1 - Avez-vous déja été surprise par un homme en train de faire pipi ? Quelle a été votre réaction ? C'est possible, mais j'ai toujours été méfiante et j'ai toujours tout fait pour ne pas être vue. Si j'ai eu un voyeur, j'espère que le spectacle lui a plu.

2 - Avez-vous déja fait volontairement fait pipi devant un garçon autre que votre amoureux du moment ? Non, jamais. Il n'en est pas question.

3 - Qu'est-ce qui vous gênerait le plus si un homme vous surprenait en train de faire pipi : qu'il vous voie dans cette situation, ou bien qu'il puisse voir votre sexe ? Oui je serais franchement gênée qu'il me voit dans cette situation. Qu'il voit mon sexe ? Cela me parait difficile, à moins qu'il soit vraiment près. Mais cela est impossible.

4 - Vous êtes-vous déja servie d'une exhibition pipi pour susciter et obtenir un cunnilingus ? Oui, cela m'arrive. Mon compagnon ne dédaigne pas lécher les dernières gouttes. Et cela va parfois plus loin qu'un simple essorage.

5 - Lorsque vous faites pipi devant lui, lui laissez-vous la possibilité de vous essuyer ? Si oui, est-ce avec le papier, les doigts ou la langue ? Oui, bien sûr et souvent. Voir réponse précédente. Tous les moyens sont bons selon notre humeur, nos envies, le lieu etc...

6 - Quelle est votre opinion sur les hommes - notamment ceux qui fréquentent ce site, bien sûr - dont le fantasme est de regarder les filles faire pipi ? On les appelle des "voyeurs" évidemment. Mais je pense que c'est un état d'esprit naturel. C'est de l'érotisme en fait. Et d'ailleurs les femmes en général ne dédaignent pas se laisser voir à celui qu'elles ont choisi. C'est aussi un moyen de provocation, voire d'appel dont nous disposons nous les femmes. 

7 - Quand et comment avez-vous compris que le spectacle d'une fille faisant pipi pouvait exciter les hommes, ou du moins certains d'entre eux ?  Et qu'en avez-vous pensé sur le coup ? Tout à fait par hasard. Un jour je fus prise d'une vraie grosse envie sur la route. Mon compagnon arrêta la voiture au bord un petit chemin. J'avais ce jour  là une jupe étroite. A l'abri d'une haie, debout, je n'eus que le temps de la relever et de tirer le fond de ma culotte pour me soulager. C'est la première fois que mon compagnon me voyait dans cette situation, je vis à sa tête qu'il en était surpris et intéressé. Nous en avons parlé en suite et bien sûr maintenant, je me montre un peu plus discrète si c'est un simple pipi "nécessité". Si non il m'arrive aussi de faire une vraie exhib. Voir réponse 6. J'ai raconté cet épisode sur un site que je ne citerai pas ici mais que je puis communiquer à ceux et celles qui voudraient des détails.

8 - Vous arrive-t-il de refuser, juste pour le rendre fou, qu'il vous regarde faire pipi, et de tirer un plaisir amusé de sa frustration ? Certainement pas. Je suis peut-être un tantinet "exhib" mais pas du tout sadique.

9 - Avez-vous déja fait pipi devant un garçon suite à un pari perdu ? Non. J'ai horreur du jeu et ce n'est pas le genre de chose que je risquerais. Et en plus dans ce cas je serais sans doutes bloquée donc de tenir mes engagements. Mais je veux bien admettre que ce peut être l'enjeu d'un pari.

10 - Racontez votre plus belle expérience uro ! C'est une situation que je crée parfois pour faire passer un message. J'invite mon compagnon à assister à mon pipi et je fais en sorte qu'il soit très près de moi et qu'il n'en manque rien. Que cela se passe dans la nature, aux toilettes publiques, ou à la maison, j'essaie d'adopter une attitude provocante. Cela peut-même se passer aux urinoirs masculins. C'est une invitation à aller plus loin évidemment.

11 - Avez-vous déja fait pipi dans la bouche de votre partenaire ? Dans le cas contraire, le feriez-vous s'il vous le demandait ? Non. Je ne pense pas qu'il me le demande un jour. Je refuserais considérant cela comme humiliant. Mais il lui arrive de récupérer les dernières gouttes avec la langue pour me sécher. 

12 - Pensez-vous que l'urolagnie fasse partie des pratiques sexuelles les plus dégradantes ? Certainement pas. Au contraire. cela fait partie de l'érotisme le plus pur. Ceux qui disent le contraire ont tort.

13 - Utilisez-vous des lingettes spéciales ou du simple papier toilette pour vous essuyer le sexe après avoir fait pipi ? La lingette spéciale imprégnée c'est le grand luxe mais j'en ai rarement à ma disposition.  Aux toilettes, c'est le papier toilette classique et dans la nature c'est le Kleenex dont moi ou mon compagnon sommes toujours pourvus précisément pour ces situations.

14 - Un soupirant - dont vous ne savez réellement que faire, mais qui ne vous déplait pas - vous supplie au moment opportun de le laisser vous regarder faire pipi : votre réaction ? Alors là, pas d'hésitation. Même en cas d'urgence il n'aura pas ce plaisir. Je trouverais bien un moyen de faire loin de ses regards. Les supplications et les pleurs ne me feront pas fléchir. Et si jamais il se montrait trop entreprenant... ce serait sa fête.

15 - Avez-vous déja remarqué ou soupçonné un trouble chez un garçon à qui vous veniez d'annoncer que vous alliez faire pipi ? Quelle fut alors votre attitude ? Il est bien connu qu'en société dès qu'une femme annonce qu'elle va aux toilettes ou que même discrètement et involontairement elle le laisse deviner, il est sûr qu'elle attire le désir des hommes de se joindre à elle et que la plupart sont réellement frustrés de ne pouvoir le faire. Je pense que c'est une attitude un peu normale.Voir réponse 6.

16 - Avez-vous déja surpris un homme espionnant une fille aux toilettes ou faisant pipi à l'extérieur ? Quelle fut votre réaction ? Non, je n'ai jamais remarqué ce genre de chose. Par contre beaucoup d'hommes sont heureux de pouvoir capter le bruit de la sortie du pipi ou le bruit de la chute dans la cuvette. Quand elles croient être entendues la plupart des femmes font en sorte d'être la plus discrète possible. Comme précédemment voir réponse 6.

17 - Y a-t-il des mots ou expressions concernant votre sexe qui vous déplaisent ? Lesquels ? Oui... un seul... "le cul"... Je trouve ce mot vulgaire alors qu'il existe tant de petits noms gentils à donner à cet endroit. Vous connaissez la chanson de Pierre Perret "Celui d'Alice" ? Je vous conseille de l'écouter.

18 - Aimez-vous lorsque votre partenaire vous adresse des compliments au sujet de votre sexe ? Quels sont alors ces compliments ? Mais toutes les femmes adorent cela voyons ! Ce sont surtout les sexes épilés qui attirent le plus de compliments. Ces compliments utilisent souvent des comparaisons flatteuses et... confidentielles. Désolée.

1 - Avez-vous déja été surprise par un homme en train de faire pipi ? Quelle a été votre réaction ? Oui, réellement deux fois. C'était tellement urgent que j'ai continué, sincèrement j'aurais été incapable d'arrêter !

2 - Avez-vous déja fait volontairement fait pipi devant un garçon autre que votre amoureux du moment ? Non, et je ne suis pas du genre à le faire. Je suis audacieuse, mais pas du tout exhib !

3 - Qu'est-ce qui vous gênerait le plus si un homme vous surprenait en train de faire pipi : qu'il vous voie dans cette situation, ou bien qu'il puisse voir votre sexe ? Voir mon sexe, je crois que ce ne serait pas très facile. Me voir en position "critique" serait plus délicat je crois. Par contre, en pantalon et avec un accessoire, cela m'est bien égal ! Le plus important dans ce cas, c'est que je me sente mieux de pouvoir faire pipi !

4 - Vous êtes-vous déja servie d'une exhibition pipi pour susciter et obtenir un cunnilingus ? Jamais.

5 - Lorsque vous faites pipi devant lui, lui laissez-vous la possibilité de vous essuyer ? Si oui, est-ce avec le papier, les doigts ou la langue ? Oui. Du papier généralement, plus exactement un Kleenex.

6 - Quelle est votre opinion sur les hommes - notamment ceux qui fréquentent ce site, bien sûr - dont le fantasme est de regarder les filles faire pipi ? En eux-mêmes, les hommes ont tous un côté voyeur. Chez certains, c'est plus prononcé que chez d'autres. Sincèrement je prèfère un homme qui fantasme en regardant une femme faire pipi plutôt qu'un homme qui abaisse une femme en la torturant, la violentant ou en l'abaissant contre sa volonté !

7 - Quand et comment avez-vous compris que le spectacle d'une fille faisant pipi pouvait exciter les hommes, ou du moins certains d'entre eux ?  Et qu'en avez-vous pensé sur le coup ? C'était il y a trente-cinq ans, lorsque j'ai fait à ma culotte devant un garçon qui est devenu mon mari après une soirée étudiants et j'en ai eu la confirmation un peu après lorsque lors d'une terrible urgence en ville j'avais simplement relevé ma jupe entre deux voitures et faisait pipi comme une enragée debout en ayant juste eu le temps de tirer mon gusset de petite culotte sur le côté... et à pleine pression quand un indésirable s'est pointé au loin, j'ai lâché mon gusset et rebaissé ma jupe, mais c'était trop fort, et j'ai fini au travers de mon gusset de petite culotte !

8 - Vous arrive-t-il de refuser, juste pour le rendre fou, qu'il vous regarde faire pipi, et de tirer un plaisir amusé de sa frustration ? Jamais essayé !

9 - Avez-vous déja fait pipi devant un garçon suite à un pari perdu ? Jamais.

10 - Racontez votre plus belle expérience uro ! J'en ai eu plusieurs, mais je crois que c'est quand j'ai fait dans des urinoirs. Une de mes meilleures est dans le blog sous forme d'une bande dessinée avec le concours de PPH lorsqu'avec mes deux filles nous avions fait pipi dans un urinoir dans une ville du Nord de la France voici une quizaine d'années maintenant.

11 - Avez-vous déja fait pipi dans la bouche de votre partenaire ? Dans le cas contraire, le feriez-vous s'il vous le demandait ? Non. Et je ne suis pas prête de le faire !

12 - Pensez-vous que l'urolagnie fasse partie des pratiques sexuelles les plus dégradantes ? Je n'ai pas d'opinion personnelle. Ceux qui aiment aiment. Ceux qui n'aiment pas sont libres de ne pas aimer !

13 - Utilisez-vous des lingettes spéciales ou du simple papier toilette pour vous essuyer le sexe après avoir fait pipi ? Généralement du papier.

14 - Un soupirant - dont vous ne savez réellement que faire, mais qui ne vous déplait pas - vous supplie au moment opportun de le laisser vous regarder faire pipi : votre réaction ? Ce serait non certainement. Audacieuse et pas vite choquée je le suis, mais je n'ai jamais été une exhibitionniste pure !

15 - Avez-vous déja remarqué ou soupçonné un trouble chez un garçon à qui vous veniez d'annoncer que vous alliez faire pipi ? Quelle fut alors votre attitude ? Beaucoup d'hommes aiment bien ces moments je crois... J'ai toujours essayé d'être la plus "détachée" tout en continuant à l'observer adroitement...

16 - Avez-vous déja surpris un homme espionnant une fille aux toilettes ou faisant pipi à l'extérieur ? Quelle fut votre réaction ?

17 - Y a-t-il des mots ou expressions concernant votre sexe qui vous déplaisent ? Lesquels ? Les mots vulgaires. N'étant pas francophone je ne peux pas en dire vraiment !

18 - Aimez-vous lorsque votre partenaire vous adresse des compliments au sujet de votre sexe ? Quels sont alors ces compliments ? Comme beaucoup de femmes je crois qu'on n'est pas insensibles à de tels compliments à propos de notre minou.

1 - Avez-vous déja été surprise par un homme en train de faire pipi ? Quelle a été votre réaction ? Une fois c'est certain ! J'avais environ seize ou dix-sept ans à l'époque et heureusement maman était avec moi et elle a très bien gérée la situation ! Ca m'a permis de savoir quoi faire au cas où...

