleurer la cuvette ? Je m'assoie sauf si c'est vraiment sale je me retiens.

9 - Le matin, êtes-vous plutôt :

- pipi goutte à goutte ;

- pipi copieux et sonore ;

- fontaine intarissable ;

- pipi saccadé et dru ? Fontaine intarissable.

10 - Est-il arrivé que vous ayez l'impression que vous ne pourriez en finir tellement vous aviez envie ? Oui surtout que je me retiens souvent.

11 - En cas de grosse envie :

- vous ne dépassez guère trente secondes non stop ;
- vous atteignez facilement la minute ;
- vous dépassez facilement la minute ;
- vous pouvez atteindre les deux minutes aisément. "Vous dépassez facilement la minute".

12 - Avez-vous déjà entendu une femme faire pipi très longuement ? Si oui, qui était-ce et à quelle occasion ? Je ne crois pas.

13 - Pour vous, faire pipi c'est :

- un geste naturel spontané donc irrefléchi ;

- un moment de plaisir où l'on se soulage ;

- l'occasion de réfléchir à tout et n'importe quoi ;

- un moment où vous vous "lachez" ? Un geste naturel spontané donc irrefléchi.

14 - Avez-vous déjà été surprise en train de faire pipi ? Quelle a été votre réaction ? Une soirée du nouvel an, j'avais abusé de la boisson, et je me suis mise à pisser sous ma jupe devant les toilettes alors que deux copines allaient me mettre couchée. La honte le lendemain matin (dailleurs les filles en rigole encore quand elles me voient).

15 - Cela vous gêne t-il que l'on puisse vous entendre faire pipi ? Dans l'affirmative, quelle(s) précaution(s) prenez-vous afin d'éviter cela ? Non.

16 - Avez-vous déjà vu une amie, un ami ou votre conjoint faire pipi ? Si oui, trouvez-vous cela "naturel" ou "choquant" ? Non, mais c'est naturel.

17 - Avez-vous déjà fait pipi devant quelqu'un ? Voir la question 14.

18 - Connaissez-vous des "trucs", des "endroits" pour faire pipi à l'abri des regards quand une envie vous prend ? En général j'essaie de trouver des toilettes, si non il m'arrive de me laisser aller petit à petit dans ma culotte pour éviter les flaques au sol. (Pour pratiquer souvent je peux dire que personne ne prête attention à la tâche sur le jean). Et puis en jupe.

19 - Avez-vous déjà ressenti une "jouissance" en faisant pipi après vous être très longtemps retenue ? Ca oui ! ! !

20 - Si oui, avez-vous déja fait expres de vous retenir pour ensuite avoir du plaisir en faisant pipi ? Dans quelles circonstances ? Oui juste par flemme d'aller aux toilettes.

21 - A partir du moment où vous avez envie de faire pipi, combien de temps pouvez-vous vous retenir ? Je dirai une heure.

22 - Avez-vous déjà involontairement fait pipi dans votre culotte ? Oui.

23 - Portez-vous plutôt des bas ou des collants ? Collants.

24 - Quel âge avez-vous ? 17 ans.

28 septembre 2009

Les réponses de Luana...

1 - Avez-vous déjà fait pipi en extérieur (en dehors des toilettes) ? Oui souvent.

2 - Si vous avez répondu oui à la question 1 : à quel endroit précisément avez-vous fait pipi ? Dans un ascenseur, dans un bus, dans un train, à la plage, dans une cabine d'essayage..

3 - Dans quelles circonstances avez-vous fait pipi dehors ? Pas de toilettes ou envie trop pressante pour se retenir davantage.

4 - Arrive t-il que vous soyez obligée de vous retenir de faire pipi ? Si oui, pourquoi ? Oui si je travaille sans avoir le temps de faire une pause pipi, ou quand il n'y a pas de toilettes à proximité.

5 - Vous souvenez-vous de la fois où vous avez eu le plus envie de votre vie ? (Où cela se passait et ce que vous avez fait). En ville, apres avoir fait la queue pendant trente minutes pour essayer une robe, j'avais une super envie de faire pipi, et je pensais pouvoir me retenir mais une fois que j'ai passé la robe, tout est parti dans ma culotte et j'ai fini par faire tout mon pipi dans la cabine, par terre...