2 - Avez-vous déja fait volontairement fait pipi devant un garçon autre que votre amoureux du moment ? Non, jamais !

3 - Qu'est-ce qui vous gênerait le plus si un homme vous surprenait en train de faire pipi : qu'il vous voie dans cette situation, ou bien qu'il puisse voir votre sexe ? Les deux je crois.

4 - Vous êtes-vous déja servie d'une exhibition pipi pour susciter et obtenir un cunnilingus ? Non.

5 - Lorsque vous faites pipi devant lui, lui laissez-vous la possibilité de vous essuyer ? Si oui, est-ce avec le papier, les doigts ou la langue ? Le seul homme en face de qui je fasse pipi c'est mon papa ! Et je suis trop grande pour que l'on m'essuie encore ! Si je m'essuie, c'est moi-même avec du papier.

6 - Quelle est votre opinion sur les hommes - notamment ceux qui fréquentent ce site, bien sûr - dont le fantasme est de regarder les filles faire pipi ? C'est ce que l'on appelle du voyeurisme. Et tout le monde, homme ou femme l'est plus ou moins. Pour moi, cela n'est pas bien méchant. Je préfère rencontrer un voyeur plutôt qu'un violeur !

7 - Quand et comment avez-vous compris que le spectacle d'une fille faisant pipi pouvait exciter les hommes, ou du moins certains d'entre eux ?  Et qu'en avez-vous pensé sur le coup ? Je l'ai appris par maman qui m'en a parlé. Vers dix-sept ans je crois j'ai remarqué l'intérêt des garçons pour la chose quand dans un bus en voyage scolaire des filles ont aussi demandé un arrêt... Le bus s'étant arrêté dans un parking sans toilettes, certains garcons avaient des yeux brillants et auraient bien donné une fortune pour nous voir à l'oeuvre !

8 - Vous arrive-t-il de refuser, juste pour le rendre fou, qu'il vous regarde faire pipi, et de tirer un plaisir amusé de sa frustration ? Je ne suis pas avec un homme, donc je ne sais pas !

9 - Avez-vous déja fait pipi devant un garçon suite à un pari perdu ? Jamais, et il n'en sera jamais question !

10 - Racontez votre plus belle expérience uro ! Je crois que c'est quand j'ai pissé un peu dans mes vêtements en rentrant de Paris dans l'auto de collègues en novembre dernier. J'ai racontée cette anecdote sur le blog pour ceux qui veulent tout savoir !

11 - Avez-vous déja fait pipi dans la bouche de votre partenaire ? Dans le cas contraire, le feriez-vous s'il vous le demandait ? Pas de réponse.

12 - Pensez-vous que l'urolagnie fasse partie des pratiques sexuelles les plus dégradantes ? Chacun est libre d'aimer ou pas ! Du moment que cela n'est pas imposé de force, non !

13 - Utilisez-vous des lingettes spéciales ou du simple papier toilette pour vous essuyer le sexe après avoir fait pipi ? Papier toilette ou tissus.

14 - Un soupirant - dont vous ne savez réellement que faire, mais qui ne vous déplait pas - vous supplie au moment opportun de le laisser vous regarder faire pipi : votre réaction ? Ce n'est pas le cas et ce serait certainement non !

15 - Avez-vous déja remarqué ou soupçonné un trouble chez un garçon à qui vous veniez d'annoncer que vous alliez faire pipi ? Quelle fut alors votre attitude ? Plusieurs fois. J'ai toujours essayé de continuer comme si rien n'était... je crois que cela fait partie de moi, le flegme britannique. Je suis anglaise !

16 - Avez-vous déja surpris un homme espionnant une fille aux toilettes ou faisant pipi à l'extérieur ? Quelle fut votre réaction ? Parfois. Je l'ai bien regardé et il a compris et est vite parti !

17 - Y a-t-il des mots ou expressions concernant votre sexe qui vous déplaisent ? Lesquels ? Les mauvaises expressions, mais je ne les connais pas bien car étrangères ! Au lycée, un garçon a une fois dit "trou de balle". Je n'ai pas compris et une copine m'a expliqué. Je n'ai plus jamais cotoyé ce garcon !

18 - Aimez-vous lorsque votre partenaire vous adresse des compliments au sujet de votre sexe ? Quels sont alors ces compliments ? Je ne sais pas répondre.

De retour de notre petit trip en Angleterre on a pris l'autoroute Calais, Dunkerque direction Lille. A un moment, entre Lille et Dunkerque, on a eu un bouchon et on est resté sur place un petit moment. Après un assez long moment à l'arrêt, il y avait devant nous un minibus belge. Deux garçons - je crois des jumeaux de dix ou douze ans car ils se ressemblaient très fort - sont sortis et on immédiatement pissé sur le côté de la route, et un fameux pipi tous les deux.Pendant ce temps, la maman, entre trente-cinq et quarante ans, est sortie et a sorti une petite fille de trois ans environ et lui a fait faire pipi, ça a du être un peu trop tard car elle a enlevé et jeté sa couche... Une autre fille de huit ou neuf ans est sortie pendant que maman faisait pisser son petit enfant, a baissé en vitesse son pantalon et a énormément pissé pendant que ses deux frères la regardaient en riant. Une fois reculottée, elle a laissé maman remettre sa soeur dans son siège, est remonté dans le minibus et ses deux frères ont fait de même. Maman a été prendre la place de son mari au volant, ce dernier, trente-cinq ou quarante ans, en a alors profité pour arroser copieusement l'accotement... On a un peu avancé, il a rejoint le minibus en souriant et a repris sa place au volant, sa femme s'est remise à la place passager, on voyait que les garçons bougeaient et cherchaient quelque chose. Un peu après la maman est sortie en laissant sa portière ouverte, un garçon a ouvert la portière glissante et est sorti avec une toile qu'il a tenu devant maman pour faire un écran, et la maman a disparu derrière dans les secondes qui ont suivi... pour ne se relever que presque deux minutes après... on a ouvert la vitre pour entendre le garçon qui demandait sans cesse à sa maman si elle avait fini et de se dépêcher de finir ! La maman a dit à un moment qu'elle ne savait pas aller plus vite tellement elle devait faire ! Après qu'elle se soit relevée et qu'elle ai remonté son pantalon - on n'a malheureusement rien vu ! - car le garçon faisait toujours écran avec sa toile, le garçon a replié la toile et est rentré dans le minibus laissant voir entièrement sa maman. Elle nous a largement sourit et nous a dit : je n'en pouvait plus comme toute la famille. Le garçon était à présent remonté dans la voiture et avait fermé sa porte, maman a fait de même. On est encore resté bloqué une bonne quinzaine de minutes après. Je crois que toute la famille aurait fait à sa culotte dans le minibus s'ils n'avaient pas osé sortir !

Aujourd'hui je suis allée avec une confrère à un palais de justice pour une consultance de révision d'une entreprise en concordat judiciaire. Dans le palais de justice, j'avais envie de faire pipi, j'ai cherché les toilettes, c'était un très vieux bâtiment, à l'étage c'était fermé, je suis descendu et entre le rez-de-chaussée et le sous-sol j'en ai trouvé, mais dans quel état ! J'aurais pas été capable de pisser là malgré que j'avais envie. Je suis sortie dans une espèce de cour intérieure, il y avait au fond un grand mur sans fenêtre avec un coin et une haie devant, alors je suis allé là-bas pour pisser. Comme j'étais en pantalon, j'ai tout baissé et fait accroupie un gros pipi. L'endroit avait du servir pour la même chose car ca sentait un peu le pipi et il y avait par terre trois tissus... Ca voulait dire qu'avant moi trois femmes avaient fait pipi à cet endroit les jours avant sans doute, mais je ne sais pas qui... Employées du palais ? Avocates ? Juges ? Femmes convoquées ? Consultantes comme moi ? J'ai déposé le papier numéro quatre ! Je suis certaine d'une chose : ces femmes se sentaient certainement beaucoup mieux en partant de cette petite cachette qu'en arrivant ! Ma confrère avait continué le travail et quand on est parties à midi vingt elle m'a dit qu'elle avait envie d'aller aux toilettes. On est allé ensemble où j'avais essayé de faire, mais elle est sortie aussi vite qu'entrée ! Elle m'a demandé tu n'as pas envie toi ? Si j'ai dit, mais j'ai déjà fait tantôt ! Et où tu es allé faire ? Tu ne vas pas me dire que t'a pissé ici ! Non, je suis allée dans une petite cour, suis-moi. Mais arrivées devant la porte d'accès à cette cour, elle était fermée ! Zut, c'est fermé ! Elle avait l'air contariée de ce fait, on va sortir et on va trouver une place je lui ai dit. Oui, mais vite car ça presse ! On était dehors, on est allé derrière le bâtiment vers le parking, et une fois au parking, elle m'a dit : tiens vite mon sac en le tendant, et puis elle s'est mise à courrir au fond du parking avec sa main entre ses jambes. Je la suivais et une fois retirée un peu du bâtiment, elle s'est vite glissée entre deux autos, a relevé son manteau, ouvert sa ceinture et baissé son pantalon en frappant le sol en rythme, le pantalon autour de ses genoux elle a commencé à baisser son panty et sa petite culotte, et à ce moment elle a dit : et là, tu peux pas désobéir ! Attends encore quelques secondes ! Je t'ai pas encore autorisé ! Elle a vite tout baissé et s'est accroupie et de suite un très puissant et très gros jet de pipi a commencé à frapper le sol et a spitté dans tous les côtés. Elle a regardé son gusset de petite culotte, elle avait un peu fait pipi dedans. C'était moins une elle a juste dit ! Elle m'a rien dit de son petit accident, je n'ai rien dit non plus pour ne pas la gêner plus. Puis elle m'a demandé un tissu, elle a commencé à essuyer son minou, l'intérieur de ses cuisses, et en a encore demandé un pour essuyer le gusset d'abord de la petite culotte et quand elle l'a eu remontée celui de son panty. Puis elle a fini de se rhabiller et on est parties manger. Elle n'a jamais parlé durant le repas de ce petit incident et moi non plus.

Il est évident que Max prend du plaisir à voir souffrir les femmes. C'est une forme de sadisme.

Mais il en prend plus encore aussi à voir que nous "marchons", c'est ce qu'il souhaite, c'est jouissif chez lui.

Alors je vous propose à tous et à toutes de ne plus répondre à ce plouc qui, vu son âge qui parait déjà avancé, ne tardera pas à souffrir de la prostate et comme on est toujours puni par où on a péché, il apprendra les délicats plaisirs de devoir se retenir.

Bien sur que les femmes devraient pouvoir se soulager aussi facilement que les hommes. Et d'ailleurs, messieurs, reconnaissez que cela ne vous déplait pas lorsqu'une femme se laisse voir dans certaines circonstances. Et vous mesdames reconnaissez que vous aimez que l'on vous admire lorsque vous souhaitez que l'on vous voit.

J'espère être suivie par de nombreux lecteurs, et merci à ceux qui habituellement m'encouragent.

Salut à tous et à toutes. Martine

1 - Mesdames, pour vous quelles sont les chaussures les plus pratiques pour uriner dans la nature (forêt, parking...) :

a) sandales ;
b) petites ballerines ;
c) après ski ;
d) bottes à talons ;
e) talons compensés ;
f) talons aiguilles ;
g) autres (précisez) ?

Réponse e.

2 - D'après vous quel endroit est le plus pratique pour uriner tranquillement et sans être vue :

a) un parking souterrain ;
b) un parking en plein air ;
c) un bois ou une forêt ;
d) derrière une haie ;
e) autre (précisez) ?

Réponse a.

3 - D'après vous quels sont les vêtements les plus appropriés pour uriner dans la nature ? (Merci de les citer car si je donne toutes les sortes de vêtements je n'aurai pas fini toute de suite : ))

Personnellement je pense qu'une mini jupe ainsi qu'un string sont pas mal pour uriner dans la nature.

4 - Lorsque vous avez fini d'uriner dans un parking souterrain entre deux autos, que vous vous relevez et que vous voyez une énorme flaque au sol, vous :

a ) partez en la laissant telle quelle ;
b) essayez d'estomper la flaque afin qu'elle soit moins voyante (en l'éparpillant) ?

Réponse a.

5 - Imaginons que vous avez une énorme envie d'uriner. Vous trouvez un endroit adapté, vous commencez à faire pipi lorsqu'un petit garçon d'environ 12-14 ans arrive et se plante devant vous en vous regardant avec un air étrange. Vous :

a) vous arrêtez immédiatement, vous rhabillez et vous partez ;
b) vous continuez quelques secondes afin de soulager un peu l'envie et vous partez ;
c) vous continuez comme si de rien n'était ?

Réponse b.

6 - Sur l'autoroute, coté passager, avez-vous déjà été obligée d'uriner dans un récipient ou une bouteille que vous avez été obligée de vider ou de jeter par la vitre ? (Si oui, à quelle occasion, dans quelles circonstances ainsi que avec quelle sorte de récipient ?)

Oui, dans une bouteille...

7 - Lorsque vous urinez sur de la terre comment faites-vous pour éviter d'en mettre plein vos chaussures ?

J'écarte les jambes le plus possible.

8 - Préférez-vous uriner dans les toilettes sales de l'autoroute ou sur l'aire d'autoroute cachée dans un endroit quelconque ? (Précisez lequel svp)

Je préfère uriner sur l'aire d autoroute, cachée entre deux voitures, derrière un arbre ou alors sous la table de pique nique le plus discrètement possible...

9 - Est-ce que cela vous dérange d'uriner dans la nature ?

Non.

10 - Lorsque vous urinez dans la nature vous êtes plutôt :

a) petit flaque ;
b) petite mare ;
c) grand lac ?

Réponse c.

11 - Vous urinez dans la nature :

a) par plaisir ;
b) lorsque nécessaire ;
c) autant que possible ?

Par plaisir, j'adore voir mon urine couler sur le sol.

12 - Vous préférez uriner :

a) accroupie ;
b) debout ;
c) dans une autre position ? (Merci de préciser laquelle svp)

Réponse a.

13 - Quelle proposition vous correspond le mieux ?

a) vous êtes plutôt pudique (vous n'aimez pas trop être vue) ;
b) quand vous avez envie vous faites où vous pouvez en essayant de vous cacher ;
c) vous faites n'importe où (peu importe que l'on vous voit) ?

Réponse b.

14 - Lorsque vous urinez sur le sable et que vous vous relevez :

a) vous partez en laissant l'auréole ainsi ;
b) vous la recouvrez avec un peu de sable ?

Réponse a.

15 - Imaginons que vous aviez une énorme envie de pipi sur la plage, après vous être soulagée, vous commencez à partir lorsque vous voyez des personnes qui s'installent pile à l endroit où vous avez uriné :

a) vous allez les prévenir de ne pas s'asseoir ici et vous leur dites la vérité ;
b) vous allez leur dire de ne pas s'asseoir ici et vous leur raconter un mensonge pour vous expliquer ;
c) vous les laissez s'installer ?

Réponse C même si je ne suis pas très fière...

16 - Avez-vous déjà uriné dans un endroit qui n'est pas fait pour cela mais qui a déjà servi beaucoup de fois à des femmes pour une vidange ? (Si oui, comment l'avez-vous remarqué : Kleenex au sol, flaques... Merci de préciser.)

Oui, beaucoup de fois, le plus souvent il y a des Kleenex et aussi quelques flaques pas encore évaporées.

17 - Avez-vous déjà fait pipi dans un endroit déjà occupé par une autre femme faisant la même chose ? (Dans l'affirmative, qu'avez vous fait : vous avez uriné à ses côtés, vous avez attendu qu'elle finisse... Merci de préciser.)

Non.

18- Quel âge avez-vous ?

22 ans.

Cette anecdote s'est produite il y quelques années, je ne sais plus trop quand c'était mais je sais que nous revenions de vacances avec mon chéri et que c'était en été.
Nous étions sur une petite nationale - nous ne pouvions pas nous payer l'autoroute, on était assez jeune - j'avais envie d'uriner depuis un petit moment et comme si ça ne suffisait pas je commençais à avoir envie de caca... Au bout d'un moment je sentais que je n'en pouvais plus malgré ma position fétiche (ma fameuse position qui consiste à mettre mes pieds sur le tableau de bord pour mieux me retenir) et que quelques gouttes commençaient à mouiller ma culotte.
Mon chéri gara la voiture sur une petite aire de repos avec juste une poubelle et deux tables de pique-nique vraiement en mauvais état. Il n'y avait personne, mais il y avait quand même un peu de passage sur la route. Donc pour éviter que l'on me voit de la route, je vais alors me cacher derrière l'une des deux tables. Je devais être bien loin d'être la première à me soulager ici car il y avait une quinzaine de Kleenex sous et à coté de la table. Mais je m'apercus vite que ça ne serait pas pratique d'uriner là car la terre dégageait une odeur horrible d'urine et en plus, portant des talons aiguilles je m'enfonçait dans la terre pleine de pisse. Je me dirige vers l'autre table mais elle était aussi bien lotit en urine que la première. Puis je m'aperçois qu'il y en a une autre un peu plus loin, cachée derrière un petite bute. Si elle avait été épargnée cela aurait été parfait.
Je vais donc vers cette table et pour mon plus grand désespoir, il y avait autant d'urine à côté que près des autres...
Je ne suis pas trop fière de ce que je fis mais bon... Vu qu'un arbre et aussi la bute cachaient la table vraiment assez haut, je décide de monter sur la table, c'était la solution la plus simple... Je m'accroupie, baisse ma culotte et vide ma vessie sur la table de pique-nique. Mais comme je l'ai dis plus tôt, j'avais aussi besoin de déféquer, et comme je me laissais aller au miximum, en poussant un peu, pour faire sortir les dernières goutes d'urine, je fis aussi sortir une grosse crotte...
Quand j'eus fini, comme vous pouvez l'imaginer, j'étais hyper gênée. Et surtout je me demandais ce que je devais faire... Voici les problèmes :

- est ce que je laisse la flaque d'urine ainsi que la crotte sur la table ?
- comment vais je m'essuyer (car je n'avais pas mouchoir) ?

Pour la première question, je décide de tout laisser tel quel... C'est pas cool pour les gens qui veulent manger ici après, mais je ne pouvais pas faire autrement. Et pour la deuxième, ma culotte étant déjà souillée d'urine, je décide de la retirer et de m'essuyer les fesses avec...
Donc une fois essuyée, il y avait un autre problème : que faire de ma culotte ?
Mon petit copain n'en voulait pas dans la voiture pour ne pas salir donc je fus obligée de la jeter à côté de la table avec les Kleenex...
Je portais une jupe donc il n'y avait pas trop de problème. Mais je m'aperçut que ça allait poser problème dans la voiture car si je posais mes pieds sur le tableau de bord, les voitures que nous doublerions verraient mon minou. Donc quand on passait sur une portion de route à deux voies, je retirais mes pieds du tableau de bord.

Quand j'ai très envie de faire pipi, plus je m'approche des toilettes ou d'un petit coin improvisé, plus mon envie augmente, jusqu'à devenir irrésistible - un peu comme si mon cerveau donnait des signaux de relâchement à ma vessie pour lui dire que c'est bientôt le moment. Le pire qui puisse m'arriver, c'est que les toilettes soient occupées, fermées, hors service ou je ne sais quoi d'autre mais inutilisables - là je deviens complètement folle et je peux faire n'importe quoi pour me soulager même devant quelqu'un (j'ai déjà parlé de deux petits incidents :) Pourtant je suis sûre que si je ne m'attendais pas à trouver de toilettes, je pourrais me retenir encore quelques minutes sans trop de difficulté.

Mariana nous a raconté que c'est en voyant la porte des toilettes qu'elle a commencé à faire pipi dans sa culotte. Moi aussi, ça m'est arrivé de lâcher quelques gouttes juste au dernier moment.
Je me demande donc si on se retient avec le ventre ou avec la tête :) ou un peu des deux ?

Cela m’est arrivé en arrivant un matin au bureau. J’ai environ trois quart d’heure de trajet. Je n’avais pas du aller aux toilettes avant de partir. Je ne suis pas arrivée assez vite aux toilettes. J’ai fermé la porte derrière moi et pchittt, c’est parti dans mon string. Du coup, j’ai du le retirer et rester toute la journée sans, étant donné que je ne rentre pas chez moi à midi pour déjeuner.  Lâcher quelques gouttes, cela m’arrive aussi parfois quand ma vessie est pleine et qu’un éternuement survient. Mon Chéri adore passer la main entre mes cuisses et sentir les quelques gouttes qui ruissellent…qui n’ont rien à voir avec mes secrétions intimes.

Ça m'intéresserait beaucoup de savoir ce que d'autres lecteurs du blog en pensent - est-ce que l'envie devient de plus en plus pressante à mesure qu'on se rapproche des toilettes ?

La tension devient de plus en plus importante au fur à mesure que je m’approche des toilettes. Je contracte mes muscles et serre le plus possible les cuisses pour que cela ne s’écoule pas. Je n’attends qu’une chose : le soulagement et quand enfin, je me laisse aller, quel plaisir !

Mathématiquement, y aurait-il un théorème qui dirait que l'envie est inversement proportionnelle à la distance jusqu'aux toilettes ? ? ?

Je suis tout à fait d’accord avec cette théorie. Plus le but est proche, moins il est facile de se retenir.

1 - A l'extérieur, dans quelle position faites-vous pipi ? Pour quelle(s) raison(s) choisissez-vous cette position ?

Généralement, à l'extérieur, je pisse debout, mais je n'aime pas faire ça du tout. Je préfère essayer de trouver des toilettes avant.

2 - Essayez-vous de vous cacher ? Si oui, comment ?

Oui, absolument. Si je ne peux pas me cacher, je me retiens, je peux me retenir assez longtemps. En général, j'évite les urinoirs.

3 - Après avoir fait pipi, utilisez-vous du papier toilettes ?

Ça dépend des fois et du papier toilette. Ça ne m'arrive pas souvent, mais ça m'arrive. (je parle de pipi uniquement)

4 - Cela vous dérange t-il de faire pipi en présence d'autres personnes (femmes ou hommes) ?

Oui, absolument.

5 - Est-il arrivé qu'une femme vous regarde faire pipi ?

Non, ça ne m'est jamais arrivé. Cependant, si ma copine veut, je serais un peu géné, mais elle pourra.

En terminant mes courses, dans un petit passage piéton peu emprunté, une petite fille était accroupie en train de faire un beau pipi, et juste quand j'arrivais, sa maman ouvrait son pantalon et commençait  à le baisser... elle l'a vite remonté en un éclair en me voyant, elle était devenue toute rouge, je l'ai mise à son aise et lui ai proposé d'être gardienne durant son soulagement. Elle a accepté, et a vite tout baissé et s'est accroupie en lâchant immédiatement un jet qu'elle envoyait très loin devant elle, en sifflant très fort tellement la pression était grande, et elle a pissé, pissé à n'en plus finir... elle a même lâché un gros pet... Quand elle a eu fini, elle s'est secouée comme un canard, s'est reculottée, et m'a remerciée de mon aide et ma compréhension... Sa petite fille la regardait toute béate et lui a demandé si elle n'avait pas mouillé un peu sa culotte... Elle a répondu en rougissant un peu : "Cette fois non ma pupuce, maman a réussi à tenir, mais c'était moins une..." et puis nous nous sommes quittées et reparties chacune de notre côté. La femme approchait quarante ans et sa fille dix ans à vue d'œil.

Ces derniers temps on a vu sur le blog des filles qui envoyaient leur pipi très loin devant elles. Les mecs jaloux ont crié :  "Elles trichent !" Je me suis informé pour connaître les raisons de cette possibilité qu’ont en effet certaines femmes.

La vessie féminine contient de 350 ml pour les plus petites jusqu’à 750 ml pour les plus grandes. De plus messieurs je pense que vous savez que notre urètre si elle est beaucoup plus courte que la votre, par contre son diamètre au travail est un peu plus grand.