6 - Avez-vous déjà surpris quelqu'un en train de faire pipi dans la rue ou ailleurs ? Quelle a été sa réaction ? Une fois au boulot, une collègue faisait pipi dans la poubelle de son bureau quand je suis rentrée, elle m'a avoué rougissante que toutes les toilettes étaient occupées et elle ne pouvait plus se retenir...

7 - Quel est l'endroit le plus insolite où vous ayez fait pipi ? Peut être dans la cabine d'essayage, ou alors dans un ascenseur, une fois où j'étais bloquée dedans avec un copain. Je ne pouvais plus me retenir alors j'ai fait par terre.

8 - Quand vous êtes dans des toilettes publiques, comment évitez-vous de vous "salir" ou d'effleurer la cuvette ? Je mets du papier toilette sur la cuvette.

9 - Le matin, êtes-vous plutôt :

- pipi goutte à goutte ;

- pipi copieux et sonore ;

- fontaine intarissable ;

- pipi saccadé et dru ? Fontaine intarissable.

10 - Est-il arrivé que vous ayez l'impression que vous ne pourriez en finir tellement vous aviez envie ? Oui surtout le matin !

11 - En cas de grosse envie :

- vous ne dépassez guère trente secondes non stop ;
- vous atteignez facilement la minute ;
- vous dépassez facilement la minute ;
- vous pouvez atteindre les deux minutes aisément. J'atteins la minute.

12 - Avez-vous déjà entendu une femme faire pipi très longuement ? Si oui, qui était-ce et à quelle occasion ? Oui, souvent aux toilettes du bureau.

13 - Pour vous, faire pipi c'est :

- un geste naturel spontané donc irrefléchi ;

- un moment de plaisir où l'on se soulage ;

- l'occasion de réfléchir à tout et n'importe quoi ;

- un moment où vous vous "lachez" ? Un geste naturel spontané donc irrefléchi.

14 - Avez-vous déjà été surprise en train de faire pipi ? Quelle a été votre réaction ? Oui, à la plage, je m'isole souvent pour faire pipi dans un coin sur le sable, car je n'aime pas faire dans l'eau. Plusieurs fois mes copines m'ont surprise en train de pisser, et à chaque fois ça me gêne un peu... Et même, la derniere fois que j'ai fait à la plage, je faisais la grosse commission dans les dunes - eh oui je ne pouvais plus me retenir non plus... - quand une copine est arrivée pour me chercher. Là, la honte de ma vie...

15 - Cela vous gêne t-il que l'on puisse vous entendre faire pipi ? Dans l'affirmative, quelle(s) précaution(s) prenez-vous afin d'éviter cela ? Non.

16 - Avez-vous déjà vu une amie, un ami ou votre conjoint faire pipi ? Si oui, trouvez-vous cela "naturel" ou "choquant" ? Une amie oui, je ne trouve pas ça choquant, et mon conjoint ne ferme jamais la porte quand il va faire pipi, donc je l'entends très distinctement, mais je ne l'ai jamais vraiment vu.

17 - Avez-vous déjà fait pipi devant quelqu'un ? Voir la question 14.

18 - Connaissez-vous des "trucs", des "endroits" pour faire pipi à l'abri des regards quand une envie vous prend ? Quand je suis en jupe c'est facile, je me mets dans un coin et je me lâche directement, mais en pantalon c'est plus difficile... Faire dans le pantalon est toujours un peu risqué pour la tâche après mais bon, en pantalon noir ça passe... D'ailleurs le must c'est pantalon noir sous la pluie ! :)

19 - Avez-vous déjà ressenti une "jouissance" en faisant pipi après vous être très longtemps retenue ? Ca oui ! ! !

20 - Si oui, avez-vous déja fait expres de vous retenir pour ensuite avoir du plaisir en faisant pipi ? Dans quelles circonstances ? Oui parfois, quand je suis seule chez moi et que je sais qu'un pipi culotte ne serait pas très grave...

21 - A partir du moment où vous avez envie de faire pipi, combien de temps pouvez-vous vous retenir ? Je dirais une heure.