Si on pense bien que 750 ml c’est le volume d’une bouteille et que si une fille un peu musclée du bas ventre se met à pousser histoire d’éblouir un spectateur, on peu croire sans difficulté  à ses performances.

En public cela relève du numéro de cirque je vous l’accorde. Mais celles qui font cette démonstration n’ont pas besoin de tricher.  Les photos ou les vidéos ne sont pas truquées, foi de photographe.

Il m’a été donné cet été  de rencontrer une de ces filles qui m’accompagnait au travail.

Après le déjeuner, nous avions vu quelques clients sans faire de pause  et après le thé de cinq heures et les kilomètres en voiture, l’une et l’autre souhaitions une pause-pipi. Je rassurais ma passagère. Fort heureusement je connais bien mon secteur de travail avec toutes les possibilités qu’il offre à une femme de se soulager. Je connais un tas de petits coins à l’abri des regards où l’on dispose de presque tout son temps. Entre autres une gare désaffectée dans laquelle passe un train le matin et le même dans l’autre sens le soir. Entre temps c’est désert. Seul le parking est occupé par les quelques voitures de ceux qui utilisent ce train. J’y emmenais ma passagère. Le passage menant au quai était étroit et envahi par l’herbe.

Le fait de marcher augmentait encore notre envie et une fois à l’abri des regards indiscrets, s’excusant de sa façon de faire comme si c’était une faute, ma coéquipière  n’eut que le temps  de lever sa jupe et d’écarter son string avant d’envoyer immédiatement un jet bruyant à plusieurs mètres devant elle. Honnêtement, sans exagérer, je dirais entre trois et quatre mètres. Tandis que moi,  aussi à l’aise qu’elle pour me soulager debout, je franchissais à peine le seuil des 50 centimètres. Alors que j’étais presque éblouie par ses capacités naturelles elle poussa un ouf  de soulagement en terminant un peu avant moi...

Pas de triche évidemment. Un gros volume de vessie, une grosse envie et la pression qui va avec. Je lui en fis quand même la remarque. Elle m’assura qu’en cas de grosse envie c’était toujours comme cela.

Toujours à l’aise l’une envers l’autre, nous nous sommes retrouvées quelques jours plus tard seules dans les toilettes d’une salle des fêtes.

Avant de reprendre la route, l’occasion étant belle, passage aux toilettes par précaution...

La première porte ouverte devant nous étant  les urinoirs masculins et souhaitant revoir l’exploit de ma collègue, je lui dis "Chiche qu’on le fait ici ?". Elle ne me répondit même pas, et elle s‘installa  prés de moi. Alors que je pris presque le bec de mon urinoir entre les jambes, elle se tint au moins à cinquante centimètres du sien et elle n’eut aucun problème pour envoyer son jet bien en face avec un grand bruit d’éclaboussures qui bondissaient hors de la cuvette. Instinctivement je me reculais un peu. "Oh ! ... Excuse moi" dit-elle.

Là non plus évidemment pas de tricherie.

Mais oui... Les femmes pompières cela existe.  J’en connais au moins une. Alors lorsque vous verrez encore sur le blog une photo illustrant cette particularité bien féminine ne criez plus "C’est pas vrai".

Golf avec ma femme et un couple d'amis.
Parcours de 18 trous, c'est long. Trop long pour la vessie de la femme "Babette" de mon ami.
Celle-ci pensait pourvoir aller jusqu'au bout du parcours mais la nature en a décidé autrement.
Elle se dandinait à chaque pas, nous voyons bien que quelque chose n'allait pas.
Question : "Ca va ma chérie, tu as l'air toute drôle ?"
Et elle de lui murmurer, gênée, à l'oreille.
- "J'ai envie de pipi, je ne tiens plus."
- "Ah ! Ce n'est que ça, tu me rassures. Tu crois que tu pourras aller jusqu'au bout du parcours ?"
- "Non, et nous sommes en rase campagne, je ne vais tout de même pas faire dans ma culotte."
- "Je comprends pas, c'est un truc qui ne t'arrive jamais."
- "Le café de midi et le jus de fruit, je sais pas mais faut absolument faire quelque chose ; j'ai honte tu peux pas savoir."

Mon épouse et moi avions entendu leur conversation mais hypocritement nous demandons ce qui se passait.

- "Rien nous dit notre ami, c'est tout simplement que "Babette" a une terrible envie de faire pipi et qu'elle est effrayée à devoir faire ici devant tout le monde, vous la connaissez elle est très pudique."
Elle aurait bien voulu aller se cacher dans le taillis tout près de là, elle a d'ailleurs demandé à son mari de l'accompagner car elle a une peur panique des bestioles (fourmis, mouches, souris et surtout araignées etc) qui pourraient se trouver dans ce bosquet. Son mari s'est moqué d'elle en la traitant de froussarde.

- "Nous somme en rase campagne il n'y a personne, si elle n'a pas peur pour sa dignité, elle n'a qu'a faire pipi ici. Nous allons nous retourner et rester derrière la golfette."
- "Vous êtes gentils, je suis honteuse mais j'ai tellement envie. J'ai très envie mais de vous savoir là, juste derrière je ne sais pas si je pourrais me soulager."
- "T'inquiètes pas nous ne regarderons pas, ton mari y veilleras."
Pendant ce temps elle se tortillait de douleur, sa vessie la rappelait à l'ordre.
- "Bon chérie, il faudrait savoir ce que tu veux. Tu pisses ou tu pisses pas mais nous n'allons pas rester là" lui invectiva son mari dans un accès d'humeur.
- "J'en peux plus, pleurait-elle presque. Vous me promettez de ne pas regardez, hein, j'ai honte mais j'ai honte."
Et de nous retourner derrière la golfette.
- "Bon allez tu peux y aller nous ne regardons pas."
C'est alors que nous avons entendu un bruissement de tissu suivi mais pas tout de suite du chuintement caractéristique des femmes qui libèrent une vessie au raz de la rupture.
Notre ami, en riant, nous fit signe discrètement de nous retourner et de visionner la scène.
Quel beau tableau, elle nous offrait. Derrière ses lunettes fumées elle avait l'air de nous regarder mais toute occupée à sa jouissance de se libérer de ce qui la faisait souffrir depuis un bon moment, elle ne nous voyait pas.
Je la connaissais bien mais de la voir dans une telle posture presque avilissante avec entre les jambes un jet d’urine puissant et bruyant ne me laissait pas indifférent. Le coup de coude bien appuyé que m'asséna ma femme en est témoin.
Quant à notre ami son portable immortalisa la scène.
Un grand ouf de soulagement et elle nous aperçu.
- "Salaud" c'est bien la première fois que je l'entendis proférer un mot vulgaire, elle toujours si posée.
Elle se reculotta en vitesse en nous foudroyant du regard (enfin je suppose, car ses yeux étaient cachés par ses lunettes fumées).
Elle se redressa et vint nous rejoindre en sautant par dessus l'immense flaque qu'elle venait de créer.
- "Vous êtes contents, bande de gamins. J'espère que vous n'allez pas raconter ça aux gens que nous connaissons, j'aurai trop honte."
- "C'est toi, hein, qui leur a dit de se retourner, je sais que tu aimes me voir ne plus tenir tellement j'ai envie de pisser, tu as voulu en faire profiter les autres, maintenant je ne sais plus où me mettre tellement je suis humiliée" dit-elle à son mari.
- "Ce n'était qu'une plaisanterie sans conséquence, tu ne vas pas te fâcher."
- "Non, d'autant que je suis soulagée, mais vous ne pouvez pas vous rendre compte comme j'étais mal. J'ai dû faire pipi pendant plus d'une minute, il y en avait sans doute un bon litre. Jamais plus je ne ferais un parcours de golf sans prendre mes précautions."
- "Et pourquoi pas" lui susurra son mari.
- "Toujours à l'affût d'un désastre, toi. Tu ne perds rien pour attendre. Au fait, j'espère que vos portables n'ont pas immortalisé la scène."
Silence complet et regards complices.

Maintenant que j'y pense, je me demande s'il ne l'a pas fait exprès, dans ce cas je le remercie de nous avoir permis d'assister au spectacle que nous a offert, sans le savoir, son épouse.

Un parcours de golf comporte 9 ou 18 trous. Là nous étions parti pour un 18 trous (ce qui est assez long) d'où la légende "Le 19è trou". (Ce 19è trou si intime chez une golfeuse).

Voilà une histoire qui m'est arrivée dans des toilettes publiques il y a quelques années.

Ca s'est passé dans de vieilles toilettes publiques mixtes avec un urinoir et une cabine. Une première porte, qui n'a pas de verrou, donne sur une pièce avec un unique urinoir, sur le côté de l'urinoir se trouve la porte (verrouillable) de la cabine.
Je suis entrée dans les toilettes avec une grosse grosse envie, et la porte de la cabine était fermée. J'ai attendu une minute, puis j'ai frappé à la porte de la cabine, mais sans réponse. Je me suis dit que l'urinoir ferait bien l'affaire, évidemment avec le risque que quelqu'un, femme ou homme, entre pendant que je faisais mon affaire, mais comme je n'avais aucune envie d'aller chercher ailleurs ...

J'ai fermé la première porte, puis j'ai soulevé ma robe, baissé ma culotte et je me suis mise dos à l'urinoir pour me soulager. J'avais à peine commencé mon pipi qu'un homme est entré en courant, retenant sa respiration, visiblement sur le point de se pisser dessus. Je lui ai dit que la cabine était fermée et que je n'avais donc pas trop eu le choix, mais que je me dépêchais de terminer. Il a grogné quelque chose du style je ne peux plus attendre, et il a commencé à faire pipi juste devant moi, en visant la grille d'évacuation au milieu de la pièce. Je lui ai dit que si ça ne le dérangeait pas de se soulager devant moi, alors moi non plus. J'ai un peu écarté les jambes, histoire d'être exhibitionniste autant assumer jusqu'au bout... et j'avais aussi une belle vue... Il m'a regardé faire avec un sourire qui en disait long :-)

Pendant qu'il terminait son pipi, il m'a tendu un paquet de mouchoirs sorti d'une de ses poches, "pour se faire pardonner". Comme je tenais toujours ma robe avec une main, je lui ai demandé de me donner un mouchoir, et je me suis essuyée devant lui, les jambes écartées, puis on est sorti tous les deux pour se laver les mains.

Anecdote bien excitante pour l'une comme probablement pour l'autre !

C'est loin d'être la seule fois ou un parfait inconnu m'a vu faire pipi. J'essayerai de vous raconter d'autres anecdotes...

A l'époque où on pouvait encore aller au spectacle, je suis allée écouter un concert avec deux amies dans une des plus grandes salles de spectacle de la région.

Cette salle est particulièrement mal équipée en WC, à ma connaissance il y a seulement deux installations pour les hommes et deux pour les femmes, avec une demie douzaine de cabines de toilettes dans chaque, et en plus quatre urinoirs pour les hommes. Je me demande même si les règles de construction sont respectées, ou s'il y a d'autres toilettes cachées je ne sais pas où. Chaque fois que je suis allée dans cette salle, c'était toujours la course à l'entracte et à la fin pour ne pas arriver trop tard aux toilettes, parce qu'évidemment après trois minutes la queue est déjà interminable. Les femmes qui ne se dépêchent pas passent tout l'entracte dans la file d'attente et regagnent même leur place après la reprise du spectacle. Evidemment, les toilettes des hommes deviennent mixtes après très peu de temps, les femmes vont dans les cabines et les hommes utilisent les urinoirs.

Ce soir-là, à la fin du spectacle, je suis descendue aux toilettes avec mes deux amies, mais sans nous presser suffisamment, malgré une envie qui commençait à devenir pressante pour moi à cause des boissons achetées à l'entracte. Quand nous sommes arrivées, c'était la queue devant les quatre toilettes, mais il n'y avait presque plus que des femmes. Les hommes avaient probablement tous déjà terminé leur affaire, pour ceux qui n'étaient pas aller faire pipi sur le parking. On s'est mises à la fin d'une file pour les toilettes des hommes, et au bout d'un moment, voyant que plus aucun homme ne rentrait ni ne sortait, et comme j'avais du mal à me retenir, j'ai demandé à mes deux amies pourquoi on n'allait pas tout simplement aux urinoirs. On a donc dépassé toute la queue et on s'est retrouvé devant les quatre urinoirs libres. J'ai essuyé un peu le bord d'un des urinoirs et je me suis assise dessus pour un énorme pipi ! J'ai lancé à la cantonnade que d'autres femmes devraient faire comme moi, mais personne n'a osé, même pas mes deux amies qui m'avaient suivi. L'une d'elles rigolait en me voyant (elle connaît mes habitudes), et l'autre n'en croyait pas ses yeux.

L'histoire devient intéressante ici, parce que pendant ma vidange un homme est entré dans les toilettes, et ignorant les cris des femmes qui faisaient la queue et qui lui disaient d'attendre, il a couru jusqu'aux urinoirs. Il a dû imaginer que les femmes criaient en pensant qu'il les dépassait pour utiliser une cabine, mais comme il savait qu'il y avait des urinoirs il s'est probablement dit qu'il ne manquait de "fair play" envers personne.

En me voyant, il a eu une expression entre l'étonnement et le choc, mais c'était très visiblement une urgence pour lui, alors je lui ai dit qu'il n'avait qu'à utiliser un autre urinoir à côté de moi. Il s'est précipité sur l'urinoir voisin et a commencé à pisser tellement bruyamment que je lui ai dit "J'entends bien que c'était aussi urgent pour vous que pour moi, ça n'aurait pas été sympa de vous forcer à attendre, surtout que nous sommes dans vos toilettes" Il m'a répondu qu'il était désolé de m'embarrasser (moi, embarrassée pour si peu ? :-) mais qu'effectivement pour lui c'était "moins une".
Après avoir fini, j'ai remarqué que deux femmes avaient quitté la file et attendaient que l'homme ait terminé pour utiliser les urinoirs, en demandant aux autres femmes présentes de mieux monter la garde. Mes deux amies sont retournées tout à la fin de la queue, elles n'ont pas osé faire comme moi...

Sachant que je suis bisexuelle, j'ai le fanstasme uro uniquement avec les femmes, selon les questions je changerais le sexe de la personne.

1 - Avez-vous déja été surprise par un homme en train de faire pipi ? Quelle a été votre réaction ?

Oui ça m'est arrivé juste une fois, je raconte l'anecdote plus bas.

2 - Avez-vous déja fait volontairement fait pipi devant une fille autre que votre amoureuse du moment ?

Je le fais moins depuis que je l'ai rencontrée.

3 - Qu'est-ce qui vous gênerait le plus si un homme vous surprenait en train de faire pipi : qu'il vous voie dans cette situation, ou bien qu'il puisse voir votre sexe ?

Etant donné que je ne cesse de regarder autour de moi quand je fais pipi dans des lieux où je pourrais me faire surprendre, et que je n'écarte pas énormément les jambes, je crois qu'il ne pourra pas voir ma vulve. Donc je dirais : qu'il me voit dans cette situation si il y en a un qui échappe à ma vigilance car j'ai beaucoup de mal a arrêter mon jet une fois parti, je serais entrain de me reculotter malgré mon pipi qui coule, et mes vêtements qui en subissent les conséquences.

4 - Vous êtes-vous déja servie d'une exhibition pipi pour susciter et obtenir un cunnilingus ?

Oui.

5 - Lorsque vous faites pipi devant elle, lui laissez-vous la possibilité de vous essuyer ? Si oui, est-ce avec le papier, les doigts ou la langue ?

Oui parfois je lui demande de m'essuyer et c'est elle qui me fait la surprise si c'est avec du papier ou sa langue.

6 - Quelle est votre opinion sur les hommes - notamment ceux qui fréquentent ce site, bien sûr - dont le fantasme est de regarder les filles faire pipi ?

Je les comprends,, il y a de quoi voir quand une fille fait pipi, quand elle s'accroupie, baisse sa culotte, s'essuie etc dans la vraie vie tant que les hommes regardes leurs petites copines et non des inconnues, ça ne fait pas de mal.

7 - Quand et comment avez-vous compris que le spectacle d'une fille faisant pipi pouvait exciter les hommes, ou du moins certains d'entre eux ?  Et qu'en avez-vous pensé sur le coup ?

C'était quand j'avais 12 ans, au camping avec ma famille. Un matin je vais aux toilettes mixtes, et m'installe dans le box au fond du bâtiment, je baisse mon short et ma culotte, tends mes fesses en arrière pour éviter de toucher la cuvette et commence a uriner. Deux secondes plus tard, je vois une tête qui regarde sous la porte, je reste muette de choc et ne sachant pas quoi faire je continue car j'avais vraiment envie de pisser. Il ne me regarde pas m'essuyer (et de toute façon je n'aurais pas pu le faire devant lui) Je reste 5 minutes dans le box de honte. J'ose sortir mais ne dit rien a mes parents. Plus tard dans la journée, je vois un garçon d'environ 16-17 ans qui me regardait avec un regard "complice". J'ai reconnu son visage et détourné les yeux. Heureusement il est parti le lendemain car je ne l'ai plus revu. Je ne comprenais pas ce qu'il y avait d'excitant à regarder une fille faire pipi, j'étais perdue.

8 - Vous arrive-t-il de refuser, juste pour la rendre folle, qu'elle vous regarde faire pipi, et de tirer un plaisir amusé de sa frustration ?

Non.

9 - Avez-vous déja fait pipi devant un garçon suite à un pari perdu ?

Non plus.

10 - Racontez votre plus belle expérience uro !

C'était il y a quelques mois avec ma copine actuelle. on fêtait son anniversaire, donc diner au restaurant entre les deux confinements.
On mange très bien, et buvons beaucoup de vin. on fais toutes les deux un pipi au restaurant, mais continuons a boire. On paye et rentrons à pieds chez nous. Nos vessies sont remplies et nous en rigolons. Cela nous excite, dans l'ascenseur nous nous embrassâmes amoureusement. Je glisse ma main sur son sexe.
"Tu veux me faire pipi dessus ? 'lui dis-je.
"Oui, sur tes seins."
Nous mettons des serviettes de bains dans le salon, je lui enlève sa robe, elle m'enlève ma jupe noire et chemise blanche, je me mets à genoux et lui embrasse le pubis. Elle tremble d'envie d'uriner, je le vois à son string qui laisse échapper du pipi, je lui enlève doucement, dépose un baiser sur ses lèvres, prend ma poitrine dans les mains et lui offre. Elle prend beaucoup de plaisir à se lâcher et pour moi, c'est très agréable de sentir son jet atterrir sur mes seins. Elle se laisse tomber à terre, roule sur le ventre et me dit "A ton tour, fais pipi sur mes fesses" elle relève sa croupe pour moi et je m'exécute. Voir sa vulve épilée en ma direction me donne très envie de la lécher. nous allons dans notre chambre continuer mais nos vessies vides. Alors le reste n'appartient qu'à nous. ;)

11 - Avez-vous déja fait pipi dans la bouche de votre partenaire ? Dans le cas contraire, le feriez-vous s'il vous le demandait ?

Je l'ai déjà fait avec ma copine, lors d'un 69.

12 - Pensez-vous que l'urolagnie fasse partie des pratiques sexuelles les plus dégradantes ?

Non pas du tout, j'estime que tant que les deux parties sont consentantes, il n'y aucun mal pour aucune pratique sexuelle.

13 - Utilisez-vous des lingettes spéciales ou du simple papier toilette pour vous essuyer le sexe après avoir fait pipi ?

Du simple papier toilette, comme toutes les femmes.

14 - Un soupirant - dont vous ne savez réellement que faire, mais qui ne vous déplait pas - vous supplie au moment opportun de le laisser vous regarder faire pipi : votre réaction ?

Ou une soupirante, si j'hésite encore à son propos, je refuserais, je crois que si il ou elle me regardait sans avoir ma confiance, cela me couperait de toute envie amoureuse.

15 - Avez-vous déja remarqué ou soupçonné un trouble chez un garçon à qui vous veniez d'annoncer que vous alliez faire pipi ? Quelle fut alors votre attitude ?

Non, rien remarqué.

16 - Avez-vous déja surpris un homme espionnant une fille aux toilettes ou faisant pipi à l'extérieur ? Quelle fut votre réaction ?

Lors d'un festival de musique en montagne, les filles s'était trouvé un coin pour faire pipi en haut d'une pente sous couvert de sapins. Il me semble avoir vu un garçon qui regardait dans leur direction, il me paraissait tout timide alors je n'ai rien dit. Il n'a pas fait le pied de gru non plus, alors ça ne devait pas être bien méchant.

17 - Y a-t-il des mots ou expressions concernant votre sexe qui vous déplaisent ? Lesquels ?

L'expression populaire "Garage à bite", j'aime pas du tout.

18 - Aimez-vous lorsque votre partenaire vous adresse des compliments au sujet de votre sexe ? Quels sont alors ces compliments ?

Oui, que j'ai bon goût et que j'ai de jolis poils, de jolies lèvres.

J'étais heureuse de terminer ma journée de travail et de rentrer tôt d'autant plus que les journées d'hiver sont courtes car la nuit tombe vite.

Je connais cet itinéraire de retour, je le prends au moins une fois par semaine soit seule ou accompagné par Jean-Michel mon compagnon et collègue de travail. Sans me presser, en voiture il me faut régulièrement quarante cinq minutes.

Le client que j'avais visité ce jour-là était une grosse société et mes interlocuteurs tous des hommes. Au travers des cloisons vitrées des bureaux, je n'ai jamais aperçu une silouhette féminine au cours de mes visites. J'ai souvent l'occasion d'avoir a faire à des femmes en affaires, ou au moins d'être recue dans un bureau où travaillent des femmes. Dans ce cas, je trouve toujours une interlocutrice pour m'indiquer avant de partir où sont les toilettes. Même chez certains clients que je visite régulièrement, je connais bien les lieux et je m'y rends facilement avant de reprendre la route.

Mais ce soir, dans ce bureau rempli d'hommes, sans la trace d'une femme, je ne me sentais pas  l'audace de demander l'information. Même si je l'avais fait, je n'aurais pas pu utiliser les urinoirs qui habituellement pourtant ne me font pas peur. Il me restait les toilettes et la crainte que ma demande attire tous les hommes en mal de sensations pour m'accompagner auditivement.

Aussi, mon envie du moment étant supportable, je décidais de reprendre la route sans faire une vidange de sécurité. Aprés tout, quarante-cinq minutes c'est vite passé.

Nous n'étions pas encore à l'heure de pointe et cette départementale n'est jamais trés fréquentée. Ca roule bien.

Le fait d'avoir marché jusqu'au parking m'avait quand même, contrairement à mes prévisions, valu un rappel à l'ordre venant de ma vessie. Je ne me souvenais plus depuis combien je ne l'avais pas vidée. Près de trois heures, c'est beaucoup pour elle... pauvre vessie d'une pisseuse comme moi.

A mi-chemin en traversant la forêt de F...... il y a un immense rond-point justifié par une route empruntée par des tracteurs forestiers qui traverse la départementale. Il y a une dizaine de jours, je m'étais arrêtée avec mon compagnon, et nous avons pû, protégés de la vue par quelques stères de bois stockés sur le bord du chemin, faire confortablement une vidange. L'idée me vint, qu'aujourd'hui, en contournant ce rond point, je pourrai retrouver ces tas de bois et que je pourrai à nouveau, vite fait, faire un pipi dont le besoin s'imposait de plus en plus. Je n'aurai  pas mon ange gardien, mais habituée à faire vite, même en jean par la braguette, tout devrait bien se passer.

Quelques minutes plus tard, j'arrivais à ce rond-point et au lieu d'aller tout droit, je le contournais pour m'arrêter à l'entrée du chemin que j'avais déjà fréquenté.

Grosse déception : les tas de bois n'étaient plus là. J'avais toujours la ressource de prendre ce chemin à pieds, mais ce serait immanquablement la meilleure façon d'attirer les curieux vue la voiture arrêtée. Et jusqu'où devrais-je aller pour y être à l'abri ?

D'autre part m'engager dans ce chemin peu large avec la voiture m'obligeait à y faire demi-tour et cela sera-t-il possible ?