22 - Avez-vous déjà involontairement fait pipi dans votre culotte ? Oui souvent ! Pas plus tard qu'hier, j'étais au ciné - en jupe, ouf ! - et en éternuant, j'ai lâché un jet de pipi énorme, suivi par plein d'autres...

23 - Portez-vous plutôt des bas ou des collants ? Les deux !

24 - Quel âge avez-vous ? 24 ans.

28 septembre 2009

Une anecdote de Hella...

Dernièrement maman et moi on est allé faire le marché pour les petites provisions. On commence souvent par faire le petit tour des marchands divers, puis direction la fromagerie et la boulangerie pour acheter des produits, on retourne mettre les achats dans la voiture et on retourne pour finir pour des fruits et des légumes. Souvent on met la voiture dans une petite rue ce qui nous permet de faire notre petit pipi - on est beaucoup mieux quand on a fait couler nos petits thés et jus de fruits du matin hors de notre vessie ! - avant de finir les derniers petits achats. Il est souvent autour de onze heures quinze quand on arrive pour les fruits et les légumes. On connaît bien le marchand et il a plusieurs vendeuses, principalement des femmes. Ce jour il y avait une femme de vingt-cinq ans environ qui servait et on a remarqué qu'elle croisait ses jambes et dansait un peu devant la balance en pesant les achats des clients. Elle a fini le client, puis a commencé avec un autre en continuant la même chose. Maman me fait un petit coup de coude, je lui dis tout bas à l'oreille : "J'ai vu et je crois la même chose que toi ! On va regarder encore la présentation pour voir ce qui va suivre je dis à maman". Elle a fini le client, puis un autre encore (Souvent il y a beaucoup le monde chez ce marchand !). Et en pesant on a vu par deux fois qu'elle mettait sa main à son entrejambe, ça pressait de plus en plus certainement. Quand elle a eu fini, elle a dit à une autre vendeuse: "Je vais voir au camion et je reviens". On l'a vu passer sur le côté du stand et disparaître derrière la bâche. Maman et moi on est allé sur le côté comme pour voir des fruits, puis on s'est un peu écarté pour regarder vers le camion stationné derrière le stand, et la entre la bâche et le camion, la vendeuse était en hight-squatting, son jean baissé avec sa petite culotte à la moitié de ses cuisses, son popotin bien en arrière, ses pieds assez écartés, et elle pissait… un très puissant jet sortait entre ses fesses, couleur limpide, et s'écrasait avec violence sur le sol en éclaboussant de tous les côtés et formait un immense étang de pipi sur le macadam ! La vendeuse n'arrêtait pas de pisser, sans doute elle n'avait pas encore fait depuis le début du marché. A un moment on a vu le jet faiblir, elle a sans doute poussé pour bien se vider car elle a encore fait trois ou quatre petits jets très courts mais très forts, puis rien que des gouttes… Elle s'est secoué plusieurs fois comme un canard qui sort dehors de l'eau puis s'est mis droite pour remonter son jean. On a vite regardé l'étalage comme si on n'avait rien vu ! Elle avait pissé tellement une grande quantité qu'un petit ruisseau de pipi débordait dessous la bâche dans le couloir où les vendeuses marchaient ! Elle nous a regardé, on lui a sourit et nous a sourit en rougissant un peu, on voyait qu'elle devinait qu'on savait et avait vu ce qu'elle venait de faire, elle a demandé en souriant ce qu'on voulait, maman a dit : "Vous pouvez nous servir, vous êtes plus à l'aise maintenant ?". "Oh oui, ça va beaucoup mieux" a-t-elle répondu assez timidement.