Bon... Plus que vingt minutes pour arriver au but. L'envie devenait de plus en plus forte... mais vingt minutes... Ca ira. Je contournais le rond-point et repris ma route.

Evidemment, en ville, je dus me faire deux feux rouges et le troisième, de plus en plus préoccupée par ma vessie, je crois l'avoir passé à l'orange. Heureusement qu'il n'y avait pas de flics, avec l'arrêt pour le procès verbal, je n'aurais pas tenue, et inutile je pense de lui expliquer pourquoi j'étais pressée. Tout le monde a déjà constaté, que plus on s'approche du moment où l'on pourra enfin se libérer, plus l'envie devient de plus en plus forte. Je le vérifiai à nouveau. Voilà l'immeuble. La rue à droite. Zut... il faut que je coupe la file de l'autre sens pour entrer dans le parking, et tout le monde se fout de mon clignotant. De plus ils ont tous l'air de se promener sans se soucier que j'ai une urgence. Ah ! Ca y est... je descends la rampe... je mets ma carte et la barrière se lève. Je prends l'allée et tout au bout à gauche il y a notre place. Là, il ne me reste qu'à remonter l'autre rampe à pieds, entrer, appeler l'ascenseur en souhaitant qu'il soit libre, arriver à la porte de l'appartement, l'ouvrir et foncer aux toilettes.

Bon... La voiture est garée. Mais mon envie tiendra t-elle si je n'ai pas l'ascenseur immédiatement ? Je ne saurais pas remonter à pieds trois étages avec une envie pareille.

Par facilité, à une heure creuse, il m'est arrivé de faire dans ce parking. La voiture est garée dans un coin formé par la cabine de la machinerie de l'ascenseur et le mur du parking. Derrière la voiture, je suis cachée sur trois côtés. Ce soir, la place près de la notre n'est pas encore occupée et je peux être vue de ce côté. Bon... Je fais une prière pour qu'aucune autre voiture n'arrive.

Je tire la poignée du coffre, je donnerai l'impression que j'y prends quelquechose. Jean plus culotte ça va aller. Heureusement j'ai des bas, pas de collant si non... Je me souviens que j'ai mon "Freelax" quelquepart au tableau de bord, mais à chercher je vais encore perdre du temps avant de mettre la main dessus. J'abandonne l'espoir "Freelax" et je cours plus vite que je ne vais derrière la voiture, je termine l'ouverture du coffre au moment ou une autre voiture sort tous phares allumés. Rien d'autre en vue. Vite... face au mur de l'ascenseur. Je dégraffe la ceinture, j'ouvre la braguette, je la tire vers le bas et de l'autre main j'écarte la jambe de la culotte, et le jet salvateur va s'écraser sur le mur pendant que je vois des phares entrer à l'autre bout de l'allée. Bon... Il s'arête. Mais il va remonter l'allée à pieds. Il faut que je finisse vite.

Et c'est à ce moment que la main gauche qui tirait sur le jean tendu glisse et lache prise et que ma braguette se remet en place. Couper le jet ? ... Oui... Bien sûr. Mais la seconde prise pour fermer la vanne avec difficulté a suffit à tout tremper le devant du jean. Ou je me contente de cette demi-vidange, ou j'ouvre à nouveau la braguette trempée pour continuer, ou je descends tout pour finir accroupie ? Allons... personne en vue ? Je baisse tout et penchée en avant, j'envoie le reste de ma vidange derrière moi sur le mur pendant que le chauffeur de la voiture qui s'était arrêtée remonte l'allée en sifflotant. Il arrive à ma hauteur quand je me relève. Il ne parait pas surpris de me voir occupée à ranger mon coffre. Du moins, bien que j'ai mon jean sur les cuisses c'est l'impression que je donne. Il me gratifie même d'un : "Bonsoir Madame..." auquel je réponds dans un sourire semblant décontracté : "Bonsoir Monsieur" en pensant : "Pourvu qu'il n'est pas l'idée de me faire la conversation ou de m'attendre pour rentrer dans l'immeuble". Mais  non, il y a un bon Dieu pour les pisseuses, il passe son chemin en continuant à siffloter.

L'éclairage du parking est faible mais suffisant pour que je constate que tout le devant du jean est trempé et je sens que la culotte en a pris un coup aussi. Quand je pense que j'avais tout le temps de tout baisser et même de trouver mon "Freelax"...

Pourvu que je ne rencontre personne dans le couloir ou l'ascenseur ! C'est l'heure où tout le monde rentre. Coffre fermé et voiture verrouillée, c'est fourre-tout à l'épaule et mon attaché-case devant moi que je suis arrivée à l'ascenseur.

Heureusement, je n'ai rencontré personne de connaissance, personne dans le couloir et personne dans l'ascenseur. Direct du rez-de-chaussée au troisième.

Ce fut vite une douche.

Lorsque Jean-Michel est rentré et que je lui ai raconté tout celà il a bien ri :

- "Bon... OK je comprends qu'avec tous les hommes tu aies été génée pour demander les toilettes. Mais dans la forêt, si tu étais moins trouillarde, je suis sûr que tu avais le temps de pisser au moins dix fois, je te connais tu es une rapide. Et  toi qui fait tant de pub pour "Freelax", tu ne me feras pas croire que tu n'avais pas cinq secondes de plus pour ouvrir la boite à gants et le trouver. Et même baissée derrière la voiture coffre ouvert tu passais inaperçue. Mais voilà... un pipi urgent... si tu n'as pas ton garde du corps tu confonds vitesse et précipitation."

Au printemps 2019, je suis allé une semaine rendre visite a ma meilleure amie à Strasbourg. Elle travaillait en journée, et me laissait ses clés pour que je puisse profiter de la ville par moi-même. En milieu de semaine, on avait prévue de passer sa pause déjeuner à pique-niquer dans le parc de l'Orangerie, elle travaillait pas très loin. Je la rejoins en métro, vais la chercher devant son travail, et nous marchâmes en direction du parc. Il faisait si beau que je portais une robe avec un string, je ne connais pas de tenue plus rafraichissante. On se trouve une place au soleil près d'un étang (ou un petit lac, je ne sais plus). J'avais préparé une salade (tomate, oeuf dur, comté, croutons, jambon blanc et vinaigrette maison) et elle avait préparé du thé le matin avant de partir. On déjeune, on boit toute la bouteille de thé, c'était très agréable mais il est déjà temps de rentrer pour elle. Juste quand elle me le dit, je réalise que ma vessie est remplie à son maximum et que le pipi est doucement sur le chemin pour la sortie. Nos affaires ont été vite rangées, je ne lui dit pas qu'il faut que j'aille aux wawas, je pensais que je les trouverais facilement. On se fait la bise, et partons chacune de notre côté. Sur l'allée, du coin de l'oeil, j'avais cru repérer des toilettes, alors je me dirige vers cette direction mais arrivée devant, je réalise que c'est un local EDF. Mince, je suis perdue, et le pipi est sur le point de sortir, j'ai cette pression aigue qui se fait remarquer. Je commence à sérrer les jambes et repars tant bien que mal vers un autre endroit. Je vois un grand arbre qui pourrait faire l'affaire, je vais en dessous, mais deux secondes plus tard je vois une mère de famille et ses deux ados arriver. Je retourne sur le chemin, au détour d'un bosquet se trouve un restaurant assez chicos, mais je tiens plus, je commençais déjà à me serrer le minou "Tant pis j'y vais, en espèrant ne pas croiser de serveur" je pousse la porte d'entrée, fais quelques pas dans le couloir et v'las tis pas qu'un serveur se pointe et me donne du :

"- Bonjour madame, puis-je vous aider ?"
"- Bonjour, je cherche les toilettes, désolée j'en ai vraiment besoin, je vais me faire dessus sinon."

Je me sens bête en lui disant cela, ça se voyait que je n'étais pas cliente de l'établissement. Il refuse évidemment, mais me donne une vague direction vers laquelle je pourrais trouver des wc publics. Je ne lui dit ni merci ni au revoir, pressée comme j'étais. Je descends trois marches, je serre encore plus les fesses, serre fort ma fouffe, pousse un petit cri j'ai bien cru que j'allais faire sur moi. Oui, les toilettes sont bien là et tout près, je presse le pas. J'entre chez les dames, défonce la première porte venue, pose mon sac à main lourdement par terre. Je me met en position, je remonte ma robe, le pipi sort une demi seconde avant que je baisse mon string à mi-cuisse, le jet est puissant et touche la partie avant de la lunette, les éclaboussures me mouille les cuisses, je rectifie le tir, et détends complètement mes muscles. Ca fait tellement de bien que je plaque mes mains contres les parois de la cabine, pousse un râle de soulagement la tête rejetée en arrière, les jambes bien écartées. Ca dure longtemps. Le jet est si gros que ça me chatouille le clitoris. Sur la fin, le jet se réduit mais ne se tarie pas, ni mon plaisir. J'étais en train d'ovuler, j'avais souvent des pensées érotiques. Enfin fini. Je m'essuie, comme souvent après un pipi si délicieux ma vulve est très sensible, j'ai été si près de l'orgasme que je me dit que ça serait trop bête. J'hésite mais passe quand même un doigt dans ma fente, erreur, me sentir si humide et ouverte, me fait l'effet d'un déclic. J'enlève complètement mon string, le jette sur mon sac, et commence a me masturber, combo extérieur et interne, il m'a pas fallu longtemps pour jouir. Je suis debout, les seins et la chatte à l'air, à essayer de reprendre mon souffle, mes mains parcourent mon corps, j'ai le sexe littéralement trempé, mes jambes tremblent. Je me calme, je m'essuie une deuxième fois, range mes seins et en prenant mon string je m'aperçois que la demi seconde de pipi intempestif, (et peut-être aussi les goutellettes) l'a rendu humide, pas de problème je mets du papier toilette entre ma vulve et le gusset. Reprends mon sac, tire la chasse, me lave les mains dans le lavabo et sort au soleil un large sourire sur le visage et la vulve encore toute anesthésiée d'un si bon orgasme. Je continue ma journée heureuse. Le soir je raconte cette aventure à ma bestie, elle en rigole bien, et moi aussi d'ailleurs. Elle me confie que pour elle aussi ça été une bataille pour bien faire pipi dans les toilettes de son taf, et non dans sa culotte.

Ce qui m'amène à une question les filles, est-ce que vous aussi il vous arrive de vous masturber suite à un pipi ?

J'écris ce texte pour répondre à Julie qui me demandait, dans les commentaires de l'article "Relachement à la plage" du 19 avril, comment je fais pipi dans un endroit naturiste. Elle se disait que comme on est déjà tous à poil, un petit jet de pipi ne dérange pas.

En fait, ce n'est pas si simple. Comme Fanfan l'a écrit, être naturiste ne signifie pas renoncer à toute pudeur. Il y a des naturistes qui ne seront pas gênés de faire pipi devant les autres et il y en a qui vont marcher plusieurs centaines de mètres pour aller trouver des toilettes, alors même qu'il sont en bord de mer ou de rivière. Comme chez les "textiles" (= non naturistes), d'ailleurs !

Il faut savoir aussi qu'il y a naturisme et naturisme. Je n'irai pas jusqu'à paraphraser un célèbre trio humoristique français en disant qu'il y a les bons naturistes et les mauvais naturistes, mais...

Dans les centres naturistes, les choses sont généralement assez cadrées, il y a des règles strictes qui servent à éviter d'attirer une clientèle considérée comme indésirable dans un lieu de vacances majoritairement fréquenté par les familles. Dans certains centres, les bijoux intimes sont interdits, ou alors les célibataires sont interdits, ou alors il y a deux pages de règles sur où et à quelle heure a-t-on le droit d'être nu. J'ai déjà vu des naturistes bien-pensants s'offusquer de voir une femme s'élancer vers son compagnon et l'embrasser fougueusement alors qu'il avait dû interrompre ses vacances une semaine à cause de son travail et revenait rejoindre sa famille pour le week-end ("Faites ça dans votre bungalow"). Donc, si on y réfléchit deux minutes, on y a beaucoup moins de liberté, à part celle d'être à poil, que dans des lieux textiles.
Ces centres, que je fréquente régulièrement, ont quand même des avantages, à commencer par celui d'avoir "tout sous la main", ce qui évite de devoir utiliser la voiture et se rhabiller pour aller faire ses courses ou sortir manger. On peut littéralement, si le temps s'y prête, laisser ses habits sur le siège de la voiture en arrivant, et les remettre trois semaines plus tard en repartant. En plus, beaucoup bénéficient d'un cadre naturel à couper le souffle.
Pour revenir au sujet qui nous occupe, dans ce genre d'endroit, on se fait discret pour faire son pipi, même sur la plage. Pas question de simplement écarter les jambes. Évidemment, si quelqu'un s'éclipse quelques instants derrière un arbre ou un rocher, personne ne va s'offusquer. Personnellement, je trouve toujours le moyen de rester discrète, sans nécessairement me cacher. Sur la plage, je vais m'accroupir au bord de l'eau à un endroit où il n'y a pas grand monde, ou alors je vais marcher jusqu'à la végétation et me soulager derrière un buisson. En dehors de la plage, ça m'arrive aussi de faire pipi à côté de ma tente, en pleine nuit ou au petit matin, ou encore si j'ai la flemme d'aller jusqu'aux sanitaires (ben quoi... c'est les vacances !) J'ai déjà été aperçue dans cette situation, sans conséquence aucune (on se dit juste bonjour, avec un sourire entendu). Dans quelques centres il y a des urinoirs à côté des sanitaires, je ne les utilise pas, histoire de ne pas choquer, mais je me dis souvent qu'un jour, si je trouve toutes les toilettes occupées...

A l'autre extrême, il y a des lieux naturistes, organisés ou pas, et souvent inofficiels, qui sont fréquentés par les coquines et les coquins de tout poil (ou sans poils, souvent). Je range sous cette étiquette les exhibitionnistes, les libertins, les voyeurs, les échangistes, ... Dans cette catégorie, le lieu phare est bien évidemment le Cap d'Agde et sa fameuse Baie des Cochons. Là, c'est no limits, en gros tout y est permis, à part les appareils photo. Évidemment, pas de problème pour pisser sur la plage, assise, debout, accroupie, au bord de l'eau ou entre les serviettes, même pas pour un bon gros pipi spectacle devant une dizaine de voyeurs qui se tripotent (déjà vu, jamais fait). Un peu hard quand même... mais je dois reconnaître que j'y ai fait une fois l'amour avec un complice occasionnel, et que c'était assez... excitant. Mes deux pipis sur cette plage, c'était debout face à la mer, jambes écartées, avec quelques personnes qui me regardaient en se baignant, échange de regard complice...

Entre les deux, il y a les centaines de lieux en France où le naturisme est autorisé ou toléré, sans y être encadré comme dans les centres de vacances, mais souvent cautionné par un arrêté municipal qui avalise des décennies de pratique historique du naturisme : forêts, plages, bords de rivière... Dans ces endroits, c'est un peu moins prout-prout (désolée pour les "vrais naturistes" des centres), on n'y fait pas toute une histoire pour un piercing au clito ou un geste de tendresse. Ce sont les endroits que je préfère pour une journée ou une après-midi naturiste occasionnelle, et par chance j'en ai quelques uns pas loin de chez moi.
Alors là, ça dépend de la compagnie, évidemment. Si je suis seule, je me laisse simplement aller, sans me baisser si je suis debout. j'en profite parfois pour m'entraîner à pisser "proprement" debout au bord de l'eau, ou sur le sable ou les galets. Il y a peut être des voyeurs qui en profitent (ou des voyeuses, Lucie ?), ça m'est égal. C'est mon petit plaisir à moi. Si je suis avec des amis ou des gens que je sais ne pas être gênés, je vais juste m'éloigner si nécessaire de quelques mètres de l'endroit où on a installé nos serviettes, et je vais m'accroupir sans me cacher.
Il y a en particulier un lieu de naturisme sauvage en bord de rivière tout près de chez moi, nous sommes quelques habitués et j'y rencontre souvent les même têtes. Surtout des hommes, tous respectueux, quelques femmes aussi, et souvent des gays - l'endroit est réputé de longue date comme lieu de drague homo. Sans aucune organisation préalable, on partage souvent l'apéro ou le contenu du panier repas. Avec eux, pas de chichis : on fait pipi quand on a besoin, et sans se cacher les uns des autres. Si c'est debout, c'est debout, avec juste un petit "excusez-moi", pour se donner une contenance, mais tout en continuant la conversation... Les hommes font généralement comme moi, les femmes moins souvent, mais je ne suis pas la seule. Je crois que tout le monde aime bien cette atmosphère un peu à la limite du naturel et du voyeur / exhib. Mais cette attitude n'est pas forcément représentative du naturisme.

Julie, pour répondre à ta dernière question : quand je suis couchée sur le ventre, si je ne dis pas que je fais pipi, ça ne se voit pas, et je continue à parler comme si de rien n'était. Et c'est assez jouissif de faire pipi devant quelqu'un sans qu'il s'en rende compte.

Désolée pour la longueur de ce texte, mais une question délicate appelle une réponse élaborée :-)

1 - Qui vous a expliqué que vous devez vous essuyer après avoir fait pipi ?

Je pense ma maman. En général ce sont les parents qui expliquent aux enfants comment faire pipi (et donc comment s’essuyer).

2 - Comment vous sentez-vous si vous ne le faites pas ?

Ben on sent de l’humidité dans la partie concernée et c’est pas très agréable (mais c’est pas la mort non plus).

3 - Si vous avez une fuite en pleine journée, comment faites-vous ? Est-ce qu'un protège-slip est vraiment efficace ?

Pour ma part avoir des fuites est fréquent, tout particulièrement lorsque j’attends dans la file d’attente des toilettes. Comment on fait ? Ben il n’y a rien à faire juste espérer que la fuite n’est pas visible et essayer de ne pas fuir à nouveau. Pour les protège-slips il y en a plusieurs modèles avec plusieurs taux d’absorption. Si tu en prends un qui absorbe bien c’est suffisant pour absorber les fuites tant qu’elles ne sont pas trop conséquentes et que tu as à l’idée de te retenir et de ne pas te soulager dans ton protège-slip. En gros tout dépend du protège-slip et de la fuite. 

4 - Prenez-vous une feuille de papier hygiénique ou plusieurs ? 

Une ou deux max. Il faut penser à l’écologie aussi.

5 - Est-ce que le papier toilette glissant sur vos lèvres vous fait ressentir quelque chose de particulier ?

Non.

6 - Faut-il s'y prendre d’une autre manière si vos petites lèvres ressortent des grandes ?

Pas spécialement.

7 - Est-ce que vous essuyez assise ou debout ?

Debout. Assise ça peut se faire mais ce n’est pas le plus pratique.

8 - Faites-vous le mouvement de l’avant vers l’arrière ?

Quand j’y pense. Parfois oui parfois non.

9 - Est-ce que vous essuyez seulement votre urètre ou toute votre vulve ?

Un peu toute la vulve. Disons là où c’est humide (et ça dépend des pipis).

10 - Dû aux petites lèvres, est-ce toujours un jet bien net ou l’urine s’éparpille ?

Ça dépend de la pression, de l’anatomie de chacune, de la position dans laquelle on pisse et une part d’aléatoire.  Pour ma part lorsque je pisse accroupie (la position la plus naturelle) mon jet est plutôt net mais si je pisse assise dans des toilettes, ou bien jambes un peu fléchies et penchée vers l’avant avec le jet vers l’arrière ça s’éparpille beaucoup plus, surtout si il y a de la pression et debout j’en parle même pas… 

11 - Avez-vous déjà mis plein de pipi partout (exprès ou non) ? Si oui, racontez…

Je me souviens d’une fois où j’étais dans les toilettes d’un bar. J’étais un peu bourrée et ce n’était pas mon premier voyage aux toilettes (mais pourtant ma vessie était quand même pleine). Les toilettes étaient une seule pièce avec des cabines et au bout un espace urinoirs. Je me dis que les toilettes dans les cabines doivent être sales et qu’après tout pourquoi ne pas faire mon pipi dans un urinoir (alors que pourtant il n’y avait par chance pas de file d’attente ni pour les cabines ni pour les urinoirs). Alors je me dirige vers un urinoir et je me mets en position dos à celui ci. Sauf que l’urinoir était un peu haut (souvent les urinoirs pour hommes sont trop hauts pour nous les femmes ce qui nous complique la tâche lorsqu’on veut nous y soulager) et du fait de l’alcool je n’ai pas suffisamment levé les fesses et j’ai tout pissé sur le sol. Pendant que je pissais dans ma tête je pensais pisser dans l’urinoir mais une fois reculottée j’ai remarqué toute la pisse sur le sol (qui n’était pas là avant moi) et l’ampleur des dégâts (j’avais pas mal pissé cette fois là). 

Mais ce n’était pas volontaire donc pas fait exprès. 

Sinon ça m’est déjà arrivé de rentrer dans une cabine avec une copine mais de ne pas pouvoir attendre que mon amie finisse son pipi (en plus avec le bruit du pipi qui tombe dans les toilettes) et de faire volontairement pipi accroupie sur le sol. Je sais que c’est très sale et j’en suis désolée mais vaut mieux par terre que dans la culotte et en général le sol des toilettes est dans une matière facilement nettoyable.

12 - Avez-vous déjà essuyé une de vos copines ?

Pas que je m’en souvienne.

13 - Ressentez-vous de la gêne à le faire devant quelqu’un ?

Si je ne suis pas gênée de pisser devant la personne en question alors non ça ne me gêne pas de m’essuyer. Par contre lorsque je pisse en public ça me gêne de m’essuyer. C’est pourquoi je ne m’essuie jamais hors des toilettes. Je considère que pisser en public (ça peut être perçu par certains comme de l’incivilité) c’est déjà salir l’endroit où l’on pisse en plus d’exposer à la vue des gens notre sexe et notre pisse, et je ne vais donc pas en plus être à mon aise et m’essuyer, encore moins pour laisser le Kleenex par terre comme le font la plupart des femmes. Même aux festivals où pisser par terre est normal je ne m’essuie pas. Et si les autres femmes faisaient comme moi il n’y aurait pas tous ces mouchoirs sales sur le sol.

Aujourd’hui je suis partie pour faire mes ongles. Ma prothésiste ongulaire est à trente minutes de route de chez moi, j’avais rendez-vous à quatorze heures trente. Le midi j’ai mangé avec des amis et je n’ai pas fait attention, j’ai bu deux verres de vin et pas mal d’eau. Avant de partir pour mon rendez-vous je vais au toilette car je savais que j’en aurai pour un moment. Je prends la route et deux minutes avant d’arriver je ressent une légère envie de faire pipi je me dit que ce n’est rien et que dans tous les cas d’ici une heure j’aurai terminé et que je m’arrêterai au pire sur l’aire d’autoroute qui est à mi chemin entre son domicile et le mien. J’arrive et là elle avait un peu de retard, je patiente et là c’est enfin mon tour, je lui demande combien de temps elle va mettre à peu près et là elle me répond : ce n’est pas ce que tu fais habituellement donc ça sera plus long, compte deux heures. Intérieurement, j’ai senti que ça allait être compliqué car mon envie de faire pipi augmentait au fil des minutes. A la moitié de la prestation ma vessie était bien remplie et être assise était vraiment inconfortable. Je prenais sur moi pour ne rien laisser paraître, je n’avais qu’une hâte c’est que ça se termine pour pouvoir partir et vite vider ma vessie. Les dix dernières minutes étaient compliquées, je bougeais pas mal sur ma chaise et quand elle m’a demandé si ça allait j’ai juste répondu : oui j’ai juste mal au dos mais tout vas bien. (J’étais trop timide et gênée pour lui demander d’emprunter ses toilettes sachant qu’elle exerce à son domicile et non dans un salon). Elle finit enfin mes ongles, je vois l’heure : seize heures quarante-cinq. Mon envie de pisser était devenue insupportable et gênante, je la paie et monte vite dans ma voiture pour me rendre à l’aire d’autoroute qui était à quinze minutes de route. Tellement l’envie était forte j’avais du mal à me concentrer, j’avais la main en permanence sur mon minou et je roulais beaucoup plus vite que la vitesse autorisée. J’arrive sur l’aire d’autoroute, je me gare, sors de ma voiture et marche à toute vitesse direction les toilettes. Je rentre et là deux personnes attendaient déjà leur tour. J’ai grimacé et j’ai serré les cuisses de toutes mes forces, quelques gouttes sortaient de mon minou, je n’en pouvais vraiment plus. Quand ce fut mon tour, mon string était à peine baissé que ma vessie a lâché. Je me suis vite assise et c’était un immense soulagement. J’ai poussé un petit soupir et mon pipi a semblé durer une éternité. Je me suis rhabillée et suis rentrée chez moi toute légère de ma vessie vide.
La timidité a failli me coûter un bel accident.