Je lui ai dit : "Vous savez maman et moi on fait la même chose près de l'auto en déposant les premiers achats avant le venir chez vous !" En nous servant elle a dit : "Souvent je fais un petit peu plus tôt, mais aujourd'hui il y a eu beaucoup de monde et ça n'arrêtait pas !" Et pendant qu'elle faisait notre ticket, une autre vendeuse d'environ quarante-cinq ans lui a dit : "Je vais voir au camion…". "Elle aussi doit y aller, c'est aussi la première fois pour elle depuis ce matin ! C'est notre petit code à nous pour dire ce que vous savez…". Elle avait l'air un peu gênée de nous dire cela ! "C'est tout naturel vous savez " on lui a dit. Et sur ce temps, on a vu un peu de liquide commencer à couler dessous de la bâche un peu à côté de la première trace. Sa collègue se soulageait également très fort sans doute! Puis on a payé et quand on partait, sa collègue revenait, le visage tout joyeux. "Ca va mieux " l'a t-on entendu dire tout bas à son amie en souriant très fort ! "Moi ça va mieux depuis cinq minutes" lui a répondu la vendeuse qui nous avait servi ! On a dit bon week-end en souriant aux deux vendeuses et on est parti.

30 septembre 2009

Souvenir d'un pipi poubelle, par Krys...

En lisant la réponse de Luana à la question 6, je me souviens d'avoir une fois été obligée de faire la vidange de ma vessie également dans une poubelle au travail. Lorsque j'étais étudiante, avec mon compagnon on essayait d'avoir des jobs pour augmenter un peu nos maigres revenus. Cette anecdote date de plus de trente ans. Comme j'avais la chance d'être polyglotte, je trouvais souvent des jobs dans des call-center d'accueil. Un après-midi je commencais à treize heures entre jusqu'à dix-huit heures ans pause. Je ne sais pas si j'avais un peu trop bu au lunch, mais vers seize heures trente j'ai commencé à ressentir une petite envie qui est devenue de plus en plus forte avec le temps qui passait très lentement pour moi ! Je croisais mes jambes, serrait mes cuisses, me balancait sur ma chaise, mais impossible de faire passer l'envie. Et cette horloge qui n'avancait pas... J'avais maintenant carrémént mis ma main à mon entrejambe ! Heureusement j'avais la mini-jupe, pas de panty ni bas, juste ma petite culotte et j'en étais arrivée à me pincer mes lèvres de mon pussy pour tenir mon petit trou à pipi fermé et empêcher l'épanchement sous ma chaise ! Il était alors seulement à peine dix-sept heures trente, encore une demi-heure à tenir ! Mais dans mon état, c'était mission impossible et je sentais que je ne tiendrais plus, car j'étais, au prix de contractions terribles, parvenu déjà deux fois à arrêter le flot qui commencait à descendre et à la deuxième alerte j'avais senti quelques gouttes de pipi qui avaient franchi le dernier barrage et avaient été absorbées par le gusset de ma petite culotte ! La prochaine alerte, tu es bonne pour l'inondation cette fois ma fille, me disais je ! Non, tout mais pas ca ! Heureusement j'étais assez isolée, mon bureau était fermé et, devant moi, miracle, j'avais une poubelle non ajourrée ! Je n'ai pas beaucoup hésité, avec une jambe j'ai rapproché la poubelle le plus discrètement possible devant mes jambes, puis avec une main je l'ai placée devant ma chaise mais un peu en dessous, tout en continuant mon travail je me suis discrètement un peu levée pour dégager mon popotin de ma jupe, j'étais maintenant assise les fesses directement sur ma chaise, et alors, en un éclair j'ai mis mon gusset de petite culotte sur un côté et.... il était temps, au cours de la dernière manoeuvre le barrage avait cédé et c'était parti pour du bon ! Je pissais, pissais, pissais ! J'essayais de me retenir comme je pouvais pour ne pas faire trop fort et surtout ne pas être trop bruyante pour ne pas me trahir ! Je crois avoir fait pendant bien une bonne minute ! Il faut dire que le temps m'a paru une éternité ! Heureusement j'ai pu me vider à fond sans être trahie ! A dix-huit heures j'ai attendu que tout le monde soit parti pour essuyer ma chaise et le sol avec des tissus - j'avais un peu fait autour ! - et aller vider la poubelle à l'égout !

Mais j'avais sauvé mes vêtements et pas connu une petite honte. Dans ce genre de job j'ai connu deux femmes qui n'ont pas eu ma chance ou mon audace et qui se sont complètement pissées dessus ! Il faut dire qu'une était en pantalon, donc pas si évident qu'avec la jupe !

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