Si possible, plutôt que de simplement répondre oui - le cas échéant - il serait sympathique de raconter l'anecdote (âge, lieu, circonstances, attitude). 

1 - Quelques données personnelles : 

- sexe ; Femme

- âge ; 24 ans

- lieu (aussi imprecis que vous le souhaitez). Yvelines (78)

2 - Concentrons-nous sur les vestiaires de piscine pour commencer. La raison principale étant que contrairement aux autres vestiaires, le sol est généralement très mouillé. 

A - Avez-vous déjà fait pipi ici ? 

- oui, dans une cabine ; Oui.

- oui, dans un coin tranquille / caché ; Oui.

- oui, près de mon banc ; Oui.

- oui, au-dessus d'un drain ; Non.

- oui (precisez) ;

- non.

B - Avez-vous déjà encouragé à faire pipi ou laissé faire un de vos enfants ici ? 

Je n'ai pas d'enfant donc non.

C - Avez-vous déjà été témoin d'un tel évènement, ou cela vous a-t-il été raconté ? 

Je n’ai pas été témoin mais je l’ai vécu, j’étais allé à la piscine avec une amie déjà pendant que nous nagions j’avais très envie de faire pipi mais j’ai préféré attendre de rentrer chez moi car les toilettes de cette piscine sont dégoûtantes au possible. Nous sommes sorties de l’eau et arrivée dans la cabine l’envie était trop intense au moment où j’ai retiré mon bas de maillot un jet a jailli j’ai pu l’arrêter mais c’était impossible de tenir encore je me suis donc accroupie pour finir de soulager ma vessie.

D - Pour quelle raison cela est-il arrivé ?

- pas de douches ou toilettes à proximité immédiate ; Non.

- les douches ou toilettes étaient occupés ; Non mais elles étaient répugnantes.

- c'était plus simple. Non.

E - Votre avis (Ca ne fait pas de mal / c'est dégoutant / les accidents arrivent...) ?

Certes ce n’est pas hygiénique mais un accident arrive.

3 - On reprend, mais cette fois-ci pour des vestiaires en général, par exemple dans un club de gym. 

A - Vous ? Non.

B - Un enfant sous votre responsabilité ?  Non.

C - Quelqu'un d'autre ? Oui une amie.

D - Pour quelle raison ? Elle s'était trop retenue.

E - Votre avis ?

Ca peut arriver.

4 - Et maintenant, dans les cabines d'essayage d'un magasin. J'ai entendu dire que cela arrivait notamment avec des enfants ou lors des soldes - à cause de l'affluence - par exemple. Krys a déjà raconté une telle anecdote sur ce blog. 

A - Vous ? Non.

B - Un enfant sous votre responsabilité ? Non.

C - Quelqu'un d'autre ? Oui j'ai entendue une inconnue.

D - Pour quelle raison ? J’étais dans une cabine d'essayage chez Zara et j’entendais une femme dans la cabine à côté qui était au téléphone elle a dit à la personne avec laquelle elle était en ligne : "Je n’en peux plus j’ai trop envie de pisser je vais faire discrètement dans un coin de la cabine." Suite à ça j’ai entendu un léger bruit de jet d’urine et un soupir.

E - Votre avis ?

Si l’envie est trop forte il vaut mieux faire dans une cabine que de s’uriner dessus.

Il est une heure du matin, nous rentrons de soirée.

Ce matin je me réveille tôt, avant toi, ce qui est rare. Je me lève sans faire de bruit pour te laisser faire de beaux rêves encore quelque heures tout au plus.

Je déjeune tranquille nu dans la cuisine, au vu de mon bas ventre dressé mes rêves ont dû être érotiques et les pensées vagabondes autour de mes fantasmes. Je prends le téléphone et vais directement sur le site des fantasmes les plus osés, http://pausepipi.canalblog.com/.

Des idées parcourent mon esprit toutes plus osées les unes que les autres, depuis que tu as uriné sur mes doigts dans la douche je ne pense plus qu’à recommencer à jouer avec ton liquide doré, à le goûter.

Plein de scénarios se mélangent dans ma tête quand tout a coup un des scénarios se précise, se détache, m’excite. Non je ne vais pas osé essayer cela,  tu va jamais vouloir, cela va finir sur une dispute… et en même temps quel risque je prends d'essayer de provoquer le destin…

Je finis de déjeuner, me douche. Mon érection ne cesse de se développer en pensant à la suite de la matinée si le destin est de mon côté.

Me voilà tout propre, parfumé… nu. Il est dix heures. Je me glisse dans la chambre, tu dors à poings fermés.

Yes, la chance est avec moi. Comme à ton habitude tu t'es mise à l’aise dans le lit après mon départ.

Tu es allongée sur le dos, les jambes grandes ouvertes pour prendre toute la place.

Les choses sérieuses vont pouvoir démarrer.

Je me glisse sous la couette entre tes jambes et dépose quelques bisous sur ta culotte. J’aime sentir ton odeur le matin, sentir la femme que tu es, humm. Tu te prélasse un peu mais ne ressère pas les jambes, je me laisse glisser alors pour prendre position entre tes cuisses, que ma bouche soit à hauteur de ton puits d'amour. Ma langue vient laper tout le tissu de ta culotte qui me sépare de ta peau.

Mes doigts glissent sous la couture pour décaler cette étoffe. Humm, je peux enfin embrasser tes grandes lèvre,s les lécher, les aspirer, les inonder de salive. J'entends tes soupirs, tu ne dors pas, ou plus. Tu relèves même les jambes pour me laisser place et que je puisse te lécher comme tu aimes. Tes mains viennent se poser sur ma tête pour m’encourager. Ma bouche, ma langue, mes doigts, sont maintenant entre tes jambes, mes doigts te fouille et jouent sur ton point G, ma langue titille, aspire ton clitoris. Ma deuxième main se pose sur ton mont de Vénus, je sens ton bas ventre tendu.

- Arrête, stop, j’ai trop envie de pisser chéri.

Aucune réponse de ma part je le savais bien tous les matins tu as une envie irrésistible.

Tes soupirs deviennent des râles, doux, excitants, tes fesses se dandinenr sous ma bouche ou sous ton envie d uriner, hum.

- Chéri j’ai trop envie de toi mais trop envie de pisser.

- Viens j’ai envie que tu me chevauche tout de suite.

- Je te pisse dessus si on fait ça et que je jouis…

- On verra bien retiens-toi ou pisse moi dessus mais j’ai envie là tout de suite que tu me grimpe dessus pour baiser.

Je te retourne de mes mains tout en continuant mon cunnilingus, tu te retrouve au-dessus de moi, je suis allongé sur le lit.

- Non chéri je vais pisser.

- Arrête c’est tout se suite ou rien tu n’es pas chiche de le faire, de te tenir ah ah.

- Tu me lance un défi.

- Baise-moi et ma seule réponse. (Je sais que tu aimes les défis)

Tu me saute dessus et viens directement pénétrer mon sexe en toi. Hum.

Il n’est plus question de doux va-et-vient mais littéralement d une baise. Tes coups de reins me font soupirer de plaisir, j’ai du mal à me contenir, mais je sais ce qu’il va arriver.

Tu es sur le point de jouir, j’attrape tes hanches pour participer au mouvement.

Tu te stoppe net.

- Non je tiens plus je vais pisser si je jouis je ne tiendrai pas ma vessie.

- Alors là c’est trop tard.

Mes mains glissent dans ton dos pour te faire te coucher sur moi, je prends les choses en main et te maintien sensuellement au-dessus de moi tout en me laissant l’espace de guider la pénétration.

Je suis sur le point de jouir et toi aussi. Tes cris à mes oreilles me le confirme, ta voix douce qui me susurre à l'oreille :

- Arrête tu es fou je vais pisser, te pisser dessus et en mettre partout.

- Ça t’excite belle demoiselle de me souiller.

- Oui c’est sûr mais je ne tiens plus, j’ai envie de jouir mais de pisser aussi.

- Alors pisse-moi dessus là tout de suite, relâche !

Je n’ai pas le temps de demander une deuxième fois que tes cris deviennent jouissance. Tu hurles de plaisir, je sens un liquide m'inonder doucement puis telle une cascade qui vient frotter mon sexe. Je ne tiens plus, je joui dans un cri de plaisir.

Tu as une jouissance longue, délicieuse, humide, trempée.

Tu t'écroules sur moi, ton visage dans mon cou.

- Tu l’as fait exprès salaud tu voulais que je te pisse dessus.

- Oui c’est délicieux tu m’as rendu fou.

- Bah pour la peine tu te débrouille à nettoyer, moi je vais à la douche coquin.

Tu attends quelques secondes de reprendre ton souffle et file à la douche.

Je suis au nirvana totalement, je sens cette pisse sur moi, cette mouille, ce sperme, toutes ces effluves de jouissance. Humm... je reste un moment extasié.

Bon maintenant c’est sûr qu'il y a des dégâts, c’est nettoyage.

Ca s'est passé un jour de travail, je croyais avoir bien préparé mon coup. J'allais passé toute la journée en réunion. Ma boite est remplie d'hommes (seulement deux ou trois autres femmes avec moi). Lors des réunions, il ne faut pas déconner, boulot boulot boulot ! ! Dress code strict. Je portais un blazer noir, une jupe crayon noire et des collants noirs aussi et un chemisier blanc. En partant de chez moi, j'avais fait pipi, mis un protège-slip, sans prendre ma bouteille d'eau pour mettre toute les chances de mon côté. Le matin le plan se déroule sans accroc, je n'ai pas eu envie d'aller au toilette. Seulement bu un café. Le midi je mange en ville avec une copine, je ne bois rien. Je compte sur l'eau dans la nourriture elle-même pour m'hydrater. Je reprends le travail et les réunions. Pendant une heure tout se passe bien, encore trois heures trente à tirer. Puis d'un coup c'est le drame, ma vessie se réveille. Je me redresse sur ma chaise et serre les jambes, l'air attentif, attentive pour les autres et aussi sur mon envie de pisser pour ne rien laisser paraître. Dix minutes plus tard, l'envie part, je me calme. Puis elle revient, et s'en va, s'en revient s'en va. A croire qu'elle s'amuse avec moi pendant un bon moment. J'étais dans un coin de table avec un siège de libre avec mon collègue à gauche et personne à droite. J'avais enlevé mes talons pour trépigner des jambes silencieusement. Encore une heure quarante-cinq de réunion.
Le client de ma boite nous rejoint, on se lève tous, un jet s'en va, et pas un petit, le protège-slip fait son job. Mais peu de temps après, j'en lâche un autre, puis encore un autre. Ca n'aide pas grand chose, maintenant je suis humide, je suis gênée, et il y a toujours ma vessie qui presse. Miracle, on demande une pause, le chef nous accorde cinq minutes. Tandis que tous les hommes s'affaissent dans leur chaise, je me lève et me dirige vers les toilettes aussi rapidement que possible. Je relève ma jupe et baisse mon collant et mon string pour faire un pipi court mais puissant. J'écarte les jambes et me penche en avant tant c'est agréable de se laisser aller. Pour remplacer mon protège-slip je mets du papier toilette entre le string et ma vulve, je suis au sec mais c'est pas très confortable. Le papier toilette dépasse. Je termine ma journée légère. Je ne crois pas avoir été repérée.

Je vous disais au début de ma présence sur ce blog que je tenais relativement bien, et bien maintenant je crois que ce n'est plus le cas, il m'arrive de plus en plus de mouiller mes sous vêtements